Site Internet : http://www.aredam.net/yves-pignier-base-donnee-psychiatrie-politique.html
Adresse de ce document : http://www.aredam.net/libertes-internet-coutanceau-martorell.html
Trouvé sur le site :
http://www.libertes-internets.net/archives/index.html
un article évoquant COUTANCEAU-MARTORELL dans leurs
oeuvres d'experts psychiatriques policiers en service commandé. [ Ce texte qui est paru à l'adresse suivante, est encore enregistré sur google : http://www.libertes-internets.net/archives/docs/les_deux_cons/web/experts.html ]
TEXTE : "une verité que personne ne veut entendre n'est pas une vérité...." (parole d'expert psy)
Retour au sommaire En la matière, j’ai été
gâté, si je puis m’exprimer ainsi... En effet, il y
eut successivement : 1°) JEAN MICHEL MASSON
"expert psychiatre". 2°) DANIEL HUBERT "enquêteur de
personnalité" de l’association RAJAVI. 3°) ROLAND COUTANCEAU
et ARNAUD MARTORELL "experts psychiatres". Le docteur ROLAND COUTANCEAU cumule les fonctions
suivantes : Ces deux derniers travaillant ensemble ont pour
lieu de résidence : Le premier à avoir pointé son nez
au CAMP-EST fut JEAN-MICHEL MASSON et l’entretien eut encore lieu
dans le bureau vide du chef de service pénitentiaire PASCAL WAKAPO.
Ah ! S’il pouvait parler tout seul ce bureau... Que de mensonges,
de basses manœuvres et de saloperies seraient dévoilées,
surtout celles du gendarme MARC REVAULT parmi tant d’autres... C’est au cours de la conversation que cet
"expert-psychiatre" me déclara :
Ceux de la B.N.P. et de la caisse d’épargne
de GIVORS en FRANCE n’étaient plus loués au moment
de notre arrestation. Ils avaient néanmoins abrité successivement
un lot comprenant : Ce matériel provenait du vol du bureau
des passeports de NOUMEA lequel avait été effectué
les 06 / 07 octobre 1991 pour l’identification complète des
stagiaires kanaks s’étant rendus en LIBYE, en formation au
terrorisme. C’est à ce titre que toutes les archives des
passeports couvrant la période 1981 / 1991 furent systématiquement
emportées et stockées dans le container de la zone industrielle
de DUCOS ( SOLAR EDWARDS ), après un bref transit dans le garage
de OUEMO. Ceci, en attendant une exploitation ultérieure sur ordinateur,
entre autre. En plus de ces archives, il y avait un butin considérable
auquel je ne m’attendais pas du tout, le coffre-fort contenant les
passeports étant bien fermé à clef mais sans brouillage
de la combinaison. C’est ainsi que le matériel suivant
fut raflé : L’argent étant le nerf de la guerre,
c’est devant l’ampleur de cette prise que j’avais tenté
un peu plus tard de vendre une grande partie de ce matériel en
FRANCE, en nous réservant pour usage ultérieur : Le reliquat de documents administratifs à
savoir 150 passeports vierges et 1534 cartes d’identité vierges
également furent soigneusement dissimulés dans une minichaîne
hi-fi. Après accord avec HARRY DIJOUX, entrepreneur
en bâtiment à NOUMEA, cet appareil fut expédié
par mes soins en voie postale aérienne à CATHY SERVEAUX,
en FRANCE. CATHY SERVEAUX est la sœur de HARRY DIJOUX
et de GELLY DIJOUX, ce dernier vivant en FRANCE également. Je précise
que CATHY SERVEAUX était au courant qu’elle allait recevoir
un colis postal de NOUMEA, en ignorant totalement ce qu’il y avait
à l’intérieur. Une fois l’expédition et la réception
effectuées, ce matériel fut placé par mes soins aux
endroits sus-cités à GIVORS, pour finalement être
confié à la garde de GELLY DIJOUX résidant justement
dans cette ville. A ma connaissance, seuls un passeport et une carte
d’identité vierges ont été vendus comme échantillons,
par une autre personne que GELLY DIJOUX. MARTINE VARACHE, "juge d’instruction"
chargée de ce dossier me raconta des salades quant au nombre total
de documents administratifs trouvés en la possession de GELLY DIJOUX,
dont une partie aurait été brûlée sur instruction
téléphonique d’HARRY DIJOUX. Cette destruction eut lieu juste après
mon arrestation bien médiatisée en NOUVELLE-CALEDONIE. Les salades du juge d’instruction MARTINE
VARACHE étaient vraiment le cadet de mes soucis, puisque tout cela
avait été monté pour lutter efficacement contre les
stagiaires kanaks en LIBYE. Le " retour à l’expéditeur
" lancé au visage de MARTINE VARACHE au tout début
de l’instruction prenait ainsi toute sa dimension ! Ce n’est pas pour rien que les jugements
de CATHY SERVEAUX et HARRY DIJOUX d’une part, et JEAN-MARIE LEBRETON
d’autre part ont été volontairement dissociés
de notre procès d’assises les 24 / 25 / 26 avril 1996. En agissant ainsi, la politico-justice française
classait à sa façon la filière d’envois de
stagiaires kanaks en formation au terrorisme en LIBYE ! C’était un facturier vierge ! En ce qui concerne le coffre fort de SYDNEY AUSTRALIE,
celui-ci contenait également une prise de choix… Une statue
évidée de BOUDDHA, comme devait le préciser avec
plaisir le procureur général BERNARD DE GOUTTES lors du
"procès d’assises", évidée et vide
car cette statue faisait partie d’un lot ayant subi le contrôle
douanier en bonne et due forme à SYDNEY. BOUDDHA et JESUS ont dit la même chose,
à une variante près : " Tu récoltes ce que tu
sèmes ". J’ai mordu à l’hameçon
des mensonges politiques français et locaux, et je me suis sali
pour cela, C’est étrange comme il faut toujours
que l’inculpé soit le menteur et non le magistrat, le gendarme
ou l’expert, dans la conscience collective... Quoi qu’il en soit, "l’expert"
psychiatre JEAN-MICHEL MASSON déclara l’énormité
suivante devant les jurés : Énorme mensonge que je récusais
de toutes mes forces en disant : Cet expert avait ensuite déclaré
: " J’ai dû me tromper, c’est possible que j’ai
mal entendu... ". Un"expert" qui se trompe devant une
cour d’assises, c’est grave, très grave même... Une "erreur" d’une telle personne
et hop ! 20 ans de réclusion criminelle pour celui-là... Celui-là peut être un anonyme ou
DOMINIQUE BAUDON, MATRICULE 859833 B 2° N / 423 94261 FRESNES CEDEX
FRANCE, par exemple... Au cours d’une correspondance avec ce détenu
de la prison de FRESNES, celui-ci m’avait confié qu’il
recherchait toutes les informations possibles sur "l’expert-psychiatre"
JEAN-MICHEL MASSON. Le motif était qu’il avait salopé
tout son dossier d’expertise, selon lui. Je ne peux objectivement pas en dire autant à
mon sujet, si ce n’est l’anecdote suivante qui m’a été
rapportée directement par le gardien kanak ISAAC MEANDU-POVEU,
il y a quelques mois. C’était peu de temps avant notre
procès d’assises ; ce gardien se trouvait à l’entrée
du bâtiment des parloirs et "l’expert-psychiatre"
JEAN-MICHEL MASSON se tenait à coté de lui en attendant
un "client"... En me voyant passer dans la cour lors d’un
mouvement de détenus, celui-ci demanda tout à coup au gardien
ISAAC MEANDU-POVEU : " Qu’est-ce qu’il donne lui là-bas,
le grand ? ", en me désignant. JEAN-MICHEL MASSON : Si "la cour des grands" est ce merdier
infâme, c’est vraiment qu’il y a une inversion des valeurs
dans notre monde, n’est-ce pas ? D’autre part JEAN-MICHEL MASSON, je comprends
beaucoup mieux après cette anecdote la raison de votre regard plus
que fuyant au tribunal, surtout à la suite de votre mensonge concernant
mes paroles au sujet de la mort d’ELOI MACHORO. Vous aviez pourtant le beau rôle "là-haut",
devant cette cour d’assises ; vous étiez "expert"
en quoi au juste : Psychiatrie ou mensonges ? Je ne m’étais pas trompé du
tout lorsque j’avais déclaré au juge d’Instruction
MARTINE VARACHE : C’était celle de JEAN-MICHEL MASSON
au début de l’instruction ; je découvrais de plus
en plus l’ampleur des saloperies françaises en NOUVELLE-CALEDONIE,
avec JOSEPH WANANIJE... HUBERT comme le nom du fameux "COMMANDO HUBERT",
lequel s’est illustré dans l’assaut de la grotte de
GOSSANAH OUVEA le 05 mai 1988. En guise d’introduction à
la conversation, je lui demandais s’il appartenait à la D.G.S.E.,
avec un nom pareil... " GOSSANAH COMMANDO HUBERT DANIEL HUBERT D.G.S.E…
". En psychologie, cela s’appelle une "association"
( de malfaiteurs... ). Je l’ai observé avec une loupe, ses
yeux de requin surtout, tout en étant moi-même très
ému par toutes ces morts cachées, ému par toute cette
merde politique et judiciaire, ému par ma foi... Après lui avoir dit quelques conneries
de mon cru, je lui lâchai la phrase suivante : Il me répondit du tac au tac avec une esquisse
de sourire, car un requin ça ne sourit pas : " Une vérité que personne ne
veut entendre n’est pas une vérité ! ". Pas mal pour un "enquêteur" non
? Cela n’empêche pourtant pas son existence
DANIEL HUBERT, vous pouvez en être sûr et certain ! Un dernier détail : Le triste sire DANIEL HUBERT "travaille" pour l’association
RAJAVI, laquelle est placée sous le contrôle direct de la
CHANCELLERIE… "RAJAVI LE BON AUXILIAIRE DE JUSTICE"
selon THIERRY CADOR, une lumière journalistique douteuse des NOUVELLES
CALEDONIENNES… RAJAVI, un nom à ne pas oublier vu la "qualité"
de ses membres…
" DIJOU / UICHI préparez-vous ! .Expertise
psychiatrique ! ". En effet, JACKY UICHI ayant été
placé au bloc C d’isolement non loin de moi, nous subîmes
cette "expertise" le même jour dans le bâtiment
des parloirs, et quelle "expertise"… Là, les deux "acolytes-experts-psychiatres"
ROLAND COUTANCEAU et ARNAUD MARTORELL nous attendaient, un peu comme les
R.G. ou les flics, toujours par paire... Ils formaient vraiment un beau
couple tous les deux... L’un châtain clair / blond, et l’autre
brun sans pouvoir définir avec exactitude qui est le blond ou le
brun. Ils avaient du reste des méthodes de flics,
changeant vivement de "client" et donc de bureau car nous n’étions
pas ensemble JACKY UICHI et moi. Cela m’amusait de voir ces deux cons jouer
aux flics du cerveau, se relayant subitement sans crier gare et prenant
leur rôle de pantin vachement au sérieux. A un moment, je n’ai pas pu m’empêcher
de dire au blond : Il faut dire que c’était mal barré avec celui-ci, car il avait déclaré au début de l’entretien : " Votre père "fondateur" monsieur DIJOU... ". Bloqué en plein vol par : " Laissez
mon père en dehors de ça, il est mort ! ". En fait, il y avait un petit mot de trop dans
sa phrase... Mon père est mon père, point final ! Et je le respecte en tant que tel ! Alors quand
un "bougnoule" vient le mettre dans ce merdier politico-financier-judiciaire,
je vois rouge, très rouge même ! Une autre alerte rouge s’était déclenchée dans ma tête et mes poings lorsqu’il fit des allusions sur l’autorité de mon père au sein du couple. Toutes les décisions étaient prises
à deux, et alors ? Et toujours cette petite voix de la conscience
: " Laisse, ne frappe pas même si tu en as envie… laisse
faire les choses car tout se paye un jour ou l’autre... ".
Pauvre con ! Que pouvait-il savoir de mon père ? "Il ne faut pas toucher son derrière
avec son doigt, et le mettre sous son nez ensuite !". Le doigt de dieu, en quelque sorte... C’était fini avec le blond qui prenait
des notes en tirant une grosse langue de veau sur le coté, comme
les gosses s’appliquant pour écrire à l’école.
Il n’avait certainement pas fini sa croissance... Entre temps et au cours de leur "grand écart
psychologique", le brun m’avait demandé "en douce"
: Et comprenne qui pourra... Lui aussi fut bloqué en plein vol c’est
le cas de le dire, et à la suite d’un test complètement
nul il me fut attribué un quotient intellectuel ( Q.I. ) de 122
paraît-il. Ben voyons... Quelle fumisterie ! En fait, ce ne sont pas les "pseudo-expertises
psychiatriques" qui me dégoûtent au plus haut point,
mais bien les manières de ces deux marionnettes venues me demander
de couvrir de mon silence les magouilles françaises en NOUVELLE-CALEDONIE,
lors du procès d’assises. De retour dans nos cellules respectives, JACKY
UICHI me dit les choses suivantes : " L’un des deux m’a
parlé des "frères de lumière" et m’a
même demandé si nous étions francs-maçons...
Je lui ai répondu que si nous étions francs-maçons,
nous ne serions pas là en prison... Eh GUY ! qu’est-ce que
c’est, les "frères de lumière", je n’ai
rien compris à tout ça moi ". "L’amnésique" ne risquait
pas de comprendre, mais lui ayant expliqué que les termes "franc-maçon"
et "frère de lumière" étaient des synonymes
d’après ce que j’avais pu lire à ce sujet, celui-ci
rajouta : " Tu sais, j’ai un pressentiment... Ils vont nous
séparer. ". En effet, je fus convoqué par le directeur
YVES DUPAS et muté au bloc A. Le motif officiel était des travaux à
effectuer dans le bloc C d’isolement, travaux imaginaires et motifs
bidons comme d’habitude ; un mensonge de plus pour se justifier... Il est des lumières qui ne sont vraiment
que des mirages et pas seulement aux NOUVELLES CALEDONIENNES… Retour au sommaire
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