L’avenir tel qu’il comme
nce à apparaître après une année et demi d’Opération Covid.
Texte de Michel Dakar, Villequier, le 7 juillet 2021.
http://aredam.net/l-avenir-tel-qu-il-commence-a-apparaitre-apres-une-annee-et-demi-d-operation-covid.html






1 - Le succès de ce type d’opération est maintenant avéré, et rend possible la continuation de la programmation d’autres opérations du même type.

Alors que personne ne tombe dans les rues, que les morgues ont le même taux de remplissage, que personne dans son entourage ne constate de disparitions en nombre, ni de cortèges de corbillards devant la maison de retraite du voisinage, la masse est persuadée de l’existence d’une épidémie mortelle, justifiant des mesures coercitives extraordinaires, jamais vues dans l’histoire de l’humanité, comme si la survie même de l’espèce humaine était en jeu, et cela grâce à l’emprise des médias de propagande devenue absolue. On en est arrivé au point où l’individu moyen devant son écran de télévision en soirée, alors que la nuit est tombée, va être convaincu qu’il fait jour si le présentateur du journal télévisé le lui affirme.

Nous sommes donc en face d’un état de captation quasi totale de l’esprit de la masse, et on peut donc avancer que l’esprit de la masse est mort. Seule une minorité négligeable possède encore son esprit.

La phase suivante va donc se poursuivre, soit la disparition physique de la masse.

C’est le but réel de l’Opération Covid.



2 – La phase actuelle est l’étape logique dans l’évolution de la société humaine divisée en classes depuis le néolithique.

Le problème majeur de ce type de société est la stabilité, car elle est structurellement instable.

L’effort est donc constant pour maintenir une structure de classes, et la majeure partie de l’énergie produite par ce type de société (voire sa totalité) est engagée dans le travail permanent de la stabiliser.

Il est donc logique qu’arrivé à un stade de développement technique suffisant, ce type de société organise la substitution des niveaux inférieurs à celui de l’élite, du sommet, par des choses incapables d’ébranler la structure sociale. La masse doit donc disparaître et être remplacée par des choses incapables de révolte, soit des objets, entités dénommées « transhumains », robots, androïdes, ou autres machines entièrement synthétiques ou mixtes biologico-synthétiques, des robots biologiques.



3 – La course entre élites concurrentes planétaires complique ce processus évolutif.

Il existe trois élites dominantes planétaires, l’Occident, la Russie et la Chine, et quelques dizaines d’élites mineures, encore autonomes ou en instance d’être absorbées par les trois élites majeures.

Toutes les élites sont évidemment intéressées à faire aboutir ce processus, mais toutes s’ingénient à le contrecarrer chez leurs concurrents.



4 – L’unique problème posé par la disparition de la masse reste non-résolu par les élites mettant en œuvre ce processus.

La caractéristique des individus appartenant à l’élite est la stérilité absolue dans tous les domaines élevés de l’activité humaine, comme la créativité, la spiritualité, la sensibilité, l’empathie, l’inventivité, l’art, la science et autres etc … hormis dans celle destructrice englobant la capacité à mentir, à tromper, à dissimuler, à manipuler, à accaparer et accumuler, à demeurer insensible devant le malheur des autres et au-delà à tout ce qui ne profite pas immédiatement à soi-même et cela sans même se projeter dans le plus proche avenir etc... (a-t-on déjà vu un Rockefeller, un Rothschild, un membre de la famille d’Angleterre, le crétin véreux dans sa pièce montée de Monaco et autres similaires russes, chinois … produire une quelconque œuvre ?).

Le problème qui se pose est que le gisement de l’intégralité de la créativité humaine se trouve hors de l’élite, dans la masse dont l’élite organise la disparition (on ne peut pas décemment prendre en compte l’idée du remplacement de la capacité créatrice de la masse par la farce de « l’intelligence artificielle », soit les machines créatrices, de plus commandées par des individus stériles, et qui si par miracle elles devenaient réellement sensibles et intelligentes, n’auraient de cesse que de se débarrasser de ces parasites ineptes, grotesques et nuisibles).

Il ne restera donc que des individus stériles servis par des automates.

Et eux-mêmes se transformeront progressivement en automates (au fond c’est ce qu’ils ont toujours été mais de façon masquée).

Nous pouvons maintenant enfin discerner l’idéal de la société de classes.