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Essai sur la notion d' "Horreur".

 

Cette page est constituée de :

1 - Extrait du livre d'Alexandre Zinoviev "Le communisme comme réalité", paru en 1981 chez Julliard, collection l'Age d'Homme. Ces extraits portent sur la notion de "bons citoyens", ces bons citoyens se retrouvant de même au sein de notre régime totalitaire capitalo-sioniste :
http://www.aredam.net/texte-bon-citoyen-zinoviev.html

 

2 - Illustration d'oeuvres des bons citoyens :
Liens vers des fac similes d'artefacts actuels de "bons citoyens"
http://www.aredam.net/illustration-bon-citoyen.html

 

3 - Définition du terme "dissident".

Dissident : "Celui qui pense différement".

Extrait du livre "Le communisme", de Stéphane Courtois et Marc Lazard. MA Editions. 1987.

"Apparu dans les années soixante en URSS, le néologisme "inakomysliachtchiï" employé dans la presse soviétique de manière péjorative et toujours en compagnie de formules telles que "agent de l'impérialisme", signifie "celui qui pense différement". Il a été forgé pour désigner ce phénomène d'opposition intellectuelle au régime soviétique."

A notre époque, celle où la planète Terre, sous le règne du régime totalitaire capitalo-sioniste, les réels dissidents sont dits "révisionnistes" ou "négationnistes". Ils pensent le réel différement de ce que l'énonce la propagande de ce régime totalitaro-biocidaire.
Voir le dessin d'illustration : "La planète Mensonge"

 

4 - Citation d'Hannah Arendt :

"Par une "ruse de la raison" idéologique, c'est l'image des horreurs des camps nazis qui est chargée de masquer la réalité des camps soviétiques." On peut actualiser cette citation, en ajoutant que les camps nazis servent maintenant à masquer l'horreur infiniment plus immense du capitalo-sionisme, qui a entrepris de détruire toute la planète, l'esprit et la civilisation.

On peut établir une graduation de l'horreur. Les dissidents pensent qu'elle s'échelonne du nazisme, au communisme, dont l'horreur est supérieure à celle du nazisme, pour prendre une ampleur inégalée avec le capitalo-sionisme actuel. Mais il n'y a pas de fin à l'horreur. Il y a toujours le pire du pire.

 

5 - Couvertures des livres d'Alexandre Zinoviev et de Jacques Rossi.