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Cinq documents concernant l'affaire de pédophilie institutionnelle Karim KAMAL, relatant l'histoire de ce père, Karim KAMAL, ayant fui aux USA où il est le seul français ayant obtenu l'asile politique de toute l'histoire de notre temps, pour faire échapper sa fille aux griffes d'un milieu pédophile pratiquant le viol et la torture d'enfants et sans doute pire aux dires de sa fille Lauriane, milieu pédophile de la région de Nice, constitué de l'élite de cette région, milieu pédophile ayant des accointances avec le milieu national pédophile institutionnel français et international. Cette affaire expose la manière typique dont fut monté l'étouffement institutionnel de ce genre d'affaire. La mère Marie-Pierre Guyot, dont le compagnon, selon les dires de Karim KAMAL et de sa fille Lauriane, menait Lauriane à ce milieu, écrivit même un livre (il est à noter que Michel NIHOUL a de même écrit un livre pour se blanchir des accusations qui pesaient sur lui dans l'affaire Dutroux. Ce genre d'affaire transforment de façon étonnante en talents littéraires des gens qui auparavant n'avaient pas fait montre de dispositions à l'écriture), lequel livre occupe les premiers articles de Google, quant on fait des recherches sur Internet au sujet de l'affaire Kamal. On notera aussi que Marie-Pierre Guyot a été l'une des participantes d'un salon du livre qui s'est tenu à Nice, comme quoi, la consécration va bien vite pour certains dans certaines affaires. Cinq documents concernant l'affaire Kamal : 1 - Article du journal l'humanité du 28 juin 2001, qui constitue une sorte de synthèse de cette affaire. 2 - Rapport du ministère de la justice,
sur les réseaux pédophiles niçois. 3 - Article sur la poursuite judiciaire engagée par Marie-pierre Guyot, la mère de la fille de Karim Kamal, pour obtenir l'interdiction d'un livre dénonçant l'existence de Réseaux pédophiles institutionnels, livre de Laurence Beneux et Serge Garde "Le livre de la honte, les réseaux pédophiles". 4 - Présentation de "Le livre de la honte : Les réseaux pédophiles" de Laurence Beneux, Serge Garde, Le Cherche Midi Editeur, Paris 2001. 5 - Liens avec d'autres articles du site aredam.net, traitant de la pédophilie institutionnelle.
1 - Article du journal l'humanité du 28 juin 2001, qui constitue une sorte de synthèse de cette affaire. Société - Article paru le 28 juin
2001 – journal L’Humanité JUSTICE Un Français, réfugié politique aux USA La justice américaine accorde l’asile politique à Karim Kamal et met en cause la justice niçoise dans une affaire de réseau pédosexuel. Après quelques péripéties de procédure, la justice américaine vient d’entériner l’asile politique accordé à Karim Kamal. C’est la première fois que la justice fédérale octroie ce statut de réfugié à un citoyen français… Selon le juge américain Otaha, " M. Kamal a été poursuivi et persécuté ", lui, sa famille et son avocat pour " avoir combattu la corruption et l’absence de poursuites par des fonctionnaires contre la pornographie et la pédophilie qui étaient perpétrés par des fonctionnaires de haut rang ". Dans le collimateur du juge d’outre-Atlantique, " le système judiciaire niçois (qui) a agi contre M. Kamal, du haut jusqu’au bas de la pyramide ". Le jugement précise : " on a dénié à ce particulier ce que n’importe qui décrirait comme un procès normalement exigible… De même que l’on a mis en place des circonstances susceptibles de rendre possible des poursuites contre lui, sa famille et son avocat. Poursuites qui ont d’ailleurs eu lieu… " L’affaire est complexe et douloureuse. En 1993, la petite Lauriane, quatre ans, confie à son père que sa mère (le couple est divorcé) l’emmène dans des " soirées " au cours desquelles elle est victime, avec d’autres enfants, de violences sexuelles perpétrées par un groupe d’adultes. L’enfant cite plusieurs noms de notables et, parmi eux, ceux de plusieurs magistrats et d’un avocat. Plusieurs expertises et des certificats accréditent les propos de Lauriane. Mais, lorsque le père, Karim Kamal, porte plainte, tout se retourne contre lui. Son avocat est convoqué par le bâtonnier de Nice, le 7 avril 1994. Me Miguel Grattirola nous raconte la suite : " pour tout avocat, le bureau du bâtonnier, c’est un sanctuaire où il se sent protégé de la magistrature. Je suis arrivé dans le bureau, et j’ai la surprise de me trouver face au procureur et au président du tribunal de grande instance. Le procureur m’a dit : "c’est simple, ou vous lâchez le dossier Kamal, ou je vous poursuis pénalement". J’étais sidéré. Je lui ai demandé : " pour quels motifs ? ". Il m’a répondu : "Je me fais fort de les trouver !" " Et Me Grattirola, aujourd’hui inscrit au barreau de Papeete à Tahiti, d’ajouter : " je reste fasciné par la débauche de moyens et d’énergie qui ont été utilisés pour étouffer l’affaire Kamal ". Refusant de se soumettre, l’avocat sera effectivement poursuivi, suspendu et, entre autres, condamné pour " outrage à magistrat ". Sanctions qui seront ultérieurement annulées par la cour de cassation. Harcelé par les procédures et privé de son avocat, Karim Kamal choisit de fuir avec sa fille aux USA, en avril 1994, date à laquelle il a demandé l’asile politique pour eux deux. La mère, Marie-Pierre Guyot, a immédiatement engagé une procédure pour récupérer sa fille. Ce que les autorités américaines lui ont refusé, les expertises diligentées aux USA confortant les déclarations de l’enfant. Ce qui ne l’a pas empêché d’enlever Lauriane aux États-Unis, avec le concours… de deux diplomates français ! Le juge Ohata stigmatise ce kidnapping commis " en sachant pertinemment qu’une juridiction américaine avait interdit le départ de l’enfant en vue d’assurer sa protection dans un lieu sûr ". Karim Kamal exilé, est déchu, en France, de son autorité parentale en dix jours. Un record ! Les condamnations pleuvent sur lui : six mois de prison pour dénonciation calomnieuse, un an pour tentative d’enlèvement, un an pour enlèvement. Plus un an pour subornation de témoin : on lui reproche d’avoir soufflé à Lauriane les accusations qu’elle a formulées. Au total, un amoncellement de procédures qui avait amené l’actuel procureur de la République, à Nice, Éric de Montgolfier, à dénoncer, fin 1999, devant le Conseil supérieur de la magistrature, " de curieuses stratégies judiciaires " dans " un climat particulier ". Et notamment celles initiées par le juge Renard. Ce magistrat, dont le nom avait été cité par la petite Lauriane comme participant aux " soirées fines ", avait néanmoins instruit le dossier. Une violation flagrante des règles juridiques. Un juge ne saurait instruire un dossier dans lequel son nom risque d’apparaître. L’affaire aurait dû être dépaysée. Circonstance aggravante, le juge Renard avait ouvert un dossier " bis " pour écarter la constitution de partie civile de la famille Kamal, et laisser cette dernière dans l’ignorance du non-lieu qu’il avait rapidement rendu. Les Kamal ont donc été privés, par un stratagème, de leur droit de faire appel. Le juge Renard, déjà mis en cause dans une autre affaire (voir ci-contre) refuse toute interview. Si l’on se réfère à ses dernières déclarations publiques, l’affaire Kamal se résumerait, pour lui, à " une banale et sordide affaire de divorce ". Il estime par ailleurs " avoir fait son boulot " sous l’autorité et le contrôle du procureur de l’époque. La mère de Lauriane, Marie-Pierre Guyot a refusé de répondre à nos questions. Son avocat, Me Delrio nous a déclaré n’avoir aucun commentaire à faire sur la décision de la justice américaine : " je n’en ai pas connaissance. Je n’en ai lu que quelques extraits dans la presse. Et puis, il s’agit d’une procédure autonome dont nous ne sommes pas partie. Elle concerne les autorités françaises… " Des autorités qui sont restées jusqu’ici très discrète… Selon Me Delrio, les nombreuses condamnations de Karim Kamal en 1994 puis en 1996, démontrent que la justice française a bien fonctionné et qu’elle a estimé que les accusations formulées par Karim Kamal n’étaient qu’" un tissu d’inepties ". Il ajoute que " la France n’a pas de leçon à recevoir en matière de droits de l’homme, de la part du pays de la chaise électrique ". Dès 1994, le ministère de la Justice,
en France, avait eu connaissance du sort réservé à
la famille Kamal. Les anomalies présumées, dans ce dossier,
ne l’ont pas fait réagir. Même inertie, après
que le procureur Éric de Montgolfier les ait soulignées
devant le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), en 1999.
La chancellerie, si prompte à traduire certains magistrats gênants
devant la chambre disciplinaire du CSM, a ignoré superbement les
dysfonctionnements dénoncés par le procureur de Nice. L’affaire, extrêmement embarrassante pour la France, met en cause l’espace judiciaire niçois, au moment où le procureur Éric de Montgolfier affiche sa volonté de démanteler les réseaux d’influences qui, selon ses constatations, entravent le cours normal de la justice, le long de la Promenade des Anglais. Entendu vendredi dernier comme témoin, dans un procès en diffamation en rapport avec l’affaire Kamal, Éric de Montgolfier a déclaré devant la 17e chambre correctionnelle à Paris : " je n’ai pas de conviction sur le fait qu’il y ait ou non des magistrats pédophiles. Mais les anomalies de procédure ont mis de l’eau au moulin de ceux qui voulaient répandre ce genre de rumeurs. Un avocat s’est vu intimer l’ordre de se dessaisir d’un dossier parce qu’il impliquait un magistrat. Un plaignant a été désigné comme suspect. Des accusés ont été traités comme des victimes. Une déchéance d’autorité parentale a été décidée dans des conditions étonnantes. Ce dossier est ce qu’il y a de plus exemplaire dans ce qu’on a pu appeler les dysfonctionnements au sein du tribunal de Nice… " Éric de Montgolfier insiste : " il faut que nous sachions : y a t-il oui ou non des pédophiles au sein du tribunal de Nice ? " D’aucuns interpréteront ces propos comme une volonté de rouvrir l’affaire Kamal en France, si des éléments nouveaux apparaissent. Paradoxalement, la décision américaine tombe à point nommé pour conforter le procureur de la République, dans sa détermination à faire respecter le droit, dans l’esprit et dans les formes. Fusse au prix d’un sacré coup de torchon sur la Baie des Anges. Serge Garde
2 - Rapport du ministère de la justice,
sur les réseaux pédophiles niçois.
3 - Article sur la poursuite judiciaire engagée par Marie-pierre Guyot, la mère de la fille de Karim Kamal, pour obtenir l'interdiction d'un livre dénonçant l'existence de Réseaux pédophiles institutionnels, livre de Laurence Beneux et Serge Garde "Le livre de la honte, les réseaux pédophiles".
Un livre sur les réseaux pédophiles
menacé L'ASBL " Réseau des Comités Blancs" et l'ASBL "Pour la Vérité" organisateurs du Colloque " L'IMPENSABLE" qui s'est tenu à Bruxelles ce 20 octobre 2000 et auquel ont participé Laurence Beneux et Serge Garde, auteurs de: "Le livre de la honte, les réseaux pédophiles" ( Le cherche midi éditeur, octobre 2001), désirent exprimer leur total soutien aux auteurs. Ceux-ci sont en effet convoqués devant le tribunal des référés de Paris suite à la plainte de la famille maternelle de la petite Laurianne dont le père Karim KAMAL a dû se réfugier aux Etats Unis après avoir dénoncé les mauvais traitement et les incitations à la débauche dont sa fille a été victime de la part du compagnon de son ex-femme. La plainte vise non pas les extraits du livre que les auteurs consacrent à l'explication de ce cas exemplaire (dont une toute récente émission ENVOYE SPECIAL de l'A2 a également parlé en long), mais le retrait pur et simple du livre, montrant par là que la démarche sert également des intérêts plus généraux qui seraient ceux de la ré-occultation de ce que le livre révèle, à savoir l'importance sociale du phénomène de la pédo-criminalité protégée à de multiples niveaux institutionnels, l'existence de véritables réseaux permanents dans le temps, et les dégats physiques et psychiques incommensurables causés aux enfants victimes qui survivent. Comme nous l'écrivions dans la lettre ouverte des participants au colloque aux autorités belges et européennes: L'Impensable est que cette inertie des décideurs devant un phénomène social aberrant, mais dont l'ampleur ne cesse de nous être révélée par le travail incessant d'associations privées et de journalistes courageux, pourrait laisser place à ce qu'espèrent des centaines de pédophiles qui s'expriment sur l'Internet : à savoir que ces comportements soient un jour admis par une société laxiste et dénaturée qui aurait perdu le sens des valeurs fondamentales de la vie et du respect des enfants. Pas besoin de terrorisme : cette société-là, frelatée, se détruirait elle-même. ASBL Réseau des Comités Blancs73,
rue de Flandre. 1000.- BRUXELLES Site : www.witte-comites-blancs.org ASBL Pour la vérité27 rue de la
Vanne, 1000.- Bruxelles Site: www.pourlaverite.org Le livre de la honte Au printemps 2000, Serge Garde dans L' Humanité, puis Laurence Beneux dans Le Figaro, révèlent l'existence du CD-Rom de Zandvoort contenant 8500 documents pédosexuels, et d'un fichier établi par la police hollandaise à partir du CD-Rom, avec 472 photos de mineurs. Qui sont ces enfants en danger ? Des journalistes, des parents, des associations et des professionnels de l'enfance, faute d'obtenir des enquêtes adaptées, vont rechercher et identifier une vingtaine des enfants du fichier. Du côté des institutions, police et justice, c'est la gêne, le dénigrement et parfois la désinformation pour masquer une dépénalisation de fait de la pédosexualité dans de nombreux dossiers. Avec, ponctuellement, des actions très médiatisées pour répondre aux exigences d'une opinion publique qui refuse désormais le silence. Dans une Europe traumatisée par l'affaire Dutroux, le CD-Rom devient en France un formidable révélateur de problèmes : pourquoi le déni actuel, comment lutter contre les réseaux à l'époque d'Internet ? Un deuxième CD-Rom contenant des scènes de viols et de tortures díune violence inouïe est transmis par Laurence Beneux et deux journalistes de Canal + à la justice. Une information aurait été ouverte début 2001 sans que personne n'en soit informé. Dans leur conclusion, les auteurs annoncent qu'il existe plus de 20 CD-Rom issus de l'enquête de Zandvoort ! Qu'en faire, alors que la justice semble tétanisée ? Une enquête implacable. Laurence Beneux et Serge Garde, journalistes,
ont, après leurs révélations, poursuivi leurs investigations.
4 - Présentation de "Le livre de la honte : Les réseaux pédophiles" de Laurence Beneux, Serge Garde, Le Cherche Midi Editeur, Paris 2001. Le livre de la honte : Les réseaux pédophiles Introduction " Pourquoi écrivez-vous ce livre ? " La question nous a été posée au cours de sa rédaction, par une mère qui nous apportait un énième dossier de maltraitance d’enfants. " Vous avez révélé l’existence du cdrom de Zandvoort dans nos journaux respectifs, Le Figaro et l’Humanité. Qu’espérez-vous de plus ? Pourquoi y revenir ? " Questions pertinentes qui nous ont fait réfléchir. Ce livre, nous ne l’avons pas uniquement conçu pour prolonger notre enquête médiatique. Peut-être l’avons-nous écrit parce que nous ne sommes pas seulement des journalistes. Nous sommes aussi parents et citoyens. Et nous ne pouvions assister à l’enterrement programmé de cette affaire sans réagir. Des réseaux prostituent, violent, et vont parfois jusqu’à tuer des mineurs. Des enfants d'ailleurs. Des enfants d'ici, également. Une réalité longtemps niée, et toujours contestée. Ignorée puisque les moyens mis en œuvre pour lutter contre ce fléau étaient et restent dérisoires. Ignorée car l’indicible paraît toujours impossible. Résultat, ce qui devrait être une priorité absolue, la protection de l'enfance contre des prédateurs organisés, semble le cadet des soucis de nos institutions. Lorsqu’un officiel parle, c’est pour mettre en avant la vanité des efforts réclamés. Nous vivons à l’époque d’Internet et, à croire certains, personne ne dispose d’un moyen de contrôle et d’intervention efficace sur le web. Les photos pornographiques impliquant des mineurs s'échangent par centaines de milliers. Chacun de ces clichés révèle un enfant en danger et masque un photographe prédateur. Chaque image échangée sur Internet implique un expéditeur et des récepteurs. Mais l’existence des réseaux n’a toujours pas suscité la mise en place des mesures adaptées, de la part de ceux à qui nous confions la sécurité de nos enfants. Nous, journalistes, des enfants abusés au sein de réseaux pédosexuels, nous en avons rencontré des dizaines. A leur tragédie, s'en ajoute presque toujours une autre : celle de ne pas être reconnus comme victimes, celle de ne pas être entendus. Avec en prime, la culpabilité d'avoir entraîné leur entourage dans une tourmente désespérée et désespérante. Une succession d’expertises judiciaires, de procédures, d’accusations de mensonge, de douloureux récits d'atrocités, la plupart du temps pour rien. Les voix qui tentent de s'élever, se retrouvent niées ou étouffées. Une mécanique qui génère un formidable sentiment d’injustice et d’impuissance. Des jeunes regards vides, ou remplis de souffrance et de peur, nous en avons trop vus. A l’âge où leurs petits camarades apprennent la vie par les jeux, des enfants parlent de la mort comme d’une délivrance. Certains passent à l'acte. D’autres survivent en coupant les ponts avec les adultes. En se réfugiant dans un monde meilleur ou moins pire, en fonction de ce que leur imagination leur permet. Pourquoi parleraient-ils, ces gosses, puisque de toute façon, "on" ne les croit pas? " Prudence ", entendons-nous sans relâche. Dénoncer un innocent est grave. Certes ! Mais ne pas reconnaître une victime l'est tout autant. La vie brisée d’un enfant sexuellement abusé, ne peut se reconstruire. Et toutes les conditions restent réunies pour que les crimes se perpétuent. Faut-il le rappeler , au 1er Congrès mondial sur l’exploitation sexuelle des enfants qui s’est tenu à Stockholm en 1996 à l’initiative du groupement d'ONG " Child Prostitution in Asian Tourism" et de l’UNICEF, des chiffres ont été avancés : un million d’enfants seraient prostitués sur la planète. 50.000 pédosexuels dangereux agiraient aux USA. 500.000 dans le reste du monde. Le chiffre d’affaires de cette industrie
du sexe impliquant des mineurs, est estimé en milliards de dollars
: " tous les moyens sont bons, corruption, enlèvement, faux
papiers, mariages et adoptions fictifs, violence et asservissement "
précise un document du congrès de Stockholm. Un constat
dramatique. L’idée prévaut en France que ces phénomènes
concerne les autres pays. Deux études canadiennes et deux autres
aux USA aboutissent à la même conclusion : de 16 à
17 % des garçons subissent des agressions sexuelles. On serait
en peine d’établir une comparaison avec la situation en France.
Faute d’études. Cette affaire a également permis de donner un écho aux témoignages de plusieurs petites victimes. Des voix qu’il est urgent d’écouter, même si elles sont difficiles à entendre. N’est-ce pas le respect minimum que nous devons au courage de ces enfants et de ceux qui les défendent ? Ils nous apprennent à regarder une face occultée, honteuse de notre société. Ils se battent pour que les choses changent. Grâce à eux, d'autres oseront parler. Grâce à eux, d'autres seront sauvés. Nous leur sommes redevables. Nous avons vu des images atroces. Des images que vous ne verrez sans doute jamais, mais qui existent. Nous les avons vues pour vous et nous en témoignons. Des réseaux font commerce d'images de viols de bébés, de meurtres, de tortures. Nous avons vu des images d'enfants pleurant ou totalement inertes, attachés par des chaînes, avec des aiguilles enfoncées dans les parties génitales, des électrodes, des colliers cloutés autour du cou. Le vagin ou l’anus de gosses de 1, 2 ou 3 ans, défoncé par un sexe d'adulte ou différents objets. Des images de ce genre circulent par milliers.
Quand on les voit, rien ne devient plus important, dans un pays de droit
que de mettre tout en œuvre pour sauver ces enfants, et neutraliser
les criminels. Cette lutte devrait être une priorité de tout
premier plan. Et pourtant… Pourtant, si nous avons parlé de ce document, ce n'est pas uniquement à cause de l'horreur qu'il recèle et qui doit être dénoncée. Le pire existe, nous le savions. Tout le monde le sait. Dans l'histoire de l'humanité les élans d'amour, les gestes d'héroïsme les plus sublimes côtoient des actes d’une horreur indicible, d’une cruauté sans nom. Des insultes faites à la vie, que l'esprit refuse d’admettre. Le cdrom de Zandvoort nous a horrifiés. Nous avons souffert de ces images. Jusqu’à la nausée. Derrière chaque image, nous savions un enfant en péril. Un enfant de chair, qui souffre et n’a rien de virtuel. Mais avant tout, l'histoire de ce cdrom nous semble
emblématique. Le réseau révélé à
Zandvoort n'est probablement pas pire que d’autres. Mais cette affaire
révèle le degré d’indifférence de l'Etat
face à ce type de criminalité. A ce stade, la passivité
et les lourdeurs institutionnelles confinent à la complicité
de fait. Notre société se dit préoccupée
par la pédocriminalité organisée. Ce ne sont pas
les moyens mis en œuvre pour lutter contre qui le démontrent.
Ils étaient et demeurent dérisoires. Lorsqu’enquête
il y a , les zones d'ombre s’avèrent impressionnantes. Et
les errements judiciaires, ahurissants. Dans nombre de ces dossiers, le
système judiciaire semble marcher sur la tête. Quand elles
ne sont pas carrément déclarées folles, les victimes
sont trop souvent présumées fabulatrices. Au cours de l’enquête,
on leur demande toujours plus. Comme si la charge de la preuve leur incombait.
Quant aux activités criminelles, elles se perpétuent des
années après leur dénonciation. Chaque société génère des criminalités à son image. Et qu’elle mérite, ajoutera le moraliste. Le vol de biens matériels, délits bien visibles, sont lourdement sanctionnés en France, en ce début de siècle. Les crimes pédosexuels aussi, nous objectera-t-on. Exact. Les tribunaux ont souvent la main lourde dans des affaires d’incestes et de pédophilie. Les coupables sont presque toujours traités en pervers individuels. Mais les réseaux ? Difficile de les mettre à jour, puisqu’on les cherche si peu. Nous savions, en publiant nos articles, que nous allions déranger. Mais pas à ce point. Nous avons sous-estimé plusieurs facteurs, en publiant notre enquête dans l’Humanité puis dans le Figaro. Nous avons mal évalué la difficulté pour des magistrats d’appréhender la complexité d’un réseau criminel, qu’il soit pédosexuel ou financier. De même, nous n’avions pas perçu le dogme qui règne dans de nombreux palais de justice : celui de l’inexistence de la prostitution organisée des mineurs. Enfin, et cela , nous aurions dû y penser, l’affaire du cdrom avait peu de chance d'être prise en compte en France, puisque le document était originaire de l’étranger. Une tare pour des administrations débordées qui ne supportent pas que l’on importe un dossier. Encore moins quand il risque de les mettre en porte à faux. Quant à nous, journalistes, nous devenions, de fait, les passeurs d’un immigré clandestin particulièrement indésirable : un cdrom. Pourquoi avons nous rédigé ce livre ? Pour informer. Pour vous alerter. Pour dire à ceux qui partagent la responsabilité de la situation actuelle, que nous ne sommes plus dupes. Et que l’ère de l’impunité de la pédocriminalité organisée est en passe de s’achever. Ce qui va être déterminant, c’est le poids de l’opinion publique. Votre intervention en tant que citoyenne et que citoyen. Ce livre participe à ce vaste débat. Il ne nous appartient pas d’apprécier l’importance de cette contribution. Simplement, ce livre, nous devions l’écrire, pour ne pas payer, nous aussi, notre dîme à l'insouciance tranquille et complice du silence.
5 - Liens avec d'autres articles du site aredam.net,
traitant de la pédophilie institutionnelle.
15 janvier 2008, Lettre ouverte à Mme Régina LOUF, ex-enfant violée, martyrisée, survivante d'un réseau du pouvoir, en Belgique, réseau belge qui ne fait que refléter ce qui existe partout dans le monde, ce qui a toujours existé. Mme Régina LOUF qui a eu le courage de témoigner et d'écrire un livre, et qui publie aussi sur un site internet, expose ce qu'est la réalité de toute forme de pouvoir, et la réalité de ce qu'est tout homme de pouvoir. L'expérience de Mme Régina LOUF dévoile ce qu'est la domination, l'esprit de domination, et quelle est la nature véridique de toute société fondée sur la hiérarchie et la domination, comme notre propre société, qui se masque derrière le droit et la démocratie, et le respect des êtres humains et de la vie. http://www.aredam.net/regina-louf.html
12 janvier 2008, La pédophilie d'Etat, ceux de la haute qui mangent les enfants ; les ogres : La pédophilie, ou plutôt
l'organisation complexe d'enlèvements, la séquestration,
le viol, la torture et le meurtre d'enfants, des deux sexes, est devenue
un mode majeur de cooptation, d'intégration, au sein de la caste
dirigeante internationale. Ceux qui fournissent les enfants sont de temps
à autre inquiétés, et sont parfois réprimés,
pour donner le change, quand on ne peut faire autrement ...
15 novembre 2007, (http://www.aredam.net/divers.html) Monument parisien, situé
au niveau du 52 de la rue Louis Blanc dans le 10ème arrondissement,
entre les stations de métro La Chapelle et Louis Blanc. Ce monument
est un hommage aux vrais amis des enfants, qui sont ceux qui aiment réellement
les enfants et ne leur feraient jamais de mal, et non aux pédophages,
ceux qui les dévorent, comme le font certains membres de la classe
du pouvoir occidentale, qui usent des enfants du Tiers Monde (principalement
pour la classe politico-financière française : le Maroc
et la Tunisie), pour assouvir leurs besoins sexuels, ou comme les tenants
de la médecine-pharmacie occidentaux, qui usent des enfants du
Tiers Monde pour leur voler leurs organes, ou se servir d'eux pour tester
des médicaments. Il serait peut-être bon que le maire de
Paris, M. Bertrand Delanoë, qui a fait apposer ces multiples plaques
noires sur les écoles primaires à Paris, pour commémorer
la déportation des enfants juifs par les nazis, ordonne d'apposer
au moins une unique plaque à côté de ce monument rayonnant
la joie de vivre, et ce que devrait être le lien de confiance et
d'amour entre adultes et enfants, en hommage aux enfants du Tiers Monde,
victimes sexuelles de l'élite occidentale financière et
politique, et victimes des tenants de la médecine et des laboratoires
occidentaux, qui volent leurs corps. (Voir à ce sujet la lettre
du député tchadien Ngarléjy Yorongar,
au sujet de l'affaire de l'Arche de Zoë : Voir
Trois vues de ce monument. Voir
trois vues suivantes. Voir
les quatre dernières vues. [Copie du texte ci-dessus et des photographies, envoyées le 15 novembre 2007, à la Mairie de Paris, à l'attention de M. Bertrand Delanoë, maire de Paris, pour pétition, sous pli simple].
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