CELA N'ARRIVE PAS QU'AUX AUTRES !
A NICE, CITE « DES MOULINS »PERE DE FAMILLE MUSULMAN DE 57 ANS, TABASSE, TORTURE, HUMILIE, NIE, PERSECUTE… MAIS ACCUSE DE « REBELLION » PAR MES TORTIONNAIRES DEPUIS LE 1 ER OCTOBRE 2001… JE DOIS COMPARAÎTRE LE 10 JANVIER 2005, A 14 HEURES DEVANT LA 7 ème CHAMBRE CORRECTIONNELLE DE LA COUR D 'APPEL D'AIX-EN-PROVENCE (Palais de justice « Montclar » rue Peyresc) POUR L'EXAMEN DE MON APPEL
LES FAITS…
Le Ier Octobre 2001, vers 14 heures 30, des policiers tambourinent à la porte de mon domicile en hurlant… Je me retrouve face à une bande de soudards déchaînés qui crient, venir de la part de « Monsieur Sebban » ( le patron d'une association juive parisienne, spécialisée dans la délation aux autorités des musulmans, jugés par elle, « mal-pensants »…) ; puis m'apostrophent de la façon suivante : « C'est toi qui a fait ça ? » (Ils exhibent devant ma figure, l'une de mes bulles dessinées…) et m'injurient, me traitent « d'espèce d'ordure », « de salope »… etc… Ils forcent ma porte, se jettent sur moi, m'étranglent à l'aide d'un tonfa ; me menottent les mains derrière le dos, me rouent de coups à l'intérieur de mon domicile… Ils me jettent dans l'escalier, les jambes entravées par mon pantalon qui était tombé, qu'ils m'interdisent de remonter ; me forcent à courir le dos courbé en direction du commissariat, distant d'environ 200 mètres de mon domicile. Durant le trajet, les policiers ne cessent de me rouer de coups… Je m'effondre à plusieurs reprises sous les coups, sans qu'ils ne cessent… Ils m'assènent, entre autres, des coups de cutter dans le dos…
MES DOULEURS SONT INDICIBLES… SOUS LEUR EFFET, J'HURLE DE TERREUR ET DE DOULEUR !!!… J'AI LA SENSATION « QU'ON M'ARRACHE LA PEAU ET QU'ON ME TRANSPERCE LE DOS ! MES TORTIONNAIRES RIENT DE CE QU'ILS ME FONT ET DE MES DOULEURS ! ILS SONT MEMES HILARES !… Ils tentent aussi de m'étrangler à l'intérieur du commissariat…
J'AI SUBI DE LA PART DE MES TORTIONNAIRES UN PRESQUE LYNCHAGE !… Ils se livreront par la suite à d'autres sévices sur ma personne, dont des refus de soins, de nourriture, de vêtements, ainsi qu'à des « amusements » divers …
JE CONTESTE LA « LEGALITE » ET LA « LEGITIMITE »
1 / DE MON INTERPELLATION DU 1 ER OCTOBRE 2001 (MOTIF ET CONDITIONS) : UN COMMENTAIRE DE L'ACTUALITE STIGMATISANT LE RACISME SIONISTE ET L'ATMOSPHERE AMBIANTE DE « CHASSE AUX SORCIERES » DE L'APRES 11 SEPTEMBRE, QUI RELEVE DE LA LIBERTE D 'EXPRESSION. CONDITIONS ET MOTIFS QUI NE FIGURENT DANS AUCUN TEXTE DE LOI ECRIT ! MON COMMENTAIRE N'A DU RESTE PAS ETE POURSUIVI.
2 / DES ACTES DE TORTURE ET MAUVAIS TRAITEMENTS SUBIS : SEANCES DE STRANGULATION, COUPS DE CUTTER, ETC… FAITS ATTESTES PAR DES CERTIFICATS MEDICAUX ET DES EXPERTISES FONDES SUR DES EXAMENS !!! ET DES PHOTOS CERTIFIEES. CRIMES DEFINIS ET REPRIMES NORMALEMENT PAR LES ARTICLES 222-1 ET 222-5 DU CODE PENAL.
3/ LES ALLEGATIONS DE REBELLION PORTEES A MON ENCONTRE POUR COUVRIR ET « JUSTIFIER » LES ACTES DE TORTURE SUBIS. UN CLASSIQUE… CONFIRME PAR LE CONTENU DE DOSSIERS EN MA POSSESSION SUR DES AFFAIRES DE VIOLENCE ET D'AGRESSIONS « LEGALES », AINSI QUE PAR DES ORGANISMES PROCHES DE L'APPAREIL JUDICIAIRE, TELS LA LDH ET LE MRAP.
PAR AILLEURS, QUAND ON EST VICTIME DE TELS TRAITEMENTS, ON NE PENSE PAS A SE REBELLER. ON PENSE SEULEMENT QU'ON EST EN TRAIN DE VOUS TUER ET QUE VOUS ALLEZ CREVER « LEGALEMENT »DE « MORT NATURELLE » !!…
ET CONSTATE
1 / QUE TOUS LES MOYENS DILATOIRES ONT ETE EMPLOYES POUR ENTRAVER MES PROCEDURES AU BENEFICE DE MES TORTIONNAIRES : REFUS DE CONFRONTATION, D'AUDITION DES TEMOINS ETC…
ON A MEME EU RECOURS A UNE ALTERATION DE PREUVE –COMMISE PAR UN MEMBRE DE L'APPAREIL JUDICIAIRE- POUR CONFIRMER UN NON-LIEU – ET ECARTER DU DOSSIER UN CERTIFICAT MEDICAL. (DELIT REPRIME PAR L'ARTICLE 434-4 DU CODE PENAL). Une plainte a été déposée à Paris.
2 / QUE LA JUSTICE NE VEUT VOIR, NI SAVOIR CE QUI M'A ETE FAIT EN MATIERE D'ACTES DE TORTURE ET DE MAUVAIS TRAITEMENTS, MALGRE DES PREUVES EVIDENTES ET S'ENFERRE DANS SON NEGATIONNISME.
3 / QUE DES MEMBRES DE L'APPAREIL JUDICIAIRE OU LIE A LUI ONT VU MES BLESSURES, EN TOUT OU EN PARTIE ; A SAVOIR, UN AVOCAT IMPOSE COMMIS D'OFFICE, UN MEDECIN PSYCHIATRE DEPÊCHE PAR LE PARQUET ; UN MEDECIN LEGISTE AFFOLE PAR MON ETAT (QUI NIE AVOIR VU DEPUIS !) QUI A ORDONNE MON HOSPITALISATION…, UN MAGISTRAT : THEVENOT… J'ETAIS APHONE, GROGGY… JE ME TENAIS LA GORGE ET CRACHAIS ET VOMISSAIS DU SANG !
4 /QUE LA JUSTICE NE VEUT VOIR ET RETENIR QUE DES ALLEGATIONS, SANS FONDEMENT, DE REBELLION.
5/ QUE DEPUIS LE 1 ER OCTOBRE 2001, OUTRE LE FAIT D'ÊTRE VICTIME D'UN DENI DE JUSTICE, JE SUIS SOUMIS PAR LE PARQUET DE NICE A UN TRAITEMENT PARTICULIER, QUI SE TRADUIT PAR DES INTERPELLATIONS INTEMPESTIVES ET ABUSIVES, SUIVIES DE GARDES A VUE, DE PROCEDURES POUR « DENONCIATION CALOMNIEUSE », ET D'INTERROGATOIRES PREMEDITES PAR LE PARQUET, SUR DES TAGS ET DES AFFICHES QUI N'ONT RIEN A VOIR AVEC MON COMBAT, NI MES OPINIONS.
IL M'EST DIFFICILE DE NE PAS VOIR DANS CE TRAITEMENT PARTICULIER DES PROVOCATIONS, DES TENTATIVES D'INTIMIDATION, DES PERSECUTIONS VISANT A ME FAIRE TAIRE… SUR L'IDENTITE DE MES TORTIONNAIRES !
LES FAITS SONT, que des policiers SE SONT LIVRES LE 1 ER OCTOBRE 2001, DANS LA CITE « DES MOULINS » A NICE, A DES EXACTIONS SUR UN PERE DE FAMILLE DE 54 ANS, POUR DES OPINIONS (SUPPOSEES OU PRÊTEES) ET SA RELIGION, APRES AVOIR RECU L'ASSURANCE, PAR LEURS COMMANDITAIRES, QU'ILS NE SERAIENT PAS INQUIETES…
HELAS, DANS LEUR PRECIPITATION, UNE ENORME BAVURE S'EST PRODUITE : MES TORTIONNAIRES NE SONT PAS PARVENUS A ME TUER ! ILS ONT ETE DERANGES, QUELQU'UN ( ?) LEUR A CRIE D'ARRÊTER !… ET LA FICELLE ETAIT UN PEU TROP GROSSE POUR M'ENVOYER CREVER, A PETIT FEU, DANS UN PETIT GUANTANAMO !
FAIT A NICE, CE 16 NOVEMBRE 2004
Daniel MILAN
|