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Titre de cette page : Voir aussi le blog consacré à Reflexes du CICP : http://reflexesverite.blogspot.com
Vers une analyse psychiatrique du cas Reflexes du CICP, lettre à l'Hôpital Maison Blanche
Michel DAKAR Paris, le 12 mars 2010
Objet : suite de la convocation sur ordre du bureau politique de la Préfecture de police de Paris, en relation avec les affaires palestiniennes, au centre L’Intermède, rue de la Chapelle, en mars 2007.
Cette présente lettre, est motivée par la préparation d’un dossier de plainte devant être déposée devant une juridiction internationale, pour crime contre l’humanité, et complicité dans ce crime. Entre autres, cette plainte visera l’organisation dénommée « Reflexes », sise au CICP, 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème.
En mars 2007, la Préfecture de police de Paris vous a ordonné de me convoquer au centre l’Intermède. Cette convocation était pour cette dernière une manière de contrer mon exigence de laisser paraître au Journal Officiel la déclaration de l’association CODEIG créée en 2005, dont la préfet a demandé immédiatement la dissolution, ce que la justice a rejetée, condamnant même l’Etat au dépends. L’association CODEIG est l’une des rares, sinon la seule en France, qui soit indépendante de l’Etat français, apte à se porter partie civile en matière de racisme et d’atteinte globale envers des populations, soit en matière de génocide. C’est ce qui dérange l’Etat français, qui suit visiblement les directives israéliennes. Que cette association paraisse ou non au Journal Officiel est en réalité secondaire, car l’arrêt de novembre 2006 de la 1ère chambre de la Cour d’appel de Paris est par nature une publication, ce qui suffit à légaliser l’association CODEIG, et même mieux que par sa parution au Journal Officiel. Cela sera de même une première dans l’histoire du droit associatif en France. Voilà quels sont les enjeux. 3 - Objet de cette lettre.
En soi, cette démarche de la Préfecture doit continuer à être traitée. Je le fais par la demande qui suit, que je vous adresse, et qui concerne l’association sus nommée « Reflexes ». « Reflexes » est en réalité une annexe de la police politique française ou israélienne, les deux se confondant maintenant. Derrière une façade libertaire, cette agence est en charge de discréditer tous ceux qui échappent à l’encadrement gouvernemental et qui s’occupent du Proche-Orient, l’affaire palestinienne étant devenue centrale en Occident, du fait de l’hégémonie israélienne en Occident même. L’agence Reflexes publie des textes sur l’Internet, dont seule une organisation étatique est capable de fournir la documentation, c’est d’ailleurs ce qui trahit Reflexes, outre que pour les connaisseur du milieu libertaire, il est clair que Reflexes ne dispose d’aucun effectif militant, sa revue papier et son émission à Radio Libertaire ayant cessé depuis des années. De plus, toutes ses productions sont anonymes. On a à faire là à une sorte de centre de publication d’injures, de diffamations et de mensonges, anonymes. Mais en ce qui concerne l’agence Reflexes, ce qui la différencie des autres agences policières de ce type, c’est le caractère particulièrement haineux, maladivement haineux de ses productions, et c’est dans l’analyse de ses textes que des spécialistes en psychiatrie peuvent intervenir. Je vous demande donc votre opinion sur un extrait de texte paru sur le site Internet de Reflexes, en août 2007, soit peu de temps après votre convocation en mars 2007, et sur le contenu de deux e-mails que j’ai reçu dernièrement provenant du CICP (Centre international de Culture Populaire), lieu de résidence de cette agence, et très probablement émanant de celle-ci. Vous devez certainement considérer ma demande comme extraordinaire, mais je vous rappelle qu’en tant que médecin, vous vous êtes engagé à ne pas nuire aux humains, cela par le serment d’Hippocrate, et une manière de ne pas nuire est de traiter avec équité une demande comme la mienne, qui est motivée par la sauvegarde des populations, par rapport à celles qui émanent d’organisations comme la Préfecture de police et ses comparses, dont Reflexes, dont l’objet est fatal aux populations, demandes que vous avez dans le passé acceptées, ou que vous continuez peut-être d’accepter. J’ai conscience que cette demande vous paraîtra complexe, mais en toute circonstance, il y a moyen d’avancer dans une direction de progrès. J’ai pour ma part opéré à partir de ces trois écrits, une rapide classification analytique que je vous livre :
Classe 2 : projections dévalorisantes sur le plan des facultés intellectuelles (« pauvreté de ton discours », « abrutis totaux », « complètement idiots »). Classe 3 : projections dévalorisantes sur le plan de l’équilibre émotionnel, par assimilation de la personne cible au déchet (« polluer », « merde », « poubelle »).
Le site de cette agence est une occasion rare de pénétrer le processus d’auto justification du criminel. Il y a là, la possibilité d’observer in vivo le procédé mental de déculpabilisation des criminels, par projection de leur culpabilité sur les victimes de leurs crimes. C’est à la fois une étude qui intéresse le domaine médical, mais aussi politique. Je me permets l’outrance de souligner l’importance de cet aspect. Il y a même là matière à sujet de recherche et de thèse en psychiatrie, et au-delà, de création d’un secteur d’étude, celui de la psychiatrie politique, mais évidemment pas dans le sens coercitif, mais dans celui libérateur. Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de recevoir, Madame, l’expression de mes respectueuses salutations. Pièce jointe : 1
Collection des éléments écrits (transcription incluant les fautes de français)
Va te faire soigner ! Et en tous cas, inutile
de nous adresser tes messages révisionnistes... 2 – Message électronique de : olive11@no-log.org
« Le dernier en date, Michel Dakar, passe
son temps à dénoncer le “génocide (sic !) du
peuple palestinien” et les “complots menés par les
instances sionistes” (en parlant de la justice française)
dont il est victime. Après des mois (voire des années) de
harcèlement de toutes les instances judiciaires possibles et imaginables
sur ces deux sujets, il a enfin obtenu une réponse de la Préfecture
de Police de Paris en ce début d’année : c’est
une convocation dans les services psychiatriques des Hôpitaux de
Paris “afin de décider si l’état de Michel DAKAR
nécessite un suivi psychiatrique et des soins”.
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