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"Quand on n'a que la prison pour se débarasser d'un contradicteur, c'est qu'on a aucun argument à lui opposer", dixit Vincent Reynouard. Nouvelles de Vincent Reynouard, un lutteur pour la défense du droit à la liberté de conscience, d'expression de cette liberté de sa conscience, de diffusion publique de l'expression de cette liberté, poursuivi par les sbires dérisoires qui se camouflent lâchement derrière l'antifascisme, qui ne sont en réalité que de simples outils de la répression de la conscience, oeuvrant à l'anéantissement de l'esprit pour le maitien de l'ordre du régime totalitaire à façade démocratique que nous subissons (voir les petits flics typiques de Scalp Réflex et d'autres "défenseurs de la mémoire" sur les vidéos accessibles par le lien ci-après : http://www.aredam.net/liens-video-vincent-reynouard.htm). Communiqué : Ce 18 février 2009 à 6 h, plusieurs membres de la Police judiciaire belge ont fait irruption au domicile de Vincent Reynouard. Venus avec un serrurier, ils n'ont pas sonné et sont allés directement fouiller les différentes pièces de l'habitation. Vincent étant absent, ils sont repartis bredouilles. Ils ont toutefois dit à son épouse qu'ils "avaient la pression du parquet" et qu'ils étaient prêts à revenir tous les jours, le matin comme le soir, pour appréhender Vincent. Ils lui ont ajouté: "Souhaitez un bon anniversaire à votre mari", car V. Reynouard est né le 18 février 1969. Il a donc 40 ans aujourd'hui. Alors que, pour cette occasion, certains organisent des fêtes, Vincent, impitoyablement traqué, passera cet anniversaire loin de son épouse et de ses enfants. Ajoutons que depuis plusieurs mois V. Reynouard était parvenu à se faire une clientèle en donnant des cours particuliers. Ainsi parvenait-il a récolter quelques centaines d'euros mensuellement et à les envoyer à sa famille. Le bouche-à-oreille ayant bien fonctionné, tous ses élèves se connaissaient. Suite à la parution de l'article le concernant dans "Paris-Match", un parent d'élève l'a identifié. Cette fois, le bouche-à-oreille a servi dans le sens contraire. En moins d'une semaine, Vincent a perdu les trois-quarts de ses élèves. De plus, craignant la délation, il a dû quitter l'endroit où il s'était réfugié, abandonnant ceux qui lui étaient restés fidèles. Interrogé, Vincent a déclaré
que tout cela ne changerait rien: il continuera jusqu'à sa dernière
seconde de liberté à lutter pour la Vérité.
Saluons sa courageuse épouse et ses courageux enfants qui, malgré
tout, continuent à former une famille unie et soudée. Ce
matin, son aîné (qui avait vu son père se faire arrêter
et menotter devant lui à Paris en 2006) a simplement dit:
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