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Plainte au Procureur de la République à Paris, par Michel DAKAR, pour menace, adressée au moyen du détournement du serveur Internet du Conseil d'Etat, par un e-mail usurpant le titre du Conseil d'Etat.
Michel DAKAR Paris, le 3 avril 2010 LRAR n° 1A 030 268 8249 0 M. le Procureur de la République Objet : plainte contre X
J’ai l’honneur de déposer une plainte contre X, pour menace, selon les termes de l’article 222-17 du code pénal. Les faits : Je suis éditeur du site Internet « aredam.net ». L'hébergeur de mon site m’a communiqué la copie d’un e-mail reçu par lui, le 31 mars 2010, dont l’auteur s’intitule « CONSEIL d’ETAT », provenant de l’adresse : « postmaster@conseil-etat.fr », dont selon mon hébergeur, la trace électronique correspond bien à celle du Conseil d’Etat (IP : 80. 124. 149. 131), et dont voici le contenu : « Bonjour, le site web www.aredam.net que vous hébergé est diffamataoire envers la juge Annie-france CARTAL. Je vous prie d\'effacer les pages incriminées. ». Ni la forme ni le contenu ne peuvent correspondre à un envoi du Conseil d’Etat. De plus, le Conseil d’Etat connaît un webmestre@conseil-etat.fr, mais apparemment pas de postmaster@conseil-etat.fr . Le doute n’est pas possible quand au détournement du serveur du Conseil d’Etat, et à l’usurpation du titre de Conseil d’Etat. Ceci est un délit dont la victime est le Conseil d’Etat et non moi-même, et dont il vous appartient de vous saisir. Le contenu de ce message fait allusion au juge administratif Annie-France Cartal, actuellement juge au Tribunal administratif de Cergy-Pontoise, et anciennement juge au Tribunal administratif de Paris. Il existe bien sur le site Internet aredam.net, une affaire concernant Mme Cartal, qui évoque l’agression dont a été victime un jeune d’origine arabe, au Tribunal administratif de Paris, Mme Cartal ayant été bousculée à cette occasion. Ce jeune a perdu un œil, et a dû subir une série d’opérations pour reconstituer les os internes de sa face. Les agresseurs étaient des juifs sionistes. Cette affaire est ancienne de plus de trois années. Le fichier du site aredam.net qui l’évoque date de 2007. Il est donc largement hors le délai de prescription, qui est de trois mois en matière de diffamation non raciale. L’auteur anonyme de l’envoi, qui est capable de détourner le serveur Internet d’une institution telle celle du Conseil d’Etat, et de fouiller les deux milliers de dossiers du site aredam.net, n’est pas un ignorant. Cela explique pourquoi ce fichier n’est pas nommé. De même, on peut soutenir que les fautes de français et de frappes sont volontaires. Cet auteur anonyme s’intéresse non pas au cas Cartal, mais au mien. Cet envoi arrive à une période où je me rapproche de plus en plus près de la réalité d’une organisation dont je reçois des injures et des menaces voilées. Il s’agit du mouvement dit « altermondialiste », dont particulièrement de son organisation « Reflexes », sise au CICP, « Centre International de Culture Populaire », 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème. J’interprète cet envoi, d’une part adressé à mon hébergeur, mais qui me vise moi, et d’autre part évoquant une juge, mais qui est connue par cette terrible agression qui a eu lieu dans l’enceinte d’un tribunal, et a rendu invalide à vie un jeune homme, comme une manière détournée de me menacer, et cela de façon à entraver l’éventuel dépôt d’une plainte. Je suis en train de parvenir à la clairvoyance en ce qui concerne le mouvement dit « altermondialiste », dont les créateurs et ceux qui le commandent actuellement, ont fait profession de foi de lutter contre le colonialisme historique, mais qui en réalité ont toujours œuvrés, et cela depuis les indépendances après 1945, pour y substituer une autre domination. Les envois que j’ai reçu d’organisations de ce mouvement, envois qui sont toujours anonymes, sont caractérisés par la haine, au point qu’on pourrait définir ces organisations comme des « organisations de haine ». La haine est en fait utilisée par elles comme arme pour intimider, pétrifier, paralyser l’esprit, dans le but d’interdire la prise de conscience que ce mouvement, qui s’affirme de lutte contre le racisme et le colonialisme, est en réalité dirigé par de purs racistes avides de pouvoir, qui ne cherchent qu’à substituer à l’ancien colonialisme, une autre domination sur le tiers monde. Mon avocat, Maître Jean-Louis Chalanset, a déjà déposé une plainte auprès de votre autorité, pour les exactions que je subis depuis que je m’intéresse à l’affaire de Palestine. Or, le mouvement altermondialiste s’occupe prioritairement de l’affaire de Palestine, par ceux de ce mouvement qu’on peut dénommer les « sionistes pro palestiniens », lesquels sont les dirigeants effectifs de ce mouvement. Les « sionistes pro palestiniens » militent implicitement pour la légitimité morale du sionisme, dont le programme est fondé sur l’éradication de la population de Palestine, tout s’affichant comme les protecteurs de cette population condamnée à disparaître, par l’idée centrale du sionisme. Le sionisme implique la disparition des Palestiniens. Le sionisme n’existe que par la non-existence des Palestiniens. La réalité de l’activité des « sionistes pro palestiniens » est de rendre acceptable l’inacceptable, de parvenir à l’inversion des valeurs morales fondamentales de l’humanité. Je constate que plus je me rapproche de l’élucidation de ce mouvement, et de la réalité des « sionistes pro palestiniens », plus je suis confronté à des manifestations de haine, et dont l’intensité croît. Mon avocat, dont le courage et l’intégrité sont à souligner, car il est en contact direct avec des éléments de ce mouvement, a été l’objet de pressions. La plainte qu’il a rédigée et déposée auprès de vos services, depuis une année, étant toujours en « attente de décision », je vous prie de bien vouloir joindre à son dossier cette présente plainte, rédigée par moi-même. Cette plainte et sa publication ont pour objet de mieux garantir ma sécurité. Je vous prie de recevoir, Monsieur le Procureur, l’expression de mes respectueuses salutations. M. DAKAR
Copie du contenu de la demande d’identification adressée par lettre recommandée au Conseil d’Etat, comprenant en annexe le document électronique envoyé par mon hébergeur à moi-même, lequel inclut la copie de la menace, ainsi que la réponse envoyée par mon hébergeur à l’auteur de cette menace (8 feuillets).
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