Site internet http://www.aredam.net

 

Voir les nouveautés sur le site : http://www.aredam.net/divers.html

 

Titre de cette page :
http://www.aredam.net/gilles-william-goldnadel-abdelhakim-sefrioui-collectif-cheikh-yassine.html

 

 

Dossier documentant le lien étroit existant entre Abdelhakim Séfrioui, défenseur apparent des palestiniens (Collectif Cheikh Yassine), et le milieu sioniste, dont par son attache avec l'avocat Gilles-William Goldnadel, important agent d'influence de l'Etat d'Israël en France (l'un des dirigeants de l'association France-Israël).

 

Sommaire de ce dossier :

1 - Copie de la page Wikipédia, comportant la biographie de Gilles-William-Goldnadel (agent d'influence du Mouvement sioniste international en France, agent d'influence de l'Etat d'Israël en France) :

http://www.aredam.net/gilles-william-golnadel.html

2 - Lien avec la page consacrée à Gilles-William Goldnadel, du site "Observatoire du communautarisme" :

http://www.communautarisme.net/La-strategie-de-harcelement-judiciaire-de-Gilles-William-Goldnadel_a62.html

3 - Goldnadel était l'avocat du Président du Conseil des Imams de France, dont Séfrioui était le trésorier - curieux pour quelqu'un qui défend maintenant la cause palestinienne :

http://blogoptimist.typepad.com/opa/2006/07/solidarit_judom.html

4 - Extraits du journal La Croix, relatant l'affaire judiciaire du Président du Conseil des Imams de France :

5 - Extrait du journal Libération, du 21 juin 2006, déclaration du conseil des Imams de France, signée d'Abdelhakim Séfrioui.

6 - Article de "Le Courrier de Mantes", du 2 avril 2003, où apparaît Séfrioui comme trésorier du Conseil des Imams de France.

7 - Lien avec le blog de Séfrioui (sos-palestine) :

http://soutien-palestine.blogspot.com/2009/09/audition-du-responsable-du-colectif.html

8 - Extrait du site communautarisme.net, sur l'Association France-Israël (l'un des dirigeants en étant Gilles-William Goldnadel, une relation d'Abdelhakim Séfrioui, grand défenseur des palestiniens).

 

 

1 - Copie de la page Wikipédia, comportant la biographie de Gilles-William-Goldnadel (agent d'influence du Mouvement sioniste international en France, agent d'influence de l'Etat d'Israël en France) :

http://www.aredam.net/gilles-william-golnadel.html

 

 

2 - Lien avec la page consacrée à Gilles-William Goldnadel, du site "Observatoire du communautarisme" :

http://www.communautarisme.net/La-strategie-de-harcelement-judiciaire-de-Gilles-William-Goldnadel_a62.html

 

 

3 - Goldnadel était l'avocat du Président du Conseil des Imams de France, dont Séfrioui était le trésorier - curieux pour quelqu'un qui défend maintenant la cause palestinienne :

http://blogoptimist.typepad.com/opa/2006/07/solidarit_judom.html

Gilles-William Goldnadel, au cours d'une controverse télévisée, avec Alain Soral.

 

 

4 - Extraits du journal La Croix, relatant l'affaire judiciaire du Président du Conseil des Imams de France :

Le Conseil des imams exprime son "étonnement" après l'arrestation de son chef

PARIS, 21 juin 2006 (AFP) -
http://www.la-croix.com/afp.static/pages/060621171249.b65zfqiq.htm

Le Conseil des imams de France exprimé mercredi son "étonnement" après l'interpellation lundi de son secrétaire général Dhaou Meskine et affirmé "le caractère fallacieux des accusations portées contre lui".

"Le Conseil des imams de France a appris avec un vif émoi et un grand étonnement la nouvelle de l'arrestation" de M. Meskine. "Nous renouvelons notre entière confiance à notre frère Dhaou, nous le connaissons suffisamment depuis plus de vingt ans pour affirmer le caractère fallacieux des accusations portées contre lui", indique le Conseil dans un communiqué.

"Nous constatons, avec beaucoup de douleur, le mépris avec lequel les musulmans de France sont traités à travers la personne du Conseil des imams", ajoute le Conseil, qui appelle "tous les musulmans de France à la vigilance et au calme face à cette épreuve".

M. Meskine a été interpellé lundi avec 16 de ses proches, dont son fils, dans le cadre d'une enquête sur le financement du terrorisme islamiste.

La plupart des arrestations ont eu lieu en province, notamment en Seine-Maritime, où Dhaou Meskine et sa famille ont acquis des biens pour développer une activité de centre de loisirs.

Tunisien de naissance, Dhaou Meskine, massif, barbe fournie, connu pour son franc parler, est le fondateur du premier collège privé musulman de France, L'école de la Réussite implantée depuis 2001 à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).

Imam traditionaliste, un moment proche de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), il avait pris ses distances avec ce mouvement qu'il jugeait trop proche des Frères musulmans. Il prêche occasionnellement dans une salle de prière de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

 

PARIS, 23 juin 2006 (AFP) - Financement du terrorisme: l'imam Meskine et son fils mis en examen
http://www.la-croix.com/afp.static/pages/060623170956.8ng9ablh.htm

Dhaou Meskine, secrétaire général du Conseil des imams de France, et son fils ont été mis en examen vendredi et laissés en liberté sous contrôle judiciaire, dans le cadre d'une enquête sur le financement du terrorisme, a annoncé une source judiciaire.

L'imam et son fils Malek, 24 ans, ont été mis en examen , par le juge Philippe Courroye pour "financement du terrorisme, non-justification de ressources et abus de confiance aggravé", le tout "en relation avec une entreprise terroriste" Ils ont tous deux été laissés en liberté sous contrôle judiciaire.

"Cette incrimination est inouïe, invraisemblable", a expliqué à l'AFP Me Gilles Goldnadel, avocat de l'imam. "Mon client est un modèle d'intégration et de modération. Cela fait des années qu'il oeuvre pour le rapprochement des communautés religieuses et je suis persuadé que ce n'est pas une façade", a-t-il ajouté.

Les faits visés concernent notamment des opérations immobilières réalisées avec des fonds provenant d'une des associations proche de l'école de la Réussite, premier collège privé musulman de France, fondée par l'imam, implantée depuis 2001 à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), et qui n'auraient pas profité à cette association, a précisé une source judiciaire.

Des soupçons de financement du terrorisme s'appuient également sur l'existence de flux financiers suspects autour des structures animées par M. Meskine, aussi bien en ce qui concerne les entrées que les sorties d'argent, a-t-on ajouté de même source. Quatre associations indépendantes gravitent autour de l'établissement.

D'origine tunisienne, Dhaou Meskine, massif, barbe fournie, connu pour son franc-parler, est un imam traditionaliste, un moment proche de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF). Il a pris ses distances avec ce mouvement qu'il jugeait trop proche des Frères musulmans.

Il prêche occasionnellement dans une salle de prière de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et a participé au dialogue interreligieux, entre chrétiens, juifs et musulmans dans ce département.

 

 

5 - Extrait du journal Libération, du 21 juin 2006, déclaration du conseil des Imams de France, signée d'Abdelhakim Séfrioui :

Journal Libération
Une figure de l'islam de France arrêtée
L'imam Dhaou Meskine et seize proches interpellés dans le cadre d'une enquête sur le financement du terrorisme islamiste.
par Catherine COROLLER et Patricia TOURANCHEAU
QUOTIDIEN : mercredi 21 juin 2006 -Libération

Le Conseil des Imams de France a appris avec un vif émoi et un grand étonnement la nouvelle de l'arrestation de son Secrétaire Général Monsieur Dhaou Meskine.

Au nom du Conseil des Imams de France nous renouvelons notre entière confiance à notre frère Dhaou, nous le connaissons suffisamment depuis plus de vingt ans pour affirmer le caractère fallacieux des accusations portées à son encontre.

Nous constatons avec beaucoup de douleur, le mépris avec lequel les musulmans de France sont traités à travers la personne d'un représentant du Conseil des Imams.

La moralité de Monsieur Dhaou et le rôle positif qu'il a toujours joué, que ce soit dans le cadre de la communauté musulmane ou dans celui d'autres communautés religieuses ou encore dans celui du dialogue interreligieux, sont un gage suffisant pour qu'ils ne soit pas mis aux arrêt tout en restant à la disposition de la justice.

En effet, alors que ni l'avocat ni la famille de Monsieur Dhaou n'ont pu avoir la moindre information quant à la nature des éléments d'investigation ayant conduit les autorités à le mettre en garde-à-vue, la presse a pu signer dès aujourd'hui un article contenant des accusations diffamatoires à son encontre.
Nous nous interrogeons donc légitimement sur les motivations de ceux qui sont censés garantir la présomption d'innocence à n'importe quel citoyen pour avoir divulgués des éléments de leur enquête à la presse. Et nous demandons aux autorités de notre pays de traiter Monsieur Dhaou Meskine avec le respect et l'égard dus aux Imams et à leurs représentants.
Nous appelons aussi tous les musulmans de France à la vigilance et au calme face à cette épreuve.

Paris, le 20juin 2005
Pour le Conseil des Imams de France
BRAÏK Zouhaïr
SEFRIOUI Abdelhakim

 

 

6 - Article de "Le Courrier de Mantes", du 2 avril 2003, où apparaît Séfrioui comme trésorier du Conseil des Imams de France :

Frédéric Antoine Le Courrier de Mantes Publié le 02 avril 2003
• Nicolas Sarkozy , le ministre de l’Intérieur, a fait forte impression auprès des imams réunis aux Mureaux.

Une semaine avant l’élection du conseil du culte musulman (C.F.C.M.) qui se déroulera les 6 et 13 avril prochains partout en France, le ministre de l’Intérieur Nicolas Sarkozy est venu rencontrer quelque deux cents imams réunis en congrès national à la mosquée des Mureaux.

« Les imams sont les oubliés de la consultation... Ils se réunissent aujourd’hui pour évoquer un certain nombre de questions liées à leur statut. Nous espérons que le ministre saura les entendre », déclare Abdelhakim Sefrioui, trésorier du conseil des imams de France (C.I.F.).

Qui c'est-y devant Sarko ????

Nicolas Sarkozy avait dit auparavant son souhait d’être présent au IVe congrès des imams, pour aborder le sujet du « statut de l’imam » dans le culte musulman français et surtout convaincre les tenants du culte de l’importance du rendez-vous des 6 et 13 avril. C’est là que va se jouer l’élection de délégués représentant les cinq millions de musulmans dans un conseil français du culte musulman. Les imams veulent faire savoir qu’ils garderont jalousement leurs prérogatives théologiques, et qu’ils joueront un « rôle complémentaire » auprès du C.F.C.M. Dont la vocation est d’organiser « techniquement » le culte musulman. «

Comment assurer cette complémentarité ?... Le ministre vient clarifier les choses », introduit Dhaou Meskine, secrétaire général du conseil des imams de France.

Rencontre historique

Si l’Islam de France a souffert jusqu’à présent de ce défaut d’organisation et de représentation reconnue, « l’élection d’un conseil du culte musulman nous emmène sur la voie d’un islam de France intégré », assure Abdelhakim Sefrioui. C’est pourquoi, selon les imams, Nicolas Sarkozy se devait de faire passer un message sur le bienfait de la consultation prochaine.

Toutes les sensibilités de l’Islam avaient été invitées samedi aux Mureaux. On comptait même quelques imams de l’Union des organisations islamiques de France (U.O.I.F.), fédération jugée fondamentaliste. Dhaou Meskine s’est d’ailleurs félicité de sa présence « qui reconstitue le conseil tel qu’il existait à l’origine ». Un peu bousculé par le calendrier électoral, le conseil des imams a précipité la date du congrès à un moment peu propice à un rassemblement de plus grande ampleur (à une semaine des élections du C.F.C.M. , les représentants des communautés travaillent à l’organisation de la consultation dans chaque région). Néanmoins, près de deux cents imams ont assisté à cette « rencontre historique » : « c’est la première fois qu’un ministre de l’Intérieur vient rencontrer une structure qui ne fait pas partie de la COMOR (commission d’organisation de la consultation sur l’islam de France qui est une émanation du Ministère de l’Intérieur) », se félicitait Mohammed Bechari (président de la Fédération nationale des musulmans de France) à l’issue de la rencontre. En premier lieu, on peut retenir l’hommage appuyé au ministre, rendu par les représentants du conseil des imams : « depuis votre arrivée, le processus de la consultation des musulmans de France a pris un tournant décisif », a déclaré le secrétaire général du C.I.F.

Précarité

« Les imams sollicités par la collectivité, jouent pleinement leur rôle religieux et social », plaide Dhaou Meskine. « Mais souvent, ils sont freinés ou découragés par les obstacles qui tiennent à leur situation sur le territoire. Certains n’ont pas de titre de séjour permanent. D’autre part, les portes des casernes, des prisons, des hôpitaux leur sont trop souvent fermées... ».

Autre souci des imams, l’absence d’un conseil théologique des musulmans de France. « Les religieux sont obligés de recourir à des fatwas importées de Grande-Bretagne ou d’ailleurs », explique Dhaou Meskine. Un argument très bien entendu par Nicolas Sarkozy.

Sur le statut de l’imam, le ministre ne voit d’amélioration que par le truchement des futures instances du culte. « Comment les imams peuvent-ils avoir un discours apaisant quand ils vivent dans la précarité, quand ils gagnent le RMI ? Il faudra que le conseil du culte, par ses instances régionales et nationales, veillent à créer leur statut. Ce devra être la première question posée par le C.F.C.M. ».

Prêts à « unifier les fidèles », les imams insistent sur leur volonté de « dispenser un enseignement islamique en français », de préserver un « islam d’ouverture et de paix », et de « combattre tout ce qui s’oppose aux lois de la République ». Là encore, selon le ministre de l’Intérieur, le C. F. C. M. Devra se soucier de la formation des imams sur le territoire français quand beaucoup partent étudier en Syrie, en Arabie saoudite, en Lybie ou en Algérie. Pour l’instant on ne compte que quatre centres de formations des imams (un dans la Nièvre, deux à Paris dont l’Institut supérieur de sciences islamiques et un centre à Marseille). Le ministre a encouragé les membres du C. I. F. , qui se sont réunis en table rondes après, à préciser leurs demandes en termes de formation. « La formation des imams doit pouvoir être dispensée et financée en France. Les imams doivent connaître le droit et les traditions du pays dans lequel ils exercent leurs fonctions religieuses », a déclaré Nicolas Sarkozy. Le ministère se déclare prêt à étudier ce qui relèvera de la sphère publique, et qui ouvrira droit à un financement de l’Etat.

Appel à l’apaisement

Difficile dans un contexte international aussi dramatique de ne pas évoquer les risques d’affrontements intercommunautaires qui trouveraient leur prétexte dans le conflit en Irak. « Si cette guerre n’est pas la nôtre, n’acceptons pas les tensions communautaires qui pourraient en découler », a déclaré Nicolas Sarkozy dans un tonnerre d’applaudissements. Le conseil des imams de France a dans la foulée rendu hommage aux positions du président Chirac avant l’entrée en guerre des Etats-Unis.

Faisant référence à la récente agression dont ont été victimes une vingtaine d’individus de confession juive en marge d’un cortège de manifestation pacifiste, le ministre a solennellement exhorté les imams à « chasser hors des mosquées les racistes et les violents... » « Chaque fois qu’un juif ou qu’un musulman est frappé ou injurié, c’est la même tâche, de la même couleur et de la même ampleur, qui se répand sur le drapeau de la République française ».

Le ministre : « L’intégration de l’Islam dans la République est une priorité »

« L’intégration du culte musulman, sa pleine reconnaissance, est prioritaire depuis onze mois. C’est mon objectif, comme celui du président de la République », déclare Nicolas Sarkozy au début de l’allocution. « Ma présence n’est pas une atteinte aux principes de la laïcité car la laïcité n’est pas l’indifférence à l’endroit de la religion. Ce serait là une vision sectaire de la laïcité. La loi de 1905 est censée préserver l’exercice de tous les cultes dans le cadre de la République française. La laïcité, c’est la neutralité (...) Cette conception positive de la laïcité reconnaît à chacun le droit de transmettre sa foi, et de l’exercer. Il n’y a pas deux catégories de citoyens, les musulmans qui n’auraient pas le droit de croire et de pratiquer... et les autres. En construisant l’Islam de France, on pourra débarrasser l’Islam des relents sectaristes qui n’ont rien à voir avec sa culture. Il y a cinq millions de musulmans en France, si on déclare l’Islam contraire à la République, faut-il exclure cinq millions de personnes de la République ? A force de n’avoir pas accepté cette religion en France, on a laissé se développer un Islam des caves dont l’extrémisme a profité (...) Aujourd’hui le contexte international n’est pas bon et les relations entre musulmans et la communauté nationale sont marquées d’incompréhension. Des voix s’élèvent pour dire que la République et l’Islam sont incompatibles. De leur côté les musulmans s’estiment victimes d’amalgame et de racisme dans le regard des autres. On observe ici et là des regroupements identitaires. Voilà pourquoi, un ministre de l’Intérieur doit s’engager sur les questions religieuses ».

http://www.courrierdemantes.com/news/archivestory.php/aid/9796/
Sarkozy_%E0_la_rencontre_des_imams_aux_Mureaux.html

 

 

7 - Lien avec le blog de Séfrioui (sos-palestine) :

http://soutien-palestine.blogspot.com/2009/09/audition-du-responsable-du-colectif.html

 

 

8 - Extrait du site communautarisme.net, sur l'Association France-Israël :

Voir le site de France-Israël : http://www.france-israel.org

Vendredi 16 Juillet 2004

France-Israël ébranle la solidarité gouvernementale
L'association France-Israël, qui regroupe dans son comité d'honneur plusieurs personnalités éminentes de la majorité, et notamment le porte-parole du gouvernement, Jean-François Copé, a condamné sans détour le récent voyage du ministre des affaires étrangères au Proche-Orient.

Peu connue du grand public, l'association France-Israël, présidée par Michel Darmon et qui compte parmi ses principaux dirigeants le très controversé Gilles-William Goldnadel, apporte depuis 1926 un soutien sans faille à la cause sioniste. La devise de l'association est sans ambiguïté : "A son attitude à l'égard d'Israël, on peut juger de la valeur spirituelle d'un peuple".

Les instances dirigeantes de France-Israël regroupent de nombreux responsables politiques, de droite comme de gauche, qui, en période de campagne, se sont souvent illustrés dans les surenchères électoralistes en faveur d'organisations communautaires juives, ce qui peut expliquer leur présence ostentatoire au sein d'une association qui n'est pas connue, loin de là, pour la modération de ses analyses sur la situation au Proche-Orient.

Parmi ces parrains prestigieux, on relève la présence de plusieurs personnalités emblématiques de la majorité gouvernementale : le président du Sénat, Christian Poncelet, le président du CSA, Dominique Baudis, l'ancien ministre François Léotard, le chef de file de la droite parisienne, Claude Goasguen, des élus locaux comme Pierre-Christian Taittinger (maire du 16ème arrondissement de Paris) et André Rossinot (maire de Nancy) et même des ministres en exercice comme Patrick Devedjian et Jean-François Copé.

On ne peut s'empêcher de se demander si Jean-François Copé qui, rappelons-le, est aussi porte-parole du gouvernement, n'a pas eu un accès de schizophrénie lorsque France-Israël, où il figure parmi les membres du Comité directeur, a publié le 1er juillet un communiqué vengeur dénonçant le voyage de son collègue aux affaires étrangères, Michel Barnier, au Proche-Orient (voir ci-dessous).

Voir le site de France-Israël : http://www.france-israel.org