De Michel Dakar,
A : Palais de « Simulation » de la Justice – T. G. I.
M. le Procureur de la république à Versailles Yves COLLEU 3, avenue de l'Europe – 76011 Versailles Cedex
Plainte à l'encontre de Madame Sylvie KACHANER, substitut du procureur de la République à Paris, pour complicité de génocide (article 121 – 7 du code pénal : complicité) (article 211 – 1 du code pénal : génocide), par faux en écriture publique (article 441 – 4 du C.P.), ce génocide étant celui en cours de réalisation, de la population indigène de Palestine, par les juifs sionistes. Ce génocide est officiellement dénié, et officieusement légitimé et encouragé.
Note liminaire :
C'est par respect pour la « JUSTICE », que par franchise et honnêteté, j'ai inscrit le terme « simulation », avant celui de justice, en en-tête de cette lettre, adressée au « Palais de « Simulation » de la Justice – T.G.I. – M. le procureur de la République à Versailles ».
Il est maintenant de notoriété publique que la Justice, le droit, et l'équité, ainsi que la recherche de la vérité, s'exercent sans doute partout ailleurs, sauf dans les « palais de Justice » officiels.
Il ne faut donc pas y voir un « outrage à magistrats », mais au contraire, une marque de respect envers ceux qui s'évertuent à exercer la justice, en dépit de tout, dans ces lieux.
Rappel succincts des évènements :
Je suis engagé dans une recherche politique de compréhension et de lutte contre l'esprit d'appropriation, d'exploitation et de suprématie, qui se concrétise dans la dénonciation du racisme et du génocide, dont celui des populations indigènes de Palestine, génocide mis en œuvre par les juifs sionistes.
Cela dérange l'ordre actuel, dont la religion qui le légitime se nomme le sionisme.
L'association CODEIG, dont je suis le président, a été dès son dépôt à la Préfecture de police de Paris, traduite en justice, pour antisémitisme, négationnisme et autres.
Sylvie KACHANER, substitut, a rédigé les conclusions, en première instance.
Les CONCLUSIONS de Madame KACHANER :
En page 1 :
« La norme morale en Israël légitime le génocide du peuple palestinien » en accusant « les juifs sionistes ».
« qu'il est diffamatoire d'accuser de génocide et de crimes de guerre les juifs israéliens ».
En page 4 :
« Les auteurs des statuts reprennent ici les accusations fantasmatiques de mainmise par les juifs sur la presse et sur l'information qui ne serait qu'un vecteur qu'ils auraient asservi à leurs desseins ».
« Le terme sioniste ne saurait dans le contexte des statuts, dissimuler les intentions de l'auteur : il faut y voir une imputation dirigée contre l'ensemble de la communauté juive et de sa religion dont dérive la morale génocidaire ».
Remarque à ce stade :
Madame KACHANER connaît très bien la situation en Israël, étant spécialisée dans les affaires cruciales pour le sionisme.
La méthode de Madame KACHANER :
Madame KACHANER nie les évidences, en présentant celles-ci comme des « énormités ».
Ci-joint, trois articles parus dans des organes sionistes. Ces organes se présentent comme défendant les Palestiniens et sont forcés, à cause de la prise de conscience générale et inéluctable sur la réalité d'Israël, de lâcher du lest, et de dénoncer ce que tout le monde sait, pour continuer à paraître crédible, et à encadrer en France, le mouvement antisioniste.
Site internet EUROPALESTINE.ORG, du CAPJO, annexe de Lutte ouvrière, trotsko-sioniste.
Article paru le 26/03/2006 de Gidéon LEVY : « Israël : une nation unie et raciste ». 2 feuillets.
Site internet EUROPALESTINE.ORG, du CAPJO.
Article publié le 28/01/2006, sur le groupe JEWS AGAINST GENOCIDE (juifs contre le génocide), activistes en Israël/Palestine. 4 feuillets.
Site LESOGRES.ORG trotsko-sioniste dépendant de la L.C.R. (sionistes français d'extrême-gauche).
Article publié le 26/03/2006 : « Les médias, chasse gardée du sionisme ? ». (7 feuillets).
Quant à la remarque sur la religion juive, de Madame KACHANER, je ne ferais pas l'affront à monsieur le Procureur, de joindre à cette plainte le 5 ème livre de la Bible et de la Torah, livre intitulé DEUTERONOME, où il est dit que les juifs sont le peuple élu, choisi par dieu, qui les autorise à envahir, exploiter, anéantir, spolier, dominer, tous les autres peuples, et qui leur interdit de se mélanger aux non-juifs.
La torah est le PENTATEUQUE des juifs, la partie essentielle de la religion juive, celle qui doit être récitée. C'est la LOI des juifs.
C'est la simple réalité que de dire que le judaïsme est la seule religion au monde exprimant ces déterminations.
CONCLUSION :
Madame Sylvie KACHANER, ayant transcrit sur un document judiciaire des contre évidences, sciemment et dans le but de nuire, à moi-même, et au-delà de moi-même, au peuple de Palestine, et au-delà de ce dernier, à toute l'humanité, s'est rendue coupable de complicité de génocide, par faux en écriture publique.
M. DAKAR.
"ARBEIT MACHT FREI" EN PALESTINE OCCUPÉE Publié le 28-01-2006 Site internet « europalestine.org », de la CAPJO, Coordination des appels pour la Palestine, Organisation juive sioniste d'extrême gauche française, satellite de « Lutte ouvrière », l'un des trois partis français trotskistes.
Des militants contre l'occupation, le groupe Jews Against Genocide (J.A.G.) ont pris une initiative délibérément provocatrice, en apposant, à l'entrée d'un check-point israélien de Cisjordanie une réplique de l'enseigne "Arbeit Macht Frei" ("Le Travail Libère") de sinistre mémoire, qui était apposée sur le portail d'entrée à Auschwitz. Ils s'en expliquent ci-dessous. Nous pensons pour notre part qu'ils ont eu raison, et saluons leur geste. (les textes sont traduits de l'anglais par Michel Ghys)
Une déclaration émanant de J.A.G. 25 janvier 2006 http://www.palsolidarity.org/main/2006/01/25/a-statment-from-jag/ Le 19 janvier, nous, un groupe de Juifs préoccupés, avons peint l'infâme slogan nazi « Arbeit macht frei » (« Le travail libère ») sur un panneau placé par les autorités israéliennes d'occupation au barrage de Qalandiya et qui déclare : « Notre espoir à tous ». Le panneau « Notre espoir à tous » et le nouveau terminal de Ramallah ont été inaugurés le 20 décembre 2005. Le nouveau terminal est aménagé de manière à ce qu'il n'y ait pas de contact physique entre les soldats et les Palestiniens. Les soldats hurlent dans les haut-parleurs des ordres aux Palestiniens pendant que ceux-ci sont amenés à passer par une série de barrières électroniques et de tourniquets. Le nouveau terminal matérialise l'occupation dans sa forme désaffectée, d'une cruauté bureaucratique. Il est placé entre un territoire palestinien et un autre et il est, sur ses deux côtés, flanqué de la barrière d'annexion qui transforme effectivement Ramallah en ghetto. « Arbeit macht frei », ces mots étaient écrits à l'entrée d'Auschwitz et d'autres camps de concentration nazis. En les peignant à la bombe sur ce panneau, nous ne cherchions pas à faire entendre que Ramallah était Auschwitz. Nous voulions par contre pointer le fait qu'il y a beaucoup de parallèles troublants entre les tactiques employées par l'occupation et celles employées par les nazis. Par exemple, cette tentative d'enjoliver des institutions déshumanisantes par le biais de phrases creuses comme « Notre espoir à tous » et « Arbeit macht frei ». Nous croyons qu'il est important de prendre en compte ces parallèles troublants comme des signaux d'alarme pour qu'un autre génocide n'ait plus jamais lieu, à l'encontre d'aucun peuple. Nous avions rédigé une note expliquant notre action en arabe et en anglais et l'avons distribuée aux gens pendant que nous peignions sur le panneau. Nous l'avons également collée à côté du slogan. Malheureusement, les autorités israéliennes ont décidé d'utiliser notre action pour leurs propres desseins et elles accusent le groupe israélien de défense des droits de l'homme, Machsom Watch, de « dégrader le check point ». (Voir Kalandia terminal crossing compared to Auschwitz par Margot Dudkevitch 24 janvier.) Ces accusations sont sans fondement. Aucune des personnes impliquées dans l'opération visant à inscrire ce slogan n'ont à voir avec Machsom Watch. L'armée israélienne essaie de trouver un prétexte pour refuser à des témoins l'accès aux check points où les droits de l'homme sont systématiquement violés. J.A.G.
L'occupation ne sera pas enrobée de sucre 19 janvier 2006 www.palsolidarity.org/main/2006/01/19/the-occupation-will-not-be-sugar-coated/
A l'entrée du check point de Qalandiya, est placé un panneau avec le dessin d'une grande fleur et ces mots : « Notre espoir à tous ». L'insanité de cette riante formule à l'avant d'un check point illégal n'a pas échappé à une amie, activiste juive israélienne.
Par : CAPJPO-EuroPalestine
ISRAËL : UNE NATION UNIE ET RACISTE (PAR GIDÉON LÉVY)Publié le 26-03-2006
Nous reproduisons ci-dessous un éditorial du journaliste du Haaretz Gidéon Lévy, à l'occasion des élections législatives qui ont lieu mardi (traduit de l'hébreu par Michel Ghys). Gideon Lévy Haaretz, 26 mars 2006 www.haaretz.co.il/hasite/pages/ShArtPE.jhtml ?itemNo=698500 Version anglaise : One racist nation www.haaretz.com/hasen/spages/698426.html Contrairement aux apparences, les élections d'après-demain sont importantes en ce qu'elles révéleront la véritable physionomie de la société israélienne et ses aspirations secrètes. Plus de cent élus seront envoyés au Parlement sur la base d'une seule carte : celle du racisme. Si autrefois on avait l'habitude de penser que deux Israéliens, ça fait trois opinions, on verra maintenant clairement que tous les Israéliens, ça ne fait plus qu'une seule opinion, raciste. Les élections 2006 le montreront à la lumière la plus crue. La majorité absolue des membres du 17e Parlement israélien s'en tiendra à une opinion fondée sur un mensonge : qu'Israël n'a pas de partenaire pour la paix. La majorité absolue des membres du prochain Parlement ne croit pas dans la paix et ne la veut pas - exactement comme leurs électeurs - et, plus grave encore, ils ne tiennent pas les Palestiniens pour des égaux. Jamais il n'y eut ici tant de monde pour soutenir ouvertement le racisme : c'est le vrai best-seller de cette campagne électorale. Nul besoin d'être Avigdor Lieberman pour être raciste : la « paix » que propose Ehoud Olmert ne l'est pas moins. Lieberman veut les écarter de nos frontières, Olmert et tous ses semblables veulent les écarter de notre conscience. Plus personne ne parle de paix avec eux, personne n'en veut plus vraiment. Une seule aspiration unit tout le monde : se débarrasser d'eux, d'une manière ou d'une autre. Transfert ou Mur, « désengagement » ou « repli sur soi », l'essentiel est qu'ils disparaissent de notre vue. La seule pièce qui se joue en ville - « L'accord unilatéral » - ne prend pas seulement sa source dans le mensonge qu'il n'y a pas de partenaire, elle n'est pas seulement basée, par un sentiment de supériorité, sur nos seules et exclusives « nécessités », mais elle imprime un comportement dangereux consistant à ignorer totalement l'existence de l'autre peuple. Le problème est que ce sentiment se fonde tout entier sur une hypothèse trompeuse. Les Palestiniens sont ici, exactement comme nous. Ils seront dès lors forcés de se rappeler à notre souvenir par le seul moyen connu d'eux et de nous : la violence. Ce triste chapitre de l'histoire d'Israël s'est ouvert à Camp David, lorsqu'Ehoud Barak est parvenu à léguer la fiction selon laquelle il n'y a personne avec qui discuter du côté des Palestiniens, que nous leur avons offert le ciel et qu'ils ont répondu par la violence. Ensuite sont venus les grands attentats, et la société israélienne s'est repliée dans un état d'apathie maladive et d'indifférence comme on n'en avait pas connu. Si elle avait déjà manifesté auparavant une totale insensibilité à l'égard des souffrances palestiniennes, cette indifférence s'est diffusée et intensifiée pour s'étendre à la souffrance des Israéliens les plus démunis - Arabes, pauvres, malades. De ce point de vue, la campagne électorale actuelle, plus morne et plus somnolente que jamais, a des allures de monument dédié aux préoccupations du public. Rien ne sort plus les Israéliens de leur torpeur, ni l'emprisonnement du peuple voisin, ni la mort et la destruction que nous semons chez lui, ni la souffrance des plus faibles parmi nous. Qui aurait cru qu'en 2006, en Israël, l'assassinat d'une fillette de huit ans et demi, abattue de près, comme cela s'est produit à la fin de la semaine passée à El-Yamoun, serait à peine mentionné ; qu'une tentative d'expulsion d'un Ethiopien malade du sida et marié à une Israélienne, simplement parce qu'il n'est pas juif, ne soulèverait pas de tollé ; et que les résultats d'un sondage nous apprenant que la majorité des Israéliens (68%) ne voudraient pas avoir un Arabe pour voisin, n'amènent pas de protestation. Si en 1981, on pouvait encore lancer des tomates sur Shimon Peres et si en 1995, on pouvait soulever la rue contre Yitzhak Rabin, il n'y a plus aujourd'hui ni tomates, ni incitation, ni même d'assemblées électorales. Plus rien ne fait sortir l'Israélien dans la rue ni n'éveille sa colère. Une campagne électorale sans implication ni intérêt est plus dangereuse pour la démocratie que n'importe quelle tomate : elle nous révèle l'apathie et l'insensibilité grâce à quoi le gouvernement peut faire tout ce qui lui passe par la tête. Le fait qu'il n'y ait aucune différence significative entre les trois principaux partis, l'un disant ‘presque tout ce pays est à moi' et l'autre disant ‘presque tout ce pays est à moi', est lui aussi une très mauvaise nouvelle pour la démocratie. Le prochain scrutin est déjà décidé. Une majorité écrasante donnera sa voix à l'arrangement raciste qui ignore les Palestiniens, celui de Kadima, celui du Likoud et, dans une large mesure, celui du parti Travailliste. Aucun de ces partis ne tente de proposer une paix juste. Leurs dirigeants ne disent pas un mot des crimes de guerre ni des souffrances qu'Israël enfante. Les électeurs d'extrême-droite et les religieux se joindront à eux, et vous voilà avec une nation une, unifiée par le racisme qui en est le véritable dénominateur commun. Quasi tous diront non à la paix, oui à la poursuite de l'occupation, fût-ce sous un nouveau masque, et oui au repli sur nous-mêmes. Le mot de « morale » passe maintenant pour obscène, et la pire dépravation de l'histoire du pays, l'occupation, n'est même pas mentionnée. Seulement des cartes unilatérales, se ressemblant toutes, incluant toutes les effrayants « blocs de colonies », un retrait fondé exclusivement sur « nos besoins », avec un rempart de séparation au milieu et cette terrible indifférence qui plane par-dessus tout. (Traduction de l'hébreu : Michel Ghys) Publié par CAPJPO-EuroPalestine Site internet « europalestine.org »
Les médias, chasse gardée du Sionisme ? dimanche 26 mars 2006 , par Mandela Way Pourquoi des prosionistes sont si massivement présents dans la presse, la radio, la télévision et l'édition ? Nous, citoyens français et contribuables, nous subissons une situation incroyable. Nous payons une redevance annuelle élevée qui sert normalement à financer les chaines de télévision et les radios du service public. Or, ces différentes chaines de TV et Radios (France2 - France3 - La 5 - Arte - France Inter - France Culture - France Infos) qui devraient être des espaces refletant la diversité de la nation et permettre la libre expression de tous, semblent devenir en réalité le domaine réservé d'une minorité qui a la particularité d'être très liée à Israël et partage souvent la même idéologie : le SIONISME. On va finir par croire qu'il n'existe pas en France, d'esprits libres et indépendants n'ayant aucun lien particulier ni avec le Sionisme ni avec Israël ? Le fait de payer une redevance pour salarier une large majorité de journalistes sionistes ou pro-sionistes, qui en plus, transforment les médias du Service Public en outils de propagande favorables à Israël, est devenu insupportable. Cette anomalie constitue un sujet de mécontentement très largement exprimé sur le web français. La révolte gronde sur Internet. Chacun peut voir qu'il y a très peu ou pas de journalistes "noirs" ou d'origine "arabe" à la télé. Pourtant la communauté noire représente plus de 5 millions de français et les français d'origine arabe ou berbère, près de 6 millions. 80% des journalistes "faiseurs d'opinion" sont-ils noirs ou d'origine arabe ? Qui sont les 90% d'intellectuels qui s'expriment à longueur d'années dans les médias ? A qui appartiennent la plupart des grands groupes de presse ? Qui les dirigent ? Pas toujours Juifs, ils sont quasiment toujours sionistes ! Dans tous les grands pays on retrouve cette même particularité et une même concentration. En France comme aux USA, comme en Angleterre, comme en Suisse, comme en Espagne, ces médias détiennent un pouvoir d'influence qui peut abattre des gouvernements. Est-ce que cette situation serait acceptée si des journalistes ou intellectuels français de confession musulmane utilisaient leur position dans les médias pour prendre systematiquement fait et cause en faveur des palestiniens ? Où serait la liberté de l'information ? Où serait la pluralité des opinions ? Où est la liberté tout simplement, quand on tente d'emprisonner l'esprit dans une pensée unique ? En tout cas, admettez que dans un Etat démocratique et républicain comme le notre, c'est quand même une grave anomalie. Les médias contribuent à façonner la pensée et orientent et influencent - (manipulent ?) - les opinions. Et lorsqu'ils se décident par exemple, à nous convaincre que la France est antisémite, que les palestiniens sont antisémites, que l'Iran est antisémite, que les Noirs et les Beurs sont antisémites, bref que le monde est antisémite..., le moins que l'on puisse dire, c'est qu'ils utilisent tous les moyens... Pourtant, il est important de répéter une vérité que certains de nos concitoyens ne veulent pas entendre : à part quelques tarés, il n'y a pas d'antisémitisme en France. Et d'ailleurs, les rares fois où des actes antisémites sont commis, la presse mondiale en parle, les gouvernements se déplacent, et Sarkozy reçoit les victimes dans l'heure qui suit. Ce genre d'évènement passe difficilement inaperçu. La France n'est pas antisémite mais comme beaucoup d'autres pays, elle fait une indigestion de Sionisme. Trop c'est trop. Les français sont capables de sursauts de lucidité. Chacun voit aujourd'hui que l'idéologie sioniste est partout présente dans les médias. C'est donc en réaction à cette idéologie raciste, source de désordres et d'affrontements, que beaucoup s'inquiètent à juste titre. Et puis c'est vrai que depuis la naissance d'Israël, il a bien fallu apprendre à décoder la propagande sioniste. On ne peut que se réjouir de constater, que de plus en plus de citoyens voient clair et ont compris que, s'ils veulent vraiment accéder à une information libre et vérifiable, ils doivent chercher ailleurs que dans ces médias, devenus la chasse gardée du Sionisme pro-israélien. Les médias et un grand nombre de journalistes et d'intellectuels "français" roulent pour le Sionisme et pour Israël. C'est une claire évidence. C'est cette position ambigüe et déloyale qui permet à des intellectuels comme Bernard Henri Lévy et Alain Finkielkraut, de prétendre que les français sont fascistes et antisémites par nature. Et les médias en écho, contribuent à distiller ce poison dans nos esprits, et tentent ainsi de culpabiliser la société française sur un phénomène qui n'existe pas : l'antisémitisme. Pourtant, à part les Etats Unis où ils ont pris le contrôle total du pouvoir, existe-t-il un autre pays où les Sionistes pourraient dire : "Heureux comme Dieu en France" ? Mais bon... il parait qu'on est quand même d'horribles antisémites parce que nous soutenons le peuple palestinien dans sa lutte pour sa liberté et son indépendance, et que nous refusons d'admettre que nos compatriotes musulmans seraient tous "des terroristes islamistes potentiels". Et puis pour faire la preuve de notre "antisémitisme" avéré, la presse sioniste américaine prétend que nous accueillons sur notre sol, des "terroristes proches du Hamas comme Youssouf Fofana"… Cette presse de chiottes est capable des pires mensonges et c'est pour cela que ça ne peut plus continuer comme ça. Ces médias racistes constituent un danger pour nous tous. Arrivés à ce stade il y a une évidence que ces médias ne peuvent plus masquer : ils sont des outils de propagande et d'abrutissement des masses. Les français, les américains, les britanniques, les espagnols découvrent avec angoisse, qu'ils n'ont plus de presse libre, et plus de médias libres. Quand ces médias sont dans les mains de 3 ou 4 groupes dont un est le plus influent, où est le pluralisme dans l'information ? Quand dans 8 médias sur 10 vous entendez le même son de cloche, où passent la liberté et la diversité des opinions ? Les médias nous abrutissent, nous mentent, nous manipulent et pire, instaurent dans ce pays un climat malsain de pré-guerre civile en dressant les français contre leurs compatriotes musulmans. Les victimes sont pré-désignées d'avance dans les médias : les plus faibles et les plus défavorisés, les Beurs et les Noirs, injustement accusés "d'antisémitisme de banlieues" ou "d'antisémitisme par amalgame". Aujourd'hui quand les gens entendent une information à la TV ou à la radio, ils sont persuadés qu'on leur dit la vérité. Pourtant chacun sait qu'il y a quelques sujets particuliers où là, la vérité on peut la chercher à la loupe. En l'occurrence, si on examine la qualité de l'information dans le conflit israélo-palestinien, nous sommes à des années lumière de la réalité que subissent les palestiniens au quotidien. Présentés comme des "terroristes fanatiques" par les médias, il leur est nié jusqu'à leur humanité. Les palestiniens n'ont pas la "chance" de pouvoir s'exprimer librement dans les plus grands networks américains ou anglais. Ils n'ont pas non plus le privilège de faire entendre leurs voix dans nos médias verrouillés. Quant à ceux qui osent défendre la cause palestinienne, ils subissent immédiatement et systématiquement, l'odieux chantage à l'antisémitisme pour les obliger à se taire. Un exemple : Edgar Morin, sociologue de renom, Juif antisioniste respecté, a été condamné pour "antisémitisme" pour avoir dénoncé la violence excessive des israéliens à l'encontre des palestiniens. Sans accès aux grands moyens d'information, les palestiniens ne peuvent faire entendre leur point de vue, ne peuvent se défendre des accusations mensongères propagées sur ce peuple pacifique et doux. Ils n'ont pas d'autre choix que de subir le même traitement que subissent Dieudonné et les banlieues dans "nos" médias nationaux : Diabolisation, calomnies, mensonges. La liberté d'expression est un privilège qui semble n'être réservé qu'aux journalistes et intellectuels d'un seul communautarisme politisé. Les autres n'ont que le droit de se taire et subir. Avons-nous déjà entendu ou vu un seul journaliste sioniste ou pro-sioniste rappeler à l'Etat d'Israël, prétendue - "seule démocratie du Moyen Orient" - que le peuple palestinien existe et qu'il est composé d'êtres humains et non de "cafards et de serpents qu'il faut écraser" ? Peut-on compter sur Mr El Kabach ou Elisabeth Lévy pour dénoncer les crimes commis par l'Etat d'Israël contre les palestiniens, les syriens, les libanais ?
Peut-on compter sur Mr Finkielkraut pour rappeler qu'Israël refuse d'appliquer les 65 résolutions de l'ONU qui pourtant rendraient justice aux palestiniens et aux syriens ? Peut-on compter sur lui pour dénoncer l'ultrasioniste Daniel Pipes ? Nous dira-t-il que Pipes est ce que le Sionisme peut produire de plus raciste ? Peut-on compter sur Bernard Henri Lévy pour nous dire que les néoconservateurs Sionistes au pouvoir à la Maison Blanche, sont de véritables criminels ? Nous dira-t-il que ses "amis" néoconservateurs sont soupçonnés de plus en plus clairement d'avoir organisé et planifié les attentats du 11 septembre, pour engager les USA dans une guerre sans fin contre tous les ennemis qu'Israël se fabrique à la chaîne ? Peut-on compter sur Serge Moati pour dénoncer la purification ethnique, les violations des Droits de l'Homme et des Conventions de Genève, les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité, les assassinats de journalistes occidentaux indépendants et des pacifistes de l'International Solidarity Mouvment, commis par l'armée israélienne ? Peut-on compter sur Eric Zemmour pour dire que Gaza est une prison à ciel ouvert, entourée de barbelés et de miradors ? Peut-on compter sur Georges Marc Benhamou pour dénoncer ce Mur de la honte de 8 mètres de haut et 780 kilomètres de long entourant toute la Cisjordanie et enfermant ce territoire à la manière d'un grand ghetto de Varsovie ? Peut-on compter sur lui pour dénoncer le fanatisme et la violence des colons ? Peut-on compter sur Maurice Szafran pour nous dévoiler la stratégie abjecte de la diabolisation du monde arabo-musulman, par les médias sionistes ? Faites le compte vous-même, c'est évident. Peut-on sérieusement compter sur ces gens pour accéder à une information fiable et crédible dans tous ces domaines ? Les faits démontrent que non. Bien au contraire. Ces gens qui prétendent penser à notre place, verrouillent toutes formes de débats sur les évènements graves qui menacent notre époque et notre pays. On nous gave d'émissions débiles ou avilissantes. On nous manipule avec des informations soigneusement choisies ou fabriquées. Pour des sujets de société on donne la parole à un ignorant comme Yves CALVI. On lui permet en plus, d'animer des débats sérieux dans lesquels ce "journaliste" favorise d'une manière scandaleuse l'islamophobie avec des titres racoleurs ou racistes comme : "J'ai deux femmes et 10 enfants" ou "Délinquance : la route des Roms". CALVI, ce faux corse et vrai pro-sioniste, a l'art et la manière de ne jamais poser les vraies questions. Il stigmatise le thermomètre mais ignore la maladie. Et d'ailleurs si vous demandez à tous ces gens, qui sont les bourreaux et qui sont les victimes dans le conflit israélo-palestinien, ils vous répondront très probablement : "Les deux mon capitaine !" Leur discernement est altéré car ils s'avèrent incapables de déterminer qui fait le mal et qui le subit, qui est l'occupant et qui est l'occupé, qui est l'assassin et qui est la victime. Ceci permet de comprendre que lorsqu'il s'agit de la désastreuse politique d'Israël, ils ont d'énormes difficultés à reconnaître la vérité, car cette vérité les condamne lourdement. Ces médias et ces journalistes sont une insulte à l'intelligence. "L'information" sur le conflit israélo-palestinien est une véritable escroquerie intellectuelle basée sur 60 ans de mensonges non-stop. L'avenir du Moyen Orient menace la paix du monde et ces imbéciles nous mentent, ou nous répètent tels des perroquets bien dressés, les dépêches de l'armée israélienne ? Et ce sont des gens comme ça qui prétendent nous informer ? Il est difficile de croire que leurs liens avec Israël n'interviennent pas dans la manière dont ils traitent l'information. Difficile de croire à l'honnêteté intellectuelle et à la loyauté de ces journalistes quand ils prennent systématiquement la défense d'Israël. Personne ne croit plus à leur neutralité, elle est impossible. Lorsque Mr Roger CUKIERMAN, l'effrayant président du CRIF, conseille à Sharon d'utiliser les médias pour faire une propagande à la Goebbels en faveur d'Israël, on comprend mieux pourquoi les minorités visibles n'y ont pas leurs places. Ceci n'est pas sans incidences sur la politique intérieure et étrangère de la France. Les médias deviennent comme le laisse entendre Elisabeth Lévy : "le premier pouvoir". Le vrai pouvoir. Le pouvoir d'élever ou d'abattre n'importe quel homme politique, n'importe quel gouvernement qui oserait s'opposer à Israël. Dans un Etat de droit comme la France, respectueux de la liberté de la presse, le talon d'Achille de la République et donc sa principale faiblesse, c'est d'accepter la concentration de ce pouvoir mortel. Aujourd'hui grâce à l'Internet mondial, il est plus simple d'accéder à une information fiable. Et en accédant à cette information, chacun mesure le fossé immense qui sépare désormais les médias sionistes du pays réel. Il semble que nous ne vivions pas sur la même planète. C'est la raison pour laquelle le seul moyen d'éviter la désinformation, l'abrutissement, les manipulations comme les caricatures de Mahomet, et permettre aux citoyens d'avoir à nouveau confiance dans leurs médias, c'est d'imposer des quotats qui reflèteront la diversité de la société française, qui prendront en compte toutes les minorités, tous leurs points de vue, tous les points de vue. Dans un Etat républicain, il est anormal que pour tout ce qui touche à l'information, en particulier sur Palestine/Israël, une seule communauté montrée comme sioniste, la communauté juive, la plus minoritaire, soit majoritairement représentée, au regard d'une communauté montrée comme antisioniste, la communauté arabo-musulmane, chez les journalistes employés dans le service public et les médias privés. Alors évidemment pour éviter que ce monopole scandaleux ne soit remis en cause, les intellectuels et les médias sionistes utilisent en permanence le chantage ignoble à l'antisémitisme, et laissent entendre que les 6 millions de français musulmans tous supposés "pro-palestiniens menaceraient la sécurité des 0,6 millions de personnes de la communauté juive de France. A ce titre, et malgré la volonté politique exprimée par le Président de la République pour une meilleure représentativité de la diversité française dans les médias, les minorités visibles n'ont à ce jour que peu de perspectives d'accéder à l'espace public et à ces médias. C'est anti-démocratique et anti-républicain. C'est digne d'une République bananière. De plus c'est une grave menace pour la cohésion sociale et la paix civile puisque les médias ne reflètent pas la diversité réelle du pays, mais une vision unique du monde dans laquelle une seule communauté de pensée et d'idéologie, pense et décide à la place de tous les autres. Le deux poids deux mesures qui en découle est désormais perçu comme un danger pour la démocratie. Lorsque l'affaire Halimi, un Juif sans doute assassiné par un Musulman Noir raciste, devient une affaire d'Etat dont les musulmans seraient les responsables supposés, et que la mort de Chaib, un Musulman sans doute assassiné par un juif raciste, est totalement ignorée ou volontairement occultée, on ne peut que souhaiter que cette injustice cesse, avant que toute la société n'explose. En permettant à une minorité liée à Israël d'orienter l'information, on favorise la dictature de la pensée unique (la "vérité" sort de la bouche de la TV), et donc le Sionisme. Or, on voit bien où mène le Sionisme en Israël et aux USA : refus du Droit international, racisme, inégalité, apartheid, guerres illégales, Guantanamo, Abou Graïb, tortures. Un exemple de l'influence sioniste et de ses conséquences désastreuses aux USA peut être vu en cliquant ici Le sondage commandé par l'Union Européenne laisse apparaitre qu'Israël est perçu par 60 % des européens comme la plus grave menace pour la paix. Or, la France ne veut pas être sioniste mais républicaine et juste. Et pour celà, l'influence sur l'information par des groupes favorables à Israël ne peut plus être tolérée. Il n'est pas acceptable qu'un Etat de droit comme la France respectueuse du Droit international et de son obligation à le faire respecter, soit perçue dans le monde, comme soutenant l'Etat d'Israël, condamné par 65 résolutions de l'ONU toujours en sommeil. Ceci porte gravement atteinte à l'image et aux intérêts de la France et de tous les français. Essayez d'aller en vacances au Pakistan ou en Indonésie en ce moment... et vous verrez les dégâts irréparables infligés à la France "grâce" aux journalistes sionistes ou pro-sionistes qui ont libéré leurs frustrations sur un milliard et demi de musulmans et sur leur prophète. La liberté d'expression était un bon alibi. Mais voilà, les gens sont moins stupides qu'on ne le croit et la manipulation sioniste a été rapidement démasquée. Comme dit si bien Dieudo : là où ils veulent des consommateurs dociles, devenons des citoyens rebelles... Un autre monde est possible et cela dépend de nous tous Mandela Way publié le 21 mars (Nuit) puis dépublié le 23 (matin) et republié modifié le 25 (nuit)
Article tiré du site internet « lesogres.org ».
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