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Il faut bien que quelqu’un en parle
2 - Secte, religion et organisation nommée « police politique ». 3 - Structure du « Système hégémonique mondial » actuel. 4 - Vers une analyse du « système » judéo-sioniste
selon la démarche systémique de l’école psychologique
de Palo Alto, et au-delà, de tout système pathogène,
et du « système général humain », pris
comme un système pathogène. L’essence de toute pathologie
existentielle : la « double contrainte ». 1 - Ce qu’est en réalité le sionisme Le sionisme en Occident n’est pas seulement la doctrine légitimant la dernière colonie de peuplement occidentale au monde, installée en Palestine au Proche-Orient. Cette colonie, Israël, est le reliquat ultime des empires coloniaux mondiaux européens du 19ème siècle. L’Angleterre fut la puissance européenne qui reçut le mandat pour la Palestine de la Société Des Nations (SDN), l’ancêtre de l’ONU, constituée des principaux Etats occidentaux, en 1922. Le mandat était une sorte de tutelle exercée arbitrairement sur une population arabe considérée officiellement et dans sa globalité comme politiquement mineure, ce qui était une manifestation caractérisée de pur racisme. L’Angleterre était à l’époque maîtresse à elle seule d’un tiers de la planète. On disait que sur son empire, le soleil ne se couchait jamais. Le sionisme, en réalité, est devenu la première religion en Occident, celle à laquelle les autres (christianisme, islam et bouddhisme) sont inféodées. Le sionisme fut supporté par la première puissance coloniale mondiale de la fin du 19ème et de la première partie du XXème siècle, l’Angleterre, des juifs sionistes y exerçant une influence majeure au sein même de son gouvernement. Le sionisme est devenu l’équivalent du christianisme pour l’Europe au moyen-âge. Comme le christianisme du Moyen-Âge, le sionisme constitue le ciment moral d’un système hégémonique conquérant, dont l’axe principal relie les USA à Israël. Cet axe actuellement domine, asservi, exploite tous les autres peuples de la planète. Le sionisme est la légitimation morale de la guerre de conquête, ou guerre juste, ou juste cause, de ce système hégémonique mondial. La doctrine sioniste est la dernière adaptation historique du judaïsme. Elle a été formée alors que la population juive européenne bénéficiant de la libéralisation des états européens les plus économiquement et politiquement avancés au 19ème siècle, était en situation de pouvoir échapper à son enfermement multi séculaire dans les ghettos juifs européens. Ces ghettos étaient de véritables prisons. Ces ghettos, au contraire exact de ce que veut faire admettre la propagande sioniste, étaient voulus par les hiérarques juifs eux-mêmes, et constituaient un privilège octroyé par certains gouvernements d’Europe de l’Est. La détermination première des hiérarques juifs était de conserver sous leur sujétion les juifs, qu’ils traitaient comme des quasi serfs, maintenus par une autorité implacable dans un état intégral de soumission. Les ghettos juifs sont sans doute parmi les plus anciens exemples d’Etats totalitaires, (lire à ce sujet le livre d’Israël Shahak, le créateur de la Ligue des droits de l’Homme en Israël). Le sionisme est une réaction adaptative et conservatrice à une poussée historique d’émancipation populaire, une adaptation de la doctrine juive à un nouvel état politique et social menaçant le pouvoir absolu des hiérarques juifs sur la masse juive. Il fallait reconstituer les ghettos dont les murs s’évanouissaient dans l’ambiance libérale de l’Europe du 19ème siècle, permettant à ses prisonniers de fuir et de se joindre à la société normale des non-juifs, de se mêler à un monde infiniment plus libre, à un monde ouvert. Le judaïsme ne pouvait exister que par l’enfermement de ses adeptes. Cet enfermement était réalisé par la construction de murs physiques maintenant la masse juive totalement à la merci du pouvoir de son oligarchie, et par l’inculcation de murs psychologiques, interdisant aux juifs d’oser se révolter, de même penser à s’en évader, de même concevoir une existence possible hors les murs de ce ghetto à la fois physique et psychique. A la fin du 19ème siècle en Europe de l’Ouest, il était temps de substituer au judaïsme classique une nouvelle doctrine d’enfermement, en adéquation avec l’évolution politique. Le milieu intellectuel juif produisit une doctrine laïque à partir de l’ancien dogme religieux, hybridé avec les idées politiques modernes du droit des peuples, un ensemble chimérique dont le pilier central est le retour à une région et une période des origines juives, en grande partie imaginaire, inventée, mythique et fantasmée, Israël. Ainsi, pour perpétuer un enfermement bi millénaire, le judaïsme se métamorphosa vers la fin du 19ème siècle en une doctrine en apparence libératrice des juifs, le sionisme, afin de maintenir la population juive en état de servitude au profit de ses hiérarques classiques, les rabbins religieux, qui durent cependant accepter de partager leur pouvoir avec des nouveaux hiérarques « laïques », les politiciens, démagogues et propagandistes sionistes. Israël fut le ghetto géant unique et mondial, la prison géante qui se substitua aux multiples micros prisons du réseau des ghettos juifs européens, sorte d’archipel du Goulag rendu caduque par l’éveil des consciences en Europe. Le maintien du pouvoir des hiérarques juifs, rabbins et démagogues laïques, sur les juifs, en conservant la population juive séparée du monde humain normal, libre, grâce au ghetto moral : la doctrine sioniste et au ghetto physique : Israël, permet aux hiérarques de continuer de jouir de ce qui est leur véritable richesse, pactole, magot, mine d’or, filon, trésor, la population juive. Les hiérarques sont comme des harpagons hantés par la terreur de voir filer de leurs mains leur précieuse cassette, et ils sont prêts à tout pour la conserver. Pour se faire, ils n’hésitent pas à terroriser les juifs en organisant l’hostilité vis-à-vis d’eux, de toutes les manières possibles. La chaîne qui maintient les juifs impuissants vis-à-vis des hiérarques juifs qui les exploitent se nomme l’antisémitisme, que les hiérarques juifs mettent en œuvre sans un instant de répit à travers le monde. En reconstituant un ghetto, ou prison unique mondiale, Israël, le sionisme a permis de garder sous la sujétion des hiérarques juifs, qui ressemblent banalement à n’importe lequel des triviaux gurus des quelconques sectes, la totalité des juifs du monde, qui sont pour une moitié, physiquement enfermés entre les murs de cet ultime ghetto-prison, et pour l’autre moitié vivant dans le monde libre, contraints moralement d’y adhérer. Pour résumer, le sionisme a été la stratégie mise en place par une caste d’oppresseurs, les hiérarques juifs, afin d’assurer la continuité de son exploitation d’une population donnée, les juifs, dans un contexte historique qui permettait à cette population de s’affranchir de cette caste. Individuellement, les juifs sont quasi tous devenus, effectivement ou potentiellement, les agents du sionisme, exactement comme tout adepte d’une secte est, qu’il le veuille ou non, un agent de cette secte, qu’il est à la fois victime de cette secte, et complice des crimes commis par cette secte, plus précisément par les hiérarques qui la dirigent et qui le dirigent, et qui agissent au nom de la secte, et en son nom. Il est exceptionnel qu’une population soit ainsi quasi intégralement aliénée, dépossédée de toute liberté, et qui plus est, il est unique au monde, qu’une population adhère à son oppression, à son exploitation, et respecte et obéisse à ses exploiteurs, à ses oppresseurs, comme de son plein gré. C’est sans doute le drame unique, la malédiction hors norme que subit la population juive, depuis deux millénaires.
Les agents du sionisme sont de plus identifiables aux agents d’une police politique. Ils cherchent à anéantir non seulement les opposants à Israël, qui ne font que rationnellement exiger le respect du droit moderne international, soit le démantèlement total de ce qui n’est autre qu’une ultime colonie de peuplement, dont rien au niveau du droit ne peut justifier la création et la prolongation de son existence, mais au-delà des opposants à Israël, on peut constater qu’ils pourchassent implacablement aussi ceux qui s’opposent au Système hégémonique mondial. Les agents du sionisme ont une fonction dans le « Système hégémonique mondial » de policier politique de ce Système. Les juifs sont en passe de constituer le premier peuple policier politique de toute l’histoire de l’Humanité, et Israël est devenu une sorte de premier commissariat de police politique mondial, qui s’est érigé comme nation et Etat, commissariat reconnu de force par les Nations Unies, un peu comme si l’ex-KGB, l’ex-Gestapo, l’ex-STASI ou les actuels CIA américaine, RGPP et DCRI français, avaient obtenu un territoire indépendant, souverain, et étaient représentés à l’ONU. La répression de l’antisémitisme par la loi, au nom de la lutte contre la haine raciale, alors que le judéo-sionisme est lui fondé sur la discrimination raciale la plus absolue, n’est en réalité qu’une manière de légitimer, de blanchir, d’anoblir, d’innocenter les menées criminelles de persécution et d’anéantissement de ceux qui résistent à cette police politique centrale du « Système hégémonique mondial ». Même les pires totalitarismes, tels le nazisme et le communisme, n’avaient pas jugé utile de réprimer les critiques portées à l’encontre de leur police politique. Ces régimes avaient au moins conservé une sorte d’intégrité, de réalité, ils admettaient qu’on pouvait ne pas aimer ses bourreaux, qu’on pouvait ne pas admirer des criminels et l’exprimer. La police politique judéo-sioniste exige quelque chose d’inouïe, de contre nature, d’être aimée par ses victimes. Derrière cette exigence, se profile l’un des caractères fondamentaux du judéo-sionisme, l’inversion, et l’état d’inverti. La loi en Argentine, un pays bien tenu en main par la police politique judéo-sioniste, réprime depuis peu spécifiquement toute forme d’offenses au sionisme et à Israël, toujours sous couvert de la lutte contre la haine raciale. C’est un peu comme si les résistants arrêtés sous l’occupation nazie ou sous l’occupation soviétique en Europe de l’Est, étaient jugés et condamnés pour propagation de la haine raciale. Cette anomalie, cette incongruité ne sont compréhensibles que si on réalise l’état d’inversion dans lequel se trouve psychologiquement maintenus les judéo-sionistes, état d’inversion dont la population juive est en premier la victime, car elle est contrainte d’aimer les hiérarques qui l’oppressent, l’exploitent, la coupent de la vie, de l’Humanité. On retrouve le même phénomène dans les sectes, les adeptes adorant leurs gurus, lesquels considèrent ces adeptes comme des choses à user, à abuser et à rejeter lorsqu’il n’y a plus rien à en extraire. Ces répressions contre l’antisémitisme et l’antisionisme, qui portent en réalité contre l’atteinte au moral d’une police politique, à la représentation que cette police politique se fait d’elle-même, à son image, expose à la lumière du jour la fragilité de tout l’édifice sioniste, de même que la fragilité de la légitimation des guerres ravageuses et de l’exploitation destructrice de toute la planète commises par le Système hégémonique mondial (c’est sans doute la raison de l’organisation des attentats du 11 septembre 2001), et au-delà, la fragilité du régime de domination mondiale actuel.
La structure du Système hégémonique mondial actuel mérite une étude à part, car le type de ce régime est une nouveauté historique. Il s’agit d’une oligarchique composée de tous les lobbies internationaux, une « lobbycratie ». La solidité morale du Système hégémonique mondial est de plus menacée, comme on le verra après, par les historiens qui ne lui sont pas inféodés, qui mènent leurs recherches de façon indépendante sur la période nazie et le génocide des juifs dans les chambres à gaz, ces historiens indépendants du pouvoir étant nommés « révisionnistes ». Le Système hégémonique leur oppose ses historiens officiels, qui peuvent être inclus dans le personnel de l’appareil de propagande du Système. En fait les régimes nazis et communistes réprimaient l’anti nazisme et l’anti communisme comme des actes de guerre déclarés contre l’Etat nazi ou communiste. Ces régimes combattaient ouvertement leurs adversaires, leurs ennemis, on pourrait dire à la loyale. Ils ne cherchaient pas à dissimuler les caractères agressifs et hégémoniques des régimes nazis et soviétiques, alors qu’on se trouve avec le judéo-sionisme face à une entreprise agressive et hégémonique qui dénie sa propre réalité. C’est un second trait fondamental du judéo-sionisme que le déni de sa propre réalité, et plus globalement que le déni du réel. Pour rappel, les deux caractères psychologiques fondamentaux du judéo-sionisme sont l’inversion et le déni du réel. Ces deux traits de caractères fondateurs sont ceux qu’on retrouve dans toutes les religions et sectes. Cette mise en évidence de la nature réelle du judéo-sionisme, à la fois police politique et secte-religion, sur lequel est fondé un Etat, Israël, premier Etat historique qui est à la fois siège d’une police politique mondiale et d’une secte-religion à vocation hégémonique mondiale, au-delà, met en évidence la nature réelle de la religion en général, le phénomène religieux étant apparu avec la création des premiers Etats dans l’histoire humaine, et les appareils religieux jouant le rôle des actuelles polices politiques, pour soutenir l’existence des castes dominant ces Etats et anéantir leur opposition. L’Etat moderne est maintenant mondial et unique, son axe étant celui réunissant les USA à Israël. Son centre de commandement militaire est aux USA, son centre de commandement de sa police politique est en Israël. Mais comme tout Etat, ce n’est qu’un appareil d’administration et de gestion pour le compte des entités qui détiennent le pouvoir réel. Toutes les nations sont en réalité assujetties à cet Etat (même celles qui semblent lui échapper encore, telles l’Iran, le Venezuela, la Chine, la Russie, la Corée du Nord). Cet Etat, parfois qualifié d’américano-sioniste, cette administration, est l’organe d’action sur le monde d’un ensemble de lobbies qui à la fois collaborent entre eux, se concurrencent, s’affrontent. Ces lobbies tirent leur puissance de leur prédation qu’ils exercent sur tous les domaines imaginables de la société humaine, depuis celui de l’emprise psychologique, comme les sectes et religions ; la secte-religion judéo-sioniste parvenue au sommet mondial en tant que première police politique du système en est un exemple, le lobby du Vatican un autre, les classiques domaines marchands, financiers et industriels, les domaines corporatifs, professionnels et des réseaux du type des sociétés pseudo philosophiques secrètes tels les francs maçonneries, les domaines des Etats classiques, qui ne sont rien d’autre que des lobbies tirant leur pouvoir de l’exploitation d’une aire géographique particulière et de sa population (par exemple la Russie, la Chine), le domaine mafieux (sicilien – Cosa nostra, napolitain – le Système, calabrais – la N’Drangheta, chinois – les triades, albanais, bulgare etc …), ou encore le domaine pétroléo-religieux des lobbies arabo-musulmans de la péninsule arabique. L’énumération des types différents de lobbies est infinie. Toutefois, le lobby judéo-sioniste possède trois caractères pour le moment réellement originaux. Il est le seul qui infiltre tous les autres lobbies (c’est le propre de toute bonne police politique que de pénétrer tous les milieux). Il existe en tant que modèle pour tous les autres appareils policiers politiques coercitifs dont tous les lobbies se dotent. Il est devenu de fait le seul lien organique humain qui subsiste dans une humanité limitée à un ensemble de camps hostiles les uns envers les autres et hermétiques, qui n’admettent pas d’étrangers en leur sein, et que rien d’autre ne relie que l’absolue nécessité d’être unis face à l’ennemi commun, qui sont les populations que ces camps oppressent pour les exploiter, soit de faire la guerre à l’espèce des humains ordinaires, les hiérarques des lobbies se considérant comme formant une race supérieure. Au sein de cet ensemble d’univers clos, les adeptes du judéo-sionisme qui exercent leurs activités au cœur même de tous les autres lobbies permettent seuls une communication physique entre milieux qui n’échangent plus. On peut même avancer que la fragmentation de l’Humanité en camps hostiles les uns vis-à-vis des autres est une garantie d’hégémonie pour le lobby judéo-sioniste, et que ce lobby entretient sciemment cette fragmentation. Le lobby judéo-sioniste entretient plus globalement la division au sein de l’Humanité, exactement comme les hiérarques juifs maintiennent la division au sein de la population juive, pour interdire que des groupes d’opposition à son pouvoir puissent se constituer. Pour finir, on peut ajouter à cette liste de types de lobbies, liste non exhaustive, puisque le lobby est destiné à devenir la seule forme de socialité humaine dans le monde moderne ultra anti-social, le lobby international des services spéciaux, qui est en train de se constituer, et dont le lobby judéo-sioniste constitue l’épine dorsale (au sujet des services spéciaux, il est à noter que même l’administration pénitentiaire française vient de créer son propre service de renseignement, ce qui est la première création historique d’une police politique par une administration des prisons, ce qui est un signe des temps). L’apparition de la forme basique d’accaparement du pouvoir et des richesses nommée « lobby », est la marque de la réduction de tous rapports inter humains à une pure prédation. Que cette forme devienne la forme dominante et exclusive de l’organisation humaine (tout être humain désirant non seulement jouir d’un minimum de confort mais survivre devant intégrer un lobby) est le signal de la dislocation de tous les rapports sociaux, souligne l’agonie de la société humaine, remplacée par une masse d’individus isolés, cette masse étant mise en coupe réglée par des organisations uniquement déterminées par la prédations et au sein desquelles règne une prédation interne entre ses propres membres à tous les niveaux. On peut décrire le monde humain actuel comme une masse d’individus désolidarisés, maintenus dans l’isolement, dévorés par une oligarchie mondiale constituée des hiérarques des lobbies, les lobbycrates, formant une lobbycratie mondiale, dont l’appareil de contrainte morale modèle est le lobby judéo-sioniste. Ce qui fait que le judéo-sionisme soit actuellement le modèle universel de doctrine de légitimation morale d’écrasement des populations de la planète pour la lobbycratie est que sa propre doctrine de légitimation morale est un couplage réussit entre deux personnages archétypiques par essence antinomiques, celui de la victime et celui du criminel. L’idéologie sioniste est en terme littéraire oxymorique (par exemple « la glace brûlante » est une image oxymorique). Le personnage archétypal juif de victime est apparu récemment grâce aux nazis et à la « shoah », qui est la dénomination religieuse juive passée dans le langage profane pour désigner l’entreprise d’extermination des juifs par les nazis, durant la seconde guerre mondiale, extermination opérée dans les chambres à gaz, selon la doctrine officielle occidentale. Le personnage archétypal juif du criminel est plus ancien, puisqu’il est apparu il y a environ deux milliers d’années par la doctrine originelle religieuse juive dont le pilier unique est le suprématisme, les juifs étant choisis par « dieu » pour régner sur tous les autres peuples, anéantir ceux qui résistent, accaparer tous leurs biens, leurs territoires, doctrine énoncée sans équivoque et le plus clairement qui soit dans le livre saint des juifs qui est aussi l’un des deux livres saints des chrétiens, la Torah juive et l’Ancien testament chrétien, qui sont la transcription de l’expression de l’Autorité absolue surhumaine, surnaturelle nommée « dieu », qui s’impose à tous les humains, Autorité intangible imaginée par les potentats pour clouer le bec aux esprits forts et imposer sans discuter le silence et leur ordre, leur domination (Lire le livre 5 de l’Ancien Testament des chrétiens dénommé « Deutéronome », qui est l’un des cinq livres saints composant la Torah des juifs, qui évoque des exterminations massives, des massacres d’humains, d’animaux, des destruction des végétaux, des éradications raciales actuellement nommées « génocides » ou « nettoyage ethniques », des pillages, des accaparements sous toutes les formes possibles. On croirait y lire ce qui se passe dans la Palestine moderne. On pourrait d’ailleurs prendre le temps de lire à haute voix le Deutéronome et d’autres passages de l’Ancien Testament en plaidoirie devant la 17ème chambre du TGI de Paris et la 11ème de la Cour d’appel, chambres qui sont de simples chambres d’enregistrement des décisions de la police politique judéo-sioniste à Paris, avec ses pitoyables juges fantoches - de mon temps les Bonnal, Sauteraud, Trébucq, chambres articulées avec la section 4 du Parquet parisien, section oxymorique dite des « Libertés publiques », et son officine oxymorique des basses œuvres dépendant de la Préfecture de police de Paris, dite de « protection de la personne » sise rue du Château des Rentiers dans le 13ème arrondissement). Ce couplage réussit, cette chimère, cette hybridation entre le parangon du criminel et le parangon de la victime, qui n’est qu’une manipulation ne tenant intellectuellement que parce que ses auteurs disposent de la colle spéciale préparée à base d’extraits de matraque, de garde à vue, d’amende et de barreau de prison, de la violence dite « légale », soit des appareils policiers et judiciaires, et de ceux des services spéciaux pour d’autres saloperies officieuses non avouables, transforme ainsi des prédateurs paroxystiques en victimes paroxystiques, victimes qui plus est de leurs propres proies. Ce stratagème doctrinal qui permet de transmuter quasi magiquement, le criminel en sa victime, comme le plomb en or des anciens alchimistes, est devenu une recette précieuse à recopier et à appliquer pour tous les autres lobbies mondiaux. On a pu constater une manifestation de cette inspiration avec les bizarres attentats du 11 septembre 2001 aux USA, les bizarres attentats tchétchènes des années 1990 en Russie, la très bizarre Al Qaida Maghreb Islamique en Algérie, tout endroit dans le monde où règnent des régimes immondes et structurellement criminels, qui appliquent la même recette pour se transmuter en régime innocent et victime des populations que ces régimes dévorent. Même l’ignoble Scientologie crie à la persécution, se fait passer pour victime et traite ses détracteurs de nazis. Il n’y a pour le moment que les mafias italiennes qui conservent en quelque sorte leur dignité, assumant pleinement leurs violences, et qui peuvent apparaître au regard de ces criminels revêtant la peau arrachée aux corps de leurs victimes, comme des phares de vertus dont seuls les faisceaux percent encore les ténèbres dans lesquelles l’Humanité se trouve plongée. Les mafias vont-elles s’y mettre aussi ? Juge Falcon = nazi ? La « shoah » est devenu le plus grand crime possible de toute l’histoire humaine, et il est interdit par la loi en Occident à tous les historiens, de mener des recherches indépendantes sur ce sujet, de même qu’il est interdit de dire publiquement que la « shoah » pourrait être une falsification de l’histoire (« Le doute est pire que la négation » selon l’agent du Système Mouloud Aounit, le dirigeant à vie du MRAP, l’un des organes français de coercition des arabo-musulmans et de persécution judiciaire des opposants au Système, et membre du totalitaire et agonisant Parti communiste français). Il est même interdit de réfléchir à la « shoah », car réfléchir est moralement considéré comme un crime pour ce crime qui est défini comme « impensable » (Voici un extrait du livre d’un crypto-complice du régime qui se cache sous l’apparence d’un opposant, Vincent Cespédès, « La Cerise sur le béton », Flammarion 2002, page 168 : « Le massacre des juifs constitue la limite espistémique (sic), l’impensé de la thanatologie humaine – l’Impansable (sic). De tous les génocide, il est le plus fanatique, le plus démentiel, le plus gratuit … »). L’auteur a su quel chemin prendre pour tremper sa truffe dans la gamelle des maisons d’édition. Pour paraître tout de même subversif, il se contorsionne bizarrement pour égratigner un certain lobby. Ainsi à la page 138 : « Certains lobbies écrasants mais imprononçables (sic), maintiennent sous leur joug les fonctions les plus lucratives et les plus convoitées : médias, showbiz, finances » (oubliant au passage ce qui est le plus criant, comme les cercles politiques, la médecine et la pharmacie, l’appareil judiciaire, et bien sûr l’édition). Les historiens qui se risquent à appliquer de manière indépendante leurs méthodes d’historiens sur la « shoah » (le « révisionnisme » étant la méthode scientifique classique de la recherche en histoire - voir les anciens dictionnaires de la langue française édités avant la prise en main de l’édition française par la police politique judéo-sioniste), sont mis au ban de la société occidentale, car en réalité ils minent non seulement l’équilibre psychique de la population juive, mais ils fragilisent l’Etat d’Israël, et l’entreprise guerrière de l’axe USA-Israël sur la planète, et au-delà, la lobbycratie mondiale. C’est beaucoup pour quelques historiens. La période nazie sur les camps de concentration européens et les juifs est l’unique épisode historique au monde et de toute l’histoire humaine qu’il est impossible d’étudier de manière indépendante, car la recherche dans ce domaine doit opérer dans les limites du code pénal, qui assimile à un délit passible de très fortes amendes et de plusieurs années de prison, le fait de parvenir à des conclusions divergentes de celles de l’histoire officielle répandue par la police politique judéo-sioniste. C’est le seul domaine des sciences humaines dont la vérité existe écrite à jamais dans les articles d’un code pénal. Le Dalloz est devenu la bible des historiens. Si cela continue, l’étude du Dalloz sera l’introduction des études en faculté d’histoire. Il semble même qu’on s’achemine peu à peu vers une extension du délit de mauvaise mémoire, ou de mauvaise vue, de mauvais esprit, en ce qui concerne les attentats du 11 septembre 2001. La version selon laquelle ce sont les services spéciaux américano-sionistes qui ont monté cette opération commence à bien trop se répandre. Bientôt le Dalloz va remplacer beaucoup d’ouvrages savants. Quant on a pu constater de près le niveau d’un juge de la 17ème chambre comme Bonnal … Les historiens qui persistent malgré ce contexte à faire un travail d’historiens classiques, et à ne pas apprendre par coeur le Dalloz avant d’étudier les documents historiques, sont dénommés « révisionnistes ». Le terme « réviser » provient du latin « revisere », qui signifie « revenir voir » (Larousse de la langue française 1977). La loi interdit donc de « revenir voir » soit de faire un travail d’historien. En France cette loi a été le fait deux politiciens professionnels dont les personnages resteront à jamais dans l’histoire comme l’exemple même de factotums arrivistes, Fabius et Gayssot, deux juifs sionistes, le premier étant « socialiste », le second communiste. Cette loi interdit de regarder en arrière, de se retourner sur le passé. La doctrine sioniste, ou religieuse politique juive modernisée, repose donc avant sur l’interdiction de voir le passé, soit sur l’interdit de la mémoire. Cet interdit de la mémoire, que les propagandiste judéo-sionistes nomment de façon oxymorique le « Devoir de mémoire » (tout à fait dans la lignée du Ministère de l’Amour d’Orwell dans son roman d’anticipation politique 1984, désignant le ministère de l’intérieur où se pratique jour et nuit la torture, où la souffrance ne s’apaise jamais), s’impose depuis quelques années à toute la population mondiale, car les judéo-sionistes ont fait approuver par l’assemblée des Nations Unies une journée mondiale annuelle de commémoration de la « shoah ». Tous les 27 janvier, le monde entier doit se recueillir et penser oxymoriquement à L’Impansable, ce qui est la caricature risible de tout exercice religieux, qui visent tous à suspendre l’activité cérébrale (comme la récitation pendant des heures des mêmes prières pour les catholiques, nommée « rosaire », ou celle des mantras en yoga, ou la méditation bouddhiste pour faire le « vide », ou encore les exercices soufiques de danse tourbillonnante). Faire arrêter de penser, cette phrase résume ce que recherche toute police politique, tout appareil coercitif. « Tu penses trop », qui n’a pas un jour eut droit à cette réflexion d’un flic politique qui s’ignore. « Si tu continues, ça te joueras des tours … ». Depuis l’émergence de la police politique mondiale judéo-sioniste, pour la première fois dans l’histoire humaine, l’Humanité doit chaque année et au même moment, cesser de penser pendant une journée. Sans aucun doute, il ne s’agit que de la prémisse d’un programme visant à étendre cet interdit sur toute l’année. Ceux qui osent encore retourner leurs regards en arrière dans le passé et penser, sont assimilés aux pires criminels. Voici la reproduction d’un extrait de la « Charte informatique » d’une banale bibliothèque publique en France : « Les engagements des usagers : L’utilisation des postes multimédias doit s’effectuer dans le respect du droit d’auteurs et des dispositions légales en vigueur réprimant notamment le racisme, le révisionnisme, la pédophilie, la pornographie ou la diffamation ». Voilà, grâce à la police politique judéo-sioniste, la recherche historique assimilée au viol des enfants, ou autrement exprimé dans le langage populaire « Qui veut noyer son chien dit qu’il a la rage ». Il faut là ne pas se priver d’évoquer vaguement cet homme politique français de premier plan, actuellement en activité, caricaturalement inféodé aux sionistes, et qui ne se prive pas de violer régulièrement chaque année son quota de très jeunes arabes, d’ailleurs qui lui sont amenés directement à son domicile secondaire exotique par la police même du pays. Ce petit pays d’Afrique du Nord (en pleine émeute) étant d’ailleurs parmi les meilleurs soutiens aux sionistes, et parmi les plus féroces répresseurs des islamistes, et de tous ce qui pensent, bougent et veulent respirer librement sur son territoire. La torture y étant le mode normal de rapport entre les administrés et l’administration. Mais il est un effet de cet interdit qui est bien plus grave et méconnu. Le fait de priver du regard sur le passé, ce qui revient à priver de mémoire, est une pathologie bien connu et documentée en médecine. Cette affection, la perte de la capacité à se souvenir, la perte de la mémoire, apparaît particulièrement chez les personnes atteintes d’accidents vasculaires cérébraux. Les personnes qui ont perdu la mémoire deviennent totalement incapables de s’organiser, de se défendre, de s’opposer, de tenir leur place dans la société. Ils vivent dans un présent à chaque instant renouvelé. On peut les rencontrer une fois par an, pour eux c’est comme si vous les aviez quitté la minute d’avant. On doit entièrement les guider, les prendre en charge. Ils doivent être placés sous tutelle judiciaire, ils deviennent légalement des « incapables majeurs », considérés comme immatures, et déchus de tous leurs droits civils et politiques (ils ne peuvent plus voter par exemple, ils ne peuvent plus témoigner, ils ne peuvent plus signer, ils ne peuvent plus faire de testament, ils ne peuvent même pas donner). Priver les populations de la mémoire est le meilleur procédé de police politique afin de rendre docile les populations, et de leur interdire toute révolte et émancipation. La police politique judéo-sioniste a inventé le meilleur des procédés pour changer l’être humain en robot, en chose, en esclave, celui de la privation de la mémoire. C’est pourquoi le travail des « révisionnistes » est si fondamental pour l’avenir de l’espèce humaine, ce travail dépassant de très loin le cadre du nazisme et de la « shoah ». C’est la raison pour laquelle la police politique judéo-sioniste s’acharne prioritairement sur les révisionnistes. C’est d’ailleurs le signe certain de son appartenance à la police politique que de s’activer à dénoncer les révisionnistes, et le signe certain de son allégeance au Système que de se référer à la « shoah » et de fuir les révisionnistes. Le partage entre pro et anti Système peut se réaliser facilement, par l’observation de son attitude vis-à-vis du révisionnisme.
4 - 1. Prévention.
Cet article est une ébauche imparfaite d’un article futur sur ce sujet. Il m’a semblé toutefois intéressant de le placer en fin de ce texte, car il le complète et il introduit ce qui sera une recherche particulière à venir portant sur l’analyse psychologique du groupe social judéo-sioniste et l’école de Palo Alto et sa démarche systémique. Bien au-delà du groupe judéo-sioniste, cette recherche portera sur la compréhension des « groupes pathologiques » en général, ce qui semble être devenu le type dominant de groupe de l’actuelle humanité, dont le groupe judéo-sioniste n’est qu’une caricature plus facile à appréhender.
La recherche en sciences humaines a accompli un véritable bon en avant, au milieu du 20ème siècle, grâce à ce qui fut dénommé plus tard l’école de Palo Alto, aux Etats-Unis, qui réunit un groupe de chercheurs éclectiques. Ce fut la seule réelle avancée en psychologie et en sociologie, après le catastrophique dévoiement de la recherche en psychologie vers le milieu du 19ème siècle par l’escroc Freud.
Freud a réussi à obscurcir pendant environ un siècle, la vision de l’homme sur lui-même. Freud était juif, et typiquement conditionné comme tout juif européen du 19ème siècle. Il répercuta sur l’humanité générale, non-juive, ce qui est le propre de la structure mental de son groupe social, la non-communication entre individus. Cette absence de vraie communication permet la substitution d’un simulacre de communication, d’un simulacre de lien au réel, ce qui donna la théorie psychanalytique et le traitement des malades mentaux, qui ne sont que des personnes souffrantes d’une non-communication, par la cure psychanalytique. Il suffit de voir l’absence absolue de tout résultat probant en ce qui concerne ce type de traitement, où les escrocs que sont les psychanalystes en arrivent même à revendiquer l’absence de guérison comme un signe bénéfique pour le patient, au nom du principe de la « cure interminable », et la guérison comme ne devant pas être le but en soi du traitement, pour constater le mur qui sépare le regard psychanalytique, ou le regard d’un juif européen typique du 19ème siècle, du réel et des humains. [Une cure moyenne psychanalytique classique dure une dizaine d’années – le « patient » finit par abandonner son « thérapeute » en général après cette période. Elle rapporte pour le « thérapeute » l’équivalent d’un appartement de trois pièces à Paris. Le « thérapeute » peut « traiter » une dizaine de « patients » à la fois. En dix ans, cela peut donc lui rapporter au bas mot de 3 à 5 millions d’euros. De plus, une bonne partie de ce petit pactole gagné sans aucun risque, ni fatigue, ni esprit d’initiative, simplement en « jouant le jeu », peut être exempté de l’impôt sur le revenu, car souvent exigés par le « thérapeute » en espèces et hors toute déclaration à la Sécurité sociale. Quinze ans d’exercice d’un « thérapeute » « doué », suffisent à lui garantir une rente confortable lui permettant de cesser de travailler (le pactole modestement placé mais de façon sûre à 3% net de tout prélèvement fiscaux, peut rapporter environ 4000 euros par mois), et cela après avoir suivi au maximum une demi douzaine d’années de pseudos études totalement factices] Il est aussi intéressant de relever que la création du « freudisme » fut concomitante de la création du sionisme. En ce qui concerne le freudisme, il est conseillé de lire le livre de Michel Onfray sur Freud (Freud, ou la fin d’une affabulation), qui exécute de façon définitive et implacable un personnage qui restera dans l’histoire comme étant une pure fripouille, un pur salaud profitant de la faiblesse et de la souffrance des malades mentaux, et les maintenant dans leurs souffrances pour pouvoir perpétuellement en tirer son profit. En fait, Freud, hormis ses déterminations évidentes et triviales d’enrichissement et de dérisoire gloriole, a peut-être simplement voulu diminuer psychiquement l’être humain, le rendre malade, pour le mettre à son propre niveau, afin de pouvoir enfin établir une communication avec autrui, avoir un échange avec le monde et échapper à son isolement. Rendre malade était sans doute la seule manière pour Freud d’établir un lien avec autrui. Sous couvert de soulager l’être humain, Freud n’a sans doute mis en place qu’un procédé de domination psychologique, fonctionnant en débilitant mentalement l’individu, au profit d’une petite caste en formation, la caste des psychanalystes, dont il fut le chef de file, puis le modèle. Ce n’est pas non plus étonnant de constater le nombre impressionnant de juifs dans le domaine psychologique, psychanalytique, psychiatrique, et dans l’appareil médiatique ou autrement nommé de propagande, dont son secteur traitant de psychologie (voir le cas typique du magazine « Psychologie », détenu par la famille Servan-schreiber, véritable organe d’abêtissement de la masse). Il n’est pas étonnant non plus que ceux qui dénoncent le « freudisme » et la psychanalyse, se fasse traiter d’antisémites et de nazis par les propagandistes de cette « discipline », dont la caricaturale Elisabeth Roudinesco (voir le livre de Michel Onfray, lequel pourtant prend bien des précautions vis-à-vis du « lobby » - ce n’est pas visiblement son combat, et il ne veut surtout pas s’y empêtrer. Michel Onfray est mu avant tout par une recherche d’intégrité portant exclusivement sur le plan intellectuel, et c’est le mensonge intellectuel de Freud qui motive son impressionnant travail, et la hargne haineuse à défendre ce mensonge à tout prix et par tous les moyens, des Elisabeth Roudinesco, qui renforce encore cette motivation). Le freudisme est une idéologie similaire au sionisme. Il fut comme le sionisme, une réaction, une fermeture face à un mouvement d’éveil, d’ouverture, de libération, mais dans le domaine de la psychologie. Freud et ses adeptes réussirent à casser le mouvement d’émancipation psychologique qui émergeait dans l’Europe du 19ème siècle, et qui portait en germe la subversion.
Autrement dit, si une personne est désignée comme malade mentale, cette maladie résulte de sa famille, et il faut considérer la famille dans son ensemble, et traiter non pas le malade seul, mais la famille. Une famille où apparaît un malade mental est qualifiée de famille pathogène. On voit là l’opposition totale entre le freudisme et la démarche systémique, le freudisme étant une résurgence de l’antique religion manichéenne qui recherche un coupable, le mal, le fait porter par le malade, qu’on doit traiter, la démarche systémique appréhendant la globalité, le tout, étant anti manichéenne, ne connaissant pas les concepts de faute, de mal, ni de cause et d’effet, mais étudiant les interactions. C’est une démarche identique qu’on reconnaît dans toutes les autres sciences, dont en physique fondamentale, qui traite maintenant du tout, chaque éléments de l’Univers étant considéré comme liés à tous les autres éléments et tous les éléments interagissant entre eux. Interagir signifie que chaque action génère une autre action qui à son tour génère en réaction une autre action et cela non pas entre seulement deux individus, mais avec l’ensemble des individus d’un système, tout étant système, depuis une famille, l’Univers, un groupe économique comme une multinationale. Ce qui est étonnant, c’est qu’il ait fallu attendre si longtemps pour voir reconnaître cette évidence. En fait, le manichéisme, dont le freudisme n’est qu’un avatar, comme le sionisme est un avatar du judaïsme, est une construction défensive d’un système, celui de la famille, qui ne doit pas être remis en question, alors que l’avancée de la recherche en psychologie parvenait peu à peu à la constatation que la famille est par essence pathogène, du moins l’organisation familiale sous la forme connue en Europe au 19ème siècle, qui est aussi la famille classique depuis l’antiquité. Le freudisme n’était pas plus qu’une démarche défensive de la part d’un système, la famille, qui était le pilier de la société en tant que première institution, où est inculqué aux individus le modèle social, et qui est par essence pathogène, qui génère structurellement la maladie mentale. Remettre en cause la famille était déjà un crime, mais de plus, avec la démarche systémique, la famille n’étant elle aussi qu’un élément constitutif d’un système plus vaste, la société, cela revenait à remettre en cause la société entière, puisque générant la famille pathogène, cette société étant donc elle-même pathogène. On peut dire que la démarche systémique marque la libération de la recherche scientifique dans le domaine des sciences humaines, de la religion. Le comportement des défenseurs du freudisme, dont Elisabeth Roudinesco est exemplaire, est la copie exacte de celui des fanatiques religieux classiques, ou sioniste actuels.
Ce qu’on nomme « double contrainte », est une injonction adressée par un individu en situation dominante, à un individu qui lui est subordonné, cette injonction contenant en elle-même sa contradiction, ce qui place celui qui la reçoit dans une situation hors de tout possible, où la seule issue est la folie. La folie est la seule réponse possible à une situation de double contrainte. Toute folie résulte d’une double contrainte subie par un individu. Le cas classique, pour l’illustrer est celui de la mère que n’aime pas son enfant mais ne veut pas elle-même le reconnaître, et qui ne peut s’empêcher de manifester un raidissement tout en simulant l’affection quand son enfant veut la toucher. L’enfant qui remarque ce raidissement s’écarte alors de sa mère, et celle-ci reproche alors à l’enfant de ne pas aimer sa mère. La double contrainte aboutit fréquemment à l’inversion. Peu à peu, l’enfant pour pouvoir se construire au sein de ce rapport, échafaudera un monde imaginaire qui seul peut lui permettre de rendre logique le comportement impossible de sa mère, ce monde imaginaire ne pouvant être que la folie. La folie est une réaction de survie à une situation réelle illogique et dont l’individu ne peut s’échapper, comme c’est le cas pour un enfant dans son milieu familial. L’apparition d’un individu fou au sein d’une famille est la marque que la famille est malade. Paradoxalement, celui qui est désigné comme fou est sans doute l’individu de la famille qui a le comportement le plus équilibré, le plus logique. De plus, la double contrainte provoque souvent le phénomène du bouc émissaire. Dans le cas de l’enfant précité, qui devient peu à peu le fou officiel de la famille, il sert à l’économie familiale générale comme référent de bonne santé aux autres membres de la famille, qui peuvent en comparaison de lui, revendiquer qu’ils ne sont pas fous.
L’un des exemples les plus courants, est celui des bureaux de tabac où le fumeur qui est dépendant du tabac, commande à son buraliste un paquet, où est inscrit en très gros caractère « FUMER TUE ». Le buraliste est aussi victime de cette double contrainte, en tant qu’assassin-bourreau, trônant devant une façade de « FUMER TUE », qu’il distribue à ses victimes. La « double contrainte » est partout dans un monde humain qui est devenu pathologique très anciennement. L’invention religieuse de la formule « La vie après la mort », fait partie du système de double contrainte, qu’est tout système religieux (celui qui n’accepte pas de ne pas vivre librement dans ce monde, soit de ne pouvoir vivre réellement, risque de perdre sa vie par la répression des dominants qui l’exploitent, dont les religieux sont les étroits collaborateurs, et il n’a d’autre choix si il veut faire perdurer sa non-vie, que d’accepter le monde imaginaire de la vie après la mort, soit d’entrer en folie. Toutes les issues lui sont bouchées, la seule qui subsiste est la folie). La population juive est prise dans un système de double contrainte, et comprendre la population juive ne peut se faire qu’en intégrant la démarche de la psychologie systémique, et la double contrainte. La double contrainte dans laquelle est maintenue le peuple juif, et qui est même le fondement de l’idéologie juive, tient en une phrase, laquelle est la définition du peuple juif : « le peuple élu ». Cette phrase enferme une population dans la double contrainte, peut être la plus aboutie qui puisse être. L’état d’élu, est censé faire de vous l’élite, et l’élite se définit avant tout comme la partie de la population qui est libre, car quoi de plus précieux que la liberté, et que cette liberté est sans aucun doute le monopole de toute élite dans toute société. Mais ce qui définit l’élite, ceux qui ont le pouvoir, c’est qu’ils s’autorisent d’eux-mêmes, c’est qu’il tirent leur liberté d’eux-mêmes, qu’ils tirent leur légitimité, leur pouvoir d’eux-mêmes, ce qui est en exacte opposition avec le fait d’être choisi, d’être élu. Voici une population à qui on serine qu’elle est l’élite tout en lui manifestant qu’elle est par essence subordonnée, puisqu’on a choisi pour elle son statut, soit ce qui la fonde. C’est un cas typique de manipulation du type double contrainte. Cette manipulation ne peut fonctionner que si cette population est maintenue physiquement sous l’emprise de ceux qui la manipulent, ce qui est réalisé par le fait même de l’enfermement inhérent à l’état d’élus qui doit être une rupture radicale avec l’Humanité normale, non-élue, non-juive, cet enfermement plaçant cette population à la merci de ses manipulateurs, les hiérarques juifs, la population non-juive étant considérée comme terrorisante. Le judaïsme est la création d’une folie dirigée, comme toutes les autres religions, mais avec une efficacité que n’atteignent pas les religions « normales », mais qu’on retrouve dans les sectes. La fuite dans un monde imaginaire est la seule issue possible à la population juive. Ce monde imaginaire est la mythologie israélienne du passé et du présent, et il faut comprendre la « shoah » comme sa dernière manifestation. 4 - 6. Le système juif comme élément du système général humain. Mais le système juif n’est lui-même qu’un des éléments qui composent le système humain général, qui seul est appréhendable en tant que tout, globalité, chaque système particulier n’en n’étant que des parties qui interagissent. Le caractère pathogène du système juif ne met qu’en évidence le caractère pathogène du système humain général, le système juif n’en n’étant qu’un des produits, tout comme le malade mental d’une famille signale cette famille comme pathogène. Le système humain général est lui-même incarcéré dans une double contrainte, et c’est cette double contrainte qui est à rechercher. Le fait de discriminer comme exceptionnel le système juif revient à copier la pratique du bouc émissaire qu’on trouve dans toute famille pathogène. La démarche systémique est a-manichéenne, resitue l’individu dans la globalité, relie la partie, l’individu, à tous les autres individus, à l’univers, et considère un évènement comme un produit de l’ensemble des interactions qui se déroulent dans la globalité, entre tous les individus. La démarche systémique, qu’on trouve maintenant dans tous les domaines de la recherche humaine, et particulièrement en physique fondamentale, celle des particules, la mécanique quantique, dépasse le rapport simple de causes et d’effets, et le principe de causalité, puisqu’un évènement n’est qu’un résultat immédiat et fugace de causes et d’effets, chaque effet étant cause et chaque cause étant un effet. La démarche systémique, est a-temporelle, a-historique, puisque chaque instant présent est à la fois une naissance d’un monde totalement neuf, une création, et contient tous les évènements passés. La démarche systémique annule les personnages de victimes et de responsables des crimes, du bien et du mal. Cette démarche est fondamentalement a-religieuse. La démarche systématique libère d’individu de l’enfermement dans une identité, un rôle, une place sociale, un statut, puisqu’elle reconnaît comme essentiel la fluctuance, la labilité, l’interchangeabilité, la virtualité. Le concept de réalité devient caduc dans la vision systémique. Dans le domaine de la mécanique quantique, par exemple, qui est le stade le plus avancé où la science fondamentale de la physique, sur laquelle repose toutes les autres sciences, est arrivée, et dont les conclusions ont été combattues sans succès et sans répit, jusqu’à sa mort par le trop fameux Einstein (qui a déclaré « dieu ne joue pas aux dés », parlant de certaines conclusions de la mécanique quantique), la globalité est devenue la pierre première de l’édifice scientifique, au point que l’observateur devient partie intégrante de l’expérience, au point qu’on constate qu’un évènement n’existe que s’il est observé, que la matière se comporte différemment si elle est observée ou non, que la réalité change selon qu’on l’observe ou non, au point qu’on en vient à considérer que la réalité n’existerait que par l’effet de l’observation. Pour en revenir à la compréhension du caractère profondément pathogène du développement humain, il faut étudier la « double contrainte » fondamentale dans laquelle l’humanité se trouve enfermée, et en premier, ce que signifie réellement la « double contrainte », car ce concept va bien plus loin que sa définition qu’en donne la psychologie. Je vais mener cette recherche, et elle ne peut être menée, comme toute recherche, que sur un terrain. Ce terrain est pour moi, celui de la politique, ou autrement nommé, celui des affaires publiques, et plus précisément, pour moi, les affaires concernant le Proche-Orient. A suivre. Michel DAKAR, le 18 janvier 2011.
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