Seconde note préliminaire sur
Liste et accès aux documents publiés sur le site http://www.aredam.net
28 juin 2009, Mémoire en cassation à l'encontre de la chambre de l'instruction de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, pour un faux en écriture publique (faux intellectuel) fabriqué par cette même chambre, qui a eu à juger de son propre acte de faussaire. http://www.aredam.net/memoire-cassation-milan-faux.html
8 juin 2009, Appel de l'ordonnance de non-lieu du juge Cotelle de Nice, pour faux en écriture publique, plainte déposée par Daniel Milan. http://www.aredam.net/appel-ordonnance-milan-cotelle.html Nouveau blog dans l'affaire Daniel Milan : http://www.faussaire.unblog.fr Voir aussi les blogs : http://arretdanielmilancedh.unblog.fr/ http://www.aredam.net/affaire-daniel-milan-avocat-jose-bertozzi-nice.html http://comitedroitshommeonumilan.unblog.fr
8 février 2009, Affaire Daniel MILAN de Nice : Deux des photographies prises du tee-shirt porté par Daniel Milan, militant libertaire antisioniste, lors des tortures subies à Nice en octobre 2001, en répression de son expression publique politique, du fait de la police commandée par l'officier de police Robert Pinhouet. Ce dernier est actuellement "commandant opérationnel" au centre de police des Moulins à Nice. Il dirige une force de 300 policiers en charge de réprimer la population du quartier immigré des Moulins. Il est basé dans le nouveau commissariat de police des Moulins, qui est une sorte de gigantesque bunker de béton et d'acier. Le tee-shirt que Daniel Milan portait le jour des tortures, et précieusement conservé en lieu sûr, car c'est une pièce à conviction. En effet, la police sous les ordres de Robert Pinhouet a lacéré le dos de Daniel Milan, avec un instrument tranchant, ce qui a provoqué les trous qu'on peut voir sur les photographies, avant d'appliquer une poignée électrique, ce qui a provoqué d'intenses douleurs à Daniel Milan. Il faut là rappeler que cette scène de tortures s'est déroulée dans la rue, en public, entre l'ancien commissariat des Moulins situé en face du domicile de Daniel Milan, et le domicile de Daniel Milan. Les lacérations du tee-shirt et du dos de Daniel Milan ont été effectuées par un policier de type maghrébin ... Lire la totalité de l'article et voir les photographies :
9 février 2009, Affaire Daniel MILAN de Nice : http://www.aredam.net/requete-daniel-milan-comite-droits-homme-onu-geneve.html Requête de Daniel MILAN de Nice, militant libertaire antisioniste, adressée au Comité des droits de l'homme de l'ONU de Genève, à l'encontre du gouvernement français, pour la persécution et les tortures qu'il a subi depuis octobre 2001, en raison de l'expression publique de son opinion antisioniste. Cette persécution et ces tortures ont été diligentées par l'organisation sioniste "J'accuse" de Paris, dirigée par Marc KNOBEL, appartenant au CRIF et au centre Simon Wiesenthal. Les tortures ont été exécutées à Nice, le 1er octobre 2001, sous les ordres de l'officier de police Robert PINHOUET, actuellement "commandant fonctionnel" au centre de police des Moulins de Nice, qui dirige 300 policiers en charge de réprimer la population du quartier immigré des Moulins. Voir aussi les blogs : http://arretdanielmilancedh.unblog.fr/ http://www.aredam.net/affaire-daniel-milan-avocat-jose-bertozzi-nice.html http://comitedroitshommeonumilan.unblog.fr
4 décembre 2008, Visitez le blog annexe du blog principal traitant de l'affaire Daniel MILAN : http://www.josebertozzicedh.unblog.fr Voir la copie de
la page du blog annexe, consacré à l'avocat de Daniel MILAN,
http://www.aredam.net/affaire-daniel-milan-avocat-jose-bertozzi-nice.html "Affaire Daniel MILAN torturé
par la police sur ordre des sionistes, jugée par la Cour Bienvenue sur mon blog Retour au blog principal de l'affaire Daniel MILAN http://arretdanielmilancedh.unblog.fr/
16 novembre 2008, Annonce de l'édition d'un : Blog consacré à l'affaire Daniel MILAN, militant libertaire et croyant dans l'islam, torturé sur ordre du bureau de propagande sioniste en France "J'accuse", par la police française de Nice, en octobre 2001, suite à son envoi à ce bureau par fax, d'un dessin dénonçant les implications politiques d'atteintes aux libertés, des attentats du 11 septembre 2001 aux USA : http://www.arretdanielmilancedh.unblog.fr
Nota : la CEDH fait partie de l'ensemble des organes de "masquarade démocratique" mis en place par le régime totalitaire sioniste capitaliste d'Occident, de façon à masquer sa réalité de dictature. Il est en effet infiniment plus économique du point de vue policier, pour le maintien d'un ordre dictatorial, de choisir de simuler l'apparence d'une démocratie, et de susciter l'espoir (qui comme on le sait ... fait vivre ... et permet d'attendre avec patience des "lendemains qui chantent" ...). Outre les élections mettant en lice les mêmes sous différents visages, et l'appareil associatif du type Ligue des droits de l'homme, Amnesty international, et autre CAPJO - Pour une paix juste au Proche-Orient, et autre NPA - Nouveau parti anticapitaliste, le régime totalitaire sioniste capitaliste d'Occident très très imaginatif en la matière, s'est pourvu d'un appareil judiciaire "droidlommiste" à ralonge, permettant à ceux qui veulent se plaindre des exactions qu'ils ont subi, de se perdre dans d'interminables procédures (bientôt transmises par testament aux héritiers) : tribunal de grande instance - 3 ans, cour d'appel - 2 ans, cour de cassation - 2 ans plus éventuellement le droit à un autre retour de circuit gratuit, puis cour européenne des droits de l'homme - 4 ans, et maintenant "grande chambre" d'appel de la Cour européenne des droits de l'homme - 2 ans, avant sans doute la mise en place de la future "cour de cassation" de la Cour européenne des droits de l'homme (vingt bonnes années de tranquillité gagnées avec économies et sans beaucoup de travail, pour le pouvoir, les mécontents s'enfermant d'eux-mêmes dans des murailles de paperasses, et se ruinant de plus pour les plus crédules, dans les cabinets d'avocats, personnages qui comme leur dénomination l'indique : "auxiliaires de justice", sont les "amis de la cour", soit de simples supplétifs de l'appareil policier, appareil policier dont l'une des multiples extensions est l'appareil judiciaire et droidlommiste - tout tribunal n'étant au fond qu'une des nombreuses annexes du commissariat de police du coin, et les juges n'étant que de simples sous-flics).
25 octobre 2008, Une jurisprudence gravissime en Europe : affaire Daniel Milan, de Nice, la Cour européenne des droits de l'homme entérine la torture des antisionistes. Lire le communiqué de Daniel Milan. Prendre connaissance de la totalité de l'affaire Daniel Milan. Information : Une plainte est en cours d'élaboration et va être déposée au Comité des droits de l'homme de l'ONU, ainsi qu'une autre plainte va être déposée au Comité contre la torture de l'ONU, à Genève, en Suisse, au Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme. Nous ne lacherons pas, nous ne céderons pas, tant que les tortionnaires ne seront pas jugés. Commentaire important sur le rôle des avocats en ce qui concerne le défense des ennemis du régime SCTO (Sino-capitalisme totalitaire d'Occident) : Le rôles des avocats (statutairement "auxiliaires de justice", dénommés aussi les "amis de la cour), est d'encadrer, de canaliser leurs clients opposants, de façon à les faire entrer dans le cadre répressif, à les annhiler, et cela qul que soient les avocats en présence. L'avocat est le traître parfait. Au sein de l'imposture judiciaire, le personnage du procureur est le plus honnête, car lui ne trompe pas. Tous le monde sait que pour décripter le procureur, il suffit d'inverser exactement ses propos. Ainsi, il ne dit pas la loi, mais le contraire de la loi, et fonde son action sur la plus intègre mauvaise foi. En second, dans l'ordre de l'honnêteté, vient le personnage du juge, qui est censé être indépendant, impartial et équitable. Il suffit là d'inverser ses qualité pour découvriri la réalité du personnage (obéissant, partial et injuste). Le troisème larron de la farce judiciaire est le plus infect, et même, le seul infect, car les deux précédents ne tentent pas de faire croire à la justice. L'avocat lui, tente de faire croire qu'un membre de cette confrérie de gredins a à coeur l'intérêt d'un auteur de désordre social, ou d'un ennemi du régime (actuellement le SCTO). Dans le cas de Daniel Milan, il s'agit de Maître José Marie Bertozzi (1, Place du Palais 06000 Nice, ses fenêtres donent juste en face de celle du procureur, le fameux chevalier blanc de Montgolfier). Bertozzi n'a pas prévenu son client que la Cour européenne des droits de l'homme avait jugé de son affaire depuis bientôt 10 mois - il s'agit d'un cas extrême). Bertozzi comme tous ces semblables avocats, attend ou a déjà bénéficié d'un retour d'ascenceur, pour avoir bien encadré son client. On va ou on a déjà favorisé ses affaires. En quelques sortes, l'avocat vend les ennemis du régime au régime, en contrepartie de ses succès lors de ses futurs procès, ce qui augmente en retour sa clientèle et sa fortune. Il en est de même avec le fameux Missamou (surnommé Oui Missié, ou Missamol), qui défend les antisionistes à Paris, de l'avocat qui a défendu Dieudonné, de ceux qui défendent "Kémite Le C'est Bât", et autres. Se faire trahir pas son avocat est la règle, et dire "mon avocat est un traître" est un pléonasme, ou un plutôt truisme. Quant à la Cour européenne des droits de l'homme, comme la Cour de cassation, leurs décisions sont prises en concertation avec les instances dirigeantes du régime. On décide en haut lieu ce qu'il convient de juger, et les juges ne font qu'exécuter la décision prise au gouvernement. Ceux qui croient à l'indépendance de la Cour européenne des droits de l'homme, comme à celle de la Cour de cassation, et à l'aide de l'avocat, ne sont que des idiots irrécupérables, et il convient de les éviter. Il faut se rappeler que sous l'occupation nazie, seul un magistrat avait refusé de prêter serment à Pétain (Paul Didier, lequel n'était par ailleurs pas du tout passionnant). Sous le régime SCTO, tous les magistrats vont s'aligner. La magistrature grogne en ce moment car le régime SCTO est en train de nettoyer la justice de tous ceux qui en son sein sont trop attachés aux manières de l'ancien régime souverainiste, comme le SCTO est en train de faire le ménage au sein de la classe politique, après l'avoir fait dans la police, l'armée, les services spéciaux, les médias (l'administration de la propagande), et les administrations, spécialement dans celle du ministère des affaires étrangères, et au corps diplomatique. Il ne s'agit que d'une période de changement de personnels, et naturellement, ça grince chez les larbins.
16 septembre 2007, suite de l'affaire Daniel MILAN. Etouffement judiciaire par un faux en écriture publique, dit "faux intellectuel", d'une affaire de torture par "électrocution sur scarification", opérée par la police de Nice, sur la personne de Daniel MILAN, militant libertaire musulman, en octobre 2001, suite à la dénonciation publique de Daniel MILAN, des faux attentats islamistes du 11 septembre 2001, attentats organisés par les dirigeants américano-sionistes, dénonciation adressée entre autres, à l'association de propagande sioniste "J'Accuse" de Paris, dirigée par l'avocat Richard SEBBAN, et l'employé du CRIF Marc KNOBEL. Lettre adressée à la juge d'instruction de Nice, Mme Anne-Marie GONELLE, en charge du dossier.
21 mai 2007, Affaire des tortures de Daniel MILAN, en cours de jugement à la Cour européenne des droits de l'homme. Lettre de Michel DAKAR à M.
le Troisième Vice-Président du Bureau de la Commission de
la Objet : atteinte de la part du gouvernement français à la faculté des citoyens français de porter plainte contre ce gouvernement devant la Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg. Monsieur, Je vous saisis d’une affaire extrêmement grave, concernant l’atteinte au droit fondamental européen de la faculté que possède tout citoyen d’un Etat membre du Conseil de l’Europe, de porter plainte contre son propre Etat. En l’occurrence, il s’agit d’un citoyen français, M. Daniel MILAN, qui a été torturé par la police française en octobre 2001, à la suite de sa dénonciation de ce qu’il estime être des faux attentats, ayant eu lieu aux USA le 11 septembre 2001, faux attentats qui auraient été fomentés par les services spéciaux américains et israéliens, dans le but de servir de prétexte à l’invasion militaire des toutes dernières zones mondiales encore riches en pétrole, et à l’anéantissement de toute forme organisée de résistance à l’expansion de l’Etat d’Israël au Proche-Orient. Les tortures à l’électricité subies par M. MILAN l’ont été à l’instigation d’une administration sioniste décentralisée en France, l’ « Association J’accuse », dirigée par un avocat parisien maître Richard SEBBAN, et un fonctionnaire sioniste, M. Marc KNOBEL.
6 mars 2007, Affaire des tortures de Daniel MILAN : Texte de la Décision de la Cour européenne des droits de l'homme, accordant la recevabilité à la requête de Daniel MILAN contre la France, dans l'affaire des tortures policières de Nice ordonnées suite à son envoi d'un dessin dénonçant les faux attentats du 11 septembre 2001 à l'association parisienne "J'accuse", de Marc KNOBEL, fonctionnaire sioniste du CRIF, et de l'avocat Richard SEBBAN. Lire cette décision de la CEDH Lettre à la Cour européenne des droits de l'homme, pour révéler le type nouveau de torture qu'à subi Daniel MILAN (décharges d'électricité appliquées sur des plaies provoquées volontairement par un cutter).
27 octobre 2006, Plainte de Daniel MILAN contre X adressée
au procureur de la République à Nice, pour usurpation d'identité
sur le forum d'internet du site agoravox, dans le but de déclencher
des poursuites judiciaires à son encontre pour diffamation raciale,
et plainte pour diffamation.
30 juillet 2006, Requête à la Cour européenne des droits de l'homme, de Daniel MILAN, pour procès inéquitable, en raison du faux en écriture publique fabriqué par un ou des magistrats de Nice et/ou d'Aix-en-Provence, en rapport avec les tortures opérées en octobre 2001, par la police nationale à Nice, sur ordre de l'association sioniste "J'Accuse", présidée par Marc KNOBEL. Cette affaire de faux en écritures publiques est traitée à Nice et à Aix-en-Provence, malgrè la requête en dépaysement déposée par M. MILAN à la Cour de cassation, et alors que cette affaire concerne des magistrats de Nice et d'Aix-en-Provence. Lire la requête.
15 janvier 2006, Lettre de Daniel Milan au Président de la Cour de cassation. Monsieur le Président, Je requalifie ma plainte à l'encontre de X, X étant soit les magistrats du Parquet et/ou du siège, du TGI de Nice et/ou de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, plainte déposée pour altération de preuve judiciaire (article 434-4 du code pénal), en la qualification qui est juste, la première minimisant les faits, et étant de ce fait erronée, c'est à dire en : « faux en écriture publique », selon l'article 441-4 du code pénal ... ... cette qualification pénale, visant des magistrats, relève de la Cour d'assise, et du délai de prescription de dix années à partir de la date des faits, ou à partir de la dernière date d'un acte interruptif de prescription, date qui est pour l'instant celle du rendu de l'arrêt de la 12ème chambre de l'instruction de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, soit le 27 mai 2004, chambre composée de Madame Bernard, président de chambre de l'instruction, de Monsieur Huron, conseiller, et de Madame Mée, vice-président placé. Le ministère public était représenté aux débats par Monsieur Kiriakides, et au prononcé par Monsieur Picou, substitut général. Lire la totalité de la lettre.
27 novembre 2005, copie de l'enveloppe du double de la requête en dépaysement, adressé L'AIJD mérite le qualificatif d'association de juristes démocrates sionistes complices de tortionnaires.
17 octobre 2005, Texte de Daniel Milan : les violences policières.
15 octobre 2005, Requête en dépaysement, de la part de Daniel Milan. Affaire du faux document en justice élaboré par des membres de la magistrature de Nice et/ou d'Aix-en-Provence, suite aux tortures exercées par la police nationale de Nice sur Daniel Milan, en octobre 2001, tortures commanditées par Marc Knobel, de l'association sioniste "J'accuse".
7 octobre 2005, J'accuse
le lobby sioniste d'avoir brisé ma vie !
19 septembre 2005, Composition de ce fichier :
15 septembre 2005, Le doyen des juges d'instruction de Nîmes, dans toutes ses oeuvres, au travers d'une lettre qui s'ajoutera au dossier de cette affaire présentée à la Cour européenne des droits de l'homme.
5 septembre 2005, Une adresse par écrit, à tous les barreaux de France, envoyée par Daniel Milan. Thème : la torture est-elle légale en France ... ou seulement à Nice ?
6 juillet 2005, Certificat médical légal attestant des traces de tortures subies quatre années auparavant, tortures opérées sous la direction du capitaine de police à Nice Robert PINHOUET. Ce certificat est adressé à la Cour européenne des droits de l'homme, qui traite en ce moment cette affaire.
30 avril 2005 Observations adressées à la Cour de cassation au sujet du pourvoi en cours.
24 mars 2005. Mémoire adressé à la Cour européenne des droits de l'homme.
29 janvier 2005 Deuxième plainte pour menaces de morts.
23 janvier 2005 Lettre adressée au procureur de la République à Nice, et au Garde des Sceaux, relativement aux menaces de morts reçues par Daniel Milan.
13 janvier 2005 : Droit de réponse adressé à "Actualité Juive", comportant l'annonce de la décision de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, rendue dès la fin de l'audience du 10 janvier 2005. Mémoire en cassation, de l'arrêt de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence.
9 janvier 2005 : Mémoire de Daniel Milan concernant l'appel de sa condamnation pour rébellion, accompagné de la copie du certificat médical authentique de constat des tortures, daté du 3 octobre 2001, et de la copie de la page 9 de l'arrêt de Chambre de l'instruction d'Aix-en-Provence, où apparaît la mention du certificat médical falsifié par un membre de l'appareil judiciaire, daté du 30 octobre 2001.
8 janvier 2005 : Plainte de Daniel Milan adressée au procureur de la République à Nice, M. Eric de Montgolfier, pour menace de mort. Article paru dans "Actualité juive", dernier numéro, signé de Jean-Yves Camus, portant désinformation et diffamation sur Daniel Milan et son affaire judiciaire, et annonçant l'audience de l'appel, à Aix-en-Provence.
12 décembre 2004 : RESUME CHRONOLOGIQUE DES FAITS ET DE LA PROCEDURE. Illustration : le coffre des riches. Communiqué de RDM. Lettre au président de la 7ème chambre en correctionnel de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, qui jugera de l'appel de Daniel Milan, concernant sa condamnation pour rébellion, prononcée par le tribunal correctionnel de Nice, le 10 décembre 2001.
27 novembre 2004 : Mémoire en appel, pour l'audience du 10 janvier 2005, devant la 7ème chambre correctionnelle de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, où Daniel Milan doit être rejugé, pour son hypothétique rébellion, lors de l'agression policière du 1er octobre 2001, hypothétique rébellion, pour laquelle il a été condamné en première instance, par le Tribunal correctionnel de Nice, à 4 mois de prison avec sursis. Invitation à venir le soutenir à cette audience, Cour d'appel d'Aix-en-Provence, 7ème chambre correctionnelle, Palais de justice "Montclar", rue Peyresc, le 10 janvier 2005, à 14 heures. Photographie des tortures Vue du dessin faxé à l'association sioniste de Paris "J'Accuse", dirigée par Marc Knobel, de la LICRA, du CRIF et du centre Simon Wiesenthal, et par l'avocat parisien Richard Sebban, un proche du Bétar, ce dessin étant à l'origine des tortures. Lettre ouverte au procureur de la République à Nice, Eric de Montgolfier. Illustration : les Dominateurs, gravure d'Alexandre Mairet, début 20ème siècle, Suisse, Genève, Daniel Milan est un militant anti autoritaire, anti sioniste et anti totalitaire. Illustration : Gendarmes, gravure d'Alexandre Mairet.
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