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Lettre au président de la Ligue des droits de l'homme Pierre Tartakowsky, sur la récupération des sexo-et pédo-criminels par l'Organisation sioniste, comme agents d'influence. Le cas en exercice de l'homme politique parisien "Pépère".
De : Michel Dakar Villequier, le 3 février 2012
Lettre publique
M. Baudis a été intimement impliqué dans l’affaire dite Alègre, ce dernier n’étant qu’un exécutant des basses œuvres d’un milieu toulousain constitué de l’élite locale, abusant sexuellement de personnes en état de faiblesse, principalement des femmes et des enfants des deux sexes, abus allant jusqu’à la torture et la mise à mort. M. Baudis qui était maire de Toulouse, a été ensuite placé par le pouvoir comme président du CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel), puis de l’Autorité de régulation de l’audiovisuel, puis comme président de l’Institut du Monde Arabe (IMA), enfin comme « Défenseur des droits » pour la République. M. Baudis est membre de l’organisation de lobbying d’Israël nommée « Amitié France-Israël ». Il est à noter que son successeur à l’IMA, Renaud Muselier, est aussi à l’Amitié France-Israël. Il est à noter que des éléments des associations de manipulations des services spéciaux, comme (entre autres) les « Indigènes de la République » (d’encadrement des arabo-musulmans de banlieue) et Souriahouria (qui légitime l’invasion et la destruction de la Syrie par l’OTAN, association que vous protégez, avec Amnesty International France et l’ACAT - Association des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture), sont stipendiés par l’IMA. Je possède une documentation solide qui est d’ailleurs du domaine publique sur l’affaire dite « Alègre Baudis Perben Roche », dont l’ouvrage du gendarme Roussel « Homicide 31 », qui avance le chiffre d’une centaine de victimes de ce milieu toulousain, et j’ai même lu l’ouvrage de M. Baudis « Face à la calomnie », dans lequel il diffame, ce qui lui a valu une condamnation au pénal. Dans « Face à la calomnie », Baudis se livre à une dévalorisation de Régina Louf, une enfant exceptionnellement survivante des réseaux belges de pédo-criminalité, dont Dutroux n’a été comme Alègre et Emile Louis pour l’Yonne, que de la main d’œuvre jetable. Les réseaux belges de pédo-criminels alimentaient en enfants des deux sexes l’élite belge jusqu’à la maison royale (politiciens, banquiers, policiers, magistrats, médecins, industriels etc…), « Pépère » étant le surnom du politicien de renom mort en 2001 Paul Vanden Boyenant (« grand chasseur devant l’éternel » à l’arbalète, d’enfants nus des deux sexes de 5 à 15 ans dans des parcs de châteaux, gardés par des sbires avec des chiens, selon le livre de Régina Louf « Silence on tue des enfants », préfacé par Léon Schwartzenberg). Régina Louf qui est une personnalité rare, reconnue comme extrêmement intelligente, équilibrée et forte par les psychiatres, ce qui l’a aidé à survivre, a compris et résumé la finalité principale de ces pratiques, qui est de tenir les membres de l’élite sociale par le chantage et d’imposer « l’omerta », la loi du silence. Le surnom de « Pépère » étant disponible depuis 2001, je l’utiliserai pour notre « Pépère » français. Accessoirement, on note la présence de l’avocat Gilbert Collard, comme conseil d’Alègre. Dès que Collard devient son avocat, Alègre dédouane Baudis. Collard est aussi le conseil des enfants du juge Pierre Roche (un juge instable impliqué dans les crimes toulousains et devenu si ingérable que ce milieu l’a assassiné). Collard vient de passer au Front National, une petite affaire politicienne familiale sûre qui s’est tournée dernièrement vers Israël, ou plutôt - sans doute - a été rachetée, car en quasi faillite, par l’Organisation sioniste (affaire de la dette de 8 millions d’euros envers l’industriel Le Rachinel, vente de son siège de Saint-Cloud). Le Front National depuis milite activement pour Israël et vomit - c’est son fond de commerce essentiel, mais maintenant encore plus - sur les étrangers, et particulièrement sur les arabo-musulmans. Il est à noter qu’il y a beaucoup d’étrangers parmi les victimes femmes et enfants de la sexo et pédo-criminalité, dont principalement des arabes et des personnes originaires de l’Est de l’Europe. On doit, avant de poursuivre, exprimer tout notre respect et notre reconnaissance pour les gendarmes Roussel pour Toulouse (humilié et muté), Jambert pour l’Yonne (suicidé de deux balles dans la tête), et De Baets pour l’affaire dite « Dutroux » (humilié et muté). Il ne fait pas bon faire son travail de protéger les faibles face aux crimes des puissants. Avant de passer au cas qui est le nôtre, à vous et à moi monsieur Pierre Tartakowsky, celui du « Pépère » français, on doit évoquer, en mémoire des victimes, pour tenter d’en oublier le moins possible, l’affaire du cinéaste Roman Polansky, un violeur sodomisateur drogueur d’enfant, soutenu par le lobbyiste de l’OTAN et d’Israël Henry-Lévy, et le cas de Jack Lang, qui profère publiquement des menaces physiques envers ceux de son parti, le PS, qui osent dénoncer la corruption. A ce propos, pour information, et sans assurance de la véracité, il est paru récemment sur le site « defensedescitoyens.org », un fac-simile d’une note policière impliquant Lang dans la pédo-criminalité (« Lang à la Mamounia en Nov. S’est tapé des petits garçons tel - illisible- son père 06 08 96 68 82 »). J’ai rencontré deux fois dans le passé M. Claude Karsenty, qui produit le site « defensedescitoyens.org », et lui voue une profonde estime. Je sais aussi qu’il a de sérieux contacts avec des éléments des forces de l’ordre. Je sais aussi que la manipulation existe, mais ce qui semble étrange dans le cas de Lang, est cette spontanéité à défendre l’omerta. La Tunisie après cette révolution factice organisée par les services de l’OTAN, a officieusement fait allégeance à Israël, le dirigeant des islamistes placé au pouvoir par les américano-israéliens a en effet assuré les israéliens de son soutien. L’affaire « Pépère » m’a été communiquée par une personne connaissant bien la Tunisie. J’ai vérifié par des sources inattaquables et publiques l’intégrité de cette personne. Cette personne a été informée des menées de « Pépère », par un responsable de la Ligue des droits de l’homme de Tunisie. Ce responsable des droits de l’homme possède une habitation à Bizerte. Le responsable des droits de l’homme tunisien a affirmé à mon informateur que c’est la police tunisienne elle-même qui fournit en enfants « Pépère ». « Pépère » était ou est toujours, impliqué dans le financement illégal de son parti, par le biais du détournement des fonds européens pour le développement. Il est à noter que les partis des deux bords opèrent de même quant à ces fonds. « Pépère » se pose publiquement comme un garant de la morale. Il a fait censurer pour sa prétendue immoralité, l’exposition d’un artiste photographe internationalement reconnu. « Pépère » est une personnalité politique centrale française (et parisienne), et est notoirement une marionnette de l’Organisation sioniste. Je n’ai plus de contact avec mon informateur, car certains services l’ont convaincu par un harcèlement, de mettre de la distance avec moi. Mon informateur qui était une sorte de « Don Quichotte » s’est fortement impliqué dans la défense de la démocratie et des libertés en Tunisie, ce que l’ancien régime lui a fait payer cher. Il a connu de près les méthodes de la police politique de l’ancien régime. Son activité était publique et elle a laissé des traces publiques en France. Vous avez, vous, monsieur Pierre Tartakowsky, la position pour contribuer à débarrasser le monde politique de « Pépère ». Je vous prie de recevoir, monsieur Pierre Tartakowsky, président de la Ligue des droits de l’homme française, l’expression de mes dévouées salutations. M. DAKAR LRAR n° 1A 052 751 1035 5
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