aredam.net

Note liminaire : A l'attention aussi, de monsieur le flic de la police politique qui lit cette page, veuillez la transmettre à vos potes de DRI

 

Introduction au site codeig.net ou :

"Ah ! qu'on est bien au chaud dans l'bureau de m'sieur l'agent d'la basse police".

13 janvier 2012, de : Michel Dakar.

 

Le site codeig.net en avance sur son époque, a été "pétrifié" (impossible de le modifier, et de plus 3 pages effacées) de 2005 jusqu'à une date exacte indéterminée - située sans doute vers la fin 2011 début 2012 - sur décision de son éminence le chef des bourres préfet de police de Paris par son substitut le sieur loufiat procureur de Paris, et avec la collaboration de l'hébergeur DRI, Digital Rural Informatique (dri.fr), qui héberge aussi pour le moment, les sites aredam.net et opadel.net, cela sans décision d'un juge, avec donc 6 ans d'avance sur ce que semble permettre à présent la loi d'orientation sur la sécurité intérieure de 2011. Cela s'appelle la rétroactivité de la loi. C'est ce qui a marqué comme entrée dans l'état de non-droit le régime nazi (voir la fameuse affaire de la "Nuit des longs couteaux", et l'édiction d'une loi qui après coup a légalisé les assassinats des individus considérés comme gênant par Hitler dans sa course au pouvoir suprême). C'est totalement exclu par la constitution française et par toutes les autres constitutions du monde (principe dit du "pas de peine sans délit", et le délit n'existe qu'à partir du moment où est une loi existe). Si l'envie vient, on pourrait faire un brin de procédure avec cette minuscule affaire, histoire de remuner la merde et faire remonter les étrons lumineux collés au fond de la bassine - la prescription pour ce qui est d'un délit est de 3 ans, voire de 10 ans, en argumentant que ce délit entre dans la catégorie "crime", ce qui est jouable à vue de nez de juriste, on peut soutenir que le procureur a pratiqué le faux en écriture publique en s'appropriant les prérogatives d'un juge du siège, et puis on pourrait traîner l'affaire devant les Cours de justice des droits de l'Homme blanc ( ... et surtout sémite hi! hi! hi!), dites "internationales" par les vendus (CPI de La Haye, CEDH de Strasbourg, Comité des droits de l'homme de l'ONU de Genève et autres devantures), juste pour occuper les potiches grassement entretenues qui y font carrière. On va y réfléchir, en prenant bien son temps, après tout cette affaire dure depuis déjà une demi douzaine d'années, et on est là pour s'incruster, comme un kyste de poils à gratter dans le myocarde de la démocratie. Et puis, cela permettra d'exposer une vérité que tous les gens un peu lucides politiquement connaissent au moins intuitivement, à savoir que tous les hébergeurs occidentaux collaborent avec la police politique du régime dans cette belle région peuplée de démocrates en carton pâte. On sait déjà que les fournisseurs d'accès et autres de boîtes emails, de blogs, de moteurs de recherche et de pseudo encyclopédies (type wikipedia) le font. Cela complète le tableau. Il ne manquera plus qu'à explorer les boîtes d'antivirus et plus généralement celles de protection informatique, ainsi que nos très chers réparateurs d'ordinateurs, sans aucun doute régulièrement visités par les bourrins de la basse police. Et pour faire exhaustif, n'oublions pas les "cafés internet".

 

Voici pour information les trois pages qui ont été interdites illégalement d'accès sur codeig.net. Elles sont toujours inacessibles en janvier 2012 depuis le site codeig.net (le vérifier soi-même), et cela tant que le supplétif de la police politique l'hébergeur DRI ne les replacera pas de lui-même :

Page 1 (http://www.aredam.net/sylvie-kachaner-1.html)

Page 2 (http://www.aredam.net/sylvie-kachaner-ecriture-genocide.html)

Page 3 (http://www.aredam.net/sylvie-kachaner-genocide-palestine.html)

 

Espace ci-dessous "droit d'expression" pour l'éventuelle (et improbable ... courage voyons) réponse de l'officine annexe de la police politique du régime dite hébergeur DRI. Prière si envoi, de signer avec nom et prénom ce qui n'est pas le cas dans les récents envois d'emails. C'est sûr qu'avec internet la notion de civilité se perd, du moins chez ceux qui n'en n'ont jamais eu les bases. Et S.V.P., éviter les tartouilles niaiseuses habituelles si gonflantes à lire, cela laisse de plus la désagréable impression que l'auteur prend tous les autres pour des cons, à part lui (et ça fait des années que ça dure, ça doit être de naissance, une pathologie dénommée "conocentrisme") :