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http://www.aredam.net/yves-pignier-base-donnee-psychiatrie-politique.html

 

Adresse de ce document :

http://www.aredam.net/libertes-internet-coutanceau-martorell.html

 

 

Trouvé sur le site : http://www.libertes-internets.net/archives/index.html un article évoquant COUTANCEAU-MARTORELL dans leurs oeuvres d'experts psychiatriques policiers en service commandé.

[ Ce texte qui est paru à l'adresse suivante, est encore enregistré sur google : http://www.libertes-internets.net/archives/docs/les_deux_cons/web/experts.html ]

 

TEXTE :

"une verité que personne ne veut entendre n'est pas une vérité...." (parole d'expert psy)


EXPERTISES PSYCHIATRIQUES ET ENQUÊTE DE PERSONNALITE

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En la matière, j’ai été gâté, si je puis m’exprimer ainsi... En effet, il y eut successivement :

1°) JEAN MICHEL MASSON "expert psychiatre".

2°) DANIEL HUBERT "enquêteur de personnalité" de l’association RAJAVI.

3°) ROLAND COUTANCEAU et ARNAUD MARTORELL "experts psychiatres".

Le docteur ROLAND COUTANCEAU cumule les fonctions suivantes :
• - Psychiatre des hôpitaux.
• - Consultant au centre national d’orientation de la prison de FRESNES.
• - Chargé de cours en psychiatrie légale.
• - Expert près cour d’appel de VERSAILLES.

Le docteur ARNAUD MARTORELL cumule les fonctions suivantes :
• - Psychiatre des hôpitaux.
• - Consultant au centre national d’orientation de la prison de FRESNES.
• - Chargé de cours en psychiatrie légale.
• - Expert près de la cour d’appel d’AMIENS.

Ces deux derniers travaillant ensemble ont pour lieu de résidence :
C.M.P. 22 rue de CHATEAUDUN 92 250 LA GARENNE COLOMBES FRANCE.
( l’un est châtain / blond, tandis que l’autre est brun ).

(la suite sur nos deux amis, se trouve plus loin dans ce texte)

Le premier à avoir pointé son nez au CAMP-EST fut JEAN-MICHEL MASSON et l’entretien eut encore lieu dans le bureau vide du chef de service pénitentiaire PASCAL WAKAPO. Ah ! S’il pouvait parler tout seul ce bureau... Que de mensonges, de basses manœuvres et de saloperies seraient dévoilées, surtout celles du gendarme MARC REVAULT parmi tant d’autres...

C’est au cours de la conversation que cet "expert-psychiatre" me déclara :
" Mais quand même, monsieur DIJOU, vous ne trouvez pas que ça fait un peu "O.S.S. 117" votre histoire... Tous ces coffres-forts que vous aviez en FRANCE, en THAÏLANDE et en AUSTRALIE... ".
Coffres-forts vides il faut le préciser, au grand dam des gendarmes chargés de l’enquête... Enfin presque...



LE CAMBRIOLAGE DU BUREAU DES PASSEPORTS DE NOUMEA

Ceux de la B.N.P. et de la caisse d’épargne de GIVORS en FRANCE n’étaient plus loués au moment de notre arrestation. Ils avaient néanmoins abrité successivement un lot comprenant :
- 1534 cartes nationales d’identité vierges.
- 150 passeports vierges également.

Ce matériel provenait du vol du bureau des passeports de NOUMEA lequel avait été effectué les 06 / 07 octobre 1991 pour l’identification complète des stagiaires kanaks s’étant rendus en LIBYE, en formation au terrorisme. C’est à ce titre que toutes les archives des passeports couvrant la période 1981 / 1991 furent systématiquement emportées et stockées dans le container de la zone industrielle de DUCOS ( SOLAR EDWARDS ), après un bref transit dans le garage de OUEMO. Ceci, en attendant une exploitation ultérieure sur ordinateur, entre autre.

En plus de ces archives, il y avait un butin considérable auquel je ne m’attendais pas du tout, le coffre-fort contenant les passeports étant bien fermé à clef mais sans brouillage de la combinaison.

C’est ainsi que le matériel suivant fut raflé :
o - 250 passeports vierges.
o - 1634 cartes d’identité vierges.
o - Plusieurs centaines de passeports usagés ( entre 500 et 700 ).
o - Tous les appareils et tampons nécessaires à la confection de ces documents ainsi que divers registres et timbres fiscaux.

L’argent étant le nerf de la guerre, c’est devant l’ampleur de cette prise que j’avais tenté un peu plus tard de vendre une grande partie de ce matériel en FRANCE, en nous réservant pour usage ultérieur :
- 100 passeports vierges.
- 100 cartes nationales d’identité vierges.

Le reliquat de documents administratifs à savoir 150 passeports vierges et 1534 cartes d’identité vierges également furent soigneusement dissimulés dans une minichaîne hi-fi.

Après accord avec HARRY DIJOUX, entrepreneur en bâtiment à NOUMEA, cet appareil fut expédié par mes soins en voie postale aérienne à CATHY SERVEAUX, en FRANCE.

CATHY SERVEAUX est la sœur de HARRY DIJOUX et de GELLY DIJOUX, ce dernier vivant en FRANCE également. Je précise que CATHY SERVEAUX était au courant qu’elle allait recevoir un colis postal de NOUMEA, en ignorant totalement ce qu’il y avait à l’intérieur.

Une fois l’expédition et la réception effectuées, ce matériel fut placé par mes soins aux endroits sus-cités à GIVORS, pour finalement être confié à la garde de GELLY DIJOUX résidant justement dans cette ville.
Sur ma demande, GELLY DIJOUX se chargea à l’occasion de prospecter très discrètement le "marché", en ayant pour consigne de me faire prévenir si l’affaire était intéressante mais en fait, c’était plutôt un recel que devait accomplir celui-ci.

A ma connaissance, seuls un passeport et une carte d’identité vierges ont été vendus comme échantillons, par une autre personne que GELLY DIJOUX.

MARTINE VARACHE, "juge d’instruction" chargée de ce dossier me raconta des salades quant au nombre total de documents administratifs trouvés en la possession de GELLY DIJOUX, dont une partie aurait été brûlée sur instruction téléphonique d’HARRY DIJOUX.

Cette destruction eut lieu juste après mon arrestation bien médiatisée en NOUVELLE-CALEDONIE.

Les salades du juge d’instruction MARTINE VARACHE étaient vraiment le cadet de mes soucis, puisque tout cela avait été monté pour lutter efficacement contre les stagiaires kanaks en LIBYE.
Stagiaires kanaks envoyés en formation au terrorisme grâce à la troisième section de manipulation du bureau d’études et de liaison ou à toute autre saloperie du même genre, saloperie française où travaillait FRANCK WAHUZUE.

Le " retour à l’expéditeur " lancé au visage de MARTINE VARACHE au tout début de l’instruction prenait ainsi toute sa dimension !

Ce n’est pas pour rien que les jugements de CATHY SERVEAUX et HARRY DIJOUX d’une part, et JEAN-MARIE LEBRETON d’autre part ont été volontairement dissociés de notre procès d’assises les 24 / 25 / 26 avril 1996.

En agissant ainsi, la politico-justice française classait à sa façon la filière d’envois de stagiaires kanaks en formation au terrorisme en LIBYE !
Pour revenir aux coffres-forts, celui qui était loué en plein centre de BANKOK THAÏLANDE abritait un document vraiment exceptionnel pour les gendarmes français…

C’était un facturier vierge !

En ce qui concerne le coffre fort de SYDNEY AUSTRALIE, celui-ci contenait également une prise de choix… Une statue évidée de BOUDDHA, comme devait le préciser avec plaisir le procureur général BERNARD DE GOUTTES lors du "procès d’assises", évidée et vide car cette statue faisait partie d’un lot ayant subi le contrôle douanier en bonne et due forme à SYDNEY.

BOUDDHA et JESUS ont dit la même chose, à une variante près : " Tu récoltes ce que tu sèmes ".

J’ai mordu à l’hameçon des mensonges politiques français et locaux, et je me suis sali pour cela,
j’ai sali le nom de mon père,
j’ai entraîné d’autres personnes à en faire de même,
j’ai récolté cinq années de prison.
A chacun sa récolte maintenant !

C’est étrange comme il faut toujours que l’inculpé soit le menteur et non le magistrat, le gendarme ou l’expert, dans la conscience collective...
Peut-être est-ce là une façon de se rassurer soi-même sur sa propre valeur, une façon de s’identifier aux symboles ( menteurs comme ceux incarnant la justice par exemple… ).

Quoi qu’il en soit, "l’expert" psychiatre JEAN-MICHEL MASSON déclara l’énormité suivante devant les jurés :
" GUY DIJOU m’a confié avoir pleuré pour la mort d’ELOI MACHORO… ".

Énorme mensonge que je récusais de toutes mes forces en disant :
" Je n’ai pas pleuré, j’ai prié pour ce guerrier ; il ne faut pas confondre car je suis croyant ! ".

Cet expert avait ensuite déclaré : " J’ai dû me tromper, c’est possible que j’ai mal entendu... ".

Un"expert" qui se trompe devant une cour d’assises, c’est grave, très grave même...

Une "erreur" d’une telle personne et hop ! 20 ans de réclusion criminelle pour celui-là...

Celui-là peut être un anonyme ou DOMINIQUE BAUDON, MATRICULE 859833 B 2° N / 423 94261 FRESNES CEDEX FRANCE, par exemple... Au cours d’une correspondance avec ce détenu de la prison de FRESNES, celui-ci m’avait confié qu’il recherchait toutes les informations possibles sur "l’expert-psychiatre" JEAN-MICHEL MASSON. Le motif était qu’il avait salopé tout son dossier d’expertise, selon lui.

Je ne peux objectivement pas en dire autant à mon sujet, si ce n’est l’anecdote suivante qui m’a été rapportée directement par le gardien kanak ISAAC MEANDU-POVEU, il y a quelques mois.

C’était peu de temps avant notre procès d’assises ; ce gardien se trouvait à l’entrée du bâtiment des parloirs et "l’expert-psychiatre" JEAN-MICHEL MASSON se tenait à coté de lui en attendant un "client"...

En me voyant passer dans la cour lors d’un mouvement de détenus, celui-ci demanda tout à coup au gardien ISAAC MEANDU-POVEU : " Qu’est-ce qu’il donne lui là-bas, le grand ? ", en me désignant.
Réponse du gardien : " C’est " quelqu’un"…".

JEAN-MICHEL MASSON :
" Il a voulu jouer dans la cour des grands, mais on va bien voir là-haut, au tribunal... ".

Si "la cour des grands" est ce merdier infâme, c’est vraiment qu’il y a une inversion des valeurs dans notre monde, n’est-ce pas ?

D’autre part JEAN-MICHEL MASSON, je comprends beaucoup mieux après cette anecdote la raison de votre regard plus que fuyant au tribunal, surtout à la suite de votre mensonge concernant mes paroles au sujet de la mort d’ELOI MACHORO.

Vous aviez pourtant le beau rôle "là-haut", devant cette cour d’assises ; vous étiez "expert" en quoi au juste : Psychiatrie ou mensonges ?

Je ne m’étais pas trompé du tout lorsque j’avais déclaré au juge d’Instruction MARTINE VARACHE :
" Votre expertise psychiatrique, vous pouvez la mettre aux chiottes et tirer la chasse par-dessus ! ".

C’était celle de JEAN-MICHEL MASSON au début de l’instruction ; je découvrais de plus en plus l’ampleur des saloperies françaises en NOUVELLE-CALEDONIE, avec JOSEPH WANANIJE...


Le deuxième à pointer son nez au CAMP-EST fut "l’enquêteur de personnalité" DANIEL HUBERT...

HUBERT comme le nom du fameux "COMMANDO HUBERT", lequel s’est illustré dans l’assaut de la grotte de GOSSANAH OUVEA le 05 mai 1988. En guise d’introduction à la conversation, je lui demandais s’il appartenait à la D.G.S.E., avec un nom pareil... " GOSSANAH COMMANDO HUBERT DANIEL HUBERT D.G.S.E… ".

En psychologie, cela s’appelle une "association" ( de malfaiteurs... ).

Je l’ai observé avec une loupe, ses yeux de requin surtout, tout en étant moi-même très ému par toutes ces morts cachées, ému par toute cette merde politique et judiciaire, ému par ma foi...

Après lui avoir dit quelques conneries de mon cru, je lui lâchai la phrase suivante :
" La vérité finit toujours par sortir un jour... "

Il me répondit du tac au tac avec une esquisse de sourire, car un requin ça ne sourit pas :

" Une vérité que personne ne veut entendre n’est pas une vérité ! ".

Pas mal pour un "enquêteur" non ?

Cela n’empêche pourtant pas son existence DANIEL HUBERT, vous pouvez en être sûr et certain !

Un dernier détail :

Le triste sire DANIEL HUBERT

"travaille" pour l’association RAJAVI, laquelle est placée sous le contrôle direct de la CHANCELLERIE…

"RAJAVI LE BON AUXILIAIRE DE JUSTICE" selon THIERRY CADOR, une lumière journalistique douteuse des NOUVELLES CALEDONIENNES…

RAJAVI, un nom à ne pas oublier vu la "qualité" de ses membres…



La troisième vague d’experts psychiatriques vaut le coup d’être racontée, pour sûr !

" DIJOU / UICHI préparez-vous ! .Expertise psychiatrique ! ".

En effet, JACKY UICHI ayant été placé au bloc C d’isolement non loin de moi, nous subîmes cette "expertise" le même jour dans le bâtiment des parloirs, et quelle "expertise"…

Là, les deux "acolytes-experts-psychiatres" ROLAND COUTANCEAU et ARNAUD MARTORELL nous attendaient, un peu comme les R.G. ou les flics, toujours par paire... Ils formaient vraiment un beau couple tous les deux...

L’un châtain clair / blond, et l’autre brun sans pouvoir définir avec exactitude qui est le blond ou le brun.

Ils avaient du reste des méthodes de flics, changeant vivement de "client" et donc de bureau car nous n’étions pas ensemble JACKY UICHI et moi.
Heureusement, car avec ces deux là en même temps, cela aurait tourné à la "partouze psychologique"...

Cela m’amusait de voir ces deux cons jouer aux flics du cerveau, se relayant subitement sans crier gare et prenant leur rôle de pantin vachement au sérieux.

A un moment, je n’ai pas pu m’empêcher de dire au blond :
" Vous avez des méthodes de flics ! ".

Il faut dire que c’était mal barré avec celui-ci, car il avait déclaré au début de l’entretien : " Votre père "fondateur" monsieur DIJOU... ".

Bloqué en plein vol par : " Laissez mon père en dehors de ça, il est mort ! ".

En fait, il y avait un petit mot de trop dans sa phrase... Mon père est mon père, point final !

Et je le respecte en tant que tel ! Alors quand un "bougnoule" vient le mettre dans ce merdier politico-financier-judiciaire, je vois rouge, très rouge même !

Une autre alerte rouge s’était déclenchée dans ma tête et mes poings lorsqu’il fit des allusions sur l’autorité de mon père au sein du couple.

Toutes les décisions étaient prises à deux, et alors ?

Et toujours cette petite voix de la conscience : " Laisse, ne frappe pas même si tu en as envie… laisse faire les choses car tout se paye un jour ou l’autre... ". Pauvre con ! Que pouvait-il savoir de mon père ?
C’est toujours le blond, à qui je parlais des saloperies découvertes ici, qui m’avait dit : " Heu... Justement... Vous ne pourriez pas faire en sorte que ça ne sente pas trop mauvais "là-haut", lors du procès ? ".
Gonflé "l’expert", n’est-ce pas ? C’est alors que je lui répondis : " Connaissez-vous ce proverbe de LIFOU ?

"Il ne faut pas toucher son derrière avec son doigt, et le mettre sous son nez ensuite !".

Le doigt de dieu, en quelque sorte...

C’était fini avec le blond qui prenait des notes en tirant une grosse langue de veau sur le coté, comme les gosses s’appliquant pour écrire à l’école. Il n’avait certainement pas fini sa croissance...

Entre temps et au cours de leur "grand écart psychologique", le brun m’avait demandé "en douce" :
"Vous vous intéressez aux symboles, à l’ésotérisme... Les "frères de lumière"… Vous ne voulez pas "travailler avec des gants blancs" ? ".
Réponse de ma part : " Cela ne sert à rien d’avoir des gants blancs avec des mains sales à l’intérieur ! ".

Et comprenne qui pourra...

Lui aussi fut bloqué en plein vol c’est le cas de le dire, et à la suite d’un test complètement nul il me fut attribué un quotient intellectuel ( Q.I. ) de 122 paraît-il. Ben voyons... Quelle fumisterie !

En fait, ce ne sont pas les "pseudo-expertises psychiatriques" qui me dégoûtent au plus haut point, mais bien les manières de ces deux marionnettes venues me demander de couvrir de mon silence les magouilles françaises en NOUVELLE-CALEDONIE, lors du procès d’assises.

De retour dans nos cellules respectives, JACKY UICHI me dit les choses suivantes : " L’un des deux m’a parlé des "frères de lumière" et m’a même demandé si nous étions francs-maçons... Je lui ai répondu que si nous étions francs-maçons, nous ne serions pas là en prison... Eh GUY ! qu’est-ce que c’est, les "frères de lumière", je n’ai rien compris à tout ça moi ".

"L’amnésique" ne risquait pas de comprendre, mais lui ayant expliqué que les termes "franc-maçon" et "frère de lumière" étaient des synonymes d’après ce que j’avais pu lire à ce sujet, celui-ci rajouta : " Tu sais, j’ai un pressentiment... Ils vont nous séparer. ".

En effet, je fus convoqué par le directeur YVES DUPAS et muté au bloc A.

Le motif officiel était des travaux à effectuer dans le bloc C d’isolement, travaux imaginaires et motifs bidons comme d’habitude ; un mensonge de plus pour se justifier...

Il est des lumières qui ne sont vraiment que des mirages et pas seulement aux NOUVELLES CALEDONIENNES…

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