Lettre ouverte adressée au Préfet de police de Paris, Pierre MUTZ, lui intimant l'ordre de respecter la loi, le droit, la Constitution, afin qu'il se plie aux deux jugements du Tribunal de Paris, en faveur de l'association CODEIG, association qui s'oppose au génocide des Palestiniens par les sionistes, association dont il refuse, en dépit des décisions des juges de Paris, la parution au Journal officiel. Son attitude de mépris ouvert du droit, de la Justice et de la Constitution, démontre que nous avons changé de régime, et que nous sommes sous celui d'une forme nouvelle de fascisme, un fascisme nommé "sionisme". Cette lettre est suivie des statuts de l'association CODEIG, anti raciste et anti génocidaire, que le Préfet n'a pas réussi à faire interdire.
1 - Lettre ouverte :
Michel DAKAR
Paris, le 5 février 2007
Monsieur le Préfet de police de Paris,
Monsieur le Préfet de police de Paris
Je vous adresse par la présente la copie du jugement en appel, lequel réitère le premier jugement, jugement en appel rendu le 21 novembre 2007 par la Première chambre civile de la Cour d’appel de Paris. Je rappelle pour mémoire le courrier daté du 24 octobre 2005 que je vous ai adressé, courrier resté sans réponse de votre part. Je rappelle pour mémoire que le chèque de parution d’un montant de 39,06 euros a été débité de mon compte le 6 décembre 2005. Vous vous êtes parfaitement moqué du jugement rendu en première instance par le juge Jacques Gondran de Robert. Allez-vous, Monsieur le Préfet de police de Paris, vous moquer de même du jugement en appel rendu par le juge Debû ? Afin que vous puissiez mesurer les conséquences de votre façon de concevoir la Constitution de ce pays, la Justice, le Droit, les Juges, l’acte de génocide, le racisme, et éventuellement votre devoir, je communique au public et largement, la copie de ce présent courrier. Il sera ainsi intéressant pour tous de connaître la réalité de notre changement de régime politique, passant de la démocratie à une nouvelle forme de fascisme, que j’ose nommer le « sionisme », lequel se camoufle derrière les dénonciations « vertueuses » du nazisme et de l’islamisme, deux illusions, l’une appartenant à un passé bien révolu et qui commence à être très lointain, passé artificiellement sans cesse réactivé, l’autre étant une pure création de la propagande du régime sioniste auquel visiblement vous avez accordé votre fidélité. Cette lettre constitue de même, ma demande officielle adressée à vous-même, que vous autorisiez la parution de l’objet de l’association CODEIG au Journal officiel. Une conversation téléphonique ayant eu lieu entre moi-même et votre chef de service du Bureau des associations m’a bien confirmé que le blocage illégal concernant la parution de CODEIG au JO, provenait de vous-même. Je souligne là, que comme le veut la loi, l’objet de CODEIG doit paraître au JO dans son intégralité, c’est à dire non censuré par « amputation ». Je vous prie de considérer que la manœuvre consistant à tenter par la suite d’obtenir la dissolution de CODEIG par voie administrative ou autre, ne sera possible que si l’association aura vu son objet paraître au JO, et de plus dans son intégralité. En effet, comment demander la dissolution d’une association déclarée en préfecture, et dont le chèque de parution a été encaissé par l’administration du JO, si elle n’est pas parue au JO, et dans exactement les formes légales, soit non-censurée par l’amputation d’une partie de son objet, c’est à dire si elle n’a pas encore commencé à exister. On pourra mesurer ainsi votre dépassement de toute limite de cohérence. Dans l’attente de la suite sans aucun doute fructueuse pour tous de cette affaire enrichissante, qui dévoile au public notre réalité politique, réalité que notre nouveau régime fasciste, le « sionisme », veut à tout prix nous masquer, je vous prie de recevoir, Monsieur le Préfet de police de Paris, Pierre MUTZ, l’expression de mes salutations distinguées. M. DAKAR
2 - Objet de CODEIG à faire paraître dans son intégralité au JO (le début de l’objet commence après le premier des guillemets, et se termine juste avant le second des guillemets) ; quatre feuillets :
« Définition préliminaire
de CODEIG L'association « Compréhension et
dépassement de l'idée de génocide » –
CODEIG, est un outil pour le travail de compréhension et de dépassement
de la morale génocidaire judéo-chrétienne. L'association CODEIG par ses statuts, conformément
à l'article 2-4 du code de procédure pénale, disposera
de l'exercice des droits reconnus à la partie civile en ce qui
concerne les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité,
à compter du délai de cinq ans après le dépôt
de sa déclaration en préfecture. Exposé de l'objet de CODEIG : Il y a très longtemps, bien avant la venue
de l'homme sur la planète Terre, bien avant même l'apparition
des premiers animaux, des insectes, existaient des formes de vie "
collaborantes ". Ces formes de vie, au lieu de se combattre, s'unissaient,
se liaient entre elles, afin de se renforcer, de se complexifier, de s'améliorer,
de s'épanouir. C'est la forme d'être collaborant qui permit
à la vie de se complexifier et de passer des formes de vie simples
aux formes de vie complexes, formées par la réunion de plusieurs
formes de vies individuelles, qui étaient séparées,
à l'origine. Puis, un accident survint, une maladie, une malformation
apparue au cours de l'enchaînement des mutations des formes de vies
se succédant les unes aux autres. Pour la première fois
sur la planète Terre, une forme de vie non collaborante apparut,
une forme de vie fondée sur la concurrence, sur l'antagonisme.
Les vies collaborantes qui occupaient jusque là toute la planète, ne purent résister à cette forme de vie nouvelle à laquelle elles ne pouvaient que proposer leurs propres apports et non s'opposer, ce qui rendait encore plus forte cette forme de vie concurrente, et lui donnait encore plus de capacité pour détruire les formes de vies collaborantes qu'elle rencontrait, jusqu'à parvenir à les remplacer toutes par sa propre descendance, uniquement fondée sur la concurrence. Commença alors le règne universel
de la peur. La peur devint l'énergie qui alimenta les actes de
tous. Chacun agit uniquement par peur, celle des autres. La peur fut et
reste jusqu'à présent la motivation unique des agissements
de tous. La peur se renforça perpétuellement de la peur,
et chacun devint dépendant pour exister du sentiment de peur, sans
lequel il se transforme en un pantin auquel on a coupé les fils
qui le maintiennent et qui le font mouvoir. Il fallait avoir peur pour
trouver l'énergie de vivre, et vivre eut pour but de ressentir
le sentiment de peur. C'est ainsi que s'établit sur la Terre
, la concurrence comme mode d'être, comme détermination morale,
et c'est le stade final de cette phase de l'histoire que nous subissons,
soit la destruction générale de toute vie, destruction totale
qui ne peut être que le seul aboutissement de la concurrence, où
le vainqueur n'existe que par ses vaincus, et disparaît lui-même
lorsqu'il n'y a plus rien à vaincre. Ce qu'on nomme maintenant l'effet de serre, le
réchauffement, n'est que le fruit de ce mode d'être concurrent,
et rien ne pourra empêcher l'effet de serre de progresser, et d'aller
en s'amplifiant, jusqu'à rendre rapidement toute vie impossible
sur Terre, sinon l'abandon de la forme d'être concurrente. C'est
de même cette forme d'être concurrente qui est la cause de
la prolifération extraordinaire de l'humanité, des développements
des maladies immunitaires et des cancers ayant pour origine l'empoisonnement
massif de l'environnement dû à ce mode d'être. L'aboutissement de la morale de la peur, de la
concurrence qui est à l'origine de la peur, se nomme la morale
génocidaire, morale qui domine l'humanité actuelle , et
qui s'est particulièrement épanouie dans le monde occidental,
lequel domine toute l'humanité, monde occidental dont la structure
mentale, la colonne vertébrale psychique est le judaïsme,
et son premier schisme : le christianisme, un schisme de continuation
expansionniste, et à un degré infiniment moindre, l'islam,
qui est le second schisme du judaïsme, un schisme d'opposition expansionniste.
Cette morale génocidaire judéo-chrétienne
apparaît maintenant enfin clairement exprimée et extériorisée
à la lumière du jour dans un texte dont l'importance est
capitale. C'est un texte de travail édité
sur l'Internet par l'organisation EUMC ( European Monitoring Centre on
Racism and Xenophobia ) ( http://www.eumc.eu.int ), l'une des multiples
agences de propagande sionistes, celle-ci étant camouflée
en organisation officielle de l'Union européenne. Ce texte expose entre autres que c'est être antisémite et pour cela susceptible d'être poursuivi comme criminel en justice, si vous reprochez à l'Etat d'Israël de ne pas adopter une norme de comportement qu'on n'exige pas des autres Etats ( " Applying double standards by requiring of it a behavior not expected or demanded of any other democratic nation " ). Cela signifie en fait, puisque la norme morale
en Israël légitime le génocide du peuple Palestinien,
que le génocide doit être la norme morale universelle ; norme
génocidaire donc naturelle, qui existerait chez tous les autres
peuples. Le concept de génocide a été
défini par son créateur, Raphaël Lemkin, un juriste
juif polonais réfugié aux USA, en 1944, comme la disparition
programmée d'une population, par la destruction de son identité
en tant que peuple, destruction qui n'est pas forcément physique,
mais de ses structures économiques et culturelles, de ses institutions
sociales et politiques, de sa mémoire historique, de son langage,
de la sécurité personnelle, de la liberté, de la
santé, de la dignité, et même des vies des individus
qui le composent, ce qui est la situation vécue par le peuple de
la Palestine occupée par les envahisseurs colonisateurs juifs sionistes.
Raphaël Lemkin prenait d'ailleurs comme exemple type, la colonisation
de peuplement. Mais à ces crimes se rajoute ce que n'avait
pu imaginer Raphaël Lemkin, le fait que les Juifs sionistes effacent
les traces matérielles de l'existence passée de leurs victimes
en Palestine, et même, effacent de la mémoire et de la conscience
des autres peuples, l'existence passée et présente du peuple
de Palestine, en falsifiant l'histoire passée et présente
de cette région. De même, Raphaël Lemkin n'a pas imaginé
que les génocideurs se feraient passer eux-mêmes pour les
victimes d'un génocide, et terroriseraient le monde entier, en
prenant cela pour prétexte pour criminaliser et poursuivre en justice
tous ceux qui les dénoncent pour ce qu'ils sont, soit des authentiques
génocideurs, et les plus accomplis d'entre-deux. L'esprit de la définition de Lemkin transparaît
dans la Convention de l'ONU du 9 décembre 1948 pour la prévention
et la répression du crime de génocide, dans l'article 211-1
du code pénal français, et dans les articles 6, 7 et 8 traitant
du génocide, des crimes contre l'humanité, et des crimes
de guerre, développés dans les statuts de la Cour pénale
internationale. On se trouve, en ce qui concerne la Palestine
, face à un crime contre l'humanité inédit, unique,
incomparable et inouï, face à ce qu'on peut considérer
comme la quintessence du génocide. L'étude du génocide
de Palestine mène à la compréhension de l'origine
même de l'idée de génocide. En fait c'est la norme morale israélienne qui s'impose au monde entier. On en a la preuve à travers le texte de l'EUMC, norme morale qui légitime l'élimination d'autrui, en masse ou individuellement. La morale génocidaire devient donc par le fait du judéo-sionisme, la norme humaine unique universelle. Cette norme d'idée sous-jacente à
l'esprit judéo-chrétien craque enfin sa gangue épaisse
d'hypocrisie constituée des " Droits de l'homme et du citoyen
", " Droits de l'homme et du citoyen " qui ne font qu'enrober
le désir et la détermination de dominer, d'exploiter et
d'éliminer tout autre que soi-même. Il est important de remarquer que les autorités
de L'Union Européenne n'ont pas à ce jour exprimé
un démenti à ce texte de l'EUMC, qui à été
présenté dans les médias en mai 2005 comme élaboré
par l'administration de l'Union. Le fait que l'ensemble des médias européens
relaye depuis des années sans révéler sa véritable
nature, les communiqués de l'EUMC, est la preuve que ces médias
sont assujettis au mouvement sioniste dont l'EUMC n'est qu'une dépendance.
Il est de même important de relever la position
du parquet de Paris, lequel a devancé la diffusion du texte de
l'EUMC depuis des années, par la voix de l'actuel Procureur général
près la Cour d'appel de Paris, M. Yves BOT, qui est l'ancien procureur
de la République à Paris, à l'instar de l'actuel
président de la 17 ème chambre du Tribunal de grande instance
de Paris, le juge Nicolas Bonnal, 17 ème chambre qui est celle
de la répression idéologique du régime actuel, M.
Nicolas Bonnal ayant exprimé dans une ordonnance de jugement le
16 novembre 2004, portant condamnation pour antisémitisme et négationnisme,
qu'il était diffamatoire d'accuser de génocide et de crimes
de guerre les Juifs israéliens. On peut voir là que la justice française
est la justice extra-israélienne la plus parfaitement soumise au
mouvement sioniste mondial. Ceci indique aussi la prédominance
du mouvement sioniste dans le monde occidental, et plus généralement
sur toute la planète, puisque l'Occident domine la planète.
La justice française est non seulement
complice du génocide en cours de perpétration par les Juifs
sionistes du peuple de Palestine, mais on peut dire que le fond de cette
justice, et celui de la mentalité de ses magistrats, est génocidaire.
Le juge du siège à Paris M. Nicolas Bonnal, le procureur
général près la Cour d'appel de Paris M. Yves Bot,
sont des propagandistes actifs de l'esprit génocidaire qui domine
mondialement, au-delà de leurs actions en faveur du génocide
de Palestine. Le Palais de justice de Paris, qui sous le couvert du mot justice prône et propage l'idée de génocide en tant que morale et loi universelles, devrait être débaptisé et renommé : " Palais de la diffusion de l'esprit de génocide ".
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