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Refus enregistrement plainte.

 

Michel Dakar

 

Paris, le 30 septembre 2005

 

LRAR n° 0559 1065 5FR

Palais de Justice de Paris
Cabinet de la doyenne des juges d'instruction,
Mme Fabienne Pous
4, Bld du palais – 75001 Paris

 

Objets : procédure à l'adresse de la Cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg, introduite par une plainte avec constitution de partie civile pour faux, acte de génocide et crimes contre l'humanité,

 

à l'encontre du CRIF , Conseil représentatif des institutions juives de France,

 

plainte déposée auprès de la justice française, et diffusion publique immédiate de cette procédure.

 

 

Madame,

Je dépose plainte en me constituant partie civile contre le CRIF, en la personne de son président M. Roger Cukierman , organisation dont le siège est situé 39 rue de Broca 75005 Paris, pour fabrication de faux selon les termes des articles 441-1 et 441-2 du code pénal, et acte de génocide et crimes contre l'humanité , selon les termes des articles 211-1, 212-1 et 212-3 du code pénal.

Je rejette dès avant, toute demande d'argent - que vous dénommez consignation - de votre part, la justice étant par essence non vénale.

Je demande en dédommagement la publication dans les médias de masse : Le Monde, Libération, TFI, Antenne 2, France-inter et Europe 1, de l'intégralité du jugement concernant cette affaire.

Les faits :

Le 31 mai 2002, je déposai une plainte à l'encontre de l'Agence Juive de France, pour crime contre l'humanité pour la déportation des Palestiniens, par l'organisation de l'immigration de Juifs français, dans les territoires palestiniens reconnus par l'ONU.

Je rendis immédiatement publique cette plainte.

Le 18 juin 2002, j'étais convoqué par la police (Brigade d'enquêtes sur les atteintes à la personne - BEAP, actuelle Brigade des affaires sanitaires et des libertés publiques – BASLP, sise 122-126 rue du Château-des-Rentiers à Paris 13 ème ).

La BEAP était dirigée à l'époque par le commissaire Thomas de Ricolfis.

La raison de cette convocation qui me fut communiquée, était une plainte dirigée contre X de la part du CRIF, pour diffusion de documents écrits à caractères antisémites. Mais le CRIF avait aussi porté plainte pour menaces de mort, et on ne me m'informa pas de cette incrimination beaucoup plus grave.

Or, pour fonder matériellement cette plainte pour menaces de mort, le CRIF a forcément dû fabriquer un ou des documents écrits supposés provenir de ma personne, et comportant à son adresse des menaces de mort.

Cette plainte pour menaces de mort, fondée sur un ou des documents inventés par le CRIF, dont je serais l'auteur, a été élaborée par le CRIF, dans le but de masquer le génocide et les crimes contre l'humanité, en cours en Palestine, mis en œuvre entre autres par l'Agence Juive en France, une organisation qui est représentée par le CRIF.

La plainte à mon encontre du CRIF est donc en réalité une manœuvre visant à permettre la perpétuation du génocide et des crimes contre l'humanité de Palestine.

J'appris incidemment l'existence de cette plainte pour menaces de mort, qui quoique déposée contre X me visait personnellement, en consultant mon dossier judiciaire dans le cadre d'une autre procédure, et cela seulement en février 2005.

Ce dossier comportait le procès verbal d'une audition à la BASLP , qui eut lieu le 17 décembre 2003.

Dans ce procès verbal apparaît cette phrase «  Mentionnons que le nommé Michel DAKAR est également mis en cause dans le cadre d'une procédure diligentée par la BEAP pour des faits de menaces de mort et d'injures antisémites » (PV 2003/00717, page 8, réalisé par le lieutenant de police Patrice Chacun).

Par une lettre datée du 28 février 2005, j'ai interpelé le Procureur de la République au sujet de cette plainte. Il l'a classée sans suite le 12 mars 2005, en m'en informant par un courrier - daté lui - du 11 mars 2005.

Cette plainte pour menaces de mort, déposée prudemment contre X par le CRIF, pour se prémunir contre une éventuelle procédure à son encontre en retour, mais de fait dirigée contre moi, est donc restée secrète , et pendante de juin 2002 à février 2005, et le serait encore si je n'étais pas intervenu énergiquement.

Je n'ai toujours pas pu prendre connaissance à ce jour du ou des documents constituant ma ou mes menace/s de mort adressée/ées au CRIF.

Ni en juin 2002, ni en décembre 2003, l'officier de police en charge de cette plainte, la commandante Gisèle Arbaud Boggio, attachée à la BEAP /BASLP, ne m'a informé de l'existence de cette plainte pour menaces de mort.

La commandante Arbaud Boggio est une très proche collaboratrice du milieu sioniste, selon les propos qu'a laissé sur l'enregistreur de mon répondeur téléphonique, le rabbin Gabriel Farhi, en juin 2002. Ce rabbin est passé à la postérité pour sa fausse agression antisémite au couteau, qu'il a très malhabilement exécutée de son propre chef, et dans sa propre synagogue, le 3 janvier 2003. L'enregistrement de sa voix sur mon répondeur est toujours en ma possession.

Il est de même de notoriété publique que la BASLP agit en étroite collaboration avec le CRIF.

Le procédé de fabrication de faux compromettants, tels que des fausses menaces de mort, des fausses injures antisémites, est coutumier des organisations sionistes.

A ma connaissance, et simplement dans mon entourage immédiat, je peux faire état de deux cas de ce genre.

L'un s'est soldé par 6 mois de prison effectués par la victime de cette machination et par la perte de son emploi (dans ce cas il s'agissait de lettres soi-disant adressées à la LICRA et au MRAP). Il y eut même une tentative avortée pour traduire la victime devant une juridiction spécialisée dans le terrorisme, afin sans doute d'aggraver sa peine.

L'autre cas est actuellement en cours d'instruction au Palais de justice de Paris, et dans cette affaire, les menaces écrites, encore soi-disant adressées à la LICRA et au MRAP, ont été soi-disant accompagnées de balles.

Les sionistes semblent vouloir ajouter à leurs incriminations habituelles de menaces de mort et d'injures antisémites, celle de menées en relation avec une entreprise terroriste, afin de décupler les peines encourues.

Le CRIF est en passe de devenir ce qu'on nommait en France, sous l'occupation nazie, le Tribunal d'Etat.

Les juridictions françaises sont en passe d'être incluses dans celle du Tribunal de sûreté d'Etat du CRIF.

La BASLP qui est un service de police reconnu par tous comme politique, est maintenant de façon patente dédié à la répression des opposants au sionisme et à l'achèvement de son génocide de Palestine.

Le commissaire Thomas de Ricolfis, qui est son ancien chef, dirige maintenant le bureau français d'Europol, consacré principalement à la soi-disant lutte contre le terrorisme islamique.

Ce terrorisme n'est qu'un terrorisme d'Etat maladroitement maquillé en terrorisme islamique, dont les auteurs sont à trouver au coeur des gouvernements nord-américain et israélien, auxquels obéissent les administrations judiciaire et policière européennes, dont les françaises.

« Al Qaïda » (ce qui signifie « le réseau » en arabe), est le nom véritable de ce régime totalitaire et biocidaire policier secret qui à présent domine et extermine la vie sur notre planète, qui dénie sa propre existence, qui interdit d'être nommé.

Cela rappelle la période soviétique, qui a commencé avec les procès de Moscou ordonnés par Staline en 1936, et qui s'est terminée grâce à Khrouchtchev en 1953.

On avait inventé, dans le but de perpétuer un régime de plus en plus déliquescent, corrompu, catastrophique, impopulaire, et de plus en plus en opposition flagrante avec sa façade socialiste, des ennemis intérieurs, des traîtres conjurés, des conspirateurs établis en un réseau international, qu'on chargeait des tares propres au régime, qu'on décorait des traits de caractère monstrueux de ses dirigeants.

Voilà au sujet de la justice de ce régime, deux extraits du livre « L'aveu », d'Artur London, l'une des victimes tchèques de ces exactions :

«  Comment est-il possible que des juristes, parmi les plus responsables, ces hommes dont la fonction et le devoir sont justement de faire respecter la loi et appliquer la législation en vigueur, aient pu accepter avec cette servilité d'être les instruments conscients de l'illégalité et de l'arbitraire ? Les Droits des citoyens inscrits dans la Constitution , et pour la conquête desquels des générations ont versé leur sang, sont inséparables de la Démocratie et encore plus du Socialisme. Ceux qui avaient prêté serment de s'en faire les champions ont accepté de pactiser avec nos bourreaux et de donner à la chasse aux sorcières, aux débats de ce tribunal qui sent le fagot, une couverture légale.

Ils ne sont pas simplement dociles. On ne peut nier leur zèle . » (page 294, Edition Gallimard 1969, collection Témoins).

«  Les voilà, les chevaliers des temps modernes, champions des innocents, des faibles, des veuves et des orphelins ! Si de très nombreux magistrats et juristes tchécoslovaques ont préféré se faire laveurs de voitures ou mineurs, métallurgistes ou concierges plutôt que se parjurer - pour ceux qui ont accepté la législation nouvelle en matière de justice instaurée par les meneurs de jeu de Ruzyn, nulle différence ne peut être établie entre eux et les « juges » qui communiquent les peines.  » (page 316, Edition Gallimard 1969, collection Témoins).

Je déclare sur l'honneur m'engager à fournir tous les documents écrits probants relatifs à cette affaire, éventuellement à un juge français chargé de son instruction, et dans tous les cas, à ceux de la Cour européenne des droits de l'homme de Strasbourg.

A ce stade de la procédure, et au regard, Madame la doyenne des juges d'instruction de Paris, Fabienne Pous, de votre persistance à me réclamer de l'argent à chaque dépôt de mes plaintes à votre cabinet, cela au nom d'une notion impossible en droit , soit la condamnation anticipée (ce que vous vous plaisez à dénommer «  consignation  »), je considère comme parfaitement inadéquat de vous les communiquer.

Je vous prie de recevoir, Madame, l'expression de mes salutations distinguées.

 

M. DAKAR

 

Lettre du procureur classant sans suite la plainte du CRIF pour menaces de mort
(Constatez l'absence de précisions concernant l'auteur de la plainte et son motif. En lisant cette lettre, on ne sait même pas qu'il s'agit d'une plainte, et bien sûr contre qui elle a été portée. Il s'agit là d'une acte manifeste de couverture du procureur envers le CRIF).
Voir cette lettre.

 

Copie du procès verbal du 17 décembre 2003, où apparaît cette mention d'une plainte portée pour menaces de mort.
Voir ce procès verbal.

 

"Soit-transmis", issu d'un dossier judiciaire, où apparaît la procédure secrète pour menaces de mort.
Voir cette pièce.

 

Copie d'un dessin (un chandelier à sept branches avec des flammes en forme de croix gammées) que les organisations sionistes envoient à la police, pour essayer de faire poursuivre leurs opposants pour injures antisémites.
Voir le dessin.

 

Lire les messages laissés par le Rabbin Gabriel Farhi, sur le répondeur. Lire.

 

 

Lire le ou les commentaires, trouvés sur le site stcom.net, qui a publiée cette plainte :

Commentaire n°1 :

michel dakar le RG provocateur (Score: 1)
par Ezzedineelkassem le 03 octobre 2005 à 16:46:43 EDT

CE Personnage qui a tenté de discréditer un frère de ma connaissance en risquant de lui faire perdre son emploi est un ESCROC faussement en sympathie quant à notre cause ISLAMIQUE il ne mérité ni compassion ni sympathie et par sa maladie mentale sert les intérêts de la MAFIA SIONISTE.

 

Informations trouvés au sujet du frère Machinchosekassem, sur le site stcom.net :

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Ndlr : Le frère Ezzedineelkassem ressemble fort à un blaireau qui nous a collé fortement aux fesses un moment, qu'on a d'ailleurs pour cette raison surnommé entre nous " La Glue ", et qu'on a fini par décoller à coup d'eau chaude. Il avait la particularité de pomper du fric à tout le monde ( ou de tenter de le faire ), particulièrement aux jeunes femmes innocentes et naïves, et de vouloir qu'on lui téléphone comme des agents secrets à des numéros de cabines téléphoniques. Il n'arrêtait pas aussi de manger des pâtisseries, et de fumer cigarettes sur cigarettes. Il racontait beaucoup de choses sur lui et quand on vérifait, on s'aperçevait que tout était imaginaire. On constate qu'il sévit sous pseudo sur stcom, en reprenant la terminologie, les idées et quasiment les textes des autres. Bizarre. Bizarre. Salut "La Glue", toujours aussi collant ? Et bedonnant ! La prochaine fois, si tu n'es pas sage, on mettra tes initiales.