Voir le dossier complet au fichier : http://www.aredam.net/documents.html Mémoire en cassation à l'encontre de la chambre de l'instruction de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, pour un faux en écriture publique (faux intellectuel) fabriqué par cette même chambre, qui a eu à juger de son propre acte de faussaire. http://www.aredam.net/memoire-cassation-milan-faux.html
De : MILAN Daniel A : Cour de cassation, PARIS. LRAR n°
A l’encontre de l’arrêt n° de la 12ème chambre de la Cour d’appel d’Aix-en-Provence (chambre de l’instruction), du 25 juin 2009 (n° parquet : 05/00277 - n° instruction : 408/00015).
Il est à relever que la Cour de cassation a rejeté ma demande initiale de dépaysement de ma plainte, afin qu’elle ne soit pas jugée par des magistrats pouvant soit être directement impliqués, ou bien familiers de magistrats pouvant être impliqués dans ce faux, ou encore se trouver soumis à l’influence des magistrats faussaires, voire même contraints par les magistrats faussaires (requête en dépaysement pour suspicion légitime adressée le 20/09/2005 à la Chambre criminelle de la Cour de cassation, sur la base de l’article 662 du Code de procédure pénale, rejet de cette requête par la Cour de cassation, arrêt du 07/02/2006 n° 1005 n° V 05-85.782 FS-N, signé M. COTTE Bruno « Attendu qu’il n’existe pas, en l’espèce, de motifs de faire droit à la requête ; par ces motifs, REJETTE la requête »). Conclusion : Je demande à la Cour d’annuler l’arrêt rendu le 25 juin 2009, par la Chambre de l’instruction d’Aix-en-Provence.
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