[Dessin d'illustration : Il n'y a pas de sots métiers, il n'y a que de sottes gens. Voir le dessin. ]
Michel Dakar Paris, le 16 janvier 2006
Courrier adressé en recommandé
M. le Président du Parlement européen,
PETITION
Pétition dont l'objet est l'exposé de la nécessité de l'expulsion hors de la Cour européenne des droits de l'homme, des juges vénaux, indignes et criminels.
Monsieur le Président,
Je vous prie de prendre connaissance et de bien vouloir transmettre aux députés du Parlement européen, la pétition que je leur adresse, et qui suit :
Texte de la pétition :
1 - Lors de l'affaire Ilich Ramirez Sanchez, dit « Carlos », traitée par la Cour européenne des droits de l'homme, les trois juges pressentis, Mme A. Mularoni, Mr A.B. Baka et Mr Ugrkhelidze, ont rejeté le dossier de cette affaire, en alléguant que sa présentation était hors délai, ce qui est faux, puisque dans ce cas, le délai de présentation commence, selon le règlement même de la Cour européenne des droits de l'homme, à la date de notification de la décision de la Cour de cassation française, et non à la date de l'arrêt de cette même cour.
Par ce stratagème, ces trois juges ont bien servi l'Etat français.
En droit français, cet acte de ces juges est qualifiable pénalement de faux en écritures publiques, crime passible de la cour d'assise, puisque la cour de cassation française reconnaît qu'une décision judiciaire est une écriture publique, et que des éléments volontairement mensongers inclus dans cette décision constituent des faux en écritures publiques.
Ces trois juges sont donc passibles de la cour d'assise en France.
2 - Le vice-président de la Cour européenne des droits de l'homme, M. Jean-Paul Costa, un ex-conseiller d'Etat français, a déclaré à la presse écrite, lors de l'affaire Ilich Ramirez Sanchez, dit « Carlos », relativement à la condamnation par la Cour européenne des droits de l'homme de la France , pour mauvais traitement à l'encontre de M. Ilich Ramirez Sanchez, que selon lui, ces mauvais traitements n'avaient pas atteint le « minimum de gravité ».
Cela signifie clairement que, selon M. Jean-Paul Costa, il y a un seuil de tolérance pour les mauvais traitements, soit un seuil de tolérance pour la torture, soit que la torture, à condition qu'elle reste en-deçà de ce seuil de tolérance, est légale, soit que l'existence et l'exercice de la torture est légale.
Il est totalement impossible de tolérer au sein de la Cour européenne des droits de l'homme, la présence d'un Jean-Paul Costa, qui préconise l'usage de la torture.
De même, en droit français, l'appel public à commettre un crime, comme le fait M. Jean-Paul Costa, est pénalement répréhensible, et M. Jean-Paul Costa pourrait être poursuivi pour cet appel au crime.
3 - Pour conclure, je rappelle dans cette présente pétition, le contenu de ma première pétition, adressée au Parlement européenne en 2004, appelant déjà à l'écartement de certains juges de la Cour européenne des droits de l'homme, dont entre autres :
le toujours Président de la Cour europénne des droits de l'homme, le suisse Luzius Wildhaber, un ancien de l'appareil d'Etat du Liechtenstein, pays consacré au recyclage des produits du pillage par les classes dominantes, des populations mondiales, qui est aussi un ancien de la banque interaméricaine pour le développement (BID), banque consacrée au pillage de l'Amérique du sud, et d'ailleurs,
le vice-président de la Cour européenne de l'époque, l'ancien ministre de la « justice » du Luxembourg, M. Marc Fiscbach, qui a ordonné les persécutions judiciaires dirigées contre les auteurs de la mise au jour de la nature réelle de l'activité de la chambre mondiale de compensation du Luxembourg « CEDEL-CLEARSTREAM », et qui ont révélé au-delà, avec la seconde chambre mondiale de compensation de Bruxelles « EUROCLEAR », l'existence du circuit électronique mondial primordial, et jusqu'alors ignoré, de la finance occulte,
Mme. Antonella Mularoni, avocate et notaire à San Marino, membre du « grand conseil » de San Marino, une place dédiée à la finance occulte mondiale,
M. Joseph Casadevall, avocat et notaire d'Andorra, une place dédiée à la finance occulte mondiale,
M. Lucius Calfish, suisse, élu au titre du Liechtenstein,
M. Giovanni Bonello, de Malte, ancien directeur de la « Bank of Valletta ».
Il est intéressant de constater que les juges des pays pauvres de l'est de l'Europe, tout en s'échinant à faire de longues études en « droits de l'homme », donnent dans le droit des « affaires », et exercent souvent au sein des chambres locales de commerce internationale.
Criminels recéleurs, falsificateurs et complices des tortionnaires, comme en Israël, qui est le seul Etat au monde où la torture est légalisée par sa cour suprême, ces juges de cette cour européenne des « droits de l'homme », pourraient donner à penser que leur existence n'est politiquement motivée que comme « façade propre » ultime, ultime organisme de blanchiment, laverie dernière, ultime mascarade, d'un régime hypocrite, abject et inepte, fondé sur l'exploitation totale de l'homme et de la vie, et les considérant comme des choses.
Je vous prie de recevoir, Monsieur le Président du Parlement européen, l'expression de mes salutations les plus respectueuses.
M. DAKAR
Copie de ce courrier communiquée par lettre en recommandé avec demande d'avis de sa réception, au Président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, avenue de l'Europe, 67075 Strasbourg.
1 - Référence internet de ce document : http:// www. aredam.net / petition-suite-1.html 2 - Référence internet de la première pétition : http:// www. aredam.net / cedh-strasbourg-cour-europenne-des-droits-de-la-banane.html 3 - Référence internet de l'affaire Ilich Ramirez Sanchez, dit « Carlos » : http:// www. aredam.net / carlos-cedh.html
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