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Une présentation succincte des associations : « Les vrais amis de l’être humain ». Le 26 octobre 2007, comparaîtra devant la 17ème chambre du TGI de Paris, à 13 heures 30, Kémi Séba, pour avoir affirmé sur son ancien site Internet que : «la plupart des institutions internationales telles que par exemple le FMI, l'OMS (qui sont d'ailleurs aux mains des sionistes) imposent à l'Afrique et sa diaspora des conditions de vie tellement excrémentielles que comparativement à ceci, le camp de concentration d'Auschwitz peut paraître être un paradis sur terre», ou encore sur un tract de mobilisation pour une marche de la dignité : « qu’il était temps de cracher à la figure de ce pays esclavagiste, et s’il le faut en tapant du poing». Kémi Séba est poursuivi par les organisations suivantes : Ligue des droits de l’homme, LICRA, J’accuse, SOS Racisme et l’UEJF. Voici une rapide description iconoclaste, c'est-à-dire purement réaliste, de ces organisations, dites « Les vrais amis de l’être humain ». 1 – LICRA, 2 - Ligue des droits de l'homme, 3 - J'accuse, 4 - S.O.S Racisme, le Consistoire central, l’UEJF.
1 – LICRA (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme). La LICRA a été formée en 1927, pour soutenir un juif assassin d'un politicien nationaliste ukrainien Simon Pétlioura. Ce juif assassin a perpétré son crime à Paris où il a été arrêté. Cet ukrainien nationaliste qu’il a assassiné aurait été le responsable des pogroms qui auraient eu lieu en Ukraine vers 1918. Le juif assassin aurait, selon la belle légende que se plaît à propager la LICA-LICRA, perdu sa famille lors des supposés pogroms d'Ukraine (cet assassin a été très fortement soupçonné d'avoir été un agent communiste et sioniste). La LICRA à cette époque était dénommée LICA (Ligue contre l'antisémitisme). Le mot « racisme » n'a été accolé que bien plus tard pour tromper quant à son objet. La LICRA n'est qu'une simple officine de manipulation sioniste. Son but est la défense de l'Etat d'Israël. En effet, en 1927, l'Ukraine était depuis une dizaine d’années sous contrôle des communistes, qui était très liés aux sionistes. Les pogroms si encore ils ont réellement eu lieu, avaient à cette époque depuis longtemps disparus. Les communistes russes, en apparence s'opposaient au sionisme, sionisme qui était présenté comme une idéologie réactionnaire colonialiste. Mais en réalité, les communistes russes coopéraient étroitement avec les dirigeants sionistes. L'Etat d'Israël n'a dû sa survie que grâce aux massives livraisons d'armes provenant des pays de l'Est en 1948 (armement tchèque), comme la survie du régime communiste russe n'a pu être prolongée après la seconde guerre mondiale, que grâce aux livraisons massives de blé américain, livraisons dont les intermédiaires étaient les banquiers juifs sionistes (voir l'histoire du milliardaire "rouge" français Jean-Baptiste Doumeng, de ses rapports étroits avec la banque Rothschild, de la banque communiste Crédit du nord, et du Parti communiste français. Pour les curieux, voir une série de vues photographiques du siège du Parti communiste français, Place du Colonel Fabien, à Paris 19ème). Quant aux pogroms qui visèrent les juifs en Russie tsariste et plus tard, lors de la guerre civile après la chute du régime tsariste, il faut là aussi revisiter l'histoire. Il est en effet très probable que les pogroms tsaristes ont été organisés de concert entre les dirigeants juifs sionistes et les autorités politiques policières tsaristes, quant aux pogroms post tsaristes (ceux imputés à Simon Pétlioura et à l'anarchiste Makhno), ils ne sont probablement qu'une pure invention due à l'appareil de propagande sioniste. En effet, les juifs sous le régime tsariste étaient en Europe de l'Est et en Russie intimement proches des pouvoirs politiques et religieux en place. Ils occupaient des fonctions d’auxiliaires fiscaux et économiques vis-à-vis des populations exploitées par ces pouvoirs, pour le compte de ces pouvoirs (gestion et intendance des grands domaines fonciers pour la noblesse, perception des taxes sur les grains, les alcools et autres pour le compte de l’Etat tsariste). Les juifs jouissaient de la protection totale de la police du Tsar, et les gens du peuple qui auraient eu d'eux-mêmes l'idée de s'en prendre aux juifs, l'auraient payé de leur vie. C'est de plus dans les années 1920 que des attentats organisés par les instances sionistes, visant les juifs au Yémen et en Irak, ont été opérés, de façon à contraindre les juifs de ces pays à émigrer en Palestine. On peut légitimement penser que ces fameux pogroms, qui ont eu lieu à la fin du 19ème siècle, époque du début de la colonisation sioniste de la Palestine, colonisation financée par la banque Rothschild qui achetait les terres pour implanter les colonies juives, pogroms dont les sionistes nous rabattent les oreilles, sont similaires à ces attentats de 1920 du Yémen et d'Irak, et que ces pogroms ont été organisés en accord avec les autorités tsaristes, par les instances sionistes, pour pousser les juifs de l'Europe de l'Est à émigrer en Palestine. Comme les supposés pogroms post tsaristes n'ont probablement été qu'une invention pour effrayer les juifs européens et les pousser à émigrer en Palestine, pendant la période du mandat anglais. Ces premiers pogroms de la fin du 19ème siècle sont sans doute la première manifestation de la campagne de terreur qui a continuellement frappé les juifs, campagne organisée par les sionistes, de façon à rabattre les juifs, comme du bétail, vers un enclos protecteur, le ghetto d’Israël. Il faut de même relever que c'est dans les années 1920 que commença sérieusement l’emploi par la propagande sioniste du fameux « faux » antisémite dénommé « Les protocoles des sages de Sion », soi-disant fabriqué à la fin du 19ème siècle par la police du Tsar, dans le but de discréditer les juifs, alors que la haute banque juive participait pleinement au financement du régime tsariste. Il serait intéressant de réviser toutes ces histoires de pogroms et d’écrits antisémites, et de réfléchir sérieusement afin de savoir qui pouvait bien se cacher derrière ces opérations plutôt très bizarres. C’est en 1920 que les anglais remplaçant les turcs prirent possession de la Palestine, et sous l’influence de la banque Rothschild, qui dominait la finance anglaise, ouvrirent largement la Palestine à l’émigration juive européenne. La LICA de cette époque des années 1920 n'est guère plus que l’une des machines de guerre psychologique sioniste et de désinformation, formée de criminels n'hésitant pas à truquer l'histoire, et participant à des manoeuvres meurtrières. Voici un article du site aredam.net au sujet de
la LICRA et de son inamovible président Patrick GAUBERT http://www.aredam.net/patrick-gaubert-raciste.html Pourquoi et comment récuser la LICRA,
lorsqu'elle se porte partie civile dans les affaires de diffamation raciale
(racisme et antisémitisme), au travers du cas de son président,
M. Patrick GAUBERT, ou la vraie nature du sioniste, et au-delà,
la vraie nature de l'homme de pouvoir, dévoilée. (fichier
à faire circuler, il ne faut plus que la LICRA puisse se porter
partie civile dans les affaires de diffamation raciale) Patrick GAUBERT est le président de la
LICRA depuis 1999. Il a été conseillé municipal, responsable du RPR, à COURBEVOIE, commune du département des Hauts-de-Seine (fief de PASQUA et de SARKOZY), dès 1982. Il a fait voté de 1984 à 1986, au conseil municipal de COURBEVOIE, une série de décisions instaurant sur cette commune, une allocation parentale d'éducation, versée à partir du 3ème enfant, réservée aux mères de nationalité française, et interdite aux mères conservant leur activité professionnelle. Cette allocation est donc raciste, sexiste (elle tend à renvoyer les femmes dans leur foyer), eugéniste (elle a pour but aussi d'entraver la naissance d'enfants de mères étrangères), et nataliste (elle pousse à faire des enfants, soit à l'augmentation de la population, soit l'augmentation de sujets utilisables par la caste au pouvoir). Cette allocation mensuelle, fut effectivement versée de 1984 à 2000, soit seize ans. La LICRA, et donc Patrick GAUBERT son président, intentèrent un procès à la mairie de VITROLLES dans les BOUCHES du RHONE, dont le maire était Catherine MEGRET, et la firent condamner à 100 000 francs d'amende, trois mois de prison avec sursis, et à deux ans d'inéligibilité, en 2000, pour avoir fait avoir voter, sans jamais l'avoir versé une seule fois (!), une prime à la naissance du 3ème enfant, prime versée en une seule fois, de 5000 francs, prime qui était aussi réservée aux seules mères françaises. La LICRA et son président Patrick GAUBERT, possèdent donc comme caractères essentiels, le racisme, l'eugénisme, le sexisme, et surtout, le MENSONGE, se présentant comme antiracistes. Patrick GAUBERT est l'un des lobbyistes d'Israël, au Parlement européen, où il est de plus député. On peut dire que les caractères propres à la LICRA et à son président, sont certainement aussi ceux d'Israël. Voici la copie de son discours de présentation
de la LICRA, qui figure sur le site Internet de cette organisation, http://www.licra.org,
et son c.v. sur son site de parlementaire européen
Apprenons à connaître le sinistre GAUBERT, la sinistre LICRA, et ISRAEL.
Le mot du Président : Patrick Gaubert 03/04/2006 Depuis 1927, La LICRA est en première ligne dans les combats incessants contre l’abjection, l’aberration que symbolise le refus de l’autre en raison de ses origines, de la couleur de sa peau ou de sa religion. Un combat qu’elle mène en France mais aussi sous toutes les latitudes par le biais des sections qui, peu à peu, se sont implantées à travers le monde entier. L’Humanité a accompli dans la seconde moitié du XXème siècle, notamment dans le domaine scientifique, des progrès inouïs et, dans le même temps, des peuples, par l’accès à l’indépendance de nombreuses nations, se sont peu à peu libérés du joug de la domination coloniale. On aurait pu penser que le racisme, sous toutes ses formes, disparaîtrait à l’aube du troisième millénaire. Hélas ! Les discriminations de toutes sortes polluent les relations entre êtres humains. L’antisémitisme se manifeste quotidiennement sous sa forme la plus primaire et violente. La France n’avait plus connu cela depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Le repli sur soi, les peurs, le communautarisme contribuant à l’affrontement et la concurrence des mémoires, l’antisémitisme et le racisme sont donc toujours présents, renaissant de leurs cendres en prenant parfois de nouvelles formes, encore plus pernicieuses parce que plus sournoises. Plus que jamais, près de 80 ans après sa création, la lutte antiraciste de la LICRA et son engagement citoyen sont indispensables. Patrick GAUBERT
Bienvenue aux sympathisants du Parti Populaire Européen et Démocrates Européens du Parlement européen. Vous retrouverez sur ce site toute l'actualité de mon action en faveur de l'Europe. Membre du Groupe du Parti populaire européen (Démocrates-chrétiens) et des Démocrates européens
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Une réponse d'un esprit libre, Mme Maria POUMIER, au texte relatif à la LICRA : Loi «pour la protection du sang et de l'honneur
allemands » 1. Les mariages entre Juifs et citoyens allemands ou de sang voisin sont interdits. Les mariages consentis malgré cette interdiction n 'ont pas de valeur, même s'ils ont été conclus à l'étranger pour ne pas tomber sous le coup de la présente loi. 2. Les relations extra-conjugales entre Juifs et citoyens allemands ou de sang voisin sont interdites. (...) Gesetz zum Schutze des deutschen Blutes und der deutschen Ehre, vom 15. September 1935 Durchdrungen von der Erkenntnis, dass die Reinheit des deutschen Blutes die Voraussetzung fur den Fortbestand des deutschen Volkes ist, und beseelt von dem unbeugsamen Willen, die deutsche Nation fur alle Zukunft zu sichern, hat der Reichstag einstimmig das folgende Gesetz beschlossen, das hiermit verkündet wird : §1.1. Eheschliessungen zwischen Juden und Staatsangehörigen deutschen oder artverwandten Blutes sind verboten. Trotzdem geschlossene Ehen sind nichtig, auch wenn sie zur Umgehung dièses Gesetzes im Ausiand geschlossen sind. 2. Die Nichtigkeitskiage kann nur der Staatsanwalt erheben. §2. Ausserehelicher Verkehr zwischen Juden und Staatsangehôrigen deutschen oder artverwandten Blutes ist verboten. §3. Juden dürfen weibliche Staatsangehörige deutschen oder artverwandten Blutes unter 45 Jahren nient in ihrem Haushalt beschàftigen. §4.1. Juden ist das Hissen der Reichs-und Nationalflagge und das Zeigen der Reichsfarben verboten. 2. Dagegen ist ihnen das Zeigen der jùdischen Farben gestattet. Die Ausübung dieser Befugnis steht unter staatlichem Schutz. §5.1. Wer dem Verbot des § 1 zuwiderhandeit, wird mit Zuchthaus bestraft. 2. Der Mann, der dem Verbot des § 2 zuwiderhandeit, wird mit Gefängnis oder mit Zuchthaus bestraft. 3. Wer den Bestimmungen der §§ 3 oder 4 zuwiderhandeit, wird mit Gefängnis bis zu einem Jahr und mit Geldstrafe oder mit einer dieser Strafen bestraft.(...) Numberg, den 15. September 1935 Am Reichsparteitag der Freiheit.
Le texte des 3 Lois de Nuremberg : 1 - Cette loi interdit les mariages entre Juifs et non-Juifs en Allemagne. Les relations sexuelles entre Juifs et non-Juifs sont également interdites. Les Juifs sont ainsi mis à part dans la société allemande. Bientôt de sévères amendes, puis de l'emprisonnement dans des camps, ou même parfois la peine de mort seront appliquées à ceux qui ne respectent pas cette interdiction. Sur ordre d'Hitler, c'est le ministre de l'Intérieur, Wilhelm Frick , qui prépara la loi. Le 12 septembre 1935, lors d'un grand rassemblement du parti nazi dans le stade de Nuremberg, le Dr Wagner annonça dans un discours que bientôt serait adoptée une "loi pour protéger le sang allemand". Une équipe de juristes travailla alors pour soumettre à Hitler un texte de loi précis. Les premières propositions furent rejetées par Hitler qui les jugeait trop "clémentes". Le Reichstag (le Parlement allemand) fut réuni à Nuremberg, le 15 septembre 1935. Hitler y fit un assez court discours. Hermann Goering , président du Reichstag, présenta la nouvelle loi, qui fut adoptée à l'unanimité. [Note : les lois de Nuremberg s’appliquent aussi aux Noirs et aux Tziganes]
2 - Définition raciale des juifs par les nazis : Encyclopédie multimédia de la Shoah : Les lois de Nuremberg – c’est le nom sous lequel elles devaient être connues – ne définissaient pas le Juif par sa religion. Pour être défini comme Juif, il suffisait, indépendamment de ses convictions ou de son appartenance à la communauté juive, d’avoir trois ou quatre grands-parents juifs. De nombreux Allemands qui ne pratiquaient plus le judaïsme depuis des années ou qui n'avaient jamais fait partie d'une synagogue, se trouvèrent ainsi pris au piège de la terreur nazie. Même les personnes de grands-parents juifs qui s’étaient converties au christianisme étaient définies comme juives. http://www.ushmm.org/wlc/article.php?lang=fr&ModuleId=285
3) Extraits de Mein Kampf : L'État totalitaire doit être un État de la responsabilité totale. Il requiert de chacun l'accomplissement total de son devoir envers la nation. L'accomplissement de ce devoir supprime le caractère privé de l'existence individuelle. Dans son action publique comme dans le cadre de la famille [...], chaque individu est responsable du destin de la nation [...]. Le couronnement de tout le travail de formation et d'éducation de l'État national ne peut être que l'impression, au fer rouge, dans les cœurs et dans le cerveau de la jeunesse qui lui est confiée, de l'esprit de race et du sentiment de race en s'adressant à la fois à l'instinct et à l'intelligence. Aucun garçon, aucune jeune fille ne doit quitter l'école sans avoir été amené à reconnaître et à sentir la nécessité et la nature de la pureté de race [...] A. HITLER, Mein Kampf, 1925
4) Les Nazis considéraient que le sionisme avait une base raciale. Conception sioniste de la judaïté selon des critères raciaux : Reinhardt Heydrich, chef des Services de Sécurité S. S., écrit dans Schwarze Korps, organe officiel SS un article sur l’Ennemi visible » où il opère des distinctions entre les Juifs : « Nous devons séparer les Juifs en deux catégories : les sionistes et les partisans de l’assimilation. Les sionistes professent une conception strictement raciale, et par l’émigration en Palestine, ils aident à bâtir leur propre Etat juif…. Nos bons vœux et notre bonne volonté officielle sont avec eux » (in : Hohne, Order of the Death’s Head, p. 333)
5) Les faits et gestes de Patrick Gaubert, président de la LICRA, membre depuis 1983, et dirigeant de la LICRA depuis 1985 : - a voté des décisions municipales relevant du concept de préférence nationale à Courbevoie, de 1984 à 1986, en tant qu’élu au conseil de cette commune des Hauts de Seine, département où il était parmi les responsables du RPR. Il s’agissait de la création d’une allocation parentale d’éducation réservée aux Français ET RESSORTISSANTS DE LA COMMUNAUTE EUROPEENNE. Cette décision a été appliquée jusqu’en juin 2000. - a fait condamner en novembre 2003 Catherine Mégret, maire d’extrême-droite et notoirement raciste de Vitrolles (Bouches du Rhône) pour la mise en place d’une allocation similaire, en 1998 : cette allocation a donc été considérée comme raciste, Patrick Gaubert avait porté plainte en tant que président de la LICRA.
6) Déclaration récente de Patrick Gaubert : « Nous devons de toutes nos forces nous opposer à la tentation de légiférer sur l’islamophobie, vieux concept des mollahs iraniens » (voir la déclaration complète ci-dessous) ; la LICRA estime au contraire qu’il faut poursuivre un éditeur pour antisémitisme. Il est donc clair pour lui qu’il ne saurait y avoir une loi réprimant l’islamophobie, parce qu’il s’agit là de porter atteinte à la liberté religieuse ou antireligieuse de chacun (l’islam ne se définit pas autrement que selon des critères religieux) ; s’il faut des lois réprimant la critique du judaïsme, c’est donc parce que celui-ci ne se définit pas comme religion mais sur des critères raciaux.
7) La LICRA a assigné en justice le journaliste Daniel Mermet pour incitation à la haine raciale contre les Juifs, en juin 2001, lors d’une émission sur le conflit israélo-palestinien. La revue Israël Magazine, organe officiel du gouvernement israélien reconnaît pleinement la définition raciale du judaïsme, et y ajoute la notion de supériorité raciale. Voir ci-dessous la déclaration du rédacteur en chef et directeur de publication de ce magazine, André Darmon (numéro de juin 2002, éditorial) : « La situation d’Israël et du peuple juif de par son histoire, son code éthique que chaque soldat juif reçoit dans son barda dès qu’il a fini ses classes, son génie (sa contribution au savoir humain à travers la jauge des prix Nobel est, en rapport de sa population, 10 000 fois plus importante que celle du monde musulman entier) fait de lui un élève à part, doué, indiscipliné […] Tous les psychologues le disent, ceux qui font les meilleurs hommes, ce sont ces potaches caractériels qui brusquent la réalité, empêchent de tourner en rond et jettent à la face du monde des vérités qu’il a du mal à entendre. Ceux-là ont en eux ce gène que certains appelles, par ce qu’il est rare, le courage, et que je nommerais simplement dignité » (etc)
Cet article est précédé d’une citation de Benjamin Disrael : « Oui je suis juif et quand les ancêtres de mes adversaires étaient des brutes sauvages, les miens étaient prêtres au temple de Salomon » ; il est difficile d’être plus raciste, et d’ailleurs à l’époque du ministre anglais Benjamin Disraéli, cela se pratiquait tout à fait ouvertement (il a vécu de 1804 à 1881).
2 - La LDH, Ligue des droits de l'homme, ou, une sacrément belle saloperie, l'une des plus belles impostures bien-pensantes de l'homme blanc, dont le but est de blanchir sa conscience, de ses crimes.
La LDH a été formée en 1898, à l'occasion du procès fait à l'écrivain bourgeois Emile ZOLA, qui prit la défense du capitaine DREYFUS, un officier juif issu d'une riche famille d'industriels du textile d'Alsace. (Nota : à chaque fois que le fameux Zola publiait l’un de ses nombreux livres, portant souvent sur la condition des exploités et des opprimés, il faisait construire une pièce de plus à son château).
En réalité, l'affaire Dreyfus n'est pas comme les livres de l’ « histoire pieuse » nous l'indiquent, une guerre entre réactionnaires nationalistes racistes et conservateurs français, et les autres, les dits « progressistes », mais est plutôt à considérer comme l’un des épisodes de la lutte pour le contrôle de l'économie en Occident, soit de la lutte pour la prise du pouvoir, qui a opposé les deux forces principales en présence en régime capitaliste s'épanouissant, celle de la finance catholique et celle de la finance juive.
La Ligue des droits de l'homme a été fondée par un franc-maçon anti clérical, politicien, sénateur, qui sera ministre de la justice en 1895, Ludovic TRARIEUX, qui se fera connaître comme le promoteur des « lois scélérates » de 1893, ensemble de lois qui n'ont leur équivalent en France qu'avec la loi Fabius-Gayssot (un socialiste et un communiste), loi Fabius-Gayssot qui punit le refus d’accepter la version officielle de l’histoire sur la période de la seconde guerre mondiale.
Ces lois dites scélérates avaient pour objet d'éradiquer définitivement le seul mouvement politique authentiquement égalitaire et révolutionnaire qui ai jamais existé en France et dans le monde, le mouvement anarchiste.
Ces lois instauraient le délit d'opinion, et plus encore incriminaient la simple sympathie pour l'opinion anarchiste, sans même être membre de près ou de loin, d'une organisation anarchiste, et instauraient la délation comme étant une obligation légale, un devoir.
Dreyfus était ce qu'on appelait à l'époque un "traîneur de sabre", un militaire, un tueur professionnel, dont la fonction première était non pas la guerre aux frontières et la défense de la « patrie », mais de servir les riches dans leur guerre sociale contre la multitude des pauvres exploités et oppressés, et cette belle armée dont il faisait partie, montra sa valeur principalement lors de l'extermination de la Commune de Paris, en 1871 (le dernier évènement politique authentiquement populaire en France, qui est d'ailleurs récupéré et dévoyé par la Ligue des droits de l'homme, qui s'en sert pour blanchir sa façade), et lors de massacres d'ouvriers ayant lieu périodiquement durant tout le 19ème siècle, dans les périodes de grève dans les mines et autres usines des bagnes industriels capitalistes.
La banque juive pris le pouvoir ouvertement aux USA en 1913, où elle fonda avec l’ultra prédateur capitaliste Rockefeller, la Réserve fédérale des USA, qui est la banque centrale des USA, qui est en réalité une banque privée qui pressure l'ensemble de la population américaine.
Voir l'article de Réseau Voltaire à ce sujet : 17 SEPTEMBRE 2007 Crise financière mondiale L’US $ est une monnaie privée On ne peut comprendre la crise financière actuelle, ni les rapports de force internationaux, sans tenir compte du caractère privé de la Banque centrale des États-Unis (la « Fed »). C’est elle, c’est-à-dire un consortium de banques privées, et non le gouvernement de Washington qui édite les billets verts. Les manipulations du système monétaire
et du système des changes provoquent le scandale le plus important
de notre époque. Pour la première fois, l’escroquerie
monétaire atteint des dimensions mondiales, parce qu’elle
a lieu effectivement dans le monde entier, qu’aucun gouvernement
ne peut plus la contrôler ni la stopper ou l’empêcher
et que, formellement, elle a même lieu légalement en raison
de lois désuètes. Aux environs de l’an 1900, les Rotschild
ont envoyé aux Etats-Unis un de leurs agents, Paul Warburg, pour
coopérer avec la Banque Kühn Loeb & Co. Jacob Schiff et
Paul Warburg ont lancé une campagne visant à instaurer des
« Federal Reserve Banks » (FED), instituts privés d’émission.
Appuyés par les deux grands groupes financiers Rotschild et Rockefeller,
ils sont parvenus à fonder une banque centrale privée ayant
le droit d’émettre sa propre monnaie, moyen légal
de paiement garanti à l’origine par l’Etat. L’instauration
de la FED en 1913 a permis aux banquiers internationaux de raffermir leur
puissance financière aux Etats-Unis. Paul Warburg a été
le premier président de la FED. A l’époque, les plus importants actionnaires de la FED étaient : 1. Les banques Rothschild de Paris et de Londres
Après la Première Guerre mondiale, les réserves d’or mondiales ont été accumulées dans cette banque privée qu’était la FED, de sorte que de nombreuses banques centrales n’ont plus pu maintenir l’étalon-or et que leur pays a sombré dans la déflation – la première crise économique mondiale. Même pendant la Guerre mondiale, les Etats-Unis ont exigé des pays en guerre qu’ils paient les armements livrés en or. Après la fin de la guerre, l’or de l’Allemagne a dû aussi être cédé comme butin de guerre. A elles seules, plus de 30 000 tonnes d’or du monde se sont ainsi accumulées aux Etats-Unis. Cet or a servi de couverture au dollar. Toutefois, comme une grande partie des dollars étaient détenus dans les banques centrales étrangères comme réserves monétaires, les Etats-Unis ont pu imprimer et dépenser davantage de dollars qu’ils n’avaient d’or. En effet, les autres pays avaient besoin de dollars pour acheter des matières premières, traitées uniquement en cette monnaie. Outre l’or, le dollar est donc devenu de plus en plus une des réserves monétaires principales des banques centrales étrangères. Le règne du dollar dans le monde avait commencé. En 1971, Richard Nixon (37e président des Etats-Unis de 1969 à 1974) a résilié l’obligation de convertir le dollar en or (l’étalon de change-or) et, simultanément, la garantie de l’Etat à propos du dollar. Depuis lors, le billet vert n’est couvert ni par l’or ni par une garantie de l’Etat ; il s’agit donc de la monnaie privée libre de la FED. Or la masse monétaire de dollars en circulation déterminée par la FED (depuis mars 2006, celle-ci ne publie plus le chiffre de la masse monétaire M3) est devenue un problème insoluble : pendant que la masse mondiale de biens quadruplait au cours des 30 dernières années, la masse monétaire s’est multipliée par quarante. Comment fonctionne cette banque privée qui a le droit d’imprimer des dollars ? La FED produit des dollars. Ceux-ci sont prêtés au gouvernement des Etats-Unis contre des obligations qui servent de « sûretés » à la FED. Les banques de la FED qui détiennent ces titres perçoivent des intérêts annuels. Astucieux, n’est-il pas vrai ? Dès 1992, les obligations détenues par la FED avaient une valeur de quelque 5 trillions de dollars, et les intérêts payés par les contribuables états-uniens augmentent constamment. La FED s’est appropriée ce patrimoine incroyable en prêtant de l’argent au gouvernement états-unien et en encaissant alors des intérêts. La contre-valeur : du papier de couleur, nommé dollar. Répétons-le : le dollar est émis non pas par le gouvernement des Etats-Unis, mais par la FED, qui est contrôlée par des banques privées et met à disposition du gouvernement de l’argent et, en contre-partie, encaisse largement des intérêts et prélève des impôts. Personne ne remarque cette duperie. De plus, les obligations émises par le gouvernement donnent à la FED un droit de gage, public et privé, sur l’ensemble des biens-fonds des Etats-Unis. De nombreuses actions en justice se sont efforcées de faire annuler la loi sur la FED, mais sans succès jusqu’à maintenant. Le président John F. Kennedy a été le premier à tenter de transformer la FED en édictant un décret présidentiel (« Executive 0rder 11110 »). Peu après, il a été assassiné, probablement par son propre service de renseignement. Le premier acte de son successeur, Lyndon B. Johnson, a été d’annuler le décret de son prédécesseur dès son retour de Dallas à Washington, dans l’avion présidentiel. Et aujourd’hui ? Les banques privées tentent par tous les moyens de maintenir et d’assurer leur gigantesque source de revenu qu’est le dollar. Les Etats qui veulent nouer leurs relations commerciales internationales sur la base de l’euro, tels l’Irak, l’Iran ou le Venezuela, sont déclarés terroristes. Les gouvernements sont forcés de livrer des produits aux Etats-Unis contre des dollars sans valeur, et l’augmentation effrénée de la liquidité fournit à la haute finance les liquidités illimitées avec lesquelles elle peut acheter dans le monde entier. Les banques centrales du monde entier sont forcées de détenir des dollars sans valeur comme « réserves monétaires ». Le dollar des Etats-Unis est la monnaie privée de la haute finance, garantie par personne si ce n’est par elle-même, utilisée pour maximiser le profit, accrue sans vergogne, employée comme moyen de domination mondiale et pour accaparer toutes les ma¬tières premières et autres valeurs au monde. Source : Internationaler Hintergruninformationsdienst für Politik, Wirtschaft und Wehrwesen, juillet-août 2007.
3 - J'accuse. L'association "J'accuse", est tenu par une sorte de « nain de jardin » inconsistant et dérisoire, nommé Marc KNOBEL (« chercheur » au CRIF), et d'un avocaillon parisien, Mèèè…tre Richard Mouton SEBBAN. Le nain de jardin est l’employé préposé à la censure sioniste crifienne sur l'Internet. Il paraît qu’il est informaticien, c'est-à-dire qu’il sait se servir d’un ordinateur (fonction arrêt, marche, recul, et sites pornos ; voir le fameux http://www.jacquieetmichel.net ). Il semble ne pas aimer voir son nom associé aux tortures subies par Daniel MILAN, en octobre 2001, à Nice, tortures opérées par la police nationale, les policiers ayant débarqué chez Daniel MILAN en disant « On vient de la part de SEBBAN ». Daniel MILAN lui, n’a pas l’intention d’oublier les souffrances qu’il continue à ressentir dans le bas de son dos, et qui font que parfois, il se plie en deux sous la douleur. Les amis de Daniel n’ont de même pas du tout l’intention d'oublier. Ce qui a motivé ces tortures, était un dessin de Daniel, que ce dernier avait adressé par fax à cette association « J’accuse », suite aux attentats du 11 septembre 2001 aux USA, attentats dont on sait qu'ils ont été opérés dans la lignée des pogroms, par les autorités en place aux USA, soit par les instances sionistes, juives et chrétiennes. Le nain de jardin est l'objet d'articles de soutien, pour son moral défaillant du fait de la publication constante depuis trois années, principalement sur le site aredam.net, de l'affaire Daniel MILAN, ces articles de soutien paraissant dans l'actuel Journal officiel de la République « Actualité juive », ces articles étant signés d'un énergumène comique en état de surexcitation chronique, atteint du syndrome du psychiatre dont il aime à emprunter le vocabulaire pour en décorer ses ennemis, le dénommé et très équilibré lui, Jean-Yves CAMUS.
4 - SOS Racisme et le Consistoire, et autres machins sans importance (telle l’UEJF).
Tout le monde connaît SOS Racisme, créé par le sioniste fanatique Julien DRAY, un ancien de la Ligue Communiste Révolutionnaire (secte trotskiste ultra sioniste) passé au Parti socialiste (PS : Parti Sioniste). Il n'y a rien à rajouter sur cette médiocre imposture qu'est SOS Raciste, qui n'a été créé que pour porter secours aux racistes sionistes, et à la tête duquel on voit défiler ce qui se fait de bien en matière de vendus pitoyables.
Quand au Consistoire, il suffit de rappeler que le fameux rabbin Gabriel Farhi en dépend comme tous les rabbins, que le Consistoire n'a pas désavoué ce rabbin, qui s'est monté à lui tout seul comme un grand garçon qu’il est, un attentat dans sa synagogue personnelle, attentat bien sûr opéré par un affreux arabe, et dont le rabbin fut le seul témoin, arabe hirsute et en babouche qui a crié en poignardant le rabbin, « Allah est grand ».
Il paraît que le rabbin, qui est un tantinet douillet, a eu du mal à se faire lui-même les éraflures très superficielles présentes sur son épiderme délicat et sensible. Les policiers qui on commencé à le trouver louche, lui ont conseillé de rencontrer des psychiatres, ce que le rabbin a refusé. Il s’est fait porter malade pendant quelques mois, puis est réapparu lors d’une manifestation publique aux côtés des responsables du Crif, comme si de rien n’était (on n’abandonne pas un élément si motivé).
Ce rabbin est dans la suite logique des pogroms, des protocoles, du fameux « Secret de Polichinelle à dormir debout dans le Château de cartes branlant », des attentats du Yémen et d’Irak, et plus proche de nous, de Sainte Marie-Léonie Leblanc du RER D (une jeune et touchante descendante un peu mongolienne de la vieille noblesse francilienne), de l’incendie de la synagogue aux assurances de Gagny, du type masochiste dont j’ai oublié le nom (Moïsis ?) qui s’appelait lui-même au téléphone pour s’envoyer des insultes antisémites et qui a porté plainte et a été démasqué, de Richard Raie d’Equerre et Bite en Quinconce et Préservatif Ramollo, de l’autre du sud de la France, qui s’est gravée sur elle-même une croix gammée, de la gamine de 13 ans, la dernière en date, qui a été agressée parce que juive et donc riche, par de vilains noirs et arabes bavant, mal lavés et « dronés ».
Nota : Je suis sincèrement désolé pour les oublis, mais l’industrie du faux étant intensive, et ne passant pas ma vie à collationner toutes ses manifestations, je laisse à qui veut, la tâche salutaire d’en dresser une liste exhaustive et de la diffuser.
Michel DAKAR, agent iconoclaste et mal pensant. Texte écrit le 15 octobre 2007, pour servir
à l’histoire humaine non-officielle, libre et vivante, haïe
des morts-vivants. |