L’opération Covid n’a fait que révéler la réalité de la société humaine qui était auparavant déniée.
Communication de Michel Dakar, le 5 janvier 2021.


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SANS ILLUSTRATION



L’essentiel de ce qu’on doit retenir de l’opération Covid est la facilité extrême avec laquelle l’apparence de la société humaine a basculé, passant d’un monde « normal » où l’individu semblait exister, à un monde absurde où l’individu n’a plus sa place, ce qui se manifeste par l’absence de visage, le masque effaçant les traits individuels, soit une non-société, puisque qu’une société est par définition un groupe d’individus, et que par l’opération Covid, les individus ont cessé d’exister.

Cette transformation quasi instantanée ne révèle que l’illusion qui présidait auparavant, celle de l’existence de la société humaine et de l’individualité.

C’est ce que savaient tous ceux qui sont des individus et qui souffraient de devoir le cacher au sein auparavant d’une pseudo société qui n’en n’était pas une, et qui persécutait les exceptions des individus.

Ce qui est un véritable réconfort pour ces rares exceptions, est que leurs bourreaux qui étaient la masse des non-individus souffrent maintenant encore plus qu’eux, car certes ils ont perdus l’apparence d’individus mais cela au fond ne les dérangent en rien, mais qu’ils sont en passe de perdre le petit confort dont ils jouissaient, et qu’ils sentent bien que cela ne s’arrêtera pas là, et que cela ira jusqu’à leur disparition intégrale.

Pour les exceptions individuelles, la masse et son sommet sont un tout, ne forment qu’une même espèce, les éléments appartenant au sommet sont de la même essence que ceux qui appartiennent à la masse, c’est les mêmes gens, qu’on retrouve aussi bien en haut qu’en bas, et ce sont ces mêmes gens qui auparavant persécutaient les exceptions individuelles.

Les rares individus savent aussi que la disparition de la masse des non-individus sera concomitante avec celle des habitants du sommet, et c’est dans les deux cas bon débarras.

Aussi, il faut oser le dire, l’opération Covid est une réjouissance pour ceux qui sont des individus.

Il faut aussi le répéter, que l’on se tourne vers la Chine, la Russie et les autres sous-puissances, aussi bien que vers l’Occident qui a mis en œuvre Covid, la détermination est exactement la même, et d’ailleurs il est indéniable que toutes les puissances non-occidentales étaient préparées depuis sans doute les premières élaborations conceptuelles de Covid, à sa mise en œuvre.

La Chine et la Russie entendent simplement tirer profit de la manœuvre occidentale, laisser à l’Occident le soin d’essuyer les plâtres, voire de l’aider à s’épuiser à expérimenter, tout en profitant de cette opportunité pour mettre en place en leur propre sein une même disparition totale de toute manifestation possible de reliquats ou de semblants d’individualité. L’Occident, la Chine et la Russie forment un tout homogène, leur essence est la même.

Grâce à Covid, l’individu apparaît maintenant comme étant l’unique et le véritable ennemi de l’ordre normal qui règne sur l’humanité depuis son organisation en cités, états et peuples, depuis environ 7000 ans. Nous sommes arrivés à la charnière où l’ennemi existentiel, celui qui au fond force à être, à vivre, va enfin disparaître.

Nous pouvons enfin comprendre pourquoi il fallait pour tous les régimes s’inventer un ennemi, et pourquoi c’était indispensable à son équilibre, soit à sa survie.

Cet ennemi a pris les formes du communisme ou du capitalisme selon le camp, puis du musulman, maintenant pour tous les camps, et maintenant d’un virus.

Virus, musulman, communiste ou capitaliste, derrière ces dénominations vagues et hétérocilites, se profile le seul ennemi, l’individu.

Car ces apparences ne servaient qu’à camoufler un ennemi que la pyramide ne pouvait avouer et nommer, l’individu, et en même temps dont elle ne pouvait se passer, car c’est le principe de l’ennemi, du repoussoir, qui soudait seul ses éléments.

Maintenant, grâce aux différents progrès techniques, il est enfin possible de se passer de l’ennemi pour exister, ou exactement et paradoxalement, pour enfin cesser d’exister.

Les pseudo individus composant la pyramide vont effectivement disparaître, remplacé par des substituts technologiques, mais ce qu’on ne voit pas encore, c’est que les éléments du sommet de la pyramide vont dans le même temps aussi se métamorphoser en substituts technologiques.

Nous nous avançons vers une sorte de machine composée de sous-machines, une sorte conglomérat unique d’usines entièrement occupé par au fond une seule machine, où ne restera aucun être vivant.

Enfin bientôt on va cesser de penser.