Communiqué
LA PSYCHIATRISATION POLITIQUE S'INSTALLE EN FRANCE La Préfecture de police de Paris teste la psychiatrisation de l'antisionisme, ou, la création d'une nouvelle maladie mentale : l'antisionisme
Michel DAKAR est un militant politique engagé dans la dénonciation du génocide des Palestiniens, génocide opéré par les sionistes. Michel DAKAR est un militant politique antisioniste. Michel DAKAR vient de recevoir une convocation à se rendre à un centre psychiatrique de Paris pour, selon l'infirmier qu'il a joint par téléphone, s'y voir ausculter afin de décider si l'état de Michel DAKAR nécessite un suivi psychiatrique et des soins. Cette convocation a pour origine l'Infirmerie spéciale de la Préfecture de police de Paris, de triste renommée. Sur cette convocation, qui émane de l'Hôpital Maison Blanche, il est spécifié : "suite à vos différents courriers aux autorités, nous vous proposons de vous rencontrer ..." (Voir cette convocation), (http://www.aredam.net/convoc-3.html) Cette convocation fait suite à deux convocations
émanant du Commissariat de police du 18ème arrondissement,
en raison de la lettre qu'a adressée Michel DAKAR, au sujet de
l'agression de Ginette Hess Skandrani, agression opérée
par des terroristes sionistes, à son domicile, agresseurs qui bien
que connus par la police, jouissent de l'immunité policière
et judiciaire, et continuent de persécuter de diverses manières
Mme Hess Skandrani. L'affaire de l'agression de Mme Hess Skandrani, et de la complicité de certains services de police avec les agresseurs ne peut donc plus être enterrée. Mais il y a aussi autre chose qui ennuie le Préfet, c'est l'affaire de l'association CODEIG (Compréhension et dépassement de l'idée de génocide), déposée à la Préfecture de police de Paris par Michel DAKAR, association que le Préfet, M. Pierre MUTZ, a tenté de faire interdire par la justice civile de Paris, laquelle a par deux fois, et définitivement rejeté la demande du Préfet. En dépit de la décision des juges, M. le Préfet de police de Paris, qui ne respecte pas l'autorité de la chose jugée, le droit et les juges, quand il s'agit de sionisme, persiste à bloquer la parution au Journal officiel de l'association CODEIG. Il faut aussi dire que la procédure intentée par le Préfet via le Procureur à Paris, était totalement en contradiction avec le droit constitutionnel, que cela revenait à détruire la Constitution française que cette procédure remettait fondamentalement en cause, et que les juges ne l'ont pas accepté. Cela fait beaucoup de choses que le Préfet de police de Paris, M. Pierre MUTZ, a à reprocher à Michel DAKAR, qu'il n'arrive pas à "coincer" légalement. Alors, il a passé le relais à des médecins aux ordres, comme dans l'ex-URSS, ceux de l'Infirmerie spéciale de la Préfecture de police de Paris, et de l'Hôpital Maison Blanche de Paris. Voilà où nous en sommes au pays des droits de l'homme, qui sont en train de devenir, les droits de l' "homme supérieur", ceux de l' "homme sioniste", sur les inférieurs, les "hors le droit". Et ceux qui n'apprécient pas sont déclarés "fou" Ceci est particulièrement grave. Ce qui arrive à Michel DAKAR va arriver à terme à chacun d'entre nous.
Il appartient à chacun d'entre nous, immédiatement de réagir, tout d'abord en faisant circuler cette présente information.
Voir la première convocation au commissariat du 18ème arrondissement (http://www.aredam.net/convoc-1.html) Voir la deuxième convocation au commissariat du 18ème arrondissement (http://www.aredam.net/convoc-2.html) Voir la convocation chez les psychiatres du centre L'intermède, de l'Hôpital Maison Blanche , (http://www.aredam.net/convoc-3.html) Voir la lettre au Préfet relative à l'agression de Mme Hess Skandrani. (http://www.aredam.net/prefet-paris-mutz-terrorisme-sionisme-impunite.html) (http://www.aredam.net/parution-codeig-mutz.html) Pour comprendre l'affaire CODEIG, aller au site internet : Pour suivre l'affaire CODEIG, aller au fichier suivant : http://www.aredam.net/conscience.html
Communiqué paru au fichier : http://www.aredam.net/psychiatrisation-antisionisme.html
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