Site internet http://www.aredam.net
Voir les nouveautés sur le site : http://www.aredam.net/divers.html
Titre de cette page :
Réflexion sur le cas du juif dénonciateur des juifs dits selon lui « judéo-centristes » et dont il veut se démarquer, Gilad Atzmon. Nota : Gilad Atzmon est en passe de devenir une référence pour la propagande de la mouvance de guerre contre l’OTAN (apparentée aux BRICS). Ce texte a été élaboré en réaction à la publication d’une interview de Gilad Atzmon, par Silvia Cattori. (pour lire cette interview, cliquer sur ce lien : http://www.aredam.net/Les nouveaux inquisiteurs et leurs campagnes calomnieuses.mht, lire aussi l'article paru sur le Réseau Voltaire : http://www.aredam.net/Pour-le-droit-examen-de-la-judeite-par-Rich-Siegel.html )
Composition de ce texte : Partie 1 : pourquoi Atzmon est à prendre avec des pincettes. Partie 2 : les dénonciations de Atzmon au sujet des organisations de juifs pour la paix et pro-palestiniens (Union des juifs français pour la paix - UJFP et International Jewish Antizionist Network - IJAN), ne font qu'enfoncer des portes ouvertes depuis belles lurettes, du moins en France. Pourquoi ? Partie 3 : regroupement des liens sur l'internet figurant dans ce texte Partie 4 : rappel des rubriques sur la police politique présentes sur le site aredam.net avec leurs liens
Partie 1 : Pourquoi Atzmon est à prendre avec des pincettes. Gilad Atzmon reconstitue une nouvelle couche de mensonge, face à celle qui est en train de se dissoudre naturellement, par la mise en évidence de ce qu’est le judaïsme et de ce que sont les juifs, grâce à la création de l’ « entité sioniste », laquelle porte la vérité du judaïsme et des juifs à la lumière et aux yeux de tous (entité est le nom rigoureux de cette implantation, car un Etat se définit par une constitution et des frontières, cette entité n’ayant pas de constitution, mais étant défini par la loi mosaïque – les 5 premiers livres de la bible chrétienne ou torah juive, et la loi du retour, quant à ses frontières, elles ne sont pas définies, selon David Ben Gourion, elles doivent s’étendre du Nil à l’Euphrate, et selon Moshé Dayan, l’objectif est d’instaurer un « Empire d’Israël »). Selon un texte de Gilad Atzmon, datant d’août 2005, ce dernier définit les juifs par trois catégories : 1/ ceux qui observent le judaïsme ; 2/ ceux qui se considèrent comme des êtres humains dont il se trouve qu'ils aient des origines juives ; 3/ ceux qui mettent leur judaïté au-dessus de tout et avant tous les autres traits de leur personnalité. Selon les Nouvelles de la Ruhr en date du 29 novembre
2005, Gilad Atzmon a déclaré publiquement à l’occasion
d’un concert, que tout ce qu'on raconte au sujet du génocide
des juifs par les nazis serait "une complète falsification
élaborée par les Américains et les sionistes"
("eine komplette von Amerikanern und Zionisten initiierte Fälschung"),
ce propos est à rapporter à celui de sa déclaration
d’avril 2012 à Silvia Cattori : « Personne ne nie l’Holocauste
». C’est d’ailleurs un peu fort vis-à-vis de
ceux qui ont payé - à la différence d’Atzmon
- pour leur courage à dénoncer le génocide nazi des
juifs. Gilad Atzmon invente là le déni du déni du
génocide, c’est à relever, et le déni de l’existence
des révisionnistes. Celle-là, on ne leur avait jamais fait
(lire l'article sur le site aredam, relatif à la
déclaration en 2005 de Gilad Atzmon, sur le génocide des
juifs : On peut relever dans cette interview d’autres créations originales, cette notion de juifs « antisioniste sioniste » qui persécutent Gilad Atzmon, lequel pourrait s’en inspirer pour se définir, comme juif anti-judéo-centriste (ou la création à l’infini d’un centre dans le centre). Gilad Atzmon et ses coreligionnaires souffrent du syndrome de la poupée russe, ce jouet pour enfant qui dans l’absolu se décomposerait à l’infini, chaque couche recélant une couche plus profonde, et parfaitement identique aux précédentes, dans une approche du principe impossible. Ils peuvent se définir comme des parties vivantes d’un système dont le but est d’échapper à toute appréhension, un système qui instaure envers ses éléments, un état de fuite permanent, la fuite étant leur état normal. Bon, c’est clair que pour comprendre les juifs (la « judéité »), il faut s’en remettre aux « goys » (non-juifs). C’est à eux de remettre les pendules à l’heure, comme si à chaque fois qu’il passait un juif pour parler du judaïsme, du sionisme, d’Israël, elles se déréglaient automatiquement par le fait d’une mystérieuse effluve sabotant tout comportement normal. Tout d’abord, qu’est-ce qu’un juif ? Juif vient du terme judaïsme, le judaïsme étant une religion. Un juif est un adepte du judaïsme. Qu’il soit pratiquant ou non, un juif, si il se reconnaît juif, est un adepte du judaïsme. Il n’y a pas de juif athée, de juif par les origines culturelles, et autres, comme les classifient Atzmon, il y a des adeptes du judaïsme, qu’on nomme juifs. Et il y a une seule façon de cesser d’appartenir à la religion juive, c’est de faire comme faisaient les anarchistes français il y a encore quelques dizaines d’années (quand ils avaient une existence réelle), qui déclareraient publiquement leur départ de la religion chrétienne (et dans ce cas, pour certains puristes, cela consistait de plus à faire apposer une mention rectificative dans le registre des baptêmes les concernant). Cela ne consiste pas seulement à se convertir à une autre religion, comme l’a fait un autre juif « antisioniste », Israël Adam Shamir, car l’important est d’annoncer publiquement, outre son départ de la religion juive, qu’on ne se considère plus comme un juif, et qu’en conséquence, personne ne doit plus vous considérer comme un juif. A partir de ce moment seulement, l’individu n’appartient plus au judaïsme, et n’est plus un adepte de cette religion, qu’il en connaissent ou non les préceptes, les lois, dont ceux ou celles inscrits dans l’un des cinq livres de la torah, le pentateuque, dont le fameux décalogue ou deutéronome (les dix lois), où il est on ne peut plus clairement affirmé que les juifs doivent rester coupés de l’humanité non-juive, qui est une sous-humanité, la seule humanité étant constituée des juifs, que les juifs sont les dominateurs naturels de la planète, qu’ils ont naturellement le droit, mais surtout le devoir, de se rendre maître de toutes les populations de la planète, de se saisir des possessions de tous les non-juifs, que ceux qui leurs résistent doivent exterminés, et autres douceurs fondatrices de la « judéité » (la torah-bible, par son deutéronome est le code premier du racisme, du génocide et de l’impérialisme). Soit on se dit juif et implicitement ou non, on se guide par le deutéronome, soit on s’extrait du judaïsme en affirmant qu’on a cessé d’être un juif, et on ne respecte plus le deutéronome. Les chrétiens les plus éclairés ont déjà fait une démarche similaire. Et quand même, la bible est le livre le plus répandu dans le monde et dans quasi toutes les langues. Le deutéronome est l’un des cinq fondements de la loi mosaïque qui fonde la « judéité ». Et Atzmon ose s’interroger : « je pose la question de savoir de quelle manière le Deutéronome (avec une majuscule s’il vous plaît) influence l’idéologie juive » (il veut sans doute dire la « judéité »). Nul n’étant censé ignorer la loi, et surtout sa propre loi, qui est juif doit donc connaître et respecter le deutéronome, et donc l’adopter comme mode de penser, sinon comme mode d’être, si il persiste à se dire juif (lire sur le site aredam des extraits du deutéronome : http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html). C’est quand même un peu fort, que ce qui fonde des trois religions du livre (le deutéronome), le judaïsme, le christianisme et l’islam, soit un pilier monstrueux que personne ne veut voir, et qu'il éblouisse depuis deux milliers d’années à tous les points de la planète (la bible est tout de même traduite en toutes les langues) … Et on s’étonne que les choses prennent une telle tournure. Et il faut quand même rappeler un propos (évidemment imaginaire) du personnage de fiction de Jésus, rapporté dans l’évangile selon saint Mathieu : « je ne suis pas venu pour abolir la loi, mais pour l'accomplir». C’est dommage de ne pas connaître ce qui vous fonde, et ensuite de s’étonner de l’orientation que prend sa société. Ce que fait Atzmon n’est au fond qu’une simple manœuvre pour sauvegarder le judaïsme, ce qui apparaît quand il affirme que le sionisme n’est pas le judaïsme, et même plus, car c’est un sophiste, que les israéliens seraient des néo-sionistes, et autres acrobaties rhétoriques. De plus, le judaïsme, comme toute religion, évolue, s’adapte, se transforme (la religion chrétienne le fait depuis deux milles années). Il est clair qu’on peut parler maintenant d’une forme nouvelle de judaïsme, le judéo-sionisme. Aucune religion n’est figée. Et des juifs fondamentalistes tels les Naturei Karta, qui ne reconnaissent pas Israël, ne sont que des réactionnaires face à l’évolution du judaïsme. De même, quand Atzmon dénonce ceux qui le persécutent, dont ces associations de juifs français pour la paix (UJFP), ou International Jewish Antizionist Network (IJAN), qui ne seraient que des formes de l’AntiDefamation League (l’équivalent en France est la Licra), il a raison, mais ce qu’il ne dit pas, c’est que dès que quelqu’un s’approche trop près de la vérité de la « judéité », c’est l’ensemble du corps juif qui se transforme peu ou prou en AntiDefamation League, et que lui-même fait penser à un personnage de l’écrivain sicilien Sciascia, qui dans une de ses nouvelles était chargé de donner une définition de la mafia pour une quelconque commission d’enquête, et qui insinuait à son comparse qu’il allait certes lui apporter sa contribution, mais sa contribution à la confusion ... Il ne peut y avoir de juifs athées, comme un individu qui se définit comme chrétien ne peut être athée (il y a eu même des chrétiens marxistes, et toujours déistes). Gilad Atzmon est un velléitaire ou un manipulateur, qui sert à sa manière à entretenir la confusion, dans le but de soutenir la suprématie juive. Cela apparaît aussi quand il énonce qu’Israël n’est pas une entreprise coloniale, car les colons juifs n’ont pas de métropole. C’est une véritable imposture que d’affirmer cela. La métropole des juifs sont les villes principales de la planète entière, c’est ce qui apparaît clairement dans le programme du deutéronome. Israël n’est qu’une facilité accessoire dans ce programme de conquête mondiale, un lieu où les juifs disséminés au sein des autres populations, peuvent jouir de l’immunité judiciaire, être hors de portée, au-dessus des lois locales réservées aux vulgaires (les « goys »). Il n’y a pas de notion de métropole quand c’est la planète qui est votre métropole. C’est aussi quand même fort de comparer Atzmon à Israël Shahak, dont le livre est lui honnête, et dévoile l’intérieur de la barbarie juive (lire sur le site aredam le livre de Shahak : http://aredam.net/SHAHrelig.pdf). Nous assistons à une véritable régression avec l’apparition de personnages comme Atzmon, et d’autres équivalents, toujours des juifs (comme l’auteur du livre « L’Invention du peuple juif »), régression plus générale dans le combat antireligieux, et donc dans celui de la liberté d’évolution et de progrès de l’humanité. Sans doute est-ce que pas un camp en présence n’a intérêt à dévoiler la réalité du judaïsme, le camp chrétien étant fondé sur le judaïsme, et le camp musulman de même (à ce propos, peu de gens savent que le prénom de l’Ayatollâh Khomeini, Ruhollah, « esprit de dieu », est l’un des prénoms coraniques du « Messie Jésus fils de Marie », le Jésus des chrétiens). Si on commence à bousculer le judaïsme, c’est toutes les religions qui vont peu à peu s’effondrer, comme si le judaïsme était une sorte de clé de voûte qu’il suffisait d’ôter pour que les édifices religieux se désagrègent, en premier ceux chrétiens et musulmans, et par un effet domino, celles de l’extrême orient. Hors, les religions sont indispensables pour maintenir les masses dans la soumission, pour maintenir un ordre, mondial, fondé sur l’exploitation d’une majorité par une minorité. Cela mène à définir rapidement ce qu’est la religion. La religion a sans doute été créée par nécessité, à partir du moment où le décalage entre l’humanité et les autres espèces animales, espèces dont elle fait partie, a été si grand, que l’humanité a été en position d’exploiter les animaux, de même que les plantes. C’est ce qu’on a nommé le stade de la sédentarisation, par l’invention de l’élevage et de l’agriculture. Mais tuer des animaux pour se nourrir, des animaux qu’on élève, qu’on connaît, avec qui on partage le quotidien, qu’on voit naître et vieillir, qu’on nomme, qu’on aime, posait un problème psychologique. On voit bien aussi qu’avant la sédentarisation, du temps des bandes de chasseurs cueilleurs, déjà les humains respectaient et honoraient les animaux comme d’autres eux-mêmes (voir les dessins dans les grottes, dont celle de Lascaux, où apparaissent des êtres mi-homme mi-animaux). De même, toutes les populations dites primitives respectent et honorent les animaux. Il n’y a que dans les sociétés dites moderne que l’animal, et les plantes, la nature en général, est malmenée. Il fallait un montage psychologique pour pouvoir tuer et manger ceux que l’on aime, et qu’on reconnaît comme égaux à soi-même, il fallait pouvoir se laver de sa peine et de sa culpabilité, tuer et dévorer l’esprit libre. C’est à cela que sert la religion, à tuer et à dévorer, l’esprit libre. Ensuite, avec la création des cités et des Etats, il ne s’agissait plus simplement de tuer et de dévorer des animaux, mais de tuer d’autres humains, de les dévorer par l’exploitation de leur travail, en les réduisant à l’état d’esclaves, de soumis, de subalternes, d’inférieurs, de manger leur temps de vie, leur vie même. La religion a permis de conserver un bien-être psychique tout en accomplissant cela (Napoléon 1er disait que pour qu’un riche qui a pléthore de tout côtoie un pauvre qui manque du nécessaire, il faut une religion). Puis, les sociétés humaines se sont pétrifiées définitivement dans structure hiérarchique, avec une base nombreuse dominée par un sommet constitué de très rares privilégiés. La religion juive n’est que l’aboutissement et l’élargissement de ce principe. Les origines de la religion et du peuple juif sont maintenant bien connus, et relèvent tout d’abord, comme pour toute religion, de la plus totale fantasmagorie (visiter le site unique par sa qualité, sur la religion chrétienne : http://www.bible.chez-alice.fr/). Tout d’abord, la bible ou torah ne sont qu’une compilation de vieux textes religieux provenant de Mésopotamie, de Sumer, d’Egypte et sans doute d’autres régions et cultures, qui ont disparu. Ensuite, il n’y a aucune mention de peuple juif au sein des Etats constitués et déjà terriblement organisés du Proche-Orient de l’époque, Etats de type moderne, possédant une administration complexe et des archives. Rien en Egypte, rien en Mésopotamie. Quant à la bible-torah, sa première trace physique est récente, elle date d’autour du début de l’ère chrétienne (ce qui est comique pour la religion juive qui s’honore de remonter à des millénaires avant Jésus-Christ, et de plus en langues grecque et araméenne). On ne doit pas oublier d’évoquer les fameux personnages religieux de fiction, imaginaires, qui ont autant de réalité historique que l’Hercule ou l’Ulysse des grecs, tels Moïse, Jésus (pas une trace dans les archives romaines, ni dans une autre archive de l’époque). Le fameux Mohamed des musulmans, semble lui seul avoir eu une réelle existence (mais en ce qui concerne le fait qu’un dieu lui ait dicté le coran …cela relève de l'habituelle escroquerie religieuse ou d'un trait pathologique type Jeanne d'Arc). Quant au peuple juif, actuel, il est constitué pour sa plus grande part de convertis, des berbères d’Afrique du nord, pour les sépharades, des khazars, une population turco-mongole, pour les juifs européens, dits ashkénazes. Les seuls descendants authentiques des juifs antiques de Palestine sont très sûrement les actuels palestiniens et certains chrétiens du Proche-Orient (ce qui fait que la loi du retour qui fonde Israël avec la loi mosaïque, qui autorise les juifs du monde entier à s’installer de droit en Palestine, permet en réalité à des individus fondamentalement étranger au Proche-Orient, dont les plus lointains ancêtres n’ont rien à voir avec cette région, de « retourner » dans une région dont les véritables indigènes sont dépossédés, de même que de la vérité de leur histoire, de leur passé, de leur identité, pour se voir supplanter par des impostures vivantes. Il s’agit d’un génocide culturel, ce qui était la définition même du génocide par l’inventeur du terme, le juif Raphaël Lemkin). Toute religion n’est qu’une imposture intellectuelle, mais en ce qui concerne le judaïsme, c’est un summum. Les juifs sont aussi l’unique population de toute l’humanité qui se définit à partir de la religion, c'est-à-dire à partir d’un procédé psychologique qui permet de tuer et de s’approprier les possessions d’autrui en toute bonne conscience, d’intervertir l’ordre des choses, le criminel devenant la victime, et la victime le coupable, et de plus, avec explicitement écrit dans ce qui est la véritable constitution des juifs, la loi mosaïque dont le deutéronome, le programme de dominer toute l’humanité. Il y a tout de même un réel problème et s’arrêter à cet Atzmon est encore retarder l’affrontement d’avec ce problème. Il faudra bien un jour voir les choses en face et affronter le phénomène religieux. Au fond, le personnage d'Atzmon convient aux bien-pensants de tous les bords, qui s'y reconnaissent.
Partie 2 : Les dénonciations de Atzmon au sujet des organisations de juifs pour la paix et pro-palestiniens (dont l'Union des juifs français pour la paix - UJFP et l'International Jewish Antizionist Network - IJAN et autres), ne font qu'enfoncer des portes ouvertes depuis belle lurette, du moins en France. Pourquoi ? L'UJFP est domiciliée au 21ter rue Voltaire à Paris 11ème, dans un immeuble qui est dénommé "CICP - Centre International de Culture Populaire), qui héberge Scalp-Réflexes, une évidente officine des services spéciaux franco-sionistes, et qui a hébergé ou héberge encore le site des services spéciaux américains paris.indymedia.org. Plus largement cet immeuble est le centre parisien principal de l'encadrement des mouvances d'opposants, dans tous les domaines sociaux et politiques. Il a été fondé par Gustave Massiah, qui est à la tête de multiples réseaux, qui sous les apparences de tiers-mondisme, de visent qu'à maintenir entre des limites très étroites toutes actions pouvant déstabiliser l'hégémonie occidentale et israélienne. Gustave Massiah possède des réseaux particulièrement actifs en afrique noire francophone. Tout ce petit monde est constitué de semblables, soit la CGT, la Ligue des droits de l'homme, le PS, le PC, le NPA - LCR, la CNT, le site paris.indymedia.org, le site reflexes.samizdat.net, les Indigènes de la République, et autres. Les appels à soutenir l'invasion de la Syrie par les forces de l'OTAN proviennent de ce milieu. Les activités du CICP sont déjà très documentées sur le site aredam.net : http://reflexesverite.blogspot.com http://verite-sur-le-sionisme-pro-palestinien.over-blog.com. (voir à la partie n° 4 de ce texte, plus largement, et incluant ce qui se trouve sur ces deux blogs, le rappel des rubriques sur la police politique sur le site aredam.net, avec leurs liens) Il serait bon par contre de dévoiler à la lumière du jour, et aux yeux de tous, ce qu'est réellement le personnage central de Gustave Massiah, de consacrer pour lui seul un bon coup de projecteur, comme pour cette Bassma Kodmani, la porte-parole du pseudo-Conseil National Syrien, cela serait rendre un grand service à la cause de la réalité et de la libération des esprits. Certains en savent plus long que le commun sur Massiah, mais ils ne parlent pas, alors qu'ils font en apparence partie de l'opposition non encadrée par les services spéciaux occidentaux. On pourrait penser qu'ils ne veulent pas cracher dans une soupe qui leur serait commune ... Le nom de ces certains - sous pseudos : l'indécollable et l'anti-Valadarès) apparaissent dans la fameuse liste Schoemman (lire l'article sur le site aredam.net : http://www.aredam.net/impuissance-de-opposition-authentique-en-france.html ). Chers services spéciaux des BRICS, qu'attendez-vous pour mettre en vedette Gustave Massiah ?
Partie 3 : Liens Internet présents dans ce texte : Site Internet sur la bible (unique) : Livre d’Israël Shahak Extraits du deutéronome et autres citations
: Interview de Gilad Atzmon par Silvia Cattori :
Lire l'article sur le site aredam, relatif à
la déclaration en 2005 de Gilad Atzmon, sur le génocide
des juifs : Rappel : site de Silvia Cattori : Article parue sur le site du Réseau Voltaire
sur ce même sujet :
Partie 4 : Rappel des rubriques sur la police politique sur le site aredam.net http://www.aredam.net/souriahouria-dossier.html ("Syrie Liberté" - OTAN) http://www.aredam.net/sommaire-general-lutter-contre-toutes-les-polices-politiques.html Affiche et tract "Amis arabes et musulmans" http://www.aredam.net/la-fausse-opposition-anti-guerre-de-OTAN.html http://www.aredam.net/dgso-documentation-generale-sionisme-operationnel.html http://www.aredam.net/yves-pignier-base-donnee-psychiatrie-politique.html http://www.aredam.net/psychologie-operationnelle-politique-coercitive.html http://www.aredam.net/reseau-resistance-psychiatrie-politique-rrpp.html http://www.aredam.net/denonciation-publique-methode-repression-politique-police-stasi-sioniste.html http://www.aredam.net/les-avocats-des-services.html Faire sa propre revue de presse libre de l'emprise des appareils de propagande : Liste de liens de sites d'actualité et autres Lire les appréciations sur les sites précédemment proposés
|