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Ce qu’apprend sur le psychisme profond le procédé des « visites domiciliaires » employé par les services secrets pour détruire discrètement les dissidents, et sur ses applications possibles bénéfiques, ou, ce qui détruit guérit. (Nota : Ce texte est la partie n° 5 du texte
global suivant :
Les spécialistes dans l’étude et la manipulation de l’esprit humain que les services spéciaux emploient, ont retrouvé d’instinct, dans le cas du procédé dénommé « visites domiciliaires », le niveau des déterminations psychiques les plus profondes chez l’homme, et tentent de manœuvrer les forces qui y demeurent. Il est probable qu’ils agissent eux-mêmes de façon totalement inconsciente. Ce procédé de « visites domiciliaires » était inclus par la police politique de l’ex-RDA, la fameuse Stasi, dans le cursus intitulé « destruction de la personnalité » dispensé à son institut central de formation policière. Ce procédé était considéré comme essentiel pour détruire les dissidents. Ceux qui habitent une campagne où l’antique tradition de la sorcellerie n’a pas encore disparu, et qui ont été victime d’actes de sorcellerie, savent que le procédé de la Stasi n’est qu’une résurgence des procédés de sorcellerie. Comme quoi l’homme moderne ne l’est pas tant que cela. Les procédés de sorcellerie visent à réactiver chez la cible l’une des peurs fondamentales de l’homme, celle d’être pénétré par des animaux minuscules, comme les insectes, d’être dévoré vivant de l’intérieur. Ces procédés de sorcellerie ont pour but d’obséder la cible en introduisant dans son environnement intime (à la campagne sur ses terres, dans son jardin, dans sa boîte aux lettres, dans son domicile si possible, dans sa literie, dans son linge etc …), des éléments étrangers visibles quoique discrets, qui tendent à lui prouver qu’il est envahi jusqu’en son intérieur le plus profond. On retrouve ce même type de peur fondamentale, qui date sans doute de plusieurs millions d’années, quand l’homme vivait en symbiose avec les autres espèces, et cohabitait étroitement avec les insectes, dans les films d’horreur, qui selon l’imagination des scénaristes évoquent des vers qui rongent et pénètrent dans le corps et qui mangent de l’intérieur leur victime, ou dans le film de science-fiction Alien, le monstre extra-terrestre qui pond son œuf dans un humain. S’introduire au sein du domicile de quelqu’un, de façon permanente, s’installer dans son espace le plus privé, à l’intérieur de lui-même, se rapporte à l’une des peurs fondamentales de l’être humain, celui d’être dévoré de l’intérieur par les insectes. Cette peur qui est devenue inconsciente, est inscrite dans les gènes, et transmise par le matériel génétique. L’éducation, l’apprentissage n’ont rien à voir avec cette peur. Ce qu’exposent par les « visites domiciliaires » les experts viciés en manipulation psychique des services spéciaux est que pour atteindre le mental d’un individu, il faut travailler au niveau le plus profond de son esprit. Ce niveau est le cerveau archaïque, dénomination choisie par opposition au cerveau dit moderne, le néo-cortex, la couche superficielle, dite matière grise, épaisse de quelques millimètres, réputée être le siège de la pensée abstraite, du langage, du raisonnement, de la logique, de la formation des images, de la capacité à écrire, à parler, des fonctions dites complexes, supérieures. Au niveau du cerveau archaïque, la pensée n’est pas formulée, il n’y a même pas de formation d’images, ni de raisonnements logiques. Il n’y a que des sensations, des sentiments, des émotions. Pour transformer le psychisme d’un individu, s’en rendre maître, l’influencer, il faut travailler au niveau du cerveau archaïque, et apprendre à communiquer non pas par le langage parlé, par des phrases, une grammaire, ou encore par des images, des représentations visuelles, ce qui donne le dessin, la peinture, ou la sculpture, mais par le langage des émotions, des sensations, des sentiments. Cela a été la gigantesque erreur de la psychologie et de la psychanalyse de rester au niveau du cerveau superficiel, dit supérieur, moderne, et de son espace intellectuel. Le cerveau archaïque est au-delà de l’intellectuel. Par les émotions, les sentiments, les sensations, l’homme se relie au plus profond de l’univers, à tout ce qui existe, que ce qui existe soit de dimension cosmique, l’univers, les galaxies, les étoiles, l’espace infini, et les forces gigantesques qui y demeurent, mais aussi à l’infiniment petit, de la dimension même des corpuscules fondamentales qui composent selon les scientifiques actuels les éléments de base des noyaux atomiques, et leurs interactions, par des forces infimes. A travers ce procédé de destruction de la personnalité des services secrets dénommé « visites domiciliaires », se dégage la direction à prendre pour créer une science de l’esprit dont le but doit être de libérer l’homme de son conditionnement, de tout conditionnement, de le rendre libre de choisir ses propres idées, ses opinions, de le guérir de ce qu’on nomme maladies mentales, ces maladies n’étant que les conséquences des conditionnements sociétaux et intra familiaux, de le libérer de tous les conditionnements culturels, politiques et religieux. On peut remercier les esprits viciés des services secrets pour leur exercice de ce procédé développé par le fameux Marcus Wolf, le directeur de la Stasi. Ils nous ouvrent la voie vers le seul progrès essentiel que doit accomplir l’homme, devenir maître de son esprit, maître de lui-même. Une piste avait été déjà donné intuitivement par George Orwell, dans son roman 1984. Cette piste était exposée lors de la séquence où le héros (Winston Smith) est soumis à une ultime torture pour le briser, dans le but de le convertir au régime, en lui infligeant un châtiment, dans son cas d’avoir le visage dévoré par des rats, qui pénètrent ensuite par sa bouche dans son corps, et le dévorent de l’intérieur. Le tortionnaire expliquait doctement avant de procéder au supplice, que le châtiment était différent pour chacun, et parfois était anodin, non spectaculaire, et peu effectivement destructeur. En fait ce châtiment se rapporte aux émotions fondamentales archaïques qui forment le psychisme fondamental, les fondations mentales de l’être humain. Parmi les autres émotions fondamentales qu’on peut facilement discerner car elles se réactivent lors de l’état de sommeil paradoxal, dans ce qu’on nomme les rêves, état où le cerveau profond prend le dessus sur le cerveau superficiel (ce dernier ne faisant que les réduire en les transposant par des images, des paroles et des sons), en voici quelques-unes : Emotion de chute, de vertige, de vol Emotion de mise à mort, d’amputation, d’écrasement Emotion de perte (d’un objet ou autre) Emotion de chasse, de fuite, de capture Emotion de décorporation Emotion d’accouplement On peut ressentir ces émotions à l’état de veille. La voie est ouverte pour la recherche de procédés visant non pas à détruire le psychisme, mais à l’amender, à l’épanouir, à le faire venir à maturité. Cette recherche sera l’objet de la suite de ce texte.
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