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La mémoire retrouvée des Chambres à gaz.

 

Ce que les « Chambres à gaz » nous enseignent sur ce qu’est en réalité la maladie mentale et la psychiatrie, psychologie et psychanalyse.


Certains prennent conscience que ce qu’on nomme la folie; la maladie mentale, la psychose, la névrose, ne serait que la manifestation de tendances incoercibles, impossibles à réprimer, pour entrer en contact avec le réel, pour réintégrer la réalité, pour être soi, comme si la société humaine dans laquelle nous sommes condamnés à exister était fondée sur la rupture avec le réel, la folie, et que le véritable rôle de ceux qui sont en charge par la société de soigner les fous, est d’interdire ces manifestations qui mettent à bas l’univers onirique, l'imaginaire social.

L’acte du fou, du psychotique, du névropathe, consiste à avancer sa main à travers le mur invisible qui sépare dans cette société tous les individus de la réalité.

C’est en fait le monde à l’envers, ceux qui sont en charge de soigner les fous ne font que préserver un ordre social fondé sur la folie, et ceux qui sont dénommés fous ne font que des tentatives pour guérir la société.

Les lieux de soins psychiatrique, psychologique et psychanalytique ne sont que des espaces pénitentiaires où sont placés à l’écart ceux qui cherchent à rentrer dans le réel, à s’échapper de l’enclos hors le réel où est contenu la population.

Cela apparaît clairement en observant le devenir de ceux qui s’approchent de la période historique du nazisme et de leurs chambres à gaz.

Henri Lewkowiz, juif dont les parents furent déportés en camp de concentration, et qui témoigna lors d’un procès de révisionniste, fut par décision de justice obligé de suivre des soins psychiatriques, car il déclara à la cour que ses parents ne lui avaient jamais rapporté quoi que ce soit en rapport avec les chambres à gaz.

Jean-Antoine Mellebah, révisionniste classique, qui a fondé toute sa carrière et sa renommée sur les chambres à gaz de façon quasi obsessionnelle, est contraint par décision de justice à un suivi psychiatrique, de plus avec un psychiatre juif.

Le cas des chambres à gaz est particulièrement clair, car il suffit d’affirmer que sa vision de la réalité diffère de celle officielle, pour se voir qualifié de fou, et soumis aux professionnels de la santé mentale, ce qui dévoile là quel est leur rôle véritable.

Mais il n’y a pas que la réalité des chambres à gaz que les fous enfreignent au péril de leur liberté.

Ceux qui osent remettre en question la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 aux USA se voient taxer de négationnistes, et peuvent redouter que tôt ou tard ils se voient obligés de subir des soins mentaux, de même que ceux qui doutent de la réalité de la mouvance terroriste islamiste mondiale, nommée Al Qaida.

La rupture avec le réel, qui est en premier une rupture avec soi-même, avec sa propre réalité, qui caractérise l’aliéné (être étranger à soi-même), le fou, est mise en évidence aux USA, à travers un ensemble de comportements qui n’apparaissent pas en Europe.

En voici quelques-uns particulièrement éclatants :


1 - La mémoire retrouvée aux USA.

Il existe au USA le phénomène de la « mémoire retrouvée », qui est en fait une mémoire d’un évènement traumatisant qui a été refoulée car trop insupportable, et qui peut réapparaître plusieurs dizaines d’années plus tard. C’est souvent le cas pour les viols subis dans l’enfance, et perpétrés par le père. Cette « mémoire retrouvée » est admise comme preuve par les juges, qui condamnent à la prison à vie des pères de famille sur la simple parole de leurs enfants, lesquels sont soumis aux pressions et aux manipulations des professionnels de la santé mentale qui font carrière et fortune avec ces phénomènes de mémoire. Certains de ces pères finissent eux-mêmes par se remémorer avoir violé leurs enfants, plusieurs dizaines d’années après l’acte. La prescription n'existe pas dans les faits. En effet, la victime jouit d'un délai de trois années après la réapparition de sa mémoire du crime qu'elle a subi.

2 - Les personnalités multiples aux USA.

Dans certains crimes, les psychiatres ont découvert que les meurtriers ont agi sous l’emprise d’une autre personnalité que la leur à l'état normal, alors qu’il n’étaient pas eux-mêmes, ou plutôt, que chacun possède en soi une multitude de personnalités, qui peuvent apparaître inopinément et prendre le contrôle de la personne. Assassiner sous l’emprise d’une personnalité autre est une circonstance atténuante, pouvant même réduire la peine d’un assassinat à quelques mois de prison, avec l’aide d’un bon et très coûteux avocat. Les juges reconnaissent aussi le phénomène des personnalités multiples comme une réalité. Les professionnels de la santé mentale qui vivent très confortablement dans cette partie, font état d’individus possédant plusieurs dizaines de personnalités, certains ayant même des personnalités d’animaux.

3 - Les enlèvements d’humains par les OVNIS, et copulation entre humains et extraterrestres.

Dans le domaine du vécu réintégré dans la conscience, il existe ces cas d’enlèvements d’humains par des OVNIS, et de copulations forcées de ces humains avec leurs ravisseurs. L’un des plus importants psychiatres des USA, enseignant à Harvard, travaille sur ce sujet et a déclaré que ces phénomènes touchaient des millions d’individus aux USA.

Conclusion :


Posséder un passé imaginaire et y croire dur comme fer au point de faire condamner ses propres parents à la prison à vie, les condamnés eux-mêmes parvenant à croire à leur culpabilité, s’imaginer comme réel d’avoir plusieurs personnalités, dont certaines sont même animales, être persuadé d’avoir été enlevé par des extraterrestres et d'avoir été violé par eux, tout cela prouve que l’appareil psychique humain est d’une malléabilité telle, qu’un individu peut aisément passer sa vie entière hors du réel, passer son existence à être étranger à lui-même.

On constate dans tous ces cas que les instances judiciaires, celles en charge de dire le vrai, le réel, entérinent ces impostures, comme les instances médicales, en charge de dire qui est sain d’esprit et qui ne l’est pas, soit qui est ou n'est pas dans le réel, créent et entretiennent ces impostures, ces juges et ces médecins y croyant en premier dur comme fer.

Il est clair aussi que ce phénomène de vie imaginaire arrange l’ordre, car décréter comme norme l’irréalité ne peut qu’être un excellent moyen de maintien d’un ordre fondé sur l’écrasement et la souffrance de la multitude par une extrême minorité.

L’humanité est maintenue dans l’imaginaire, dans la folie, et cela depuis que l’ordre social qui y règne est inégalitaire, et que la réalité du droit à la vie, qui est inhérent à l’être dès sa venue au monde (qu'on n'a pas à gagner, à mériter sa vie, sa subsistance), est dénié.

Michel DAKAR, Paris, le 25 juin 2010