Similitudes entre les attaques contre Wuhan et Beyrouth, et conclusions.
Michel Dakar, le 14 août 2020, Villequier France.

http://aredam.net/similitudes-entre-les-attaques-contre-wuhan-et-beyrouth-et-conclusions.html


1 – Raison du choix des lieux des attaques.

Dans les deux cas (Wuhan et Beyrouth), l’attaque a été opérée dans une zone où existait un risque d’accident catastrophique du fait de la présence d’établissements particuliers (Wuhan : un laboratoire de recherche virologique ultra sécurisé, Beyrouth : un entrepôt contenant 2700 tonnes d’engrais, le nitrate d’ammonium ou ammonitrate).

La raison du choix de ces deux cibles (Wuhan et Beyrouth) est que l’appareil de propagande du bloc occidental pouvait soutenir aux yeux de l’opinion publique, que ce n’était pas une attaque mais un accident, dont les autorités locales connaissaient la probabilité, qu’elles n’ont pas pris les mesures adéquates, et qu’elles doivent être tenues responsables des conséquences.
(voir l’article du site des Amitiés Franco-Irakienne : http://www.france-irak-actualite.com/2020/08/menace-sur-le-port-de-beyrouth-le-president-aoun-et-son-gouvernement-etaient-au-courant.html : «
Le général Michel Aoun, président de la République libanaise I. L’Orient-Le Jour (OLJ avec Reuters - 11/8/20)* Les dirigeants prévenus en juillet des risques dans le port Les dirigeants libanais avaient été prévenus au mois de juillet 2020 des risques...).


2 – Démolition de ce subterfuge grâce à ce qui ne peut être qu’une attaque nucléaire sur Beyrouth.

Alors que le doute pouvait demeurer quant à la cause de l’apparition de l’épidémie de virus à Wuhan, une fuite de ce virus pouvant être possible du laboratoire de recherche ultra sécurisé, il ne peut par contre y avoir aucun doute quant à la cause de l’explosion du port de Beyrouth, car pour obtenir une explosion d’une telle force, il aurait fallu que toute la masse d’engrais entreposée ait été transformée en l’explosif dénommé ANFO. De plus, l’ammonitrate de Beyrouth était stocké non en vrac, mais par sac séparés, solides, hermétiquement clos et doublés d’une tonne, déchargés comme tel du bateau initialement les transportant.

La page Wikipédia sur l’ANFO, l’explosif à base de nitrate d’ammonium
: https://fr.wikipedia.org/wiki/ANFO permet de prendre conscience du caractère spécieux de la thèse d’une explosion de cette puissance par l’ammonitrate.

Cela révèle l’absolue soumission des journalistes occidentaux à l’appareil secret de propagation du mensonge du bloc occidental, auxquels on doit retirer la qualification de journaliste pour la remplacer par celle de propagandiste.

Pour fabriquer l’explosif à base d’ammonitrate (ANFO), il faut imbiber tous les granulés avec du fuel, pour obtenir un composé constitué d’environ 94 % d’ammonitrate et 6 % de fuel. La masse doit être homogène. L’équivalent ANFO – TNT est d’environ 1.

En ce qui concerne les 2700 tonnes de Beyrouth, il aurait donc fallu monter une véritable usine à l’intérieur du hangar même, avec des mélangeurs, car il n’a pas été constaté de transport aller et retour de ces 2700 sacs d’une tonne vers un lieu écarté où opérer la transformation de l’ammonitrate en ANFO.

Mais cela ne suffit pas, car l’ANFO ne peut exploser seul, il lui faut un détonateur, du type plastic, et être confiné, c’est à dire enserré dans une enveloppe rigide
(comme l’explosif des balles, des obus et des bombes).

Cette masse d’engrais ne pouvant produire l’effet constaté, celui équivalent à une mini bombe nucléaire, il ne reste que l’hypothèse de l’emploi d’un missile portant une mini charge nucléaire, que certains
évaluent à environ 1 KT (kilotonnes, soit 1500 tonnes d’équivalent TNT). Ce type de charge est développé pour les obus nucléaires, soi-disant abandonnés vers les années 1990.


3 – La propagande se dévoile par un article du Figaro, qui fait état d’ammonitrate à Tianjin en 2015, alors que la page Wikipédia ne l’évoque
même pas directement.

https://www.lefigaro.fr/international/le-nitrate-d-ammonium-cent-ans-de-catastrophes-industrielles-20200805 :

« En 2015, 173 personnes perdent la vie à Tianjin, dans le nord-est de la Chine, après l'explosion d'un entrepôt contenant plus de 2400 tonnes de produits chimiques, dont 800 tonnes de nitrate d'ammonium. Les incendies provoqués par la catastrophe ne furent maîtrisés qu'après plusieurs jours et huit explosions supplémentaires, coûtant la vie à 104 pompiers chinois. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Explosions_de_Tianjin_en_2015 :

«
 Produits concernés
L'entrepôt ayant explosé contenait plus de 2 400 tonnes de produits toxiques24. Selon André Picot, chimiste toxicologue honoraire au centre national de la recherche scientifique, « Dans un premier temps, c’est probablement la réaction entre le carbure de calcium et de l’eau qui a engendré de l’acétylène, gaz extrêmement explosif et qui expliquerait les deux boules de feu observées ». Puis l’explosion a touché les stocks de cyanure de sodiumN 1 et de potassium. « Les cyanures sont des sels alcalins, se présentant sous forme d’une poudre cristalline, relativement stable ». En revanche le contact entre le cyanure de sodium et une substance acide en présence d’eau (une simple pluie ou l’eau déversée par les pompiers), y compris en faible quantité, est particulièrement dangereux et permet la formation de cyanure d’hydrogène, un produit « hautement toxique » et mortel par inhalation25. »

L’article du Figaro, publié un jour après l’explosion de Beyrouth ne peut faire état que d’un article des Echos publié lui le 20 août 2015, et mis en lien par Wikipédia (L'entrepôt ayant explosé contenait plus de 2 400 tonnes de produits toxiques24.):
https://www.lesechos.fr/2015/08/tianjin-lentrepot-qui-a-explose-contenait-plus-de-2400-tonnes-de-produits-toxiques-270078
« Parmi elles se trouvaient 1.300 tonnes de composés d'azote (principalement du nitrate de potassium et du nitrate d'ammonium), 400 tonnes de matériaux inflammables (sodium métallique et magnésium) ainsi que 700 tonnes de produits hautement toxiques, dont du cyanure de sodium. Soit 2.400 tonnes de substances toxiques pouvant pour certaines devenir très instables et dangereuses en cas d'exposition à la chaleur ou à l'eau. »

On peut constater par soi-même que la comparaison entre Beyrouth et Tianjin est outrée et procède d’une volonté de désinformation.


4 – Conclusions.

4 – 1 La logique sous-jacente.

Les affaires de Wuhan et de Beyrouth ramènent logiquement à celle du 11 septembre 2001. On y retrouve cette même logique de détourner la suspicion des véritables auteurs des attentats vers les victimes, ce qui est un grand classique de la guerre psychologique, l’inversion des criminels et des victimes par la propagande.

4 – 2 Un constat de l’état de l’appareil de propagande occidental.

On ne peut que réaliser le niveau extrêmement bas des employés de l’appareil de propagande occidental, cet article du Figaro le prouve, ainsi que les articles de l’Orient le jour et Reuters. Cela en dit long sur la qualité des recrues qui opèrent dans ces milieux, sur ce milieu lui-même et sur celui des cercles dirigeants occidentaux.

4 – 3 Ces camouflages (inversion des criminels et des victimes) sont réalisés dans le but d’entraver tout retour de bâton des blocs concurrents (Russie et Chine principalement). Il est évident que cette prétention est dérisoire. Les Russes et les Chinois feront usage en temps voulu des mêmes armes.

4 – 4 Ce que révèle cette stratégie devenant évidente avec les deux derniers épisodes Covid et Beyrouth, est une situation sur l’échiquier du roi acculé, qui sacrifie ses dernières pièces.

C’est étrange ce blocage de ne pouvoir négocier. C’est comme si en l’état, il ne pouvait y avoir d’avenir pour la caste dirigeante occidentale hors la domination absolue de toute l’humanité.

Cela ne peut faire penser qu’à la torah et à ce qui constitue le socle de son conditionnement :

« je ferais de toi les princes de la terre, tu seras la lumière des peuples ».

Hors ce conditionnement, pas d’existence concevable.

Cela révèle la menace sous-jacente, celle de tout faire sauter.