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Chapitre 4 : La règle du jeu a changé en régime OTAN, et l'un des trois groupes sociaux continue à vivre avec l'ancienne règle. 1 - L'actuel programme de vaccination, bientôt
obligatoire et mis en oeuvre dans les prochaines semaines prouve que la
règle du jeu a entièrement changé, entre les trois
groupes constituant le corps social, celui des dominants, celui des dominés
plus ou moins conscients et actifs, et celui des dominés inconscients
et passifs qui constitue 99% de la population. Ce troisième groupe
forme celui des figurants. Lire le texte entier : http://www.aredam.net/nouvelle-regle-du-jeu.htm
Chapitre 3 : Le diable est dans les détails L'article de l'officine de désinformation à façade antifasciste et pro-palestinienne dépendante des services spéciaux franco-israéliens dénommée « Scalp Réflexes », paru sur son site Internet http://reflexes.samizdat.net, traitant du procès Dieudonné et Faurisson, ainsi que la réponse à cet article, de Jean Bricmont, permettent de mettre en évidence certains détails révélateurs de la réalité du milieu antisioniste et pro sioniste parisien (le site reflexes.samizdat.net reçoit selon le site de statistiques statbrain.com, environ 40 visites par jour). Par Michel DAKAR Nota : L'auteur du présent article a fréquenté la mouvance libertaire dans les années 1996 à 1999 à Paris. Il était un familier de l'immeuble du CICP – Centre international de culture populaire, du 21ter rue Voltaire à Paris 11ème, immeuble regroupant Réflexes, et d'autres organisations de ce type. Il a participé une fois à une émission du Scalp Réflexes, sur Radio Libertaire, du temps où existait cette émission. Il a été un intervenant régulier de deux émissions, l'une « Ni dieu ni maître », le dimanche matin, dite anticléricale, qui existe toujours, l'autre qui a disparu, le mardi matin, « A bas la loi ». Il a participé pendant deux années aux activités du groupe TCP – Travailleurs Chômeurs précaires en colères, de la mouvance de l'OCL – Organisation communiste libertaire, qui se réunissait juste au-dessus de Ras l’front dans l'immeuble de Réflexes (on les voyait partir à la chasse aux fascistes, des freluquets imbéciles avec des petites matraques). Il connaissait personnellement les responsables du CICP, (Massiah et Pastrana), professeurs à l'école d'architecture de Paris-La Villette (UP 6), rue de Flandres, lui-même ayant obtenu son diplôme d'architecte à cette école, et ayant eu un moment les deux pour enseignants. Il a été plusieurs années membre de la Ligue des droits de l'Homme, section du 19ème arrondissement. Vers la fin de 2001, l'auteur s'est intéressé à la politique étrangère et particulièrement à la situation au Proche-Orient, ce qui s'est traduit par une condamnation par la 17ème chambre de Paris à 5000 euros et un mois de prison avec sursis sous le prétexte de négationnisme et d'antisémitisme, en 2004, pour sa dénonciation du génocide des Palestiniens et la responsabilité des sionistes dans ce génocide, puis par deux autres condamnations du même acabit (5000 euros; 17ème chambre en 2006 et 2000 euros; 8ème chambre Versailles en 2006), pour avoir créé une association (CODEIG), reconnue légale par la 1ère chambre civile de la Cour d'appel de Paris, en novembre 2006, malgré le demande de dissolution présentée immédiatement dès sa création par le parquet de Paris, et dont l'objet est la lutte contre le génocide en général, dont celui des palestiniens. Cette association possède la capacité juridique à se porter partie civile, ce qui est à retenir. L'auteur est l'un des rares libertaires, anti-hiérarchiques, anti-religieux, qui se soit aventuré dans le domaine proche oriental, et qui soit resté indépendant. Ce qui guide son action est uniquement le respect des principes fondamentaux du droit. L'auteur a fait l'objet, de façon coordonnée avec les deux dernières poursuites judiciaires, d'une entreprise de « déstabilisation » à la petite semaine, de la part de certains services, qui se sont ingéniés à violer son domicile et sa vie privée, opiniâtrement durant deux années et demi, puis, qui ont tenté pour s'en débarrasser, de l'expédier en psychiatrie, par l'intermédiaire de l'Hôpital Maison blanche et de l'Infirmerie psychiatrique de la Préfecture de police de Paris. Une plainte au Comité des droits de l'homme de l'ONU à Genève, est actuellement en cours d'élaboration par son avocat, maître Jean-Louis Chalanset, pour l'ensemble de ces péripéties, lequel avocat est d'ailleurs aussi celui de Jean-Marc Rouillan, d'Action Directe. Pour l'anecdote, l'auteur est à l'origine chrétien catholique de rite orthodoxe, né en Syrie de père syrien et de mère française, dans une région où l'on parle encore l'Araméen, qui était la langue du personnage de fiction Jésus Christ, et aussi la langue de la population juive de l'époque, l'hébreu n'étant plus qu'une langue liturgique utilisée uniquement par les prêtres. Son nom signifie « l'Homme ». Il est lui, si on veut, un authentique sémite, à la différence de tous ces gens de passage, et récemment installés en Palestine. L'auteur a vu, dans l'affaire de Palestine, uniquement un prétexte pour continuer à traiter son thème favori, d'une manière plus profonde et plus générale, celui du partage égalitaire de l'espace, soit celui du respect du droit à la vie. Lire l'article dans son entier : http://www.aredam.net/le-diable-est-dans-les-details.html
Chapitre 2 : Réflexions sur l'affaire Dieudonné et de Faurisson ou, comprendre ce qu'est la « culpabilisation » et son importance. La plupart des gens, et sans doute Dieudonné et Faurisson eux-mêmes, mésestiment la portée de cette affaire. Car cette affaire va bien au-delà du révisionnisme historique ou de la mise en évidence de l'emprise de factieux sur l'ensemble de la société. Ce à quoi s'attachent Dieudonné et Faurisson, se nomme dans le langage de la guerre psychologique une entreprise de démoralisation, qui s'étend maintenant de manière impossible à dénier, au niveau mondial, devant atteindre l'ensemble de l'Humanité. La réalité de l'action de Dieudonné-Faurisson, pourrait être dénommée « déculpabilisation ». Dieudonné et Faurisson forment un duo de soigneurs. La mise en évidence de cette entreprise de démoralisation universelle s'est manifestée par l'instauration en 2008, par l'ONU, de la journée annuelle mondiale de commémoration de la Shoah, tous les 27 janvier. Lire le texte dans son entier : http://www.aredam.net/affaire-dieudonne-faurisson-deculpabilisation.html
Chapitre 1 : http://www.aredam.net/chronique-du-neant-1.html Petit traité simplifié d'évolution. Le dieu unique et les trois monothéismes.
Annexe 1 : Les mythes fondateurs du christianisme.
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