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Ce qu'on nomme la "société civile", à travers un exemple éloquent, à Nanterre. 1 - Lettre d'une association de la société civile de Nanterre, "Les Oranges", adressée à la mairie de Nanterre, demandant de débaptiser la rue de Nanterre nommé rue des Suisses, rue où va s'installer le nouveau siège du Front National, pour lui attribuer le nom d'un sociologue du CNRS, arabe, ayant travaillé sur l'immigration (lire deux articles au sujet de Michel Seurat, l'un des très rare - voir unique - sociologue, qui au lieu d'ausculter (espionner pour le compte du pouvoir), les faibles, s'est risqué à étudier les puissants (le régime syrien). Il l'a payé de sa vie, et de plus, le CNRS - un typique organe des puissants - l'a même récupéré, pour dorer son blason). 2 - Commentaire de le lettre de l'association Les Oranges. 3 - Annonce de la part de cette association "Les Oranges", d'une conférence commémorant le 17 octobre 1961, jour du massacre à Paris, de plusieurs centaines d'algériens, manifestant pour l'indépendance de l'Algérie. 4 - Commentaire de cette annonce. 5 - Commentaire global sur cette affaire : C'est curieux de traiter de ces évènements, alors que la priorité est l'occupation de l'Europe, et particulièrement de la France, par l'axe du bien israélo-américain.
1 - Lettre de Les Oranges. "Exister, c'est exister politiquement" A. SAYAD
Rue du 8 mai 1945
Aujourd’hui, le Front National est officiellement
installé à Nanterre. Je vous propose donc de remplacer la rue des suisses où s’est installé le Front National, par la rue « Abdelmalek SAYAD » sociologue maghrébin 1933-1998, directeur de recherche au CNRS. Il a publié plusieurs travaux sur l’immigration et particulièrement sur l’immigration Algérienne. En donnant le nom d’Abdelmalek SAYAD à
cette rue, vous : En espérant que vous pourrez honorer les idées de progrès et démocratiques pour lesquels vous avez été élus en mars 2008. Cordialement
M’hamed KAKI
2 - Commentaire de cette lettre. Le contenu de cette lettre au maire de Nanterre
me rappelle un graffiti succinct que j'avais remarqué sur l'un
des murs de l'un des chiottes de la mairie du 18ème de Paris (et
qui y était resté assez longtemps), mairie dont je dépends
: "classe politique classe parasite". Pour ma part, je ne fais
pas de différence entre les loufiats de droite, de gauche, et ceux
des extrêmes, qui ne sont que les bonimenteurs de ceux qui possèdent
le vrai pouvoir, qui lui, comme tout vrai pouvoir, ne se partage pas,
ni ne s'étale sur les affiches électorales, ni dans les
journaux. Le pouvoir règne, point à la ligne. Le pouvoir
déteste la lumière, et n'a rien à faire d'être
reconnu par le bétail qu'il exploite et dévore. C'est un
tour de force que d'avoir convaincu le bétail qu'il possède
un droit de regard et de choix sur son sort, ce qu'on appelle "démocratie".
Quand de plus, en ce qui concerne Nanterre, et ses élus communistes, on sait que l'Humanité a été refinancée par la Générale des Eaux - Vivendi actuelle Véolia, l'une des premières multinationales dans le domaine de l'eau, des déchets et des transport ..., et aussi par l'un premiers marchands d'armes du monde : Hachette, et par un organisme public de ce pays très très capitaliste, organisme nommé Caisse des dépôts et consignation ...
3 - Annonce de la conférence du le 17 octobre 1961. LES ORANGES « Le 17 octobre 1961 : un crime d’état à Paris » avec Olivier LE COUR GRANDMAISON Historien. » 15 octobre 2008 à 20 H à L’agora à NANTERRE Commémoration du 17 octobre 1961 Avec les Elus de Nanterre, comme chaque année,
nous avons RDV le 17 octobre 2008 à 19 h devant la plaque commémorative
(En face de la préfecture de Nanterre) des 300 victimes des massacres
de la répression policière sous les ordres du préfet
de Paris de l’époque Maurice PAPON le 17 octobre 1961, lors
de la manifestation pacifique des Algériens qui manifestaient pacifiquement
contre le couvre feu qui leur était imposé par la préfecture
de paris. Contact : M’hamed KAKI – tel. 06 29
87 21 21 4 - Commentaire de cette annonce. Papon n'était qu'un exécutant subalterne, dans cette affaire. De Gaulle était au pouvoir, mais la gauche avait commencé la répression des indépendantistes, avec Mitterrand comme ministre de l'intérieur, sous lequel un soixantaine d'exécutions capitales de résistants algériens avaient été ordonnées et effectuées. Quant aux communistes français qui soit disant ont aidé la résistance algérienne, ils ne faisaient qu'obéir aux directives de Moscou, qui instrumentalisait les mouvements d'indépendance, pour affaiblir le camp capitaliste, dans un but purement expansioniste, et ne voulaient surtout pas, comme ils l'ont démontré en Europe de l'est, de réels états indépendants, et surout pas indépendants d'eux-mêmes. Les communistes ne cherchaient qu'à augmenter le nombre et l'étendue de leurs propres colonies, en remplaçant si possible les anciens colonisateurs capitalistes. On sait maintenant que c'est le camp américain qui avait fomenté le coup d'état d'Alger, en collaboration avec les services spéciaux sionistes. De Gaulle avait joué très serré pour parvenir à faire accepter l'indépendance. Il devait maîtriser la situation, ce qui lui permettait de négocier avec le FLN la suite de la présence française en Algérie (pétrole et expérimentation atomique). Le FLN, de son côté manipulait les simples ressortissants algériens en France, de façon à négocier avec De gaulle en position de force. Ces exécutants algériens inconscients qui défilèrent le 17 octobre 1961 à Paris firent les frais de négociations entre puissants, qui elles, se déroulaient dans de confortables chalets en Suisse. Concernant l'affaire Papon proprement dite, soit Papon en tant que sous-préfet de Bordeaux en 1942, ayant participé à l'organisation de déportations de juifs, là encore, ce simple subalterne a fait les frais d'une politique générale qui le dépassait. Il s'est avéré par la suite qu'il a tenté avec succès de faire échapper de nombreux juifs à la déportation, et qu'il a exécuté les ordres qu'on lui donnait avec beaucoup de modération. Mais il fallait aux sionistes un représentant encore vivant (cela commençait à se faire rare) ayant eu une part de responsabilité dans les déportations de juifs, pour alimenter leur propagande de justification par la Shoah, de l'élimination de la population originelle de Palestine, et le remplacement de ces palestiniens par des juifs originaires du monde entier. Papon a été le dindon de ces deux "farces". On voit que certains continuent à en tirer profit, pour "exister politiquement". Complément à ce commentaire : Lire deux articles au sujet de Michel Seurat, l'un des très rare - voir unique - sociologue, qui au lieu d'ausculter (espionner pour le compte du pouvoir), les faibles, s'est risqué à étudier les puissants (le régime syrien). Il l'a payé de sa vie, et de plus, le CNRS - un typique organe des puissants - l'a même récupéré, pour dorer son blason.
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