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Titre de cette page :
Demande de réponse adressée aux cinq services de renseignement et de police politique officiels français, au sujet de la possible existence d'une nébuleuse d'officines secrètes en France en charge de la destruction des dissidents, par des méthodes de harcèlement psychologiques qualifiables de torture. DRPPP - Direction du Renseignement de la Préfecture
de Police de Paris DCRI - Direction Centrale du Renseignement Intérieur DGSE - Direction Générale des Services
Extérieurs DPSD - Direction de la Protection et de la Sécurité
de la Défense DRM - Direction du Renseignement Militaire
Lien vers le site de La Poste permettant le suivi
des lettres (rentrer le n° du recommandé) :
Michel Dakar Villequier, le 3 décembre 2012
Lettres en recommandé avec accusé de réception Adressées aux directions des services de
renseignement DRPPP, DCRI, DGSE, DPSD, DRM Mesdames ou messieurs les directeurs, J’ai l’honneur de soumettre à vos autorités ce document joint à cette lettre (lire plus bas en annexe).
Ce texte, tiré d’un site internet dont l’intitulé figure à son en-tête, est partagé en deux parties.
Il ne s’agit que d’une forme de torture psychologique, qui s’exerce sur la longue durée, et dont l’avantage pour ceux qui l’ordonnent est de ne laisser aucune trace et preuve de son application. Une sorte d’idéal du tortionnaire permettant d’éliminer sans bruit et sans témoin ceux qui dérangent, en toute impunité, en respectant la façade de droit et d’humanisme si précieuse et utile à nos démocraties, pour la propagande de guerre.
M. DAKAR
Texte : « Interview accordé à un ex-agent des services secrets », tiré du site internet http://rudy2.wordpress.com . (lire plus bas en annexe)
http://www.aredam.net/lettre-DRPPP-DCRI-DGSE-DPSD-DRM.html
(Faite le 26 février 2013 :
Annexe : INTERVIEW ACCORDEE A UN EX-AGENT DES SERVICES SECRETS. Texte tiré du site http://rudy2.wordpress.com
L’histoire que nous raconte Carl Clark
est à nous couper le souffle. Cet Anglais décrit comment
il a traqué des gens pour le compte de divers Services Secrets,
puis, après s’en être échappé, il devint
lui-même une victime. Il a également participé à
l’utilisation des armes à micro-ondes sur autrui, c’est
à présent son tour de sentir la chose. Il faut que ces machinations
criminelles soient portées à la conscience publique, pour
que l’on puisse y mettre fin. Il nous décrit ici ce qui l’a
poussé à sortir de l’ombre. Interview accordée à Carl Clark,
Norfolk, Angleterre. Carl Clark : j’ai travaillé comme free-lance de 1980 à 2003 pour différents Services Secrets. Jusqu’en 1997, j’oeuvrais activement pour le Service Secret américain (la CIA). Ensuite, j’ai travaillé pour le Service Secret israélien, le Mossad et pour la Ligue Antidiffamation (ADL), organisation américaine contre la discrimination et la calomnie envers les Juifs. J’étais aussi dans le service du MI5, une branche secondaire du Service Secret britannique. Plus tard, je me suis dirigé vers le Service Secret de la police ainsi que le Service Secret d’un laboratoire de recherche. Mon secteur d’opération était l’Europe : Paris, Zurich, Berlin, Dusseldorf, Munich, Madrid, Lyon, Bilbao et Moscou.
Service complet d’informations. Carl Clark : Une tâche importante consistait à’infiltrer des groupes pour obtenir des renseignements sur eux. J’ai rejoint certains groupes, je me suis fait des amis parmi les membres des groupes et j’ai contribué à la ruine de leur vie. Armin Gross : De quels groupes s’agissait-il ? Carl Clark : des gangs essentiellement criminels ou des cartels de la drogue. Pour le Service Secret israélien je livrais des informations sur le “National Front”, un parti radical de droite, sur les nazis et les skinheads . Ce qui les intéressait, c’était les noms, les adresses, les lieux de réunion et les projets ou objectifs. Pour la CIA j’ai surveillé et traqué des individus. Armin Gross : Qu’avez-vous fait là-bas exactement ? Carl Clark : J’ai surveillé des personnes
pendant une longue période, j’ai écouté clandestinement
leurs conversations. J’ai également reçu l’ordre
de déstabiliser ces personnes. J’ai donc pénétré
secrètement dans leurs maisons, j’ai emporté des objets
ou j’ai changé de place un objet par-ci, un objet par-là.
J’ai effacé des données sur leur ordinateur. J’ai
semé la confusion et la panique dans l’esprit de ces personnes,
pendant que je les traquais, je suis intervenu à plusieurs reprises
dans leur environnement, à l’arrêt des bus, à
la gare, etc. Nous avons également monté de toute pièce
une bagarre dans la rue, juste sous les yeux de ces individus ou ceux
des autres . Si quelqu’un doit être davantage mis sous pression
ou bien doit être arrêté, j’ai également
soutiré certaines informations de son ordinateur, comme, par exemple,
des informations à caractère pédophile et pornographique
ou également des infos sur le système d’élaboration
et de production d’une bombe etc. Carl Clark : les hommes politiques importants, les membres de l’opposition, les individus qui se sont affrontés à de grandes sociétés, comme, par exemple, les sociétés pharmaceutiques. Certains ont appartenu à des gangs criminels. Mais il y en avait deux dont je ne savais pas pourquoi ils figuraient aussi sur cette liste. Armin Gross : Combien d’individus avez-vous traqués, en tout et pour tout ? Carl Clark : Dans les années 80 environ cinq ou six, dans les années 90 sept et de 2000 à 2003, trois. Vous pouvez voir par ce nombre peu élevé à quel point pouvait être intense la surveillance d’une personne, pendant juste six mois, pour peut-être obtenir la plupart des informations sur un curriculum vitae. Armin Gross : Comment avez-vous réussi à obtenir ces renseignements ? Dans les ordures, le téléphone,le courrier,l’Internet. Avec le développement de la mécanisation, tout cela est devenu de plus en plus facile . Aujourd’hui, vous n’avez plus besoin de tables d’écoute pour surveiller. Vous écoutez clandestinement des téléphones portables, des téléphones à réseau numérique intégré (RNI) ou de petites antennes paraboliques. Malheureusement, l’usage des armes à micro-ondes est devenu assez courant. La surveillance et le harcèlement sans relâche peuvent détruire une vie.
Armes à micro-ondes. Carl Clark : Non, j’étais responsable de la surveillance ! C’était des employés des départements spéciaux qui faisaient cela. Mais il m’est parfois arrivé de me trouver sur le “terrain”. Armin Gross : Pouvez-vous décrire de manière plus détaillée l’utilisation de ces armes ? Carl Clark : C’est un peu comme dans un film de science-fiction. Les gens pouvaient être traqués partout, grâce au radar, au satellite, grâce à une station de base et à des programmes informatiques complémentaires. Par exemple, souvent trois dispositifs-radar sont placés à proximité de la personne. Le radar émet des ondes électromagnétiques, puis évalue les résultats.Ainsi mes amis qui travaillaient dans les départements spéciaux pouvaient traquer l’individu sur son ordinateur, toute la journée. Cette localisation a facilité l’utilisation des armes . Les collègues pouvaient voir où exactement ils devaient viser et aussi comment la personne y réagissait. Armin Gross: Quels effets ces armes eurent-elles sur les individus ? Carl Clark : Elles pouvaient provoquer de la chaleur ou des brûlures internes, elles provoquaient des douleurs, des nausées et la peur. Cependant, les traces très souvent restent invisibles sur la peau. Si ces personnes vont consulter le docteur, il leur affirme qu’elles n’ont absolument rien. Armin Gross : Quel est le but poursuivi avec ce “bombardement” ? Carl Clark : On veut intimider les gens. Dans mon propre cas,cela faisait trois ans que je subissais des radiations, lorsque j’ai décidé de tout arrêter. Je suis certain que, dans les années 2003/2004, des armes à micro-ondes furent utilisées contre moi, ce qui vous rendait terriblement agressif. A ce moment-là, j’ai failli tuer quelqu’un, mon ancienne voisine, une gentille vieille dame.
Tentatives de pousser les gens à la démence. Carl Clark : Sans le moindre doute. Nous savons
que l’organisme réagit très sensiblement aux radiations
électromagnétiques. Armin Gross : les gens sont directement poussés dans des situations psychiatriques extrêmes ? Carl Clark : Oui, on veut conduire certaines personnes directement en asile psychiatrique. Si une personne ciblée cherche de l’aide et va à la police ou chez le docteur, on ne la prend pas au sérieux. Certains docteurs ainsi que certains hôpitaux collaborent avec les Services Secrets. Les directives diagnostiques vous permettent de taxer quelqu’un de schizophrénie, s’il se sent harcelé et entend des voix. Armin Gross : les hôpitaux coopèrent avec les Services Secrets ? Carl Clark : Oui, dans tous les cas. Les grandes
sociétés collaborent également. C’est pourquoi
vous courez un grand danger si vous menez des enquêtes sur de grandes
sociétés. L’état américain protège
les grandes entreprises comme Mc Donalds, Coca-cola, ou certaines sociétés
pharmaceutiques. L’État américain s’adresse
aussi à des agents du FBI, dans les affaires d’espionnage
industriel. Les franc-maçons qui sont nombreux au sein de la CIA
jouent également un grand rôle. Carl Clark : J’avais compris que ce que je faisais n’était pas bien. Les deux derniers individus auxquels j’étais assigné n’avaient rien fait. Ils ne faisaient pas de la politique, étaient tout à fait normaux, n’étaient point des criminels ni économiquement dangereux. L’unique hypothèse que je m’étais permis d’émettre à leur sujet se référait à leur ADN ou à leur sang . Depuis quelque temps, de nombreuses investigations sont menées sur cette affaire. L’ADN est associé aux dernières particularités de notre caractère. Le projet relatif au génome humain a analysé de 1993 à 2004 toutes les paires de base du génome humain, a recueilli aussi les données génétiques des gens menacés ( le Projet sur la Diversité du Génome Humain ) et a comparé les résultats. Nos employeurs tenaient beaucoup aux analyses d’ADN des gens que nous avons surveillés. Nous devions toujours, dans nos principales fonctions aux premiers jours de la surveillance, effectuer des analyses d’ADN ou de sang de ces gens. Armin Gross : Vous avez déjà déclaré que vous avez connu des problèmes quand vous avez décidé d’arrêter en 2003 ? Carl Clark : Quand une fois je faisais 3000 miles
avec un camion la nuit pour livrer des colis, un hélicoptère
me poursuivait tout le temps. Un jour, alors que je conduisais dans une
avenue, un homme m’avait attaqué et m’avait porté
un coup vigoureux au visage. Une fois, quelqu’un avait enlevé
trois pièces de mon moteur, sur l’autoroute,et le moteur
tomba subitement en panne. Une autre fois, je conduisais un camion avec
une charge de trois tonnes, deux pneus explosèrent subitement au
même moment. La police était venue et déclara qu’ils
n’avaient jamais vu une telle chose. Une fois, j’étais
traqué au volant de ma voiture, pendant des mois et des mois. Cela
m’avait rendu si furieux que j’avais arrêté subitement
la voiture, j’avais saisi ma batte de baseball et j’étais
sorti. Les trois voitures derrière moi s’arrêtèrent
et disparurent à toute vitesse en marche arrière.S’il
s’était agi de gens normaux, ils seraient allés dénoncer
tout à la police, mais ils ne l’ont pas fait. Ils m’ont
envoyé par la suite trois sympathiques individus qui étaient
censés m’espionner. Armin Gross : Et qu’en est-il à présent ? Pensez-vous que vous êtes toujours sous surveillance ? Carl Clark : Oui, évidemment. J’ai appris aussi que les Services Secrets veulent savoir pourquoi je me suis enfui maintenant en Allemagne. Armin Gross : Vous ne vivez pas dangereusement en ce moment ? Carl Clark : Je suis prêt à mener une lutte contre eux. Ils savent aussi que je sais beaucoup de choses sur eux et que j’essaie de faire quelque chose contre leurs méfaits. J’ai des amis dans les unités spéciales. Des personnes en Afghanistan et en Iraq me soutiennent.
Réseau de surveillance gigantesque. Carl Clark : Aux Etats-Unis, en Allemagne, en
Chine, en Corée du Nord, en Russie, en France et en Angleterre.
(NDT: Carl Clark a certainement oublié d’ajouter “entre
autres”, car il sait pertinemment que plusieurs autres pays sont
impliqués). Tout cela se fait normalement, sans que les gouvernements
en soient officiellement au courant. Armin Gross : Savez-vous combien de gens sont sous surveillance ? Carl Clark : En Angleterre il y a environ 5000 personnes sous surveillance et approximativement 15 000 “espions”. À côté des grands Services Secrets il y a encore 300 à 400 petites sociétés de Services Secrets qui ont été fondées par d’anciens agents de police ou d’anciens employés des services secrets. Ils ont reçu l’autorisation du Ministère de l’Intérieur pour surveiller, prendre des photos, fournir des renseignements. Ils paient très bien leurs employés. Armin Gross : Etait-ce un problème pour vous d’aller d’un Service Secret à un autre ? Carl Clark : Non. Pour les nouveaux chefs c’était
toujours positif, parce qu’ils pouvaient,de cette manière,recevoir
de moi des renseignements sur d’autres Services Secrets. Puisque
les grands Services Secrets se méfient mutuellement, je ne pouvais
donc qu’en sortir gagnant. Carl Clark : C’est mieux d’éviter l’emploi dans les courriers électroniques de concepts comme “mindcontrol”, “services secrets” etc., depuis l’apparition de la surveillance numérique à partir de certains termes de recherche. De la même manière, il serait bien normal de tenter de découvrir si quelqu’un s’était introduit dans votre appartement. Avant que les “espions” ne pénètrent dans votre appartement, ils utilisent souvent du gaz anesthésiant qu’ils introduisent chez vous par la fente des boîte aux lettres . Ensuite, vous vous réveillez avec un goût métallique dans la bouche. Si des conducteurs se comportent bizarrement au volant, il est recommandé de noter les numéros d’immatriculation. On peut emballer dans du papier aluminium les lettres qui ne devraient pas être vues . On peut vérifier les radiations de haute fréquence dans l’appartement avec des instruments de mesure spéciaux. Armin Gross : Connaissez-vous d’autres whistleblowers ou ” lanceurs d’alerte “ qui disent se trouver dans des cas similaires ? Carl Clark : Jusqu’à présent, non. Mais j’espère que davantage de personnes se feront connaître.
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de passage aux personnes pas sages"
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