Une histoire qui ne passe toujours pas.

L’unique problème humain est traité dans cette communication, le plus ancien, qui obère tout devenir et génère toutes les avanies, dont celles multiples que nous connaissons en cette période, et abordé dans toujours le même but qui est d’établir une assise permettant de recevoir l’ouverture d’une route menant enfin à un avenir, et à sortir de cette éternelle répétition, communication réalisée pour ceux qui sont encore en état d’éprouver ce désir, qui sont encore des êtres.

Communication de Michel Dakar, le 28 février 2022 à Villequier en France.

Version originale format PDF 48 pages, dont celles de documentation
Texte : les 14 premières pages.
Documentation : pages suivantes, 15 à 48 :
1 – Scan de certaines pages du livre Les Débuts de l’histoire, 2008, Éditions de la Martinière, ouvrage collectif, passage du livre sur le Mythe sumérien d’Atrahasis, pages 350 et 351 et cartes géographiques, création il y a 10 000 ans de la société divisée en deux groupes ou classes, l’élite des maîtres et la masse des esclaves. Répression de l’acte de révolte de la masse des esclaves par le Déluge, l’extermination, identique à l’actuel processus dit « Great Reset », remise à zéro de la population humaine, dans ce cas devenue inutile, encombrante, nuisible et excédentaire (évacuation).
2 – Mythes de la Mésopotamie, 1994, d’Henrietta McCall, Seuil, mythe d’Atra-hasis et Déluge, pages 83 à 86 et carte géographique.
3 – Les portes de la perception d’Aldous Huxley, 1946, Éditions du Rocher, chapitre Notes sur le Zen, pages 285 à 294.
4 – Mystiques et magiciens du Tibet, 1929, Alexandra David Neel, chapitre 8 Phénomènes psychiques et comment les tibétains les expliquent, pages 292 à 316, et photographies.
Nota : les deux derniers livres abordent le domaine où il est possible de trouver des matériaux pour construire la socle et la route.

Version manuscrite PDF avec scan des pages des livres :
Nota : le Pdf a été spécialement réalisé pour être très facilement lisible sur tirage papier, car un texte complexe ne se lit pas sur écran, faites donc une sortie papier.
http://aredam.net/une-histoire-qui-ne-passe-toujours-pas.pdf
Version en format HTML texte manuscrit transcrit sur clavier pour traducteur automatique, pages du texte seules :
http://aredam.net/une-histoire-qui-ne-passe-toujours-pas.html
Version vidéo, interprétation synthétique de la communication :
http://aredam.net/une-histoire-qui-ne-passe-toujours-pas.mov

Annonce de la prochaine communication :
Analyse du problème juif, à partir du livre d’Israël Shahak, Histoire juive-religion juive ; le poids de trois millénaires, du livre de Maurice Maeterlinck La Vie de la nature (la vie des abeilles, l’intelligence des fleurs, la vie des termites, la vie des fourmis), d’un rêve fait ce jour 3 mars 2022, et des nombreux amis juifs que j’ai rencontrés.
http://aredam.net/analyse-du-probleme-juif.pdf


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La période actuelle s’y prête bien, qui permet de rappeler l’unique problème de fond qui obère toute avancée vers un état heureux pour l’espèce humaine ainsi que pour toutes les autres formes de vie sur Terre, qui dépendent de l’équilibre de la première.

Ce problème unique a été traité dès le commencement de la période historique humaine, dans les deux textes fondamentaux du Mythe de l’Origine, ce problème étant le sujet le plus ancien et essentiel, qui a donc fait l’objet de la toute première élaboration conceptuelle, comme si dès le départ, ceux qui étaient aptes à voir, réfléchir, élaborer, communiquer, transcrire, transmettre

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avaient jugé qu’il n’y avait rien de plus urgent et important à traiter.

Cela fut fait il y a environ 10 000 ans, à l’emplacement géographique où se formèrent les premières communautés humaines élargies au-delà de la famille, du clan, de la tribu, pour constituer les agglomérations, la cité et L’État, à Summer, dans le delta où se rejoignent les fleuves Tigre et Euphrate, sur le Golfe persique, débouchant sur la Mer d’Oman et l’Océan indien.

Tant que cet unique problème ne sera pas résolu, il n’y aura pas de bonheur, pas de paix, et au fond, pas d’avenir possible, uniquement une

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réitération d’une même succession d’évènements jusqu’à soit la maturation permettant la sortie du manège, soit l’épuisement des forces ou la rapide destruction.

Les deux récits fondateurs de l’histoire moderne sont le Mythe de la Création de l’homme ou l’Atra-hasis et le Mythe du Déluge, ces deux récits n’en formant qu’un, l’un étant l’introduction, l’autre la conclusion, la Création de l’homme devant se dénommer en langage clair La Création de l’esclavage, et le Déluge, le Châtiment

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des révoltés.

Vous lirez vous-mêmes ce récit unique (Atrahasis et Déluge) dans la partie document du PDF , pour résumer, les Dieux (lire les Chefs), pour se libérer du travail, créèrent les humains (instaurèrent le statut d’esclave), puis lassés par l’état constant de rébellion (inhérent à cette organisation sociale nouvelle, dominant-dominé, exploiteur-exploité, de classe dirait Marx, pyramidale, hiérarchique), ils décidèrent de massacrer leurs esclaves (lutte des classes, Spartacus, jacqueries du Moyen-âge occidental, Commune de Paris, Page 6 : révolte des Taipings 19è siècle Chine), avec le petit problème que sans esclaves, pas de maître, car les maîtres vont devoir travailler, d’où un problème sans solution, car on ne peut mater radicalement les esclaves car cela revient à les tuer, et qu’ils recommencent tôt ou tard à se rebeller, car l’esclavage, la soumission est contraire à la nature humaine.

Secondairement, un fait social a été omis dans cette synthèse opérée dès la période historique moderne (- 10 000 ans), c’est que

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le « club » des maîtres ne peut qu’être un champ de bataille perpétuel, car dans la logique du système maître-esclave, ou dominant-dominé, dans la logique du pouvoir, il n’en reste qu’un, le pouvoir étant insécable, ne se partageant pas, d’où un état de guerre constant, à la fois entre dominants, et de dominants à dominés, ce à quoi nous assistons en ce moment, avec l’affaire de l’Ukraine, et la déchéance de l’Occident.

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La seule voie pour sortir de cet état de guerre perpétuelle dont l’issue est la destruction, soit par désintégration subite, soit par épuisement, est celle menant à une organisation autre que maître et esclave, dominant-dominé, exploiteur-exploité, hiérarchique, pyramidale.

Ce qui est prévu par les dominants occidentaux, dit programme « Grand Reset », n’est ni plus ni moins que le plan Déluge sumérien, sans sa poésie, son originalité,

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un déluge sumérien minable, dégénéré, à la Jacques Attali, Schawb, Leo Strauss et autres personnages sortis des tableaux grotesques de Jérôme Bosch, qui en avait fait le tour de ce type de personnages.


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Ce que manifeste ces récits des Origines, non de l’humanité, mais du drame humain, c’est que ce drame n’est pas « originel », constitutif d’une « nature

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humaine », mais qu’il s’est (et non qu’il a été) créé, lors d’une configuration de circonstances, et qu’avant la pétrification de l’espèce humaine dans ce qui est un système, l’Enfer n’existait pas sur Terre, l’Enfer est apparu avec le rapport dominant-dominé étendu à toute la société en tant qu’élément, brique permettant de construire toute une pyramide, la pyramide imposant à son tour de ne produire que ce type de brique et en excluant tout autre que celle qui une fois

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assemblée donne une société pyramidale.

Cela s’appelle un système réitératif et c’est la prison, le labyrinthe dont nous ne parvenons pas à nous extraire, et qui plus il vieillit, plus il se complexifie.

Les sociétés humaines qui se sont développées hors ce système pyramidal réitératif, ont toutes été détruites par ce système devenu seul en place.

Il est pensable que le bonheur humain a existé de l’apparition de l’homme dit moderne, il y a environ 40 000 ans, l’homo

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sapiens sapiens, dit Cro-Magnon, à environ moins 10 000 ans, les premières Cités-Etats de l’histoire humaine en Summer, dont Our (Ur) est la plus connue, soit 30 000 ans de plénitude, que nous ne pouvons concevoir, tant nous sommes adaptés à la souffrance, et tant notre conscience est investie par le dressage idéologique qui nous fait voir l’humain « pré » historique comme un animal brutal. C’est à peine si nous pouvons considérer les chefs d’œuvres artistiques laissés par eux (Lascaux, Chauvet...).

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L’Occident se casse la gueule, bon débarras, il a atteint un état d’abjection tel que sa disparition apparaît inévitable.

Mais ceux qui vont prendre sa place suivront le même chemin, ils sont configurés exactement sur le même schéma.

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Pour finir, dans la partie documentaire, j’ai placé le livre d’Huxley, Les Portes de la perception, et celui de Neel, Mystiques et magiciens du Tibet
(voir partie document du PDF, pages 15 à 48)

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Ces deux ouvrages abordent, sans le savoir, l’état de conscience de l’espèce humaine d’avant sa chute en Enfer, la conscience de l’humain dit « préhistorique ».

C’est une base sûre pour y construire la route de notre avenir.

Michel Dakar



Suite pages 15 à 48 :
Voir sur le PDF :
http://aredam.net/une-histoire-qui-ne-passe-toujours-pas.pdf