Dossier sur l'Association Internationale des juristes démocrates, et autres organes hypocrites de propagande sionistes et capitalistes extrémistes - A prendre connaissance obligatoirement.

 

Préambule :

Joël Nordmann, et l'Association internationale des juristes démocrates (AIJD), ou la normalisation dans le droit international, du crime contre l'humanité, par le déni des génocides communiste, et sioniste, des peuples.

L'AIJD collabore actuellement à la préparation de l'invasion siono-américaine du Darfour au Soudan, afin d'y accaparer au nom du devoir d'ingérence humanitaire, les ressources en pétrole et en minerais rares, ou, du recyclage des génocideurs siono-communistes, comme propagandistes supplétifs des USA et de l'Etat d'Israël.

Joël Nordmann est le fondateur en 1946, de l'AIJD.

 

 

Composition du fichier :

1 - Article de l'Est Républicain, du 18 novembre 2005.

2 - Biographie, extrait.

3 - Une conférence de présentation d'organes de propagande camouflés du sionisme et du capitalisme extrémiste nord-américain.

 

 

1 - Article de l'Est Républicain, du 18 novembre 2005.

 

Décès de Me Joël Nordmann

Il avait contribué à faire entrer le crime contre l'humanité dans le droit français.

L'avocat résistant communiste Joël Nordmann est décédé le 13 novembre à l'âge de 95 ans. Juif, résistant, avocat de toutes les causes du PCF, y compris dans la sombre période des crimes staliniens, Me Nordman a aussi pourchassé les criminels nazis et contribué à faire entrer le crime contre l'humanité dans le droit français.

Né en 1910 à Mulhouse, d'un père également avocat, il adhéra au PCF à dès l'âge de 23 ans, en 1933, au moment de l'arrivée de Hitler au pouvoir. Juif, il fut radié du barreau en 1942. Il entra parmi les premiers en résistance, et créa puis anima le Front national des juristes, « qui fut un organe de résistance efficace », et avec ses camarades, publia le « Palais Libre ».

Après la guerre, il refusa de reconnaître les crimes staliniens. En 1949, dans l'affaire Victor Kravchenko , ingénieur ukrainien qui avait dénoncé dans un livre les crimes staliniens, Me Nordmann avait défendu Les Lettres françaises, hebdomadaire fondé par Louis Aragon, qui récusait le récit de Kravchenko . A la barre il avait stigmatisé un témoin, l'épouse d'un dirigeant communiste allemand interné en URSS. Il avait plus tard regretté cette plaidoirie, reconnaissant s'être « comporté en partisan aveugle et sectaire ».

Me Nordmann avait ensuite combattu les auteurs de crimes contre l'Humanité, déposant la première plainte contre le milicien Paul Touvier et contribuant à faire condamner Klaus Barbie.

Son dernier combat et sa dernière plaidoirie furent, il y a sept ans, au procès de Maurice Papon en mars 1998, où il défendit les parties civiles, en tant qu'avocat de la Fédération nationale des déportés, internés et résistants (FNDIRP).

 

 

2 - Biographie, extrait :

Joë Nordmann, né en 1910, devient avocat à 19 ans. Il adhère au PCF en 1933 et sera, tout au long de sa carrière, l'un des grands avocats du parti. Entré dans la Résistance en 1941, il crée le Front national des juristes (FNJ). À la Libération, il participe au cabinet de Marcel Willard, secrétaire provisoire à la justice. En 1946, il fonde l'Association internationale des juristes démocrates (AIJD). Quelques grandes affaires jalonnent son parcours professionnel (procès Kravchenko, 1949 ; procès David Rousset, 1949-1951 ; « complots » Duclos, 1952 ; les procès de la période de la décolonisation, Algérie, Maroc, Afrique noire ; l'affaire du métro Charonne, 1962 ; procès Touvier, 1992-1994). Il cesse son activité professionnelle en 1998, après le procès Papon.

 

 

3 - Une conférence de présentation d'organes de propagande camouflés du sionisme et du capitalisme extrémiste nord-américain.

Tous les noms de personnes et d'organisations sont à retenir, particulièrement celui de
Catherine Coquio
, professeure de littérature. présidente de l'Association Internationale de Recherche sur les Crimes contre l'Humanité et les Génocides (AIRCRIGE), une organisation sioniste camouflée d'intoxication, et de préparation à la guerre au Darfour, et à la déstabilisation de la Turquie (voir fichier sur le site aredam.net :

"25 octobre 2005, Soudan - Darfour ; son pétrole et ses minerais, son invasion coloniale siono-américaine en préparation, ou de la fabrication-exploitation du crime de génocide par les siono-américains, et du dévoilement de qui est sous l'influence sioniste en France, et de qui ne l'est pas encore. Les accusations de génocide et celle de terrorisme, sont devenus les maîtres mots de ceux qui terrorisent et génocident les peuples de la planète. Lire. "

 

 

Conférence internationale Assemblée Nationale, Paris , 22, 23 et 24 septembre 2005

Conférence organisée par l'ADIF (Association pour la promotion et le respect du droit international humanitaire)

" Droit international humanitaire et impunité des Etats puissants - le cas des Etats-Unis"

 

A l'invitation de Patrick Braouezec, député de Seine Saint-Denis


Présidents d'honneur :
Theo Van Boven et Pierre Vidal-Naquet

Présidents de la conférence :
Nils Andersson et Daniel Iagolnitzer


Programme


22 septembre 2005, Palais Bourbon, salle 6217, 126, Rue de l'Université, 75007 Paris

D'Hiroshima à Guantanamo, un constat d'impunité

 

Daniel Iagolnitzer, France, physicien, président de l'ADIF, Ouverture de la Conférence.


Première session ,

               Président, Dominique Tricaud , France, avocat, secrétaire général du Comité Français Helsinki des Droits de l'Homme

Tadatoshi Akiba , Japon, maire d'Hiroshima : Pour l'abolition des armes nucléaires, une action universelle
Abraham Behar , France, ex-président de l'Association des médecins pour la prévention de la guerre nucléaire (Prix Nobel de la Paix) : L'élimination des armes nucléaires par le droit international, le blocage américain: le traité de non-prolifération en échec
Ayse Erzan  , Turquie, professeure de physique, Membre de l'Académie des sciences : People's tribunals as proactive instruments in the protection of peace
Dr Les Roberts, Etats-Unis, Center for International Emergency Disaster and Refugee
Studies, collaborateur à la revue « The Lancet »  : Spinning Civilian Gealths in Iraq

 

Deuxième session ,

Président, Hugo Ruiz Diaz Balbuena , Paraguay, Dr en droit international

Mirqueya Matéo Perez , Rép. Dominicaine, professeure d'économie : Impunity and USA'sIntervention in Latin America and Particularly in the Dominican Republic
Jan Myrdal , Suède, écrivain et essayiste : The necessity of defending the rule of law!
Samir Amin , Égypte, économiste : Face à la militarisation de la mondialisation américaine , pour une vraie alternative multipolaire
Pascal Boniface , France, directeur de l'Institut de Relations Internationales et Stratégique (IRIS) : La stratégie du « conflit des civilisations »

Troisième session ,

Président, Malik Ôzden , Suisse, représentant permanent du CETIM (Centre Europe-Tiers Monde) auprès de l'ONU

Barbara Delcourt , Belgique , professeure en sciences politiques : 
Le droit international humanitaire à l'épreuve de l'idéologie néo-conservatrice.
La déformalisation du droit et la création d'espaces anomiques comme obstacles à la juridicisation des relations internationales

Philip Grant , Suisse, avocat, président de TRIAL (Track Impunity Always) : Droit contre raison d'État, le rôle des ONG
Amy Bartholomew, Canada, professeure de droit : «  Strategies of the Weak » ? Contesting Empire's Law Through Litigation under International Humanitarian Law
William Blum , Etats-Unis, auteur d'essais sur la politique extérieure des Etats-Unis :
Freeing the world to death: How the United States gets away with it

23 septembre 2005, salle Victor Hugo, 101, Rue de l'Université, 75007 Paris

Le droit humanitaire, des valeurs juridiques et morales à défendre

Patrick Braouezec , France, député : Allocution d'accueil de la conférence

Quatrième session

Président, Eric Rouleau , France, journaliste, ancien ambassadeur

Ramsey Clark , Etats-Unis, ancien Ministre de la justice : Impunity for Power Is the Law of the Jungle
Stephane Hessel , France, ambassadeur : La réforme de l'ONU et le droit international humanitaire
Nicole Dreyfus , avocate : La voix des victimes le cas d'Abdel Jaber Al Kobaysi

Cinquième session

Président, Gustave Massiah , France, vice-président d'ATTAC France

Monique Chemillier-Gendreau , France, professeure de droit et de sciences politiques :
L'impunité des auteurs de violations massives du droit humanitaire au Vietnam, expression de la crise du droit international .
Graciela Robert , France, référente aux Droits de l'Homme auprès du Conseil d'Administration de Médecins du Monde, responsable de missions : Où en sommes nous aujourd'hui dans la protection des populations civiles ?
Geneviève Sevrin , France, présidente d'Amnesty International, section française : Les Etats-Unis d'Amérique et l'impunité : Guantanamo un modèle d'illégalité
Antoine Bernard , France, directeur de la Fédération Internationale des Droits de l'homme : Les enjeux du nouveau système de justice pénale internationale

Sixième session

Président, Richard Labévière , France », rédacteur en chef, service international RFI

Dr Najeeb Al Nauimi , Qatar, ancien ministre de la justice  : Legal Position of Arab Governments towards Guantanamo detention .
William Bourdon , France , avocat, président de l'Association Sherpa   : Quels défis l'État de droit, mais également la société civile, doivent-ils relever face à la menace terroriste ?
Michael Parenti , Etats-Unis, professeur de sciences politiques : Rulers of the Planet .
( Michael Parenti, dans l'impossibilité d'être présent, sa contribution a été lue par Liri Andersson )

24 septembre 2005, Palais Bourbon, salle 6217, 126, Rue de l'Université, 75007 Paris

Exiger l'application du droit international humanitaire et dénoncer toute impunité

Septième session

Président, Roger Billé , membre du bureau national du Mouvement de la Paix.

Roland Weyl , France, vice-président de l'Association Internationale des Juristes Démocrates : Pas de progrès juridiques hors le pouvoirs des peuples
Jacques Le Dauphin , France, directeur de l'Institut de Documentation et de Recherches pour la Paix (IDRP) : Sécurité humaine et droits de l'être humain. :

Institut de Documentation et de Recherche pour la Paix (IDRP) :

Sécurité humaine et droits de l'être humain
Catherine Coquio , France, professeure de littérature. présidente de l'Association Internationale de Recherche sur les Crimes contre l'Humanité et les Génocides (AIRCRIGE) : Des « commissions d'enquête citoyennes », pourquoi, comment ?

Huitième session

Présidente, Mireille Fanon-Mendès-France , France, Initiatives Pour un Autre Monde (IPAM)

Nuri Albala , France, avocat, responsable international de « Droit-Solidarité AIJD » : La compétence universelle pour juger les crimes contre l'humanité : un principe inacceptable pour les plus puissants
Karen Parker , Etats-Unis, avocate, Association of Humanitarian Lawyers : Humanitarian law and human rights law ; the particulars of the OAS Falluja case
Robert Charvin , France, doyen, professeur de droit international :
L'instrumentalisation du droit humanitaire contre le droit international général

Neuvième session

Président, Julio M. Fernandez , Espagne, journaliste 

Jean Bricmont , Belgique, professeur de physique : Les objectifs et les limites des tribunaux d'opinion, l'exemple du « World Tribunal » pour l'Irak
Pedro Garcia-Bilbao , Espagne, Dr en sociologie : Droit d'ingérence et souveraineté
Nationale dans un contexte d'impunité impériale

Rudolf El Kareh , Liban, professeur, sociologue et politologue : Politiques américaines au Moyen-Orient et dans le monde arabe ; la force, l'impunité, le droit
Nils Andersson, co-président de la conférence, table ronde avec les intervenants à la conférence : Quelles actions juridiques, politiques, citoyennes sont possibles pour exiger l'application du droit international humanitaire ?


Conférence organisée avec le parrainage de la Fondation Daniel Iagolnitzer (sous l'égide de la Fondation de France), en coopération avec la Fédération Internationale des Droits de l'Homme et avec le parrainage de
l'Association Internationale de Recherche sur les Crimes contre l'Humanité et les Génocides, l'Association Internationale des Juristes Démocrates et l'Institut de Documentation et de Recherches pour la Paix

 

 

Liste des acteurs :

 

ADIF (Association pour la promotion et le respect du droit international humanitaire)

Patrick Braouezec, député de Seine Saint-Denis (stalino-sioniste du PCF)

Theo Van Boven

Pierre Vidal-Naquet (sioniste, professionnel de la chasse aux dénonciateurs du stratagème idéologique légitimant le génocide de Palestine par les sionistes)

Nils Andersson

Daniel Iagolnitzer, France, physicien, président de l'ADIF, Ouverture de la Conférence

Fondation Daniel Iagolnitzer

Président, Dominique Tricaud , France, avocat, secrétaire général du Comité Français Helsinki des Droits de l'Homme

Comité Français Helsinki des Droits de l'Homme

Abraham Behar , France, ex-président de l'Association des médecins pour la prévention de la guerre nucléaire (Prix Nobel de la Paix)

Pascal Boniface , France, directeur de l'Institut de Relations Internationales et Stratégique (IRIS)
(membre du parti ultra sioniste français PS, a fait semblant d'être en opposition avec le sionisme, puis, tout est rentré dans l'ordre )  

Malik Ôzden , Suisse, représentant permanent du CETIM (Centre Europe-Tiers Monde) auprès de l'ONU

Eric Rouleau , France, journaliste, ancien ambassadeur

Gustave Massiah , France, vice-président d'ATTAC France (agent sioniste noyauteur professionnel du milieu tiers mondiste et associatif français, règne sur le 21 ter rue Voltaire 75011 Paris).

Monique Chemillier-Gendreau , France, professeure de droit et de sciences politiques
(sioniste communiste)

Graciela Robert , France, référente aux Droits de l'Homme auprès du Conseil d'Administration de Médecins du Monde

Geneviève Sevrin , France, présidente d'Amnesty International, section française
(Amnesty International est l'une des plus importante organisation internationale de camouflage sioniste)

Antoine Bernard , France, directeur de la Fédération Internationale des Droits de l'homme
(la FIDH est une dépendance du PS français, et est ultra sioniste)

Président, Richard Labévière , France », rédacteur en chef, service international RFI
(radio d'Etat française, naturellement pro israélienne, ou plutôt, aux ordres d'Israël)

Dr Najeeb Al Nauimi , Qatar, ancien ministre de la justice

William Bourdon , France , avocat, président de l'Association Sherpa

Roger Billé , membre du bureau national du Mouvement de la Paix.
(annexe du PCF, stalino-sioniste)

Roland Weyl , France, vice-président de l'Association Internationale des Juristes Démocrates
(annexe du PCF, stalino-sioniste)

Jacques Le Dauphin , France, directeur de l'Institut de Documentation et de Recherches pour la Paix (IDRP)

Catherine Coquio , France, professeure de littérature. présidente de l'Association Internationale de Recherche sur les Crimes contre l'Humanité et les Génocides (AIRCRIGE)
(machine de guerre psychologique sioniste

Mireille Fanon-Mendès-France , France, Initiatives Pour un Autre Monde (IPAM)

Nuri Albala , France, avocat, responsable international de « Droit-Solidarité" AIJD
(annexe du PCF stalino-sioniste)

Karen Parker , Etats-Unis, avocate, Association of Humanitarian Lawyers

Julio M. Fernandez , Espagne, journaliste 

 

Notes complémentaires :

Vice-président de l'AIJD : Roland Weyl, avocat, Paris 3ème.

Président de " Droit et Solidarité ", filiale de l'AIJD en France : Monique Picard Weyl

Présidente de l'UNADFI (organisation antisectes) : Catherine Picard

Ancien président de l'AIJD : Me Arnaud Lyon-Caen

Ancien président de Droit et Solidarité : Raphaël Benarroch

 

Voir aussi, au sujet de l'AIJD, ce fichier : l'AIJD ne retire même pas ses courriers en recommandé, quand ils proviennent de victimes des tortures sionistes :

27 novembre 2005, copie de l'enveloppe du double de la requête en dépaysement, adresséà
l' "Association Internationale des Juristes Démocrates", AIJD, à Bruxelles, association qui sans doute au vu de l'identité de l'expéditeur, Daniel Milan, a refusé de retirer ce courrier, comme quoi, cette association, qui n'est plus qu'un réduit sioniste, d'origine communiste, suit bien l'affaire Daniel Milan. Voir l'enveloppe.
Ce courrier a été renvoyé à l'adresse du vice-président de l'AIJD, en France,
Me Roland Weyl, avocat, 160 rue du Temple, à Paris 3ème.

L'AIJD mérite le qualificatif d'association de juristes démocrates sionistes complices de tortionnaires.