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Texte de base :

 

Réflexions sur l'affaire Dieudonné et de Faurisson ou, comprendre ce qu'est la « culpabilisation » et son importance.


La plupart des gens, et sans doute Dieudonné et Faurisson eux-mêmes, mésestiment la portée de cette affaire.


Car cette affaire va bien au-delà du révisionnisme historique ou de la mise en évidence de l'emprise de factieux sur l'ensemble de la société.


Ce à quoi s'attachent Dieudonné et Faurisson, se nomme dans le langage de la guerre psychologique une entreprise de démoralisation, qui s'étend maintenant de manière impossible à dénier, au niveau mondial, devant atteindre l'ensemble de l'Humanité. La réalité de l'action de Dieudonné-Faurisson, pourrait être dénommée « déculpabilisation ».


Dieudonné et Faurisson forment un duo de soigneurs.


La mise en évidence de cette entreprise de démoralisation universelle s'est manifestée par l'instauration en 2008, par l'ONU, de la journée annuelle mondiale de commémoration de la Shoah, tous les 27 janvier.


L'instauration de cette commémoration universelle et cyclique de la Shoah, est en réalité un procédé de démoralisation exercée à l'encontre du genre humain. Cet acte de démoralisation dans le vocabulaire de la guerre psychologique se nomme plus précisément « culpabilisation ».


La démoralisation et la culpabilisation sont d'ailleurs des actions classiques de la guerre psychologique, la guerre psychologique ayant pour dénomination plus générale pour les professionnels, de « désinformation ».


Voici un extrait d'un livre, que tous ceux qui s'occupent d'affaires publiques devraient absolument avoir lu. Il s'agit de « La désinformation arme de guerre ». Textes de base présentés par Vladimir Volkoff, Julliard, l'Âge d'Homme, 1986.

Pages 136 et 137 :
Extrait du chapitre VII, Diagnostic d'une expert, tiré du livre de Robert Mucchielli « La Subversion »), paru en 1972.

« Démoraliser la nation visée et désintégrer les groupes qui la composent.

Comme le dit Reguert, « le vainqueur est celui qui peut et veut encore combattre alors que l'adversaire ne le veut plus et ne le peut plus ». Von der Goltz a remarqué également que « dans le combat il ne s'agit pas tant d'anéantir les combattants ennemis que d'anéantir leur courage ».
La démoralisation, c'est la dissolution du courage, la chute du tonus mental que donnent la foi dans les valeurs du groupe national et la confiance dans son avenir.
L'analyse (très poussée aujourd'hui par la psychologie sociale) des facteurs du « moral » permet de connaître les facteurs de la démoralisation. Citons en particulier :
la destruction des valeurs pour lesquelles l'ennemi combat; l'injection du doute;
l'intoxication sur la propre valeur de chaque combattant ennemi, l'injection d'un doute sur soi, accompagnant le doute sur ce à quoi il croyait;
la culpabilisation. « Il faut arriver », dit Ellul à propos de la propagande – et cela s'applique à la subversion - « à ce que l'ennemi perde confiance dans la justice de sa propre cause, de sa patrie, de son armée, de son groupe. L'Homme qui se sent coupable perd en même temps son efficacité et le sens de son combat. Convaincre l'homme que, sinon lui-même, du moins ceux qui sont de son côté commettent des actes immoraux, injustes, c'es amener la désintégration du groupe auquel il appartient »;
l'impression donnée à l'ennemi de sa solitude et de la réprobation que l'opinion publique ressent à son égard, a fortiori de la réprobation de l'opinion publique mondiale;
le ridicule, l'illogisme, le dérisoire;
la dissolution de la confiance de l'adversaire dans ses moyens d'attaque et de défense;
l'impression d'éternisation du combat;
la certitude d'avoir en face de soi un ennemi dur et sûr de la victoire, décidé à tout;
l'impression d'inutilité de la lutte.

S'appliquant aux adversaires par les techniques subtiles, la subversion cherche à les démoraliser. Elle cherche aussi à les dissocier, à les désintégrer. Par là elle est un art de la discorde. Ici encore l'analyse psychologique des facteurs de cohésion et d'unité des groupes permet de déduire les facteurs de dissociation et de discorde, de façon à les injecter dans la nation ou les groupes à détruire. »

Fin de l'extrait.


Il faut bien comprendre que l'  « art » de la guerre a accompli un tournant radical durant le dernier demi-siècle.


La désinformation qui auparavant ne faisait qu'accompagner la violence physique exercée sur le champ de bataille, est maintenant devenue prioritaire, et la violence physique ne fait plus que la suivre.


La guerre est maintenant devenue avant tout psychologique. Elle opère et se gagne sur le champ de bataille du mental.


Plus profondément, le procédé de culpabilisation est en réalité un procédé de création de la maladie mentale, de génération d'une psychopathie.


Il existe dans le domaine physique, les créations militaires de maladies pour anéantir l'adversaire, ce sont les armes biologiques. Quasiment personne n'a réalisé que dans le domaine psychique on avait accompli un pas identique, celui de rendre malade mentalement l'ennemi, de diminuer son psychisme, pour le dominer. C'est le but de la guerre psychologique, dont la culpabilisation est l'arme par excellence.


Comme pour les armes biologiques, l'arme psychologique de la culpabilisation n'est pas une invention, mais un usage dans la logique militaire de ce qui existe déjà dans la nature, ou dans le milieu social humain.


La culpabilisation est d'un usage courant, banal et même généralisé, dans toutes les sociétés. C'est un procédé qui est à la base de tout maintien de l'ordre, et de toute société fondée sur la hiérarchie, l'inégalité, et l'oppression, la violence.


Celui qui se soumet à l'ordre est bon, il fait partie du bien, celui qui s'oppose à l'ordre, qui résiste ou qui tend à se libérer du groupe, celui qui tend à l'autonomie, à être un individu, une personne, est le mal. Il n'est que de considérer le peu d'estime portée à ceux qu'on qualifie d'individualiste, alors que c'est le propre même de l'Homme que l'individualité.


Toute société hiérarchique génère volontairement la maladie mentale, par le procédé de la culpabilisation. Toute société hiérarchique est fondée sur la maladie mentale, le milieu familial étant le premier lieu de conditionnement au sein duquel s'inculque le rapport hiérarchique, au sein duquel le nouveau venu au monde social subi la culpabilisation, où il est rendu sciemment malade, psychopathe (il n'est que de se souvenir de la phrase classique prononcée par les parents à l'adresse de l'enfant rétif « tu ne feras rien dans la vie », soit tu ne seras rien si tu ne te plies pas – ce qui est d'ailleurs à l'exact opposé de la réalité, car la seule façon de devenir un individu, soit de devenir soi-même, est de ne pas plier.


Il est remarquable de constater que pas un des médecins de l'esprit, ceux de la corporation des « psy » (psychologues, psychiatres, psychanalystes), n'ait voulu rechercher dans cette direction ce qui est la cause première de la maladie mentale, la culpabilisation, la culpabilisation ou démoralisation étant la création de la maladie mentale, et qu'il faille chercher dans les ouvrages traitant de la guerre psychologique, pour comprendre un fait aussi fondamental. Ces médecins de l'âme sont en réalité de simples chiens de garde de l'ordre social, qui avant tout masquent le fait que la maladie mentale est générée volontairement par toute société hiérarchique, qui ne tient que par la maladie mentale. Ces médecins sont en charge d'inverser les rôles de fous et de biens-portants, les dénommés officiellement fous étant ceux qui en réalité sont des personnes, soit des biens-portants, des individus, au sein d'une société qui érige comme norme la non-personne, soit l'humain privée de sa personnalité, de son individualité, débilité par la culpabilisation.

La religion juive a fait même de la culpabilisation, son axe unique.


En effet, la notion d'élection divine, de « peuple élu », qui est à la base du judaïsme, d'être le peuple choisi par dieu, parmi tous les autres peuples, implique la culpabilisation des juifs eux-mêmes, car ceux des juifs qui font preuve d'indépendance, d'autonomie, d'individualité, qui prétendent devenir des personnes, qui résistent à l'ordre social juif, sont par principe rejetés hors du peuple choisi vers les non-juifs, qui sont les non-choisis, soit le mal. Tout juif porte en lui comme principe de base, la culpabilisation, sa propre culpabilisation. Être juif, c'est être par nature coupable, naître juif, c'est naître coupable. C’est la contrepartie implicite de l’élection divine. C'est le « secret » de la solidité de la communauté juive à travers les millénaires. Le psychisme de tout juif est strictement borné par une limite indépassable, au-delà de laquelle se trouve la liberté, mais aussi un sentiment insupportable, inculqué dès la naissance, d'être le mal, mauvais, répugnant, un monstre.


Hors, tout être atteint de la maladie mentale de la culpabilité, ne peut que répandre autour de lui cette maladie, ce qui n'est qu'une manière de se décharger de sa propre culpabilité. En effet, pour simplement supporter son état de culpabilisé, qui n'est que douleur, il faut culpabiliser autrui plus que soi, de façon à estomper sa propre culpabilité relativement à la culpabilité plus grande d'autrui. C'est la raison de l'affaire nazie, le régime nazi ayant été présenté comme le plus immonde possible au regard duquel les autres régimes, dont le communiste et le capitaliste, sont presque des saints, de même que grâce au nazisme, le sionisme peut apparaît comme humaniste.


Les chrétiens sont de même porteurs de la maladie mentale de la culpabilisation (voir le passage de la prière, le fameux « Notre père » : «Délivrez-nous du mal, ne nous soumettez pas à la tentation, pardonnez-nous nos offenses ... », comme les musulmans, dont la communauté des croyants, des fidèles, des « soumis », islam signifiant soumission, implique que ceux qui sont hors cette communauté, les infidèles, les insoumis, sont mauvais, sont le mal, à l'instar du système juif partageant le monde entre élus, les juifs, les bons, et les non-élus, les non-juifs, les mauvais. 


Le fin du fin de l'entreprise de déculpabilisation des juifs a été l'instauration de la journée annuelle mondiale du 27 janvier, pour commémorer la Shoah, le génocide des juifs européens par les nazis, fait historique établi comme véridique par le tribunal militaire des vainqueurs des nazis de la seconde guerre mondiale à Nuremberg. Il est à noter que le terme « Shoah » est tiré du vocabulaire du judaïsme, l'hébreu étant une langue religieuse, entièrement fondée sur l'idée de culpabilisation.


Par ce procédé mondial de commémoration mondiale, les juifs institutionnalisent la culpabilisation de l'humanité entière, ils se déchargent par là-même de leur propre culpabilité sur l'humanité entière, ce qui rétablit leur équilibre de plus en plus mal en point à cause du martyr palestinien, et en appliquant à l'humanité le traitement morbide de la culpabilisation à leur profit, provoquent à terme l'amoindrissement de l'humanité en leur faveur, la débilitent, et à terme facilitent leur prédominance mondiale.


Il faut bien comprendre que par le procédé de culpabilisation on cherche à débiliter, à amoindrir, à dominer autrui, et que ce procédé est apparu dans la nuit des temps, loin avant l'apparition des premières cités et des premiers états. Ce procédé de domination était sans doute déjà utilisé lorsque l'humanité vivait en bandes itinérantes de chasseurs-cueilleurs, sans doute déjà partagées entre dominants et dominés, entre inférieurs et supérieurs, ces bandes étant sans aucun doute déjà hiérarchisées.


Ainsi, la maladie mentale est sans doute apparue dès le franchissement du passage de l'animalité à l'humanité, et cette maladie a été fabriquée par l'Homme.


Faire intérioriser à l'autre qu'il est le mal, qu'il est malade, qu'il est nocif, lui faire perdre sa confiance en lui-même, son estime de soi, faire qu'il recherche à se détruire, à se punir, faire qu'il recherche les situations où il est puni, où il est soumis, faire qu'il recherche un maître à qui se soumettre, qui le punisse, à qui il obéisse, voilà le but de l'inculcation de la maladie mentale de la culpabilisation.


Il faut rappeler, pour ceux qui ne sont pas des experts en faits religieux, une généalogie grossière des évènements religieux bien plus proche de nous, bien postérieurs à l'établissement de la culpabilisation au sein des bandes de chasseurs-cueilleurs.


La « religion » peut être considérée comme le premier vecteur de la guerre psychologique sociale, intra-humaine, vecteur de la « désinformation », et de ce qui la fonde, la culpabilisation. Le but premier de la religion est de porter la maladie mentale.


Le zoroastrisme perse a sans doute été la première manifestation de l'idée de dieu unique, copiée ensuite par le judaïsme, le dieu unique signifiant en réalité pensée unique, et société uni dogmatique, ce qu'on nomme actuellement totalitarisme. Le totalitarisme explicite est né avec le zoroastrisme, mais le totalitarisme existait avant le zoroastrisme, comme le bourgeois de Molière faisait de la prose sans le savoir.


Un peu plus tard, apparue l'invention du personnage de Mithra, encore perse, la perse subissant l'influence du haut lieu d'invention des procédés religieux, la zone sud himalayenne, sorte de silicone valley de l’esbroufe, où est née le bouddhisme [le bouddhisme est un indépassable exploit de manipulation religieuse, créant une maladie mentale qu'on peut nommer « solipsisme collectif », décrit par Orwell dans 1984, le monde étant censé ne pas exister au-dehors de son esprit, tout n'étant qu'illusion, ce qui interdit de se révolter. Les psychiatres modernes ont réduit ce concept en schizophrénie, en l'amputant de son aspect politique dérangeant].


Mithra est le prototype du sauveur. Jésus Christ a été entièrement copié sur ce personnage qui est apparu deux siècles avant lui. Le personnage du sauveur a pour but de guider l'humanité hors le mal. Cette création a donc à voir avec la maladie mentale de la culpabilité, le sauveur prenant sa place dans l'ordre fondé sur la culpabilisation. Il est là pour renforcer le procédé de culpabilisation, en offrant une issue, un exutoire à la décharge nécessaire à sa propre culpabilité. Le sauveur agit comme un régulateur social, permettant la détente d'une société soumise à une tension trop forte pouvant la disloquer.

 

Le manichéisme, toujours de la région perse, fut un aboutissement dans la simplification extrême et accessible à tous, de la vision globale du monde, par l’idée de division du monde en deux éléments primaires, le bien et le mal, la lumière et l’obscurité.


Le personnage de Mohammed, semi-fictif à la différence des précédents entièrement imaginaires, a lui reçu la révélation du dieu unique des juifs et des chrétiens, par l'intermédiaire de l'ange Gabriel, porte-voix divin commun au judaïsme et au christianisme. L'islam (soumission), est une sorte de plagiat du judaïsme, mêlé avec des traditions et rites animistes propres aux bédouins de la péninsule arabique.

Conclusion n°1 :


Face à ces deux dangereux soigneurs, Dieudonné et Faurisson, dans la logique de la guerre psychologique, de la désinformation, le système social réagit comme un organisme biologique vivant, en produisant des anticorps qui miment ce qu'ils concurrencent, cela a une cadence de plus en plus effrénée.

Depuis l'émergence de Dieudonné, on a vu pousser comme les champignons après l'averse, la CAPJO-Europalestine qui est une sorte d'organisme d'assistance sociale pour la Palestine, Arrissala (le messager) Abdelhakim Séfrioui, l’entreprise du politicien en nom propre Kémi Séba, les sites Internet jumeaux stcom.net et alterinfo.net, les sectes Scientologie (Christian Cotten), Raël et Lyndon LaRouche (Solidarité et Progrès) étant mises à contribution. Nos amis des services sont devenus très éclectiques.

Tout cela est le signe que Dieudonné et Faurisson sont sur la bonne voie. Je leur souhaite bonne chance, et à ce sujet, figure en annexe, le texte de la belle chanson de Guy Béart, La Vérité, de 1968.

Conclusion n°2 :

On se trouve actuellement devant un phénomène de décharge réciproque de culpabilité, entre les trois systèmes (le juif, le chrétien et le musulman), les trois étant fondés sur le même principe de la culpabilisation, et qui en définitive se renforcent les uns des autres tout en semblant s’opposer.

Le fait de dénoncer exclusivement l'un des systèmes (le juif), comme le font les soigneurs Dieudonné et Faurisson, sans s'attaquer à ce qui fonde ce système, et sans étendre leurs attaques aux systèmes similaires (le chrétien et le musulman), ne fait au fond pas faire le moindre progrès.

La culpabilité trouve sa raison d'être dans le maintien de la hiérarchie, la hiérarchie étant la conception d'un univers constitué d'inférieurs et de supérieurs. Or, on voit bien maintenant que ce qui mène le monde humain à sa perte est de rester enfermé dans cette conception.

Pour beaucoup, on a dépassé le point de non-retour, le point de rupture. Nous sommes sur un navire qui est en train de sombrer, et il est au moins temps, comme à l'agonie, de se poser les questions fondamentales.

C'est bien la seule possibilité pour éventuellement parvenir à une issue autre que fatale.

L'action des soigneurs Dieudonné et Faurisson est vitale, car elle permet de desserrer le nœud coulant sioniste qui asphyxie l'humanité, et de pouvoir continuer à réfléchir, alors profitons-en.


Michel DAKAR, le 16 octobre 2009.


Annexe :

a) Chanson de Guy Béart, La Vérité.

b) En fin de la chanson, trois liens Internet des vidéos de Dieudonné et Faurisson


La vérité
Paroles et Musique : Guy Béart 1968
Le premier qui dit se trouve toujours sacrifié
D'abord on le tue
Puis on s'habitue
On lui coupe la langue on le dit fou à lier
Après sans problèmes
Parle le deuxième
Le premier qui dit la vérité
Il doit être exécuté.
J'affirme que l'on m'a proposé beaucoup d'argent
Pour vendre mes chances
Dans le Tour de France
Le Tour est un spectacle et plaît à beaucoup de gens
Et dans le spectacle
Y a pas de miracle
Le coureur a dit la vérité
Il doit être exécuté.
A Chicago un journaliste est mort dans la rue
Il fera silence
Sur tout ce qu'il pense
Pauvre Président tous tes témoins ont disparu
En chœur ils se taisent
Ils sont morts les treize
Le témoin a dit la vérité
Il doit être exécuté.
Le monde doit s'enivrer de discours pas de vin
Rester dans la ligne
Suivre les consignes
A Moscou un poète à l'Union des écrivains
Souffle dans la soupe
Où mange le groupe.
Le poète a dit la vérité
Il doit être exécuté.
Combien d'hommes disparus qui un jour ont dit non
Dans la mort propice
Leurs corps s'évanouissent
On se souvient ni de leurs yeux ni de leur nom
Leurs mots qui demeurent
Chantent "juste" à l'heure.
L'inconnu a dit la vérité
Il doit être exécuté.
Un jeune homme à cheveux longs grimpait le Golgotha
La foule sans tête
Etait à la fête
Pilate a raison de ne pas tirer dans le tas
C'est plus juste en somme
D'abattre un seul homme.
Ce jeune homme a dit la vérité
Il doit être exécuté.
Ce soir avec vous j’ai enfreint la règle du jeu
J’ai enfreint la règle
Des moineaux, des aigles
Vous avez très peur pour moi car vous savez que je
Risque vos murmures
Vos tomates mûres
Ma chanson a dit la vérité
Vous allez m’exécuter
Ma chanson a dit la vérité
Vous allez m’exécuter

http://www.dailymotion.com/video/xan8np_le-sionisme-expliquer-aux-nuls_fun

http://www.dailymotion.com/video/x8rrkc_dieudonne-faurisson-le-sketch_fun

http://www.youtube.com/watch?v=4z8AkcdnDIo