Pourquoi et comment récuser la LICRA, lorsqu'elle se porte partie civile dans les affaires de diffamation raciale (racisme et antisémitisme), au travers du cas de son président, M. Patrick GAUBERT, ou la vraie nature du sioniste, et au-delà, la vraie nature de l'homme de pouvoir, dévoilée. (fichier à faire circuler, il ne faut plus que la LICRA puisse se porter partie civile dans les affaires de diffamation raciale)
Patrick GAUBERT est le président de la LICRA depuis 1999.
Il est membre de la LICRA depuis 1983, et vice-président depuis 1985.
Il a été conseillé municipal, responsable du RPR, à COURBEVOIE, commune du département des
Hauts-de-Seine (fief de PASQUA et de SARKOZY), dès 1982.
Il a fait voté de 1984 à 1986, au conseil municipal de COURBEVOIE, une série de décisions instaurant sur cette commune, une allocation parentale d'éducation, versée à partir du 3ème enfant, réservée aux mères de nationalité française, et interdite aux mères conservant leur activité professionnelle.Cette allocation est donc raciste, sexiste (elle tend à renvoyer les femmes dans leur foyer), eugéniste (elle a pour but aussi d'entraver la naissance d'enfants de mères étrangères), et nataliste (elle pousse à faire des enfants, soit à l'augmentation de la population, soit l'augementation de sujets utilisables par la caste au pouvoir).
Cette allocation mensuelle, fut effectivement versée de 1984 à 2000, soit seize ans.
La LICRA, et donc Patrick GAUBERT son président, intentèrent un procès à la mairie de VITROLLES dans les BOUCHES du RHONE, dont le maire était Catherine MEGRET, et la firent condamner à 100 000 francs d'amende, trois mois de prison avec sursis, et à deux ans d'inégibilité, en 2000, pour avoir fait avoir voter, sans jamais l'avoir versé une seule fois (!), une prime à la naissance du 3ème enfant, prime versée en une seule fois, de 5000 francs, prime qui était aussi réservée aux mères françaises.
La LICRA et son président Patrick GAUBERT, possèdent donc comme caractères essentiels, le racisme, l'eugénisme, le sexisme, et surtout, le MENSONGE, se présentant comme antiracistes.
Patrick GAUBERT est l'un des lobbyistes d'Israël, au Parlement européen, où il est de plus député.
On peut dire que les caractères propres à la LICRA et à son président, sont certainement aussi ceux
d'Israël.
Voici la copie de son discours de présentation de la LICRA, qui figure sur le site internet de cette
organisation, http://www.licra.org, et son cv sur son site de parlementaire européen
http://www.patrickgaubert.net
Apprennons à connaître le sinistre GAUBERT, la sinistre LICRA, et ISRAEL.
Le mot du Président : Patrick Gaubert 03/04/2006
Depuis 1927, La LICRA est en première ligne dans les combats incessants contre l’abjection,
l’aberration que symbolise le refus de l’autre en raison de ses origines, de la couleur de sa peau ou de sa religion.
Un combat qu’elle mène en France mais aussi sous toutes les latitudes par le biais des sections qui, peu à peu, se sont implantées à travers le monde entier.
L’Humanité a accompli dans la seconde moitié du XXème siècle, notamment dans le domaine scientifique, des progrès inouïs et, dans le même temps, des peuples, par l’accès à l’indépendance de nombreuses nations, se sont peu à peu libérés du joug de la domination coloniale.
On aurait pu penser que le racisme, sous toutes ses formes, disparaîtrait à l’aube du troisième millénaire. Hélas ! Les discriminations de toutes sortes polluent les relations entre êtres humains.
L’antisémitisme se manifeste quotidiennement sous sa forme la plus primaire et violente. La France
n’avait plus connu cela depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.
Le repli sur soi, les peurs, le communautarisme contribuant à l’affrontement et la concurrence des mémoires, l’antisémitisme et le racisme sont donc toujours présents, renaissant de leurs cendres en prenant parfois de nouvelles formes, encore plus pernicieuses parce que plus sournoises.
Plus que jamais, près de 80 ans après sa création, la lutte antiraciste de la LICRA et son engagement citoyen sont indispensables.
PatrickGAUBERT
Président de la LICRA
Patrick Gaubert
Bienvenue aux sympathisants du Parti Populaire Européen et Démocrates Européens du Parlement européen.
Vous retrouverez sur ce site toute l'actualité de mon action en faveur de l'Europe.
Membre du Groupe du Parti populaire européen (Démocrates-chrétiens) et des Démocrates européens
Commissions parlementaires
- Vice-président de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures
- Membre de l'Assemblée Parlementaire Paritaire Afrique-Caraïbes-Pacifique / UE
- Membre suppléant de la Commission des affaires étrangères
- Membre suppléant de la sous-commission des droits de l'homme
- Membre du bureau politique du Parti Populaire européen
Délégations parlementaires
- Membre de la Délégation pour les relations avec Israël
CV
- Docteur en chirurgie dentaire, attaché aux Hôpitaux de Paris
- 1982-1986 Conseiller municipal de Courbevoie (Hauts-de-Seine)
- Président du Groupe RPR au Conseil municipal de Courbevoie
- 1986-1988 Chargé de mission au Cabinet du Ministre de l'Intérieur : chargé de la lutte contre le racisme
- 1993-1995 Chargé de mission au Cabinet du Ministre d'Etat, Ministre de l'Intérieur et d el'Aménagement du territoire: chargé de la lutte contre le racisme
- Coordinateur des cellules nationales et départementales de lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie
- Depuis 1999 Président de la LICRA, Ligue Internationale Contre le Racisme et l'Antisémitisme (réélu en 2001 et en 2004)
- 1995: Chevalier de l'Ordre National du Mérite, 2001 : Chevalier de la Légion d'Honneur
- 2004 membre du Comité d'Ethique de l'Internet
- Membre de la Commission Nationale Consultative des Droits de l'Homme (CNCDH)
- Membre du comité consultatif de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour
l'égalité (HALDE).
Contacts
Assistants : Frédérique BARTHELEMY, Richard SERERO et Laëtitia GOMBERT
13E218
Rue Wiertz
B-1047 Bruxelles
Belgique
Tél: +322 284 51 56
Fax: +322 284 91 56
T08011
Allée du Printemps
F-67070 Strasbourg Cedex
France
Tél: +333 88 17 51 56
Fax: +333 88 17 91 56
Courriel : pgaubert@europarl.eu.int
Une réponse au texte relatif à la LICRA :
Loi «pour la protection du sang et de l'honneur allemands »
Certain que la pureté du sang allemand est la condition nécessaire pour assurer la vie du peuple allemand et animé par la volonté inflexible d'assurer l'avenir de la nation allemande, le Reichstag a décidé unanimement la loi promulguée ici :
1. Les mariages entre Juifs et citoyens allemands ou de sang voisin sont interdits. Les mariages consentis malgré cette interdiction n 'ont pas de valeur, même s'ils ont été conclus à l'étranger pour ne pas tomber sous le coup de la présente loi.
2. Les relations extra-conjugales entre Juifs et citoyens allemands ou de sang voisin sont interdites. (...)
Gesetz zum Schutze des deutschen Blutes und der deutschen Ehre, vom 15. September 1935
Durchdrungen von der Erkenntnis, dass die Reinheit des deutschen Blutes die Voraussetzung fur den Fortbestand des deutschen Volkes ist, und beseelt von dem unbeugsamen Willen, die deutsche Nation fur alle Zukunft zu sichern, hat der Reichstag einstimmig das folgende Gesetz beschlossen, das hiermit verkündet wird :
§1.1. Eheschliessungen zwischen Juden und Staatsangehörigen deutschen oder artverwandten Blutes sind verboten. Trotzdem geschlossene Ehen sind nichtig, auch wenn sie zur Umgehung dièses Gesetzes im Ausiand geschlossen sind.
2. Die Nichtigkeitskiage kann nur der Staatsanwalt erheben.
§2. Ausserehelicher Verkehr zwischen Juden und Staatsangehôrigen deutschen oder artverwandten Blutes ist verboten.
§3. Juden dürfen weibliche Staatsangehörige deutschen oder artverwandten Blutes unter 45 Jahren nient in ihrem Haushalt beschàftigen.
§4.1. Juden ist das Hissen der Reichs-und Nationalflagge und das Zeigen der Reichsfarben verboten.
2. Dagegen ist ihnen das Zeigen der jùdischen Farben gestattet. Die Ausübung dieser Befugnis steht unter staatlichem Schutz.
§5.1. Wer dem Verbot des § 1 zuwiderhandeit, wird mit Zuchthaus bestraft.
2. Der Mann, der dem Verbot des § 2 zuwiderhandeit, wird mit Gefängnis oder mit Zuchthaus bestraft.
3. Wer den Bestimmungen der §§ 3 oder 4 zuwiderhandeit, wird mit Gefängnis bis zu einem Jahr und mit Geldstrafe oder mit einer dieser Strafen bestraft.(...)
Numberg, den 15. September 1935
Am Reichsparteitag der Freiheit.
1)Le texte des 3 Lois de Nuremberg :
Cette loi interdit les mariages entre Juifs et non-Juifs en Allemagne. Les relations sexuelles entre Juifs et non-Juifs sont également interdites. Les Juifs sont ainsi mis à part dans la société allemande. Bientôt de sévères amendes, puis de l'emprisonnement dans des camps, ou même parfois la peine de mort seront appliquées à ceux qui ne respectent pas cette interdiction.
Sur ordre d'Hitler, c'est le ministre de l'Intérieur, Wilhelm Frick , qui prépara la loi. Le 12 septembre 1935, lors d'un grand rassemblement du parti nazi dans le stade de Nuremberg, le Dr Wagner annonça dans un discours que bientôt serait adoptée une "loi pour protéger le sang allemand". Une équipe de juristes travailla alors pour soumettre à Hitler un texte de loi précis. Les premières propositions furent rejetées par Hitler qui les jugeait trop "clémentes".
Le Reichstag (le Parlement allemand) fut réuni à Nuremberg, le 15 septembre 1935. Hitler y fit un assez court discours. Hermann Goering , président du Reichstag, présenta la nouvelle loi, qui fut adoptée à l'unanimité.
[Note : les lois de Nuremberg s’appliquent aussi aux Noirs et aux Tziganes]
2) définition raciale des juifs par les nazis :
Enclyclopédie multimédia de la Shoah :
Les lois de Nuremberg – c’est le nom sous lequel elles devaient être connues – ne définissaient pas le Juif par sa religion. Pour être défini comme Juif, il suffisait, indépendamment de ses convictions ou de son appartenance à la communauté juive, d’avoir trois ou quatre grands-parents juifs. De nombreux Allemands qui ne pratiquaient plus le judaïsme depuis des années ou qui n'avaient jamais fait partie d'une synagogue, se trouvèrent ainsi pris au piège de la terreur nazie. Même les personnes de grands-parents juifs qui s’étaient converties au christianisme étaient définies comme juives.
http://www.ushmm.org/wlc/article.php?lang=fr&ModuleId=285
3)Extraits de Mein Kampf :
L'État totalitaire doit être un État de la responsabilité totale. Il requiert de chacun l'accomplissement total de son devoir envers la nation. L'accomplissement de ce devoir supprime le caractère privé de l'existence individuelle. Dans son action publique comme dans le cadre de la famille [...], chaque individu est responsable du destin de la nation [...].
Le couronnement de tout le travail de formation et d'éducation de l'État national ne peut être que l'impression, au fer rouge, dans les cœurs et dans le cerveau de la jeunesse qui lui est confiée, de l'esprit de race et du sentiment de race en s'adressant à la fois à l'instinct et à l'intelligence. Aucun garçon, aucune jeune fille ne doit quitter l'école sans avoir été amené à reconnaître et à sentir la nécessité et la nature de la pureté de race [...]
A. HITLER, Mein Kampf, 1925
4) Les Nazis considéraient que le sionisme avait une base raciale : Conception sioniste de la judaïté selon des critères raciaux : Reinhardt Heydrich, chef des Services de Sécurité S. S., écrit dans Schwarze Korps, organe officiel SS un article sur l’3Ennemi visible » où il opère des distinctions entre les Juifs : « Nous devons séparer les Juifs en deux catégories : les sionistes et les partisans de l’assimilation. Les sionistes professent une conception strictement raciale, et par l’émigration en Palestine, ils aident à bâtir leur propre Etat juif…. Nos bons vœux et notre bonne volonté officielle sont avec eux » (in : Hohne, Order of the Death’s Head, p. 333)
5) Les faits et gestes de Patrick Gaubert, président de la LICRA, membre depuis 1983, et dirigeant de la LICRA depuis 1985 :
- a voté des décisions municipales relevant du concept de préférence nationale à Courbevoie, de 1984 à 1986, en tant qu’élu au conseil de cette commune des Hauts de Seine, département où il était parmi les responsables du RPR.
Il s’agissait de la création d’une allocation parentale d’éducation réservée aux Français ET RESSORTISSANTS DE LA COMMUNAUTE EUROPEENNE. Cette décision a été appliquée jusqu’en juin 2000.
- a fait condamner en novembre 2003 Catherine Mégret, maire d’extrême-droite et notoirement raciste de Vitrolles (Bouches du Rhône) pour la mise en place d’une allocation similaire, en 1998 : cette allocation a donc été considérée comme raciste, Patrick Gaubert avait porté plainte en tant que président de la LICRA.
6) Déclaration récente de Patrick Gaubert :
« Nous devons de toutes nos forces nous opposer à la tentation de légiférer sur l’islamophobie, vieux concept des mollahs iraniens » (voir la déclaration complète ci-dessous) ; la LICRA estime au contraire qu’il faut poursuivre un éditeur pour antisémitisme. Il est donc clair pour lui qu’il ne saurait y avoir une loi réprimant l’islamophobie, parce qu’il s’agit là de porter atteinte à la liberté religieuse ou antireligieuse de chacun (l’islam ne se définit pas autrement que selon des critères religieux) ; s’il faut des lois réprimant la critique du judaïsme, c’est donc parce que celui-ci ne se définit pas comme religion mais sur des critères raciaux.
7) La LICRA a assigné en justice le journaliste Daniel Mermet pour incitation à la haine raciale contre les Juifs, en juin 2001, lors d’une émission sur le conflit israélo-palestinien. La revue Israël Magazine, organe officiel du gouvernement israélien reconnaît pleinement la définition raciale du judaïsme, et y ajoute la notion de supériorité raciale. Voir ci-dessous la déclaration du rédacteur en chef et directeur de publication de ce magazine, André Darmon (numéro de juin 2002, éditorial) :
« La situation d’Israël et du peuple juif de par son histoire, son code éthique que chaque soldat juif reçoit dans son barda dès qu’il a fini ses classes, son génie (sa contribution au savoir humain à travers la jauge des prix Nobel est, en rapport de sa population, 10 000 fois plus importante que celle du monde musulman entier) fait de lui un élève à part, doué, indiscipliné […] Tous les psychologues le disent, ceux qui font les meilleurs hommes, ce sont ces potaches caractériels qui brusquent la réalité, empêchent de tourner en rond et jettent à la face du monde des vérités qu’il a du mal à entendre. Ceux-là ont en eux ce gène que certains appelles, par ce qu’il est rare, le courage, et que je nommerais simplement dignité » (etc)
Cet article est précédé d’une citation de Benjamin Disrael : « Oui je suis juif et quand les ancêtres de mes adversaires étaient des brutes sauvages, les miens étaient prêtres au temple de Salomon » ; il est difficile d’être plus raciste, et d’ailleurs à l’époque du ministre anglais Benjamin Disraéli, cela se pratiquait tout à fait ouvertement (il a vécu de 1804 à 1881).
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