Lettre ouverte adressée au Préfet de police de Paris, Pierre MUTZ, lui intimant l'ordre de respecter la loi, le droit, la Constitution, afin qu'il se plie aux deux jugements du Tribunal de Paris, en faveur de l'association CODEIG, association qui s'oppose au génocide des Palestiniens par les sionistes, association dont il refuse, en dépit des décisions des juges de Paris, la parution au Journal officiel. Son attitude de mépris ouvert du droit, de la Justice et de la Constitution, démontre que nous avons changé de régime, et que nous sommes sous celui d'une forme nouvelle de fascisme, un fascisme nommé "sionisme". Cette lettre est suivie des statuts de l'association CODEIG, anti raciste et anti génocidaire, que le Préfet n'a pas réussi à faire interdire.

 

 

1 - Lettre ouverte :

 

Michel DAKAR

 

Paris, le 5 février 2007


LRAR n° 73 553 030 3FR
Total des feuillets : douze ;

Monsieur le Préfet de police de Paris,
Pierre MUTZ
Préfecture de police de Paris
9, bvd du Palais – 75004 Paris


Ce présent document est à la fois une lettre ouverte, diffusée par voie postale, par e-mail et publiée sur le site internet aredam.net, et sur d’autres sites, et une demande adressée au Préfet Pierre MUTZ, au titre de la loi du 17 juillet 1900, avant procédure administrative pour « abus de pouvoir ».

Monsieur le Préfet de police de Paris


Malgrè un premier jugement non suspensif en date du 14 novembre 2005, ordonnant la parution de l’objet de l’association CODEIG (Compréhension et dépassement de l’idée de génocide) au Journal officiel (JO), association dont le crime est de dénoncer entre autres, le génocide des Palestiniens par les sionistes, et le racisme sioniste, vous refusez d’autoriser la parution au JO de l’objet de cette association déclarée à votre Préfecture.

Je vous adresse par la présente la copie du jugement en appel, lequel réitère le premier jugement, jugement en appel rendu le 21 novembre 2007 par la Première chambre civile de la Cour d’appel de Paris.

Je rappelle pour mémoire le courrier daté du 24 octobre 2005 que je vous ai adressé, courrier resté sans réponse de votre part.

Je rappelle pour mémoire que le chèque de parution d’un montant de 39,06 euros a été débité de mon compte le 6 décembre 2005.

Vous vous êtes parfaitement moqué du jugement rendu en première instance par le juge Jacques Gondran de Robert.

Allez-vous, Monsieur le Préfet de police de Paris, vous moquer de même du jugement en appel rendu par le juge Debû ?

Afin que vous puissiez mesurer les conséquences de votre façon de concevoir la Constitution de ce pays, la Justice, le Droit, les Juges, l’acte de génocide, le racisme, et éventuellement votre devoir, je communique au public et largement, la copie de ce présent courrier.

Il sera ainsi intéressant pour tous de connaître la réalité de notre changement de régime politique, passant de la démocratie à une nouvelle forme de fascisme, que j’ose nommer le « sionisme », lequel se camoufle derrière les dénonciations « vertueuses » du nazisme et de l’islamisme, deux illusions, l’une appartenant à un passé bien révolu et qui commence à être très lointain, passé artificiellement sans cesse réactivé, l’autre étant une pure création de la propagande du régime sioniste auquel visiblement vous avez accordé votre fidélité.

Cette lettre constitue de même, ma demande officielle adressée à vous-même, que vous autorisiez la parution de l’objet de l’association CODEIG au Journal officiel. Une conversation téléphonique ayant eu lieu entre moi-même et votre chef de service du Bureau des associations m’a bien confirmé que le blocage illégal concernant la parution de CODEIG au JO, provenait de vous-même.

Je souligne là, que comme le veut la loi, l’objet de CODEIG doit paraître au JO dans son intégralité, c’est à dire non censuré par « amputation ».

Je vous prie de considérer que la manœuvre consistant à tenter par la suite d’obtenir la dissolution de CODEIG par voie administrative ou autre, ne sera possible que si l’association aura vu son objet paraître au JO, et de plus dans son intégralité. En effet, comment demander la dissolution d’une association déclarée en préfecture, et dont le chèque de parution a été encaissé par l’administration du JO, si elle n’est pas parue au JO, et dans exactement les formes légales, soit non-censurée par l’amputation d’une partie de son objet, c’est à dire si elle n’a pas encore commencé à exister.

On pourra mesurer ainsi votre dépassement de toute limite de cohérence.

Dans l’attente de la suite sans aucun doute fructueuse pour tous de cette affaire enrichissante, qui dévoile au public notre réalité politique, réalité que notre nouveau régime fasciste, le « sionisme », veut à tout prix nous masquer, je vous prie de recevoir, Monsieur le Préfet de police de Paris, Pierre MUTZ, l’expression de mes salutations distinguées.

M. DAKAR

 

 

2 - Objet de CODEIG à faire paraître dans son intégralité au JO (le début de l’objet commence après le premier des guillemets, et se termine juste avant le second des guillemets) ; quatre feuillets :

 

« Définition préliminaire de CODEIG

L'association « Compréhension et dépassement de l'idée de génocide » – CODEIG, est un outil pour le travail de compréhension et de dépassement de la morale génocidaire judéo-chrétienne.

L'association CODEIG par ses statuts, conformément à l'article 2-4 du code de procédure pénale, disposera de l'exercice des droits reconnus à la partie civile en ce qui concerne les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité, à compter du délai de cinq ans après le dépôt de sa déclaration en préfecture.

Exposé de l'objet de CODEIG :

Il y a très longtemps, bien avant la venue de l'homme sur la planète Terre, bien avant même l'apparition des premiers animaux, des insectes, existaient des formes de vie " collaborantes ".

Ces formes de vie, au lieu de se combattre, s'unissaient, se liaient entre elles, afin de se renforcer, de se complexifier, de s'améliorer, de s'épanouir. C'est la forme d'être collaborant qui permit à la vie de se complexifier et de passer des formes de vie simples aux formes de vie complexes, formées par la réunion de plusieurs formes de vies individuelles, qui étaient séparées, à l'origine.

Puis, un accident survint, une maladie, une malformation apparue au cours de l'enchaînement des mutations des formes de vies se succédant les unes aux autres. Pour la première fois sur la planète Terre, une forme de vie non collaborante apparut, une forme de vie fondée sur la concurrence, sur l'antagonisme.

Les vies collaborantes qui occupaient jusque là toute la planète, ne purent résister à cette forme de vie nouvelle à laquelle elles ne pouvaient que proposer leurs propres apports et non s'opposer, ce qui rendait encore plus forte cette forme de vie concurrente, et lui donnait encore plus de capacité pour détruire les formes de vies collaborantes qu'elle rencontrait, jusqu'à parvenir à les remplacer toutes par sa propre descendance, uniquement fondée sur la concurrence.

Commença alors le règne universel de la peur. La peur devint l'énergie qui alimenta les actes de tous. Chacun agit uniquement par peur, celle des autres. La peur fut et reste jusqu'à présent la motivation unique des agissements de tous. La peur se renforça perpétuellement de la peur, et chacun devint dépendant pour exister du sentiment de peur, sans lequel il se transforme en un pantin auquel on a coupé les fils qui le maintiennent et qui le font mouvoir. Il fallait avoir peur pour trouver l'énergie de vivre, et vivre eut pour but de ressentir le sentiment de peur.

C'est ainsi que s'établit sur la Terre , la concurrence comme mode d'être, comme détermination morale, et c'est le stade final de cette phase de l'histoire que nous subissons, soit la destruction générale de toute vie, destruction totale qui ne peut être que le seul aboutissement de la concurrence, où le vainqueur n'existe que par ses vaincus, et disparaît lui-même lorsqu'il n'y a plus rien à vaincre.

Ce qu'on nomme maintenant l'effet de serre, le réchauffement, n'est que le fruit de ce mode d'être concurrent, et rien ne pourra empêcher l'effet de serre de progresser, et d'aller en s'amplifiant, jusqu'à rendre rapidement toute vie impossible sur Terre, sinon l'abandon de la forme d'être concurrente. C'est de même cette forme d'être concurrente qui est la cause de la prolifération extraordinaire de l'humanité, des développements des maladies immunitaires et des cancers ayant pour origine l'empoisonnement massif de l'environnement dû à ce mode d'être.

L'aboutissement de la morale de la peur, de la concurrence qui est à l'origine de la peur, se nomme la morale génocidaire, morale qui domine l'humanité actuelle , et qui s'est particulièrement épanouie dans le monde occidental, lequel domine toute l'humanité, monde occidental dont la structure mentale, la colonne vertébrale psychique est le judaïsme, et son premier schisme : le christianisme, un schisme de continuation expansionniste, et à un degré infiniment moindre, l'islam, qui est le second schisme du judaïsme, un schisme d'opposition expansionniste.

Cette morale génocidaire judéo-chrétienne apparaît maintenant enfin clairement exprimée et extériorisée à la lumière du jour dans un texte dont l'importance est capitale.

C'est un texte de travail édité sur l'Internet par l'organisation EUMC ( European Monitoring Centre on Racism and Xenophobia ) ( http://www.eumc.eu.int ), l'une des multiples agences de propagande sionistes, celle-ci étant camouflée en organisation officielle de l'Union européenne.

Ce texte expose entre autres que c'est être antisémite et pour cela susceptible d'être poursuivi comme criminel en justice, si vous reprochez à l'Etat d'Israël de ne pas adopter une norme de comportement qu'on n'exige pas des autres Etats ( " Applying double standards by requiring of it a behavior not expected or demanded of any other democratic nation " ).

Cela signifie en fait, puisque la norme morale en Israël légitime le génocide du peuple Palestinien, que le génocide doit être la norme morale universelle ; norme génocidaire donc naturelle, qui existerait chez tous les autres peuples.

Le concept de génocide a été défini par son créateur, Raphaël Lemkin, un juriste juif polonais réfugié aux USA, en 1944, comme la disparition programmée d'une population, par la destruction de son identité en tant que peuple, destruction qui n'est pas forcément physique, mais de ses structures économiques et culturelles, de ses institutions sociales et politiques, de sa mémoire historique, de son langage, de la sécurité personnelle, de la liberté, de la santé, de la dignité, et même des vies des individus qui le composent, ce qui est la situation vécue par le peuple de la Palestine occupée par les envahisseurs colonisateurs juifs sionistes. Raphaël Lemkin prenait d'ailleurs comme exemple type, la colonisation de peuplement.

Mais à ces crimes se rajoute ce que n'avait pu imaginer Raphaël Lemkin, le fait que les Juifs sionistes effacent les traces matérielles de l'existence passée de leurs victimes en Palestine, et même, effacent de la mémoire et de la conscience des autres peuples, l'existence passée et présente du peuple de Palestine, en falsifiant l'histoire passée et présente de cette région.

De même, Raphaël Lemkin n'a pas imaginé que les génocideurs se feraient passer eux-mêmes pour les victimes d'un génocide, et terroriseraient le monde entier, en prenant cela pour prétexte pour criminaliser et poursuivre en justice tous ceux qui les dénoncent pour ce qu'ils sont, soit des authentiques génocideurs, et les plus accomplis d'entre-deux.

L'esprit de la définition de Lemkin transparaît dans la Convention de l'ONU du 9 décembre 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide, dans l'article 211-1 du code pénal français, et dans les articles 6, 7 et 8 traitant du génocide, des crimes contre l'humanité, et des crimes de guerre, développés dans les statuts de la Cour pénale internationale.

On se trouve, en ce qui concerne la Palestine , face à un crime contre l'humanité inédit, unique, incomparable et inouï, face à ce qu'on peut considérer comme la quintessence du génocide. L'étude du génocide de Palestine mène à la compréhension de l'origine même de l'idée de génocide.

En fait c'est la norme morale israélienne qui s'impose au monde entier. On en a la preuve à travers le texte de l'EUMC, norme morale qui légitime l'élimination d'autrui, en masse ou individuellement. La morale génocidaire devient donc par le fait du judéo-sionisme, la norme humaine unique universelle.

Cette norme d'idée sous-jacente à l'esprit judéo-chrétien craque enfin sa gangue épaisse d'hypocrisie constituée des " Droits de l'homme et du citoyen ", " Droits de l'homme et du citoyen " qui ne font qu'enrober le désir et la détermination de dominer, d'exploiter et d'éliminer tout autre que soi-même.

Il est important de remarquer que les autorités de L'Union Européenne n'ont pas à ce jour exprimé un démenti à ce texte de l'EUMC, qui à été présenté dans les médias en mai 2005 comme élaboré par l'administration de l'Union.

Le fait que l'ensemble des médias européens relaye depuis des années sans révéler sa véritable nature, les communiqués de l'EUMC, est la preuve que ces médias sont assujettis au mouvement sioniste dont l'EUMC n'est qu'une dépendance.

Il est de même important de relever la position du parquet de Paris, lequel a devancé la diffusion du texte de l'EUMC depuis des années, par la voix de l'actuel Procureur général près la Cour d'appel de Paris, M. Yves BOT, qui est l'ancien procureur de la République à Paris, à l'instar de l'actuel président de la 17 ème chambre du Tribunal de grande instance de Paris, le juge Nicolas Bonnal, 17 ème chambre qui est celle de la répression idéologique du régime actuel, M. Nicolas Bonnal ayant exprimé dans une ordonnance de jugement le 16 novembre 2004, portant condamnation pour antisémitisme et négationnisme, qu'il était diffamatoire d'accuser de génocide et de crimes de guerre les Juifs israéliens.

On peut voir là que la justice française est la justice extra-israélienne la plus parfaitement soumise au mouvement sioniste mondial. Ceci indique aussi la prédominance du mouvement sioniste dans le monde occidental, et plus généralement sur toute la planète, puisque l'Occident domine la planète.

La justice française est non seulement complice du génocide en cours de perpétration par les Juifs sionistes du peuple de Palestine, mais on peut dire que le fond de cette justice, et celui de la mentalité de ses magistrats, est génocidaire. Le juge du siège à Paris M. Nicolas Bonnal, le procureur général près la Cour d'appel de Paris M. Yves Bot, sont des propagandistes actifs de l'esprit génocidaire qui domine mondialement, au-delà de leurs actions en faveur du génocide de Palestine.

Le Palais de justice de Paris, qui sous le couvert du mot justice prône et propage l'idée de génocide en tant que morale et loi universelles, devrait être débaptisé et renommé : " Palais de la diffusion de l'esprit de génocide ".