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Série : la démocratie en action
De : Michel Dakar
Route de Barre-y-va
76490 Villequier
Villequier, le 30 janvier 2012
LRAR n° 1A 0451 573 4193 1 (quatre feuillets)
A : Gendarmerie
Monsieur le Commandant
47, avenue Latham
76490 Caudebec-en-Caux
Objet : plainte
Monsieur,
Je suis engagé en politique dans le domaine du respect du droit,
depuis une vingtaine d’années.
J’ai élargi mon champ d’activité il y a une
dizaine d’années au domaine international, et particulièrement
au Proche-Orient.
Cette extension a provoqué depuis 2006 de manière récurrente,
une intervention de la section politique des services spéciaux,
sous la forme de pressions - qui se veulent dissimulées - pour
que j’abandonne mon activité.
Jusqu’alors, ces pressions ont porté sur les biens, consistant
en dégradations effectives, à l’intérieur de
mes domiciles de Paris et de Villequier, et de simulations d’agressions.
Le problème que je pose à ces services est de me neutraliser
alors que mon activité est légale, et de m’appliquer
les méthodes arbitraires qui sont dénoncées chez
les pays considérés comme ennemis, d’autant que ces
dénonciations servent d’introduction pour les envahir et
officiellement y instaurer le droit.
Il est possible que ces services soient passés de l’atteinte
à mes biens à l’atteinte physique à ma personne.
Le 19 janvier 2012, vers 15 heures, j’ai été victime
d’un accident sur la route D81 reliant Caudebec à Villequier
par le bord de Seine, à sa rencontre avec la route de Barre-y-va.
Je circulais en vélo, ne possédant pas de voiture.
Ayant marqué un arrêt à cette intersection pour laisser
passer un camion, j’ai redémarré, et me suis étalé
de tout mon long sur la chaussée, en plein en son milieu, et transversalement.
Il n’y avait pas de véhicules qui circulaient à ce
moment, et malgré que ma tête ait pris un choc, je n’étais
pas étourdi. J’ai pu rapidement me relever, dégager
mon vélo et moi-même de la chaussée avant le passage
d’un véhicule.
L’axe de ma pédale droite a cassé net. En prenant
appui sur elle pour redémarrer, cet axe a cédé, et
je suis tombé comme une planche sur le bitume. C’est sans
doute cette façon de chuter, répartissant le choc sur tout
le côté du corps, qui a évité des lésions.
Je m’en sors avec un problème d’une ou plusieurs côtes
fêlées ou cassées ( ?). J’ai décidé
de voir un médecin.
J’ai eu beaucoup de chance que cela se produise sur une surface
rigoureusement plate, et à très petite vitesse. Comme j’ai
eu beaucoup de chance qu’aucun véhicule ne surgisse à
ce moment.
Le réparateur de cycles de Caudebec, qu’on peut considérer
comme un excellent professionnel, me dit que c’est un accident naturel,
et qu’il y avait sans doute une faiblesse dans le métal.
Il me dit aussi, pour me rassurer, que c’est un accident qui n’arrive
qu’une fois dans sa vie.
Le tiers supérieur de l’axe était visiblement désolidarisé
du reste de l’axe. J’ai conservé cette pièce.
On me dit aussi que c’est impossible de saboter de l’acier
trempé.
Mon vélo a au moins une quarantaine d’années. C’est
ce qu’on nommait un « routier », catégorie qui
est réputée être la plus solide. Peugeot est sans
doute l’une des meilleures marques qui existe au monde, et à
l’époque de sa construction, les matériaux employés
étaient d’excellente qualité, et les usines étaient
en France.
Une défaillance d’axe de pédale est susceptible d’entraîner
des conséquences extrêmement graves, jusqu’au décès.
On imagine mal un constructeur comme Peugeot, à l’époque,
négliger cette pièce essentielle. Quant à ceux qui
s’occupent de mon cas, je ne me fais pas de soucis pour eux, ce
n’est pas un problème pour eux d’affaiblir artificiellement
un axe de pédale, en acier trempé, et de camoufler cette
défaillance pour qu’elle semble naturelle, fortuite, due
au hasard ou à la malchance.
Cela s’ajoute aux précédentes dégradations
sur des tissus en mars 2011, qui sont des mystères quant aux procédés
chimiques et/ou physiques utilisés pour les obtenir, tissus que
j’ai conservés. Nous étions alors plus dans le domaine
de l’agression psychologique.
Je tiens toutes ces pièces (tissus et axes) à votre disposition.
Je n’ai pas qualifié plus précisément ma plainte,
même le X étant hors de propos, n’ignorant pas que
toutes les gendarmeries collaborent étroitement avec les services
spéciaux au point d’en être des supplétifs.
Il m’est donc difficile de même poser ce X sur papier sans
me rapprocher de l’outrage - à la franchise.
J’adresse la copie de cette plainte au maire de Caudebec, qui a
la gentillesse de suivre l’évolution de cette affaire, de
même, et par sécurité pour ma personne, à des
autorités étrangères à celles exerçant
leurs prérogatives ici, ainsi qu’à mes contacts dans
le milieu militant.
Je n’ai pas décidé d’attendre le prochain accident
naturel passivement.
Je vous prie de me communiquer suffisamment à l’avance une
date pour un éventuel entretien, car je désire prendre le
temps de choisir et saisir un avocat et l’informer de mon affaire,
et du moment du rendez-vous, avant de me rendre physiquement dans vos
locaux.
Je vous informe que je suis décidé à poursuivre cette
affaire, quelles que soient les entraves mises à sa résolution.
Dans l’attente de la suite que vous donnerez à cette affaire,
je vous prie de recevoir, monsieur le Commandant, l’expression de
mes respectueuses salutations.
M. DAKAR
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