Pourquoi est-il
presque impossible de faire évoluer positivement les
choses ?
Par Michel Dakar, Villequier, le 18
juin 2020.
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Pourquoi
est-il presque impossible de faire évoluer positivement les
choses ?
C’est l’unique question qui
vaille la peine d’être posée, et qui ne l’est jamais. Tout
le reste à côté (géostratégie, prospective et autres) est
insignifiant.
C’est aussi l’unique problème à
résoudre, car si on n’y parvient pas, le seul choix qui reste,
si il y a encore une idée de choix, c’est d’en finir le plus
vite possible en abrégeant les souffrances, ou de faire durer
jusqu’à la fin certaine.
La réponse à cette
question m’a été apportée par quelqu’un de simple qui n’a
pas fait d’étude, et c’est souvent chez ce genre de personne
qui possède un réel vécu que les réflexions les plus
profondes arrivent au jour. Cette personne avait une connaissance
intime des animaux, infiniment plus profonde que chez les
scientifiques éthologues et autres vétérinaires.
Il
m’avait déclaré un jour quelque chose qui m’avait choqué,
que des animaux qui avaient passé leur vie enfermé dans un
enclos en béton et sans lumière du jour, refusait souvent de
quitter leur lieu de vie.
Cela résume la réponse
qu’il y a à apporter au questionnement fondamental du pourquoi
il est si difficile de faire évoluer les choses constructivement
et d’aller vers un état général de bonheur.
Le
fait pour ces animaux ayant vécu dans ces conditions de changer
leur vie évidemment pour un mieux nécessite un effort mental
qu’ils n’ont pas à faire en continuant leur vie
limitée.
Ils inclinent naturellement vers le moindre
effort.
Dans le cas des humains, l’enclos en béton
privée de la lumière du soleil et de l’air libre, est celui
du mensonge, c’est un enclos mental.
Il est plus
reposant de continuer à vivre dans un mensonge que d’avoir à
affronter la réalité qui demande un effort d’adaptation, une
dépense d’énergie psychique.
C’est pourquoi
l’immense majorité défendent le mensonge, et même ceux qui
en sont les victimes les plus évidentes, allant jusqu’à
mourir du mensonge qu’ils défendent.
La récente
psyops planétaire dite « Covid19 » en
a été un exemple, à travers la quasi totalité de la
population humaine qui a acceptée ce mensonge.
Cela
démontre qu’il y a deux types d’humains, ceux qui peuvent
faire l’effort de changer soit de s’adapter à la réalité,
et ceux pour qui c’est difficile, car sortir du mensonge
implique cet effort.
Il n’y a pas ceux qui
fabriquent le mensonge d’un côté et ceux qui le subissent de
l’autre, car ceux qui fabriquent le mensonge et ceux qui le
subissent appartiennent à la même catégorie d’individu, qui
préfère le confort du mensonge à la difficulté de la réalité.
Ainsi, il a été plus facile d’inventer le mythe des chambres
à gaz que de trouver une réelle légitimation constructive au
judaïsme et à ses avatars idéologiques (ce qui certes relève
de la mission impossible), et de même, l’immense masse a
accepté ce mythe plutôt que de devoir affronter une remise en
question de la réalité, impliquant de s’opposer
aux appareils
du pouvoir qui ont
participé à la
fabrication et au maintien de ce mensonge, lesquels comprenaient
la totalité des gouvernements de l’époque.
Dans le
cas des chambres à gaz, même ceux qui ont par la suite dénoncé
ce mensonge étaient eux-mêmes limités par le mensonge en
général, car pour la plupart ils ne remettaient pas en question
les autres mensonges ayant cours, dont celui de la religion quant
ils étaient chrétiens ou musulmans, ni celui qui est
primordial de la
séparation de la société humaine en classes, qui est la cause
du mensonge originel, car il a bien fallu justifier immédiatement
cette séparation en classe, « justifier
l’injustifiable »
que certains jouissaient de plus d’avantages que les
autres, car cela ne
pouvait pas passer naturellement, le mensonge étant la seule
manière de « justifier l’injustifiable », ce qui
pourrait même donner une définition de ce qu’est
fondamentalement le mensonge.
Ce mensonge originel a
eu lieu dès le commencement de l’apparition de l’espèce
humaine, soit il y a environ 200 000 ans, et de là sont nés
tous les autres mensonges.
En fait, la première invention de l’espèce humaine fut le
mensonge. Le mensonge religieux est celui qui découle
immédiatement de la division en classes. La religion a été
formée en vue uniquement de mettre en forme et de véhiculer le
mensonge de la
légitimation de la société humaine en classes (toutes les
religions, incluant le chamanisme, le bouddhisme et taoïsme,
lesquelles se
gardent bien d’aborder l’essentiel, et qui pourraient être
considérées comme des quasi perfections dans l’art politique
du détournement de ce qui est le problème vital, le nirvana,
l’absolu, le retour aux esprits animaux obérant toute vision
sur la stratification sociale entre ceux qui jouissent et les
exclus de la jouissance, et consolidant le système des strates.
Pauvre Alexandra David Neel, qui a pourtant été baignée dans
l’enfance dans un milieu anarchiste).
On retrouve le
mensonge à l’état brut, sans fioritures pour le masquer (une
des fioritures étant par exemple l’idéologie tardive des
droits de l’homme) clairement exprimé par la religion juive,
qui divise la population juive et l’humanité en classes, la
classe des prêtres au-dessus de toutes les autres classes
juives, et les juifs au-dessus de l’ensemble des autres
peuples, et dans la religion hindoue, avec la société indienne
divisée en castes (autre dénomination des classes), avec encore
une fois la classe des prêtres au-dessus de toutes les autres
classes indiennes, et au-dessus de l’ensemble des autres
humains non-hindous.
Toutes l’histoire de l’humanité
est axée par la division en classes de son organisation sociale,
et par le mensonge qu’il a été nécessaire d’instaurer
immédiatement prenant la forme de la légitimation de
l’organisation en classes, afin de stabiliser un modèle social
par essence instable jusqu’à l’explosion permanente
et structurellement
conflictuel. Il fallut parer à un état de déflagration latent.
Le mensonge originel de la légitimité des classes
est la mère de tous les autres mensonges.
Il s’en
est suivi une production ininterrompue de strates de mensonges
successives, comme les couches qu’on peut voir en épluchant un
oignon, ou encore à l’image des poupées russes, car il y a un
principe fondamental concernant le mensonge, c’est qu’un
mensonge ne peut perdurer que par la production de nouveaux
mensonges, et cela à l’infini. Quand on s’engage dans la
route du
mensonge, on ne peut plus en sortir. Il faut que sa route
s’effondre d’elle-même ou bien qu’un
événement extérieur la fasse effondrer. La route du mensonge
est un mécanisme qui s’auto-réplique, elle poursuit sa
construction d’elle-même, jusqu’au bout de l’Univers si il
y en existe un. C’est sa caractéristique essentielle.
La
conséquence a été d’éloigner l’esprit humain de plus en
plus loin de la réalité, et de rendre l’accès à la réalité
de plus en plus difficile au point actuel où cet accès au réel
est devenu quasi impossible, voire dans peu de temps
définitivement impossible.
Avant de continuer, il
faut au moins faire l’effort d’évoquer succinctement la
cause de l’organisation en classes de la société humaine
originelle. Elle est animale, toutes les sociétés animales
sont organisées
hiérarchiquement, et l’humain était et est toujours un
animal. La différence entre l’organisation sociale des
dénommés communément animaux et celle des dénommés
communément humains, est que chez les animaux, la hiérarchie
n’est pas intégrée dans le mental des individus, quiconque
vit au contact d’animaux, comme c’est le cas de l’auteur de
cette communication, depuis des années, le constate. Même les
individus au plus bas de l’échelle du groupe rentrent dans le
lard de celui qui est au sommet du groupe, et pas pour rigoler et
sans complexe, franco. Il n’y a pas de mensonge car il n’y a
pas de légitimation à la hiérarchie. Un inférieur ne se
soumet que temporairement et uniquement par l’effet d’une
force supérieure, le supérieur
le sait, l’inférieur aussi, et l’ordre en place n’est que
celui de l’instant présent remis en question à l’instant
même, autrement dit, la soumission n’est que simulée, l’ordre
hiérarchique n’est que simulé, personne n’y croit, ni ne
l’accepte.
Et ça fonctionne très bien, il y a un
équilibre au sein du groupe, personne n’en souffre, tout le
monde accepte sa place sachant que la notion de place est
structurellement mouvante. Ce n’est pas le cas chez l’humain
qui a voulu figer un ordre labile, ce qui a engendré la
souffrance chez ceux qui sont dominés, et la nécessité de
dénier cette souffrance chez ceux qui dominent, et pour dénier
un état réel de souffrance, il faut le mensonge. Chemin
faisant, la souffrance s’est accumulé comme des couches de
plus en plus épaisses de
sédiments, et les couches de mensonge
pour dénier cette accumulation, se sont de
plus en plus multipliées et épaissies, jusqu’à faire perdre
pied l’humanité dans l’irréel. Au point où on en est
arrivé, le réel est devenu comme un minuscule point de lumière,
au loin, comme quand on est dans un tunnel et qu’on s’éloigne
de plus en plus de son entrée. A la fin, ce point finit par
disparaître. On n’est actuellement pas loin de ce stade.
Il
suffit de constater l’accélération de la production de
mensonge sur les trois derniers siècles, depuis mettons la
révolution française, et sa fameuse déclaration des droits de
l’homme, qui n’est qu’une version de la maxime du Guépard
sicilien (le prince Salinas de Lampedusa) « il faut que
tout change pour que rien ne change ». On pourrait dire que
la déclaration des droits de l’homme a été l’ouverture
d’une ère historique humaine d’exacerbation de la production
de mensonge.
On peut sauter directement à la fin de
la seconde guerre mondiale, avec le Tribunal de Nuremberg et ses
fameuses productions mensongères bien documentées grâce aux
historiens révisionnistes (génocide
des juifs, chambres à gaz, 6 millions), puis arriver à l’époque
actuelle où la production de mensonges atteint la cadence d’une
mitraillette (2001 les
faux attentats aux USA et la fausse organisation Al Qaïda, les
fausses armes de
destruction massives de l’Irak, le faux réseau mondial
terroriste islamique, les fausses révolutions arabes et autres,
la fausse épidémie récente dite Covid et celles tout aussi
fausses annoncées à l’avance, les faux mouvements anarchistes
(antifa) et autres faux mouvements sociaux d’oppositions et
pseudo progressistes (antiraciste, LGBT), les fausses ONG
proliférantes, les faux scientifiques et chercheurs en tous
genres, les faux philosophes, le réseau mondial de fausse
communication vecteur fakestream des GAFAM, des « fermes à
trolls », des officines de spécialistes dans la
psychodéréalité de masse, dont l’une des dernières
manifestations est « Le retour des OVNIS »
… la suite est sans fin).
Aboutissement :
Un
texte récent a retenu mon attention, il s’agit d’une des
productions de cet organe internet opaque jusqu’au noyau
dénommé Startegika51, axé sur la perte de
l’intelligence.
Quoi de mieux pour asseoir pour
l’éternité le mensonge que de tuer l’intelligence (ce que
StartegiKa51 dénomme le « bon sens »).
C’est
la réelle solution finale, et non-pas celle de l’Adolf
moustachu à visière et à œillères.
Je n’y ai
pas cru quand j’ai lu le texte de Star51.
Mais c’est
le programme nouveau qui est en train de se réaliser. On n’est
bien forcé de l’admettre.
Ainsi, l’espèce qui se
croit supérieure à toutes les autres espèces, sera-t-elle la
première à s’auto-amputer de sa capacité cognitive, que la
plus infime parcelle de matière intrinsèquement possède (en
effet la physique fondamentale nous apprend que les constituants
basiques de la matière connaissent leur environnement et
échangent à chaque instant des informations entres eux, en fait
que tout ce qui est communique, que le réel est
communication).
Voilà enfin un véritable saut
qualitatif, une véritable innovation, un véritable saut
quantique.
Vite, accélérons, on voudrait bien voir
ce que cela va donner.
Illustration
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