Quelques
éléments documentaires concernant deux membres du Conseil
Constitutionnel lequel a validé la politique Covid du
gouvernement en mai 2021, Alain Juppé et Laurent Fabius.
http://aredam.net/quel-type-de-gens-au-conseil-constitutionnel-valident-politique-covid-gouvernementale.html
1
– Alain Juppé.
2 – Laurent Fabius et son fils chez Mac
Kinsey, planifiant l’Opération Covid.
1
– Alain
Juppé.
https://www.ladepeche.fr/article/2008/01/04/423641-tribunal-dministratif-joeckle-l-homme-qui-valait-300-millions.html
Tribunal
administratif.
Joecklé, l'homme qui valait 300 millions
Publié
le 04/01/2008
Un transfert de poids va se jouer début
janvier entre Bordeaux et Toulouse, sur le terrain de la justice
administrative : Jean-Louis Joecklé arrive au tribunal
administratif de Toulouse. Il quitte ainsi l'Inspection générale
des services de la Communauté Urbaine de Bordeaux, à qui il a
permis de récupérer plus de 300 millions d'euros en deux ans et
demi !
Jean-Louis Joecklé est l'homme qui a été
chargé par Alain Rousset, lorsqu'il a remplacé Alain Juppé à
la présidence de la CUB, d'éplucher les contrats de délégation
de service public. Et il a déniché un véritable pactole qui
avait échappé à la sagacité de l'ancien premier ministre,
pourtant inspecteur des finances. La première renégociation a
été celle de l'eau avec la Lyonnaise des Eaux. En novembre
2006, après avoir contraint l'opérateur à lui fournir des
comptes détaillés, en allant jusqu'à menacer d'une saisine du
tribunal administratif, un protocole d'accord a permis de
récupérer 233 millions d'euros, avec à la clé une baisse du
prix de l'eau pour les usagers. Son dernier succès concerne la
signature fin novembre entre la CUB et Astria d'un protocole avec
6,3 millions d'euros d'économie. Entretemps il y a eu
renégociation sur le contrat des bus avec la Connex (Véolia),
et résolution d'un litige sur les parkings. BP 3000 réclamait
17,5 millions d'euros pour des différends antérieurs. La CUB
n'a finalement eu à verser que 1,34 millions d'euros.
Le
seul regret de Jean-Louis Joecklé est de ne pas avoir bouclé la
révision du contrat d'assainissement avec la Lyonnaise des Eaux,
où 74 millions d'euros sont encore en jeu. Mais l'aboutissement
est proche : l'actuel président de la CUB Vincent Feltesse a
donné un ultimatum à la Lyonnaise : en absence de proposition
acceptable il engagera la rupture du contrat d'affermage lors du
dernier conseil de décembre.
Pierre Sauvey
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2
– Laurent Fabius et son fils chez Mac Kinsey, planifiant
l’Opération
Covid.
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-conseil-constitutionnel-signe-l-234907
Le
Conseil constitutionnel signe l’acte de décès de la
République
par Régis
DESMARAIS (son
site)
jeudi 5 août 2021
Par
sa décision n° 2021-824 DC du 5 août 2021, le gardien de
la Constitution vient de porter un coup fatal à la Vème
République. Prisonniers des « vérités » du pouvoir
et coupés des Français, les « sages » valident
la quasi-totalité de la loi liberticide de gestion de la crise
sanitaire et rendent caduc l’état de droit en France.
Ces
derniers jours, de nombreux indices laissaient présager une
accélération de la tyrannie et un sabordage de la Vème
République par le Conseil constitutionnel : censure
accélérée (Me Di Vizio sur YouTube, L.
Mucchielli sur Médiapart etc…), articles insultants
vis-à-vis de ceux qui expriment un avis contraire à la Doxa (Le
directeur de VSD
parle de Français « bas de plafond » ou Luc
Ferry dans une tribune d’une rare stupidité dans le
Figaro),
manipulation de la haute administration (les propos du préfet
en Guadeloupe, qui se croyait micro coupé, sont stupéfiants
de manipulation) et démultiplication des mensonges et des
insultes présidentiels (l’interview de M. Macron dans
Paris-Match
étant un modèle de décadence et de trahison de la fonction
présidentielle).
Le
Conseil constitutionnel valide presque tout
La
décision
du Conseil constitutionnel est donc conforme à ce que
beaucoup redoutaient et suspectaient : une violation de la
Constitution par son propre gardien ! Le Conseil
constitutionnel trouve quasiment tout conforme à la Constitution
en se retranchant systématiquement derrière la nécessaire
limitation de la propagation de l'épidémie de covid-19 et
l'objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé.
C’est pratique, sous ces deux paravents, et en prenant pour
argent comptant les dires du Gouvernement sur l’évolution de
la Pandémie et la vaccination, le Conseil conclut que tout
est quasiment parfait dans la loi relative à la gestion de la
crise sanitaire. Certes, il invalide quelques éléments de la
loi : ainsi le défaut de présentation d'un « passe
sanitaire » ne peut pas constituer une cause de rupture des
seuls contrats à durée déterminée ou de mission. Le Conseil
précise que le législateur a institué une différence de
traitement entre les salariés selon la nature de leur contrat de
travail qui est sans lien avec l'objectif poursuivi. On en frémit
car dans le fond, si tous les contrats de travail avaient été
visés par le législateur, le Conseil constitutionnel aurait
trouvé cela parfaitement proportionnel à l’objectif de lutter
contre une pandémie qui n’existe plus dans les bulletins du
Réseau
Sentinelles. De même, le placement en isolement est déclaré
non conforme à la Constitution. Enfin, le « passe
sanitaire » ne peut pas être exigé à l’entrée des
établissements de soins sauf… pour ceux qui accompagnent le
malade ! Cette position du Conseil constitutionnel, par
toute son inhumanité, révèle à quel point cette institution
ne trouve rien à redire à une mesure d'une cruauté
ignoble. Imaginez, un enfant malade ne pourra pas être
accompagné à l’hôpital par ses parents ! Pour le
reste de la loi, à quelques autres ajustements près, tout va
bien pour le Conseil constitutionnel et on le comprend puisque la
parole du Gouvernement est parole d’or !
Une
décision qui lève définitivement le voile des apparences
Après
une telle décision, la tentation est de se sentir abattu,
désarmé et écœuré. A la réflexion, cette tentation ne doit
pas être suivie car la décision du Conseil constitutionnel
était prévisible et nécessaire. Prévisible, car depuis le
début de la mise en œuvre de la politique dite de « gestion
de la crise sanitaire », tous les remparts, à
l’exception notable de la défenseur des droits, sont
tombés, ont failli et ont cautionné la politique totalitaire du
Gouvernement. Le Conseil constitutionnel s’inscrit donc dans
cet effondrement des institutions. Le président du Conseil ne
s’est pas placé en retrait pour l’adoption de cette décision
comme il aurait du le faire dans une démocratie saine. Pour
M. Fabius, il n’est pas anormal de se prononcer sur un
projet de loi largement chuchoté à l’oreille du président par
son propre fils. En France, cela ne pose pas de difficulté.
Notre pays est bien le pays de la valorisation des conflits
d’intérêt. Cette décision était nécessaire car elle
déchire définitivement le voile qui cachait la faillite de nos
institutions. Désormais, en France, il n’y a plus de
Constitution et de droits fondamentaux autres que ceux que
le président veut bien nous octroyer. Désormais en France, il
n’y a plus aucun contre-pouvoir institutionnel. Fidèle à son
mentor, Klaus Schwab, M. Macron a fait de la sentence « La
démocratie n’est pas compatible avec le mondialisme »
sa maxime et sa boussole.
Le
Conseil constitutionnel signe l’acte de décès de la
République
Le
Conseil constitutionnel vient de trahir sa mission et pire, de
trahir la République. La date du 5 août 2021 sera désormais
celle de la fin de la Vème République. Bien sûr, il
restera les apparences, les mots gravés sur les frontons, les
manuels de droits, une Constitution imprimée, mais tout cela
sera vide de sens concret, d’incarnation dans la réalité,
dans les faits, dans la vie quotidienne des Français.
Ce
n’est pas une mince affaire que d’observer cette trahison des
droits. Difficile de ne pas ressentir avec peine le naufrage de
son pays.
Désormais,
je fais partie de ces gens dits « Bas de plafond »,
de ces « pourritures », de ces « sous
diplômés », de ces « récalcitrants » à la
dictature. Je suis fier de ne plus comprendre celles et ceux qui
cautionnent et collaborent au chaos actuel. Je suis fier
d’appartenir à la catégorie de ces Français moqués,
discrédités et maintenant discriminés car je sais que tout ce
peuple exclu de la société et insulté par un président
indigne est celui qui sait ce qui est juste et tolérable.
La
décision du Conseil constitutionnel permet d’y voir
définitivement clair. Il ne faut plus compter sur la plupart des
institutions pour sauvegarder la République. La corruption
morale et financière dans ce pays est d’une telle ampleur que
le régime n’a même plus besoin de cacher ses compromissions
et sa malveillance. De toute part, de tous les pays, des études,
des données statistiques, des témoignages affluent pour alerter
et dénoncer les mensonges et les dangers de la gestion de la
crise sanitaire. Mais rien n’y fait. Le pouvoir n’hésite
plus à mentir et à se contredire en des temps rapprochés car
le pouvoir n’a que du mépris pour ceux qui encore se posent
des questions et s’informent en dehors des caisses de
résonance de la doxa. Le pouvoir n’a que faire des
récalcitrants car il croit en son impunité laquelle semble
renforcée par le délitement des valeurs morales et le
conformisme coupable de ceux qui ne veulent pas se voir rejetés
par un système qui, bien que totalitaire, leur donne l’illusion
d’en être les bénéficiaires.
Poursuivre
le combat
Le
voile est déchiré et désormais une nouvelle stratégie de
lutte doit être mise en œuvre. Il est impératif d’éviter
toute forme de violence car la répression en serait féroce et
dommageable pour la résistance. Les prochaines semaines risquent
d’être très dangereuses pour les opposants à la dictature.
Le régime n’a, face à lui, aucune opposition politique et
institutionnelle. Son pouvoir est total, presque absolu. Il
n’hésitera pas à en faire un mauvais usage en essayant de
briser toute forme de contestation de sa politique délétère.
Il
convient désormais de former une vraie communauté de ceux qui
refusent la dictature. Par communauté, j’entends un ensemble
solidaire d’être humains. Il convient de se retirer de cette
société de l’Apartheid en s'éloignant de tout ce qui
soutient, favorise et revendique les mesures liberticides. Il est
urgent de réfléchir à la réforme de nos institutions et à la
réforme des modes de sélection du personnel politique et
de la haute administration.
Plus
que jamais, il est impératif de couper tout cordon ombilical
entre les contre pouvoirs institutionnels de la prochaine
République et le politique. Demain, Conseil d’Etat et Conseil
constitutionnel devront être composés d’individus
indépendants et qui ne passent pas leur temps à faire des
allers-retours entre mandats électifs, fonctions exécutives et
charges de la haute-administration.
Ce
qui se passe est dans le fond une formidable opportunité pour
tout remettre à plat, pour identifier ceux sur qui on peut
compter et pour élaborer des futures règles claires et
protectrices contre toutes les formes
de corruption.
…..........................................................................
https://www.mckinsey.com/our-people/victor-fabius/fr-fr
Victor Fabius
Directeur
Associé, Paris
Membre
du pôle d’activité Consommation et Distribution de McKinsey,
Victor Fabius est le chef de file en France du pôle de
compétences Marketing et Ventes.
À propos de Victor
Victor
Fabius est directeur associé de McKinsey & Company. Basé à
Paris, il opère principalement dans le pôle d'activité
Consommation et Distribution. Il pilote le pôle de compétences
Marketing et Ventes en France.
Victor
Fabius se spécialise dans les problématiques de stratégie, de
marketing et d’innovation. Il accompagne aujourd’hui les
clients de McKinsey dans l’identification de relais de
croissance fondés sur une compréhension fine des
consommateurs (développement de marques, innovation
produit et leviers de pricing).
Il
accompagne des acteurs européens et mondiaux de l’industrie
alimentaire, du secteur textile et de l’e-commerce faisant
face à des ruptures de marché majeures.
Il
est ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure de la rue
d’Ulm et diplôme d’économie de Sciences Po et Columbia
University.
Expertise
Publications
“Meet
the next-normal consumer”, McKinsey & Company, août
2021
“The
consumer demand recovery and lasting effects of COVID-19”,
McKinsey Global Institute, mars 2021
“How
COVID-19 is changing consumer behavior—now and forever”,
McKinsey & Company, juillet 2020
“Incumbents
as attackers: Brand-driven innovation”, mai 2015
Formation
Ecole
Normale Supérieure (Ulm)
Normalien
(Lettres classiques)
Sciences-Po
Paris
MA,
finance et stratégie
Columbia
University (New York)
MA,
international affairs
Université
Assas Paris 2
Licence
de droit
Université
Sorbonne Paris 4
Licence
de lettres
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