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Texte : Pourquoi la "Shoah" durera, ou la règle du mensonge, règle fondamentale non écrite, non dite et non pensée du régime totalitaire sioniste capitaliste d'Occident. Avant propos Notre régime totalitaire occidental repose entièrement sur une règle non écrite, non dite et non pensée : la règle du mensonge. Cette règle du mensonge porte sur quatre points essentiels du régime : 1 - La définition officielle du régime (démocratie). 2 - La dénomination vraie et interdite du type de régime politique (le sionisme-capitalisme). Evocation des propos de Claude Karnoouh, anthropologue d'origine juive classé comme négationniste, et de Vincent Monteil. 3 - La répression des deux courants de résistance qui brisent la règle du mensonge (l'antisionisme et le révisionnisme). 4 - Le mensonge des origines, l'imposture des "Droits de l'homme".
Nous sommes pris dans un processus de régression
absolue : la guerre contre l'individu devient totale. Développement
Chacun s'imagine être en démocratie, avec ses élections, sa classe politique qui le représente, son code des droits. Chacun croit qu'il jouit de droits, que ces droits sont respectés, que son opinion, sa volonté, sont prises en compte, qu'il possède le choix, et qu'il existe au sein d'un régime politique qui accepte l'existence d'une opposition, et qui partage le pouvoir avec cette opposition. Ce qui vient d'être énuméré est le mensonge premier du régime totalitaire sioniste-capitaliste d'Occident, que chacun se doit de croire. Pour résumer, les élections diverses ne servent qu'à désigner ou à faire désigner pour les places les plus élevées comme celles du président de la République ou des chefs des partis, les factotums (simples intendants en charge de s'occuper de tout dans une maison), factotum exécutant les directives des vrais détenteurs du pouvoir, qui eux ne s'exposent publiquement, et surtout, ne dépendent que d'eux-mêmes et pas de la masse votante qu'ils dominent, et à qui ils dictent via leurs factotum de la classe des politiciens, leur volonté, masse populaire qui n'est que la viande qu'ils dévorent à pleine dents.
Le premier acte d'opposition, de libération, et de sabotage du régime, est de porter sur les tracts, les affiches, les banderoles de toutes les manifestations quelle que soient leur thème, que nous ne sommes pas en démocratie mais dans une dictature. Toute autre expression politique portant uniquement sur un autre thème (pour évoquer les actuels : pouvoir d'achat, Palestine et autres) ne sont qu'une forme de collaboration avec le régime par le renforcement du mensonge fondamental sur lequel il repose, et constitue donc un acte de répression de la résistance opposée au régime, un acte policier. Les organes les plus efficaces de police politique du régime totalitaire sioniste-capitaliste d'Occident, ne sont pas les classiques services policiers du type Renseignement généraux de la Préfecture de police de Paris, ou le bureau de répression de la liberté d'expression de la rue du Château des rentiers à paris 13ème, ou ex-DST actuel DCRI de Levallois-Perret, et la DRM, mais les associations dites de la société civile comme la Ligue des droits de l'homme, Amnesty international, Greenpeace, le MRAP et autres, tous les partis politiques, tous les syndicats. Une mention particulière doit être faite pour ces organisations stratégiques et indispensables pour la stabilité du régime qui sont en charge d'encadrer la base populaire de la masse et la jeunesse, tels l'ex parti trotskiste LCR actuel Nouveau Parti Anticapitaliste, la Fédération anarchiste, la CNT, LO et l'ex parti trotskiste des travailleurs, actuel Parti Ouvrier International. Le sionisme-capitalisme d'Occident a réussi ce tour de force unique dans toute l'histoire des régimes totalitaires mondiaux (soviétisme et nazisme), de donner l'illusion à sa population, qui n'est guère mieux qu'un bétail que n'a d'autres choix que celui d'avancer vers l'abattoir, de se croire libre et possédant des droits.
2 - Le mensonge du nom du régime. Il est interdit de prononcer, de penser, d'écrire
le nom du régime. Le capitalisme est le mode de violence pour s'emparer du pouvoir, de la prééminence, et pour perpétuer sa prééminence. C'est la règle du jeu social de la mort d'autrui, qui s'est imposée en Occident. Le sionisme est la religion de ce régime fondé sur le crime, sur la violence, et comme toute religion, il déplace, fait glisser le discours de la victime, pour l'installer entre les lèvres du criminel. Comme toute religion, le sionisme est une escroquerie (de l'italien scroccare, décrocher). Le corps sacerdotal en charge de cette escroquerie est la mouvance informelle internationale sioniste, qui finit par constituer une caste close, une formation sociale unique encore jamais rencontrée dans l'histoire humaine, formation qu'on peut définir comme étant une entité hybride de secte et de mafia. Le siège géographique de cette "entité" qui réunit en son sein les caractères criminogènes propres aux sectes et aux mafias, est implanté en Palestine. La population de Palestine est en voie d'éradication, exactement comme les anciens habitants de la banlieue parisienne concernés ont dû évacuer l'emplacement où fut édifier le siège social de la multinationale Bouygues. Ce corps de criminels de l'esprit, les sionistes, se pare lui-même de la peau de ses victimes, la peau de la population éradiquée par ses soins de Palestine, qu'elle écorche vive pour s'en revêtir, grâce au procédé de la "Shoah", le crime par-dessus de tous les crimes, génocide annoncé publiquement par une formation collégiales de militaires américains, russes, français et anglais à Nuremberg en Allemagne en 1945, génocide intensif et industriel de 6 millions de juifs européens par les nazis, opéré en quatre ans dans un gigantesque complexe mettant en oeuvre une immense infrastructure ferroviaire, des entrepôts, des lieux de transit, des pièces spéciales d'exécution de masse dénommées "chambres à gaz", fonctionnant au cyanure d'hydrogène (HCN) produit en France par la firme chimique Ugine Kuhlman normalement utilisé pour la désinfection des locaux et des vêtements, des fours crématoires en séries et leurs annexes d'alimentation en dizaines de milliers de tonnes de charbon, des lieux de stockage de ces collines de charbon, une organisation d'élimination totale des restes des victimes et de réutilisation des biens amenés avec elles par ces victimes, une administration avec ses bâtiments, ses archives, ses documents de service et son personnel, pour organiser le tout, tout dont on n'a rien retrouvé, les nazis ayant d'une façon parfaite fait disparaître la moindre trace de cette opération juste avant l'avancée des armées alliées sur le territoire, en quelques semaines. On peut tout exprimer publiquement en régime sioniste-capitaliste, car cela n'a aucune importance, aucun effet, sauf exprimer son incrédulité dans l'histoire de la "Shoah", tout sauf extérioriser son sens critique vis à vis de la "Shoah", car cela conduit au dévoilement que l'image de victime, d'innocence sous laquelle se présente le régime, est entièrement mensongère, et que la réalité du régime sioniste-capitaliste est intrinsèquement criminelle, que ce régime est fondé uniquement sur le crime, et que ceux qui détiennent le pouvoir, ceux qui sont au sommet de la société occidentale, sont les pires des criminels que l'histoire humaine, depuis son commencement, ait jamais connu. Relativement au sujet de la "Shoah", selon Claude Karnoouh, un anthropologue dont les parents sont des juifs d'Europe de l'est immigrés en France dans les années 30, dans le livre auquel il a participé "Intolérable intolérance", paru aux Editions de la différence en 1981, sur les trois millions de juifs présents en Pologne lors du partage de la Pologne entre Hitler et Staline, plus de la moitié a été "protégé" par Staline, cette protection particulière ayant consisté à les déporter en Sibérie, cette "protection" ayant été de même accordée aux juifs de la partie de la Pologne sous emprise nazie qui réussissaient à passer du côté soviétique, Sibérie où la majeure partie de ces juifs polonais ont péri dès leur première année d'installation, victimes du travail forcé intensif et acharné, de la sous alimentation, du manque de soins, du manque de sommeil et de repos, du froid, de ce que les dissidents russes rescapés ont appelé le Goulag. Cette déportation des juifs polonais, dont selon Claude Karnoouh la majeure partie des trois millions ont disparu en Sibérie, était parfaitement connue de la direction même du mouvement sioniste mondial. La preuve en est la déclaration du 5 juillet 1981 parue dans Le Monde, de Nahum Goldman, le président du Congrès juif mondial : " Au cours de la seconde guerre mondiale, l'Union soviétique a sauvé des centaines de milliers de Juifs des territoires occupés par les Allemands, en leur permettant de se réfugier en Sibérie. Après la guerre, une grande partie de ces Juifs ont pu retourner en Pologne et de là en Israël ". Le gentil organisateur de cette "protection" était le NKVD, la police politique soviétique. L'Etat d'Israël a vu le jour en 1947, sous la haute protection à la fois des américains et des russes, qui cherchaient tous deux à posséder un pion dans la région mondialement stratégique pour le pétrole et pour sa voie de communication internationale du canal de Suez du Proche-Orient, pion israélien qui a rejoint très vite le camp américain. Le mouvement sioniste international agissait selon Claude Karnoouh en tant qu'Etat bien avant l'existence de l'Etat d'Israël, et comme tout Etat, usait de sa propre population, comme de choses, sans aucune valeur humaine, négociables dans sa quête du pouvoir, de la puissance. Claude Karnoouh, pour avoir tenu ce genre de position, s'est vu décerné la pancarte déshonorante et honnie de négationniste. Toujours dans le même livre, selon un article écrit par Vincent Monteil, un ex résistant, interné, médaillé et combattant FFL antinazi, , auteur du livre "Dossier secret sur Israël : le terrorisme", livre devenu introuvable (Editions Guy Authier, Paris, mars 1978), il n'est pas étonnant que les archives des camps de concentration présentes à Coblence, Arolsen et Orianenbourg aient été si peu étudiées. Leur traitement démographique permettrait d'obtenir une fourchette raisonnable sur le nombre réel de déportés et de faire le compte des disparus. De même, il n'est pas étonnant que la vingtaine de registres des morts (totenbüchers) que possèdent les russes (seuls quelques volumes sont conservés en Allemagne), qui constituent la collection complète de fiches individuelles de tous les déportés décédés dans les camps nazis, ces totenbüchers étant tenus de façon maniaque par l'administration nazie des camps, soient destinés à rester inaccessibles pour vraiment très longtemps. La rumeur publique dit qu'un certain chercheur historien russe qui s'en était approché de trop près l'a payé de sa vie. Personne, même le président iranien qui manipule si bien et utilise au profit de la théocratie musulmane iranienne le courant révisionniste, et que certains présentent comme un saint, ne souhaite retirer le couvercle de cette boîte de Pandore, véritablement "nauséeuse". Pour finir, il ne faut pas dire que ni le gouvernement des USA ni celui de la Grande Bretagne) pressentis par les nazis, n'ont accepté d'accueillir les Juifs européens qu'Hitler proposait de leur expédier, et que ces gouvernements l'auraient accepté si le mouvement sioniste avait donné son aval à cette opération. On peut comprendre, face à de telles positions, que ce soit les milieux de gauche et d'extrême gauche qui soient les plus acharnées à persécuter ceux qui dérogent au discours officiel sur la "Shoah", car toute leur construction morale idéologique, tout leur équilibre psychologique, toute qui les motive à agir, repose sur la diabolisation des nazis, et malgré le Goulag, sur le communisme comme principal sauveur des juifs. Que Staline ait été, à en croire Claude Karnoouh, aussi sinon plus responsable de la disparition d'une partie des juifs européens, qu'Hitler, et qu'il en ait été de même pour les dirigeants du mouvement sioniste mondial, cela est proprement insupportable pour toutes ces organisations de gauche, qui de plus sont tenues quasiment toutes, par des juifs. Selon ces positions, il pourrait être très logique de considérer que les dirigeants du mouvement sioniste mondial portent une très grande part de responsabilité, sinon majeure même, dans la "Shoah" des Juifs d'Europe, au temps du nazisme. Ce mouvement est représenté en France principalement par le CRIF, la LICRA, le Consistoire et le Grand rabbinat. Ce sont des éléments de ce mouvement qui sont à la tête de l'Etat israélien, et qui instrumentent la "Shoah", alors qu'ils sont les descendants idéologiques, et même pour certains physiques, de ceux qui ont provoqué la "Shoah".
3 ème mensonge : L'antisionisme toléré. L'implantation du centre religieux du totalitarisme occidental, son "Vatican", l'Etat d'Israël. Il est de mauvais aloi, si ce n'est réprimé par la loi de la répression de l'antisémitisme, de dire, d'écrire et de penser, de suggérer même, d'insinuer, que le sionisme est devenu la religion d'Etat du totalitarisme occidental, que les sionistes constituent le clergé de cette religion d'Etat, que le siège de ce clergé est l'Etat d'Israël, installé en Palestine au Proche-Orient, que la fonction de cette religion et de ce clergé est globalement, comme d'ailleurs pour toute religion, la conduite des boeufs humains à l'abattoir, que la viande humaine aille d'elle-même se placer sur l'étal du boucher, et l'anoblissement des bouchers, la sanctification des abattoirs et des étals de viande, et la démonisation des rebelles, c'est à dire de ceux qui ne veulent pas être dévorés par les maîtres du régime totalitaire d'Occident. Les rebelles sont déclarés "antisémites", comme dans le temps les rétifs au culte d'Etat chrétien étaient déclarés "hérétiques", et étaient brûlés, torturés, dépossédés de leurs biens. Les "antisémites" sont les hérétiques du régime sioniste-capitaliste totalitaire d'Occident. L'ennemi officiel du régime sioniste-capitaliste est le monde arabo-musulman. l'arabo-musulman est l'équivalent du diable de l'ancien culte d'Etat chrétien, et le monde arabo-musulman est l'équivalent de l'enfer de cet ancien culte d'Etat. Ceci est facilité par le fait que dans le monde arabo-musulman, la femme, soit la moitié de sa population, est statutairement une sorte d'esclave, un objet appartenant à l'homme, chaque homme arabo-musulman et même le plus bas dans l'échelle sociale, ayant ainsi un esclave personnel. Le monde arabo-musulman repose sur un pilier central unique, l'esclavage de la moitié de sa population au profit de l'autre moitié. C'est en soi une sorte d'enfer, à la fois pour la moitié soumise, et pour l'autre, qui ne doit vivre que dans la peau de l'oppresseur, que cela lui plaise ou non, il n'a aucun autre choix. La tension est permanente dans ce monde quelle que soit sa place. La démonisation des arabo-musulmans par le clergé sioniste repose donc sur une réalité. 4ème mensonge du régime sioniste-capitaliste : la fausse répression du négationnisme ou révisionnisme historique. L'hérésie suprême du culte sioniste et son traitement. Les hérétiques suprêmes du monde sioniste-capitaliste : les révisionnistes ou négationnistes, hérétiques à la fois proscrits et cajolés. La fausse répression des révisionnistes, ou la nécessité de l'existence du diable. Les négationnistes ou révisionnistes sont ceux qui critiquent, doutent ou dénient la réalité du génocide de 6 millions de juifs par les nazis, par les chambres à gaz, ordonné par Hitler. L'organisation de la destruction des hérétiques révisionnistes se fait sous le couvert du respect de la liberté de conscience, d'opinion et d'expression. Cette façade de l'existence du droit et de son respect est primordiale en régime totalitaire sioniste-capitaliste, d'une part, et d'autre part, il est indispensable pour le culte sioniste fondé sur l'existence du bien et du mal, de démontrer l'existence du mal, sans lequel le bien n'a pas d'existence et donc sans lequel le culte sioniste n'est pas valable. Les révisionnistes sont indispensables à l'économie, à la stabilité, au maintien de l'ordre du régime sioniste-capitaliste. Ces derniers le savent, et en tirent profit, chacun selon son appétit dans les domaines de la notoriété, de la distinction, de la publicité de son nom, soit de sa promotion honorifique dans l'échelle sociale. Les révisionnistes peuvent même devenir des pions importants dans l'échiquier mondial sur lequel jouent les puissants. Les révisionnistes dans ce sens, ne remettent absolument pas en cause l'ordre mondial fondé sur la puissance, et constituent même un facteur de stabilisation de ce type d'ordre inégalitaire, dont ils sont devenus l'un des piliers fondamentaux. La répression des révisionnistes est donc en soi une fausse répression. Il s'agit simplement de mimer une répression, c'est la raison pour laquelle certains révisionnistes, malgré une longue suite de procès, sont toujours en place. Pour d'autres qui purgent des peines de prison, il s'agit pour le régime de démontrer qu'il peut être implacable, car sans cette démonstration toutes les opérations de répression du révisionnisme apparaîtraient trop clairement comme factice. 4 - Le mensonge des origines, l'imposture des "Droits de l'homme". La Révolution de 1789 n'a été qu'une prise du pouvoir par le milieu de la finance devenu peu à peu prépondérant, et qui a renversé l'ancien pouvoir féodal fondé sur l'accaparement d'un territoire (royauté). La légitimation idéologique du pouvoir financier se fait par les "Droits de l'homme", qui ne sont qu'une simple façade moraliste, justificatrice de la criminalité de ce pouvoir, alors que l'ancien régime féodal dont le roi était le symbole, se légitimait par le droit divin. Le prépondérance par le crime féodal est remplacé par la prépondérance par le crime financier. La justification du crime se fait toujours par le droit, le droit n'étant que la règle, l'ordre imposé par le plus fort. Le droit était dans l'ancien régime féodal qualifié de "divin". Cette qualification est remplacée dans l'actuel régime financier par le droit humain. Conclusion
La planète se fait de plus en plus petite, la place pour chacun commence à manquer, il faut éliminer la majeure partie du troupeau humain, ne serait-ce que pour que les fractions dominantes de tous les camps puissent elles survivre. La guerre mondiale atomique est en cours depuis 1973, par l'usage militaire du gaz radioactif uranium invisible à la différence des explosions atomiques, ce gaz se disséminant dans toute l'atmosphère de la planète et empoisonnant définitivement toutes les terres, toutes les populations et toutes les couches sociales, démontrant qu'une société fondée sur l'inégalité et la violence, est condamnée à disparaître. Il est à noter que l'Etat d'Israël
est le premier à avoir utilisé l'uranium. Il faut relever
vis à vis de cet Etat fondé sur la "race", que
l'atome d'uranium s'allie chimiquement de façon très forte
à la molécule d'ADN, laquelle transmet les supposées
caractéristiques biologiques propres à une "race".
Non seulement, l'atome d'uranium qui est radioactif (sur plus de 4,5 milliards
d'années - sa demi vie) bombarde l'intérieur même
de la cellule humaine détruisant le génome, mais attire
par sa densité extrême, le rayonnement gamma ambiant, donc
sur le coeur même de la cellule, favorisant sa détérioration
et ses mutations morbides. Une société monstrueuse est condamnée
à n'enfanter plus que des monstres (voir à ce sujet le dossier
du docteur Jawad, sur les effets de l'uranium dans la région de
Bashrah en Irak : Nous devons apprendre à vivre dans un monde de cauchemar et de bêtise, où peu à peu il ne restera plus en vie que des monstres difformes créés par les mutations radiologiques, et des monstres mentaux créés par l'exacerbation des religions, dont le sionisme n'est au fond qu'un cas. Dans ce contexte, l'intelligence, la sensibilité, l'ouverture, l'individualité, la personnalité, l'originalité seront les caractères en premier proscrits. La personne est en premier appelée à disparaître, pour ne laisser la place qu'à des robots identiques, des automates de série, de la viande mécanique.
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