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Le sionisme met la psychiatrie au service du génocide
palestinien :
deux textes révélateurs d'un désordre
mental certain, de la propagande sioniste (issus du site du CRIF et de
celui de la LDJ) : a) les palestiniens qui résistent au génocide
sioniste relèvent de soins psychiatriques, b) les sionistes nient
jusqu'à leur existence (le peuple palestinien est une invention).
a) Texte tiré du
site du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de
France http://crif.org)
L’endoctrinement des enfants palestiniens à la haine génocidaire
: une perspective psychiatrique
25/10/11.
Une Interview de Daphne Burdman, par Manfred Gerstenfeld (Texte
en anglais confié par l’auteur de l’entretien et adapté
par : Marc Brzustowski)
“ Aussi bien au sein de l’Autorité Palestinienne que
sur le territoire de Gaza contrôlé par le Hamas, s’organisent
des campagnes extensives et minutieusement planifiées d’incitation
à la haine génocidaire, à l’intention des enfants.
A cause de cet endoctrinement, les enfants entrent dans la vie en envisageant
de manière positive leur implication-même dans des actions
terroristes, au cours desquelles ils risqueront leur vie. Ce processus
d’endoctrinement mériterait d’être étudié
de plus près. Il faudrait, ensuite, analyser de quelle façon
il s’inscrit dans le tableau plus vaste de l’idéologie
génocidaire palestinienne et musulmane. Finalement, il faudrait
traiter des méthodes de désintoxication des enfants ayant
subi un lavage de cerveau »…
Le médecin-psychiatre et pathologiste, Daphné Burdman, a
été professeur assistante en pathologie clinique, à
l’Université de l’Etat de New-York, à Stony
Brook et lieutenant-colonel dans l’armée américaine.
Selon elle : “Les médias internationaux ont assez peu couvert
ce processus d’incitation. De ce fait, les Occidentaux sont largement
ignorants de l’évolution sinistre de ces programmes «
couronnés de succès » et qui agissent en profondeur.
Ils sont, à la fois, fondés sur des techniques traditionnelles
et innovantes de persuasion et d’endoctrinement. On a fait usage
de méthodes identiques, avec des effets poussés au maximum,
dans les régimes totalitaires, dont l’Allemagne nazie, l’Union
soviétique et la Chine. Il existe des preuves croissantes que plusieurs
de ces sources ont inspiré et entraîné l’Autorité
Palestinienne (1).
“Cette incitation des enfants palestiniens a conduit à répandre
la haine et à les exhorter à la violence. Les dirigeants
palestiniens incitent les enfants à entreprendre de telles actions
violentes contre les Israéliens, même lorsqu’il est
plus que probable qu’ils seront blessés ou tués. On
leur promet qu’ils deviendront des martyrs qui seront admirés
comme des héros dans la société palestinienne et
qu’ils trouveront leur place au Paradis tout près d’Allah.
Ainsi encouragées, les peurs naturelles des enfants sont diminuées.
Ils désirent être en situation où ils risquent des
blessures et même la mort.
“Cet endoctrinement de masse des enfants est fondée sur une
campagne minutieusement planifiée qui s’appuie sur des croyances
solidement ancrées et des mécanismes psychologiques qui
ont une assise profonde. L’incitation utilise une méthodologie
multimodale, en prêchant le nationalisme palestinien, le martyrologue
et, sous l’égide du Hamas, les règles hégémoniques
insistant sur le fait que la Chari’a, doit se répandre à
travers le monde. La campagne utilise les médias, l’école
et la rue, autant que des personnages religieux qui font référence.
“L’endoctrinement dans les zones palestiniennes va bien au-delà
des sources tirées des textes dans les livres et à la télévision.
Il englobe des éléments sociétaux plus généraux,
qui comprennent le journal classique, les parents, les enseignants, des
méthodes d’enseignement qui encouragent et valorisent l’adhésion,
assorties d’une désapprobation écrasante pour les
élèves moins motivés. Les Imams sont extrêmement
influents, puisque leur vocation est de souligner les objectifs du djihad
et du martyr. Les camps d’été, et la dénomination
des rues, des aires de jeux, des équipes de football aux noms de
martyrs, contribuent à maintenir cette atmosphère à
travers toute la société.
“Parmi les facteurs psychologiques déterminants de l’endoctrinement,
la transmission des émotions constitue l’arme ultime (2).
La haine, dans ce contexte, est primordiale, et c’est ainsi que
l’aversion des Juifs, et, à un moindre degré, des
Américains, est transmise. Au sein de la société
patriarcale palestinienne, la manipulation des émotions enfantines
repose ainsi sur la crainte de déplaire à Allah.
“Les études montrent que cet environnement martelé
tambour battant dans les clips TV de l’Autorité Palestinienne
augmente les états de tension physique et de suggestivité.
Cette notion de conversion à l’autodestruction reste une
énigme pour l’esprit occidental.
“Le Hamas et le Jihad Islamique entendent parler, par les responsables
religieux, des adolescents qui semblent particulièrement prédisposés
au martyr. Ceux-ci se voient alors offrir un cursus de longues études
spirituelles et d’entraînement paramilitaire. On leur inculque
également que mourir en bombe humaine leur ouvrira les portes du
Paradis, ainsi qu’à leur famille (3).
“Il est notable que le phénomène des bombes humaines
a décliné considérablement après mars 2002,
ce qui est dû, à la fois, à la politique de Tsahal,
nettement plus efficace, en matière d’éliminations
ciblées et d’actions préventives, ainsi qu’à
la construction de la barrière de sécurité autour
de sites stratégiques. La politique de l’Autorité
Palestinienne est demeurée inchangée, quant à elle,
mais elle a rencontré de moins en moins de succès ».
Lorsqu’on l’interroge sur les possibilités réelles
de désintoxiquer les esprits des enfants palestiniens, Mme Burdman
répond : “Même lorsque la violence entre Palestiniens
et Israéliens s’arrêtera, l’état d’esprit
des enfants palestiniens ne pourra pas changer par lui seul. Une fois
qu’on vous a inculqué que les attentats-suicide vous ouvrent
les portes du Paradis, ainsi qu’à votre famille, on a besoin
de bien plus pour envisager une désintoxication. Le problème
est d’autant plus accentué si on grandit au sein d’une
société autoritaire où il existe peu, si ce n’est
aucune forme de pensée indépendante ».
“La rééducation contre l’endoctrinement au martyr
sera lente et complexe. L’expérience professionnelle nous
apprend qu’on peut sérieusement se demander si cela peut
vraiment réussir. Le mieux que l’on puisse espérer
serait de mener une guerre d’usure contre le nationalisme palestinien
et contre les espérances hégémoniques islamistes.
En l’absence de forces externes, ce pourrait être une possibilité,
mais à présent, avec l’expression de l’expansionnisme
islamiste international qui va crescendo, sur le mode à la fois
violent et non-violent, les perspectives immédiates semblent des
plus sombres ».
Manfred Gerstenfeld est Président du Conseil d’Administration
du Centre des Affaires Publiques de Jérusalem.
Notes :
1. Joel Fishman, “Ten Years since Oslo: The PLO’s ‘Peoples
War,’” Jerusalem Viewpoints, 503, 1-15 September 2003. On
Arafat, see also Ion Mihai Pacepa, Red Horizons (Washington, DC: Regnery
Gateway, 1987), 14, 19, 23.
2. Daphne Burdman, “Education, Indoctrination and Incitement: Palestinian
Children on Their Way to Martyrdom,” Terrorism and Political Violence,
Vol. 15, No. 1 (2003): 109-113, note 10 regarding elucidation of psychological
factors determining successful indoctrination.
3. Nasra Hassan, quoted in Daniel Pipes, “Arafat’s Suicide
Factory,” New York Post, 9 December 2001.
Photo (Daphne Burdman) : D.R.
Source : Israel Flash
Pour lire l’article à sa source (israel-flash.com)
b) Texte tiré du
site de la Ligue de défense juive http://www.liguedefensejuive.com/
:
UN LIVRE INDISPENSABLE :Comment le peuple palestinien
fut inventé
Comment le peuple palestinien fut inventé,
En 1947, à la demande des Juifs vivant
en Palestine, et qui voulaient que le “foyer national” juif
originellement promis voie enfin le jour, les Nations Unies ont voté
la partition du Mandat résiduel. À ce moment, un mouvement
pour créer un “État palestinien” n’existait
toujours pas. Nul ne parlait de “nation palestinienne”. Nul
n’a parlé de “peuple palestinien” avant que la
notion soit inventée, dans la deuxième moitié des
années 1960, et la population arabe “palestinienne”
a été très largement constituée d’immigrants
arabes venus des pays voisins et aimantés par le dynamisme créé
par les immigrants juifs.
L’invention du peuple palestinien eut, et
a toujours, un dessein très clair : la volonté politico-existentielle
de détruire l’État d’Israël.
Personne n’a à chercher à savoir si un groupe a le
droit d’exister – et ceci est valable, bien sûr, pour
chaque nation, à la seule condition qu’elle ne maintienne
pas une identité exclusivement en opposition à un autre
peuple, dans une volonté génocidaire.
Le droit de vivre n’a pas à montrer ses papiers.
C’est l’amour de la mort qui doit désormais fournir
ses preuves.
Biographie des auteurs :
David Horowitz, l’un des grands intellectuels
conservateurs américains contemporains, fut l’un des fondateurs
de la Nouvelle Gauche aux États-Unis avant de rejoindre le mouvement
conservateur. Il est l’auteur de plusieurs best sellers, dont son
autobiographie, Radical Son.
Il a créé l’un des principaux magazines en ligne américains,
Frontpage magazine, et un centre de recherche, le David Horowitz Freedom
Center. Il a publié plus de vingt livres et des milliers d’articles.
Guy Millière, économiste, géopolitologue,
professeur d’université, ancien Président de l’Institut
Turgot, membre du comité directeur de l’association France
Israël, chroniqueur pour IsraëlMagazine, est Senior Advisor
au Hudson New York. Il a publié plus de vingt livres. Il a reçu
le prix du livre libéral pour l’ensemble de son œuvre.
Comment le peuple palestinien fut inventé,
Editions David Reinharc, 9,90 euros.
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