Site internet http://www.aredam.net
Voir les nouveautés sur le site : http://www.aredam.net/divers.html
Titre de cette page :
http://www.aredam.net/genocide-uranium-238-documentation-2.htm
Article 7 (site Internet mondialisation.ca). Uranium
appauvri : bombes sales des pays riches.
Article 8 (Site
Internet : centpapiers.com). L’uranium appauvri : la calamité
d’un biocide silencieux.
Article 9 (Site
Internet : armees.com). Les armes à l’uranium appauvri.
Article 10 (Site Internet : toutsaufsarkozy.com).
Les sorciers de l’apocalypse:
Gaza, le massacre ne s’est pas fait tout seul !
Article 11 (Site
Internet : lepost.fr). EMPOISONNEMENT MASSIF DES PALESTINIENS A L'URANIUM
APPAUVRI.
Article 12. Gaza: le génocide à
l’Uranium Appauvri a commencé avec les bombes "GBU-39"
fournies par les États-Unis. (site Internet Mondialisation.ca).
Article 7 (site Internet mondialisation.ca)
Uranium appauvri : bombes sales des pays riches
par Paolo Scampa
Mondialisation.ca, Le 19 novembre 2006
Association Internationale pour la protection
contre les Rayons ionisants
Uranium appauvri, tumeur à vil prix.
Parmi les nombreux polluants mortifères fabriqués par des
scientifiques sur la planète TERRE, on trouve l’uranium métallique
issu de la dénaturation des roches uranifères naturelles.
L’uranium est en effet un élément qui se trouve sous
forme de minerai partout dans la couche terrestre mais en aucun cas sous
forme de métal. Il y a en moyenne moins de 1 Kg d’uranium
par tonne de terre et de roche et les mines les plus riches contiennent
de 1,5 kg à 5 kg de minerai uranifère par tonne.
Ce minerai uranifère est formé de 3 isotopes intimement
mélangés et rassemblés en infimes échantillons
que l’on retrouve épars en nature dans les proportions stables
suivantes : U234 : 0,0054%, U235 : 0,7110%, U238 : 99,2830%. De ces trois
isotopes seul l’U235 est à la fois fissile et capable d’entretenir
une réaction en chaîne. (La fission d’un seul atome
d’U235, à savoir sa division en au moins deux atomes «
plus petits », par l’intermédiaire des 2 neutrons libérés
stimule la fission de 2 autres atomes de U235 qui à leur tour entraînent
la fission de 4 autres atomes et ainsi de suite.) Ce sont ces deux caractéristiques
prisées de l’U235 qui sont exploitées dans le carburant
des centrales nucléaires et dans les explosifs des bombes atomiques.
Le minerai naturel, trop dilué et insuffisamment radioactif, est
toutefois impropre à entretenir cette réaction en chaîne.
Pour ce faire il faudra l’« enrichir » en le portant
à la densité radioactive voulue. Un premier « enrichissement
» partiel produit le « Yellow cake » par concentration
artificielle des atomes radioactifs dispersés dans le minerai.
Grain uranifère après grain uranifère on désolidarise
par agression chimique l’uranium des terres et des roches avec lesquels
la nature l’avait entremêlé. Un second et plus délicat
« enrichissement » ultérieur, par centrifugation ou
diffusion gazeuse, viendra ensuite élever la teneur en U235 avant
d’en faire un métal uranium artificiel. Ce second enrichissement
portera l’uranium 235 à au moins 1,5% de la masse d’uranium
pour en faire du carburant ou à au moins 90% pour en faire un explosif.
L’enrichissement final consiste donc à augmenter la teneur
en uranium 235 d’une masse en y prélevant une partie de l’uranium
238.
La partie prélevée et inutilisable comme carburant ou explosif
est dénommé « uranium appauvri » en ce sens
qu’il contiendra maintenant une moindre proportion d’atomes
d’uranium 235 (il en restera toujours une portion) qu’il n’en
avait au départ. L’uranium « appauvri » est également
récupéré par retraitement des déchets du carburant
atomique. Là l’U238 sera partiellement appauvri non seulement
de l’U235 non consommé, mais aussi des divers sous-produits
d’activation, dont le plutonium et l’uranium 236, et des produits
de fissions créés durant le cycle de production d’énergie.
L’Uranium « appauvri » est un métal artificiel,
lourd, toxique et radioactif qui contient une moindre proportion d’uranium
235 qu’il n’y en a dans les minerais uranifères mais
une plus grande quantité d’uranium par gramme que n’en
ont les minerais !
Ce terme si commun d’uranium « appauvri » est l’un
des plus trompeur qui soit. Il laisse entendre qu’il n’est
pas dangereux. Malgré les folles dépenses occasionnées
par son délicat stockage civil et militaire, malgré les
sévères réglementations qui le concerne, malgré
l’interdiction qui frappe les citoyens d’en disposer chez
eux à leur gré, malgré les preuves scientifiques
irréfutables, malgré les grands cimetières des jeunes
soldats tombés bien après la bataille et les gigantesques
contingents malades à plus de moitié[1], malgré la
fulgurante croissance des maladies dans les pays martyrisés à
l’uranium et autour du globe, malgré les innombrables monstres
génétiques mis au monde en ces terres maudites[2], on ose
encore le clamer sans danger. Afin de nous en convaincre, on le compare
aux minerais uranifères pour le déclarer moins agressif
qu’eux ; mêlant là une vérité de proportion,
la moindre teneur en U235 de l’UA, à un confondant mensonge
de densité, en rapportant l’UA, en fait non pas aux minerais,
mais à un autre uranium industriel « non appauvri »
que l’on décrète « naturel ». C’est
là une pure et simple escroquerie. Tout d’abord que l’uranium
métallique soit « appauvri » ou non change peu à
sa dangerosité. C’est un émetteur Alpha et il le reste
entier et mortel en cas de contamination interne même si débarrassé
d’uranium 235. Avec quelques Becquerel « 235 » de moins
il lui reste encore artificiellement condensés quelques Becquerel
« 238 » de trop. L’uranium « appauvri »
c’est encore le cancer radiologique induit. Ensuite que si l’UA
contient certes une moindre proportion d’uranium 235 que celle que
l’on trouve en nature, sa densité en uranium 238 par gramme
y est par contre résolument supérieure. La nature ne concentre
pas les atomes d’uranium, l’industrie nucléaire si.
Dans un gramme d’uranium, appauvri ou pas, il y a en effet 98% d’uranium
alors que dans un gramme de minerai il n’y en au mieux que 0,5%.
(On pourra également remarquer que l’uranium 235 représente,
au plus, 0,00356% de 1 tonne de minerai mais, au moins, 0,0142% de 1 tonne
d’uranium « appauvri ». Il y a donc 4 fois plus d’uranium
235 dans de l’uranium « appauvri » que dans une masse
équivalente de minerai.) En nature on ne trouve jamais un gramme
d’uranium pur, qui plus est métallique, d’un seul tenant.
Du simple fait qu’il s’agit d’un concentré préfabriqué,
l’uranium artificiel est plus radioactif que l’élément
naturel d’où on l’a tiré. Même si appauvri
à 100%, 1 gramme d’uranium est toujours plus radioactif qu’un
gramme de minerai uranifère. Qu’on leur passe donc un détecteur
dessus ! Il crépite plus avec l’UA ! Etrange, n’est-il
pas, pour un élément moins agressif que nature ?
C’est pourtant bien cet uranium 238 « appauvri en uranium
235 mais plus radioactif que nature » que les industries nucléaires
ont vendu aux militaires et introduit dans divers projectiles en guise
de perforateur pyrophore de blindage. Nonobstant les conventions internationales
qui en interdisent l’usage, depuis la chute du mur de Berlin déjà
plus de 8000 tonnes d’uranium « appauvri » ont «
flambé » dans les différents théâtres
d’opération et les différents champs de tir. Or l’uranium
238 est un poisson toxique et radiologique reconnu[3] qui a une demie-vie
radioactive de 4,5 milliards d’années et une demie-vie biologique
de 5 ans sous forme métallique (qui est une forme insoluble) alors
qu’elle n’est que de 3 jours sous forme minérale (qui
est une forme soluble). C’est un isotope qui expulse à chaque
tir un rayon électromagnétique Gamma de 48 KeV à
la vitesse de 300.000 km/s et une lourde particule Alpha de 4,268 MeV
à la vitesse de 20.000 km/s comportant 2 protons et 2 neutrons
accolés. Métal lourd et pyrophore, la densité de
18,95 Kg par litre fait de l’uranium un perforateur de blindage
sans rival et un incomparable pollueur radiologique de biosphère
et de poumons. Plus de 70% du métal uranium des projectiles se
pulvérise en un nombre colossal de particules en brûlant
lors de la perforation de la cible qu’il fond littéralement
tant la température est élevée (3000°). Chaque
gramme d’uranium qui brûle produit en effet au moins une centaine
de milliards de poussières ultra-fines (de 0,1 nanomètre
à 100 micron pour une taille moyenne de 0,5 micron[4]). 60% de
ces poussières mesurent moins de 2 microns et, comme les gaz, peuvent
ainsi traverser toutes les barrières protectrices pour pénétrer
directement dans les poumons avant de passer dans le sang qui les transportera
ici et là dans les tissus.
Les effets biologiques internes de l’uranium.
Tirées au contact des tissus les particules Alpha peuvent chacune
les pénétrer sur 1/20 de millimètre (50 microns)
en traversant environ cinq cellules biologiques. Ces particules alpha
émises par divers radio-éléments dont l’uranium,
si inoffensives lorsque émises de l’extérieur du corps
se font létales lorsque tirées depuis l’intérieur
de l’organisme. (Un peu comme l’arsenic qui est inoffensif
dans sa fiole mais mortel dans l’estomac.) Toute l’énergie
ionisante sera encaissée par une masse de tissus réduite
à l’extrême. C’est l’effet de proximité
interne démontré et calculé dès 1978 par Maurice
Eugène André[5] et plus tard même photographié[6]
au laboratoire nucléaire de Los Alamos. C’est cet effet de
proximité interne que les industries nucléaires occultent
tant elles savent combien criminels sont à terme les inodores effluents
radioactifs qu’elles relâchent et que nous tous respirons.
Ces particules Alpha sont des projectiles « radio-biologiques »
sub-atomiques qui attaquent des cibles vivantes de taille atomique. Elles
perturbent le fonctionnement des « atomes de vie » en minant
les bases physiques et chimiques de la vie de la cellule[7]. Elles ionisent
les molécules.
Les poussières radioactives sont dès lors d’autant
plus dangereuses qu’elles se font petites. Minuscules elles pénètrent
l’organisme sans d’obstacle ; s’immobilisent pour des
années à proximité des cellules, les envahissent
même, les mettant à portée de leur court mais puissant
rayon d’action ionisant. Installées dans les tissus ces insolubles
métaux réduits en poussières micrométriques
voire nanométriques bombardent alors à répétition
les cellules, les ionisent de manière chronique sans leur permettre
de se restaurer. Cette action nocive des Alpha est d’autant plus
sournoise qu’elle opère au niveau histologique de manière
invisible et insensible. Nos sens, autant que les dosimètres, sont
en effet incapables de détecter l’intromission de si petites
particules radioactives au sein des tissus, ils sont incapables de capter
la douleur que ressentent pourtant les quelques cellules ionisées.
Ils leur faudra des années, une fois le mal étendu et la
douleur perceptible, pour qu’ils lancent leur tardive alarme. Les
poussières radioactives « alpha » sont pour cela de
véritables armes atomiques microscopiques qui contaminent clandestinement
chaque organisme qui les respire ou les ingère.
La dispersion d’indécelables aérosols radioactifs
par milliers de tonnes durant les dernières guerres met pour cela
en péril l’humanité et la vie. Chaque mètre
cube d’air est empoisonné. Les nanoparticules volent de plus
au loin et beaucoup resteront à jamais en suspension dans les airs.
La biosphère se transforme en une lente et éternelle chambre
à gaz radiologique[8] dans une indifférence générale
soutenue par l’imperceptibilité du danger et le mutisme complice
de la science. Les particules volent, les tumeurs croissent[9], la loi
du silence règne. Inspirer, expirer. Business must go on jusqu’au
bout de la solution terminale.
Paolo Scampa Vice-président de l’AIPRI.
Association Internationale pour la protection contre les Rayons ionisants,
15 octobre 2006.
BIBLIOGRAPHIE et SITOGRAPHIE.
André M.A. (1978), Plutonium, poumons et effets de proximité,
M.E. André, in ETUDES & EXPANSION, n° 276, Liège.
Sur toile in http://users.skynet.be/mauriceandre/ sous le titre URANIUM
et PLUTONIUM c’est pas du chocolat.
Busby C., Morgan S. (2006), "Did the use of Uranium weapons in Gulf
War 2 result in contamination of Europe ? Evidence from the measurements
of the Atomic Weapons Establishment (AWE), Aldermaston, Berkshire, UK".
http://www.llrc.org/aldermastrept.pdf
Clefs CEA (2000), Les rayonnements, l‘Adn et la cellule. http://www.cea.fr/fr/Publications/clefs2.asp
?id=43
Del Tredici (1997), “Hot” or radioactive particle in lung
tissue”, in Burdens of Proof by Tim Connor, Energy Research Foundation,
1997. http://www.mindfully.org/Nucs/Hot-Particle-Lung-Tissue1997.htm
Glasstone S., Dolan J. (1957), The effects of nuclear weapons, United
States department of defense & Energy research and development administration,
Washington DC. http://www.princeton.edu/ globsec/publications/effects/effects12.pdf
Hassan J. (2003), Photos of Babies Deformed at Birth as a Result of Depleted
Uranium (DU). http://www.mindfully.org/Nucs/2003/DU-Baby2003.htm
Lapple C.E. (1961), Caracteristics of particles and particle dispersoids,
Stanford Research Institute Journal, Vol 5, p.95, Third Quarter, 1961
In Lide D.R. (2006), CRC Handbook of Chemistry and physics, Taylor &
Francis, CRC Press, USA. http://www.mindfully.org/Nucs/Particle-Dispersoids-TableSep61.htm
Moret L. (2005), Depleted uranium : Dirty bombs, dirty missiles, dirty
bullets. A death sentence here and abroad, San Francisco Bay, USA, http://72.14.221.104/custom
?q=cache :BjgmaYunS7IJ :www.sfbayview.com/081804/Depleteduranium081804.shtml+580400&hl=en&ct=clnk&cd=1&ie=UTF-8
Moret L. (2006), Un holocauste nucléaire mondial nous menace, Interview
de Leuren Moret, spécialiste des sciences de la Terre par W. Leon
Smith et Nathan Diebenow, journalistes au « Lone Star Iconoclast
», Texas ; in Express N°3, 24 août 2006. http://www.horizons-et-debats.ch/
Rokke D. (2003), Le Major Doug Rokke (Pilote de l’US AIR FORCE)
expose les dangers très graves de l’uranium appauvri dans
les armes. http://users.skynet.be/mauriceandre/
Weast, R.C. (1972), Handbook of chemistry and physics, CRC Press, USA,
53 Rd Edition 1972-1973
Article 8
Site Internet : centpapiers.com
L’uranium appauvri : la calamité d’un biocide silencieux
7 janvier 2008
Le sujet de l`uranium appauvri démontre clairement que les médias
de masse nous gardent de la vérité au lieu de nous la rapporter.
C`est un cas bien documenté par plusieurs sources hautement crédibles,
et visible par les conséquences déjà bien présentes.
Il s`agit en fait d`un biocide, d`une menace bien plus réelle et
dérangeante que le réchauffement du climat qui vous tient
si occupé et préoccupé, gracieuseté de nos
fantastiques médias de masse et de nos politiciens.
Avec tous les mensonges concernant la version officielle à propos
des événements du 11 septembre 2001, l’uranium appauvri
constitue un des sujet les plus censuré dans les médias.
Les conséquences hallucinantes et dévastatrices de l’uranium
appauvri menace littéralement la vie sur terre.
Elle est l`arme de destruction massive par excellence : elle continue
de tuer des populations entières pendant des milliards d`années.
En fait, l`uranium appauvri a une demie-vie de 4.5 milliards d`années,
de quoi déranger les prochaines générations ainsi
que toutes formes de vie pour un bon moment : juste pour donner une idée,
ceci est l`âge actuel de la Terre et du système solaire…
Vous n’en n’avez peut-être pas entendu parler parce
qu’il est dans l’agenda de l’armée et des médias
de masse de ne pas soulever ce sujet. Pourquoi ? Parce que les conséquences
de son utilisation dans les théatres de guerre sont horribles et
il est question de crimes de guerre et contre l’humanité.
Vous trouverez ici des informations détaillées par rapport
à ce qu’est l’uranium appauvri. Uranium appauvri :
bombes sales des pays riches
L’uranium appauvri est en fait un déchet nucléaire
provenant en grande partie des centrales nucléaires. Ne vous laissez
pas berner par son nom, c’est loin d’être inoffensif.
L’armée américaine, entre autre, adore se servir de
ce métal extrêmement dense, car il pénètre
les armures et les chars d’assaut comme un couteau chaud dans du
beurre. On s’en sert aussi pour faire ce qu’on appelle des
« bunker busters » : ce sont des missiles qui pénètrent
une dalle de bunker souterrain de 1 mètre de béton sous
3 mètres de terre. Vous imaginez la joie des tacticiens militaires.
Le problème, c’est qu’en explosant - à une très
haute température - les éléments radioatifs sont
pulvérisés en fines poussières dans l’air et
contaminent aussi le sol environnant. Quiconque respirera ses fines poussières
radioatives sera contaminé. On a testé des afghans et des
irakiens avec plus de 7000 fois la dose maximale d’exposition à
la radioactivité acceptable.
Dire que les pays occidentaux comme les États-Unis, l`Angleterre,
le Canada, l`Australie et d`autres se permettent de faire la morale aux
autres et prétendent amener la liberté et la démocratie…
d`être ni plus ni moins les sauveurs de ce monde ! Déjà,
les afghans, yougoslaves et irakiens en meurent par milliers. Triple cancers,
maladies dégénératives, bébés nés
avec des déformations génétiques horribles. Même
chose pour tous les soldats qui occupent présentement ces pays.
Ils meurent aussi de maladies dégénératives, de cancers,
et leurs enfants sont ravagés par des difformités, leurs
gênes sont endommagés à tout jamais.
Suite à l’attaque “Shock and Awe” des américains
sur l’Iraq en mars 2003, les niveaux de radioactivité dans
l’air ont atteint des sommets historiques en Angleterre quelques
jours seulement après le commencement des bombardements. Les poussières
radioactives ont été transporté du Moyen-Orient par
les courants d’air vers le reste du monde entier en quelques jours.
Les données étaient gardées secrètes par la
compagnie qui gère les centres de depistage en Angleterre : Halliburton
(Dont Dick Cheney fut CEO et profitant toujours à ce jour, de part
ses actions dans la compagnie) !
Le début notoire de l’utilisation de cette arme destruction
massive s’effectua en Iraq en 1991, en Yougoslavie en 1999, en Afghanistan
et en Iraq de nouveau de mars 2003 jusqu’à aujourd’hui.
Selon les dernières études, c’est l’équivalent,
en terme de radioactivité, de 400 000 bombes atomiques laché
sur Nagasaki qui s’est retrouvé dans l’air ces 15 dernières
années, causé par les essais nucléaires, l’uranium
appauvri et autres activités nucléaires.
Ils sont en train de contaminer la planète entière avec
des matières radioactives, qui, ne vous vous faites pas d’illusions
chers lecteurs, se transportent à l’échelle globale.
Lorsque que les fines poussières radioactives sont libérées
dans l’air, elles sont transportées par les vents.
Nous sommes tous directement concernés par cette folie, ainsi que
toute la vie sur Terre telle que nous la connaissons.
Maintenant, les taux de soldats rendu invalides durant des conflits impliquant
les États-Unis durant le dernier siècle tournaient autour
de 5%, approchant les 10% durant le guerre du Vietnam. Mais dû à
l’uranium appauvri sur les champs de bataille, c’est 56% des
580 400 soldats américains qui ont servit durant la première
guerre du Golfe Persique en 1991 qui sont sur la liste des invalides médicaux
permanents en date de l’an 2000 !!!! Ils sont affligés de
maladies incurables et dégénératives, reliées
entre autre à la radioactivité de ces armes.
L’effet insidieux est qu’elles continuent de tuer longtemps
après, silencieusement. 11 000 soldats américains sont morts
depuis la fin du premier conflit en Iraq, alors que seulement environ
300 ont été tués en combat.
Maintenant, quelques 518 739 vétérans sont des invalides
médicaux, soit presque la totalités des soldats ayant participé
à la “Tempête (radioactive) du Désert”
de 1991.
Ces gens ont même contaminé leurs conjointes qui étaient
resté au pays, qui ont par la suite donné naissance a des
enfants avec des déformations génétiques ?
Les taux de cancer ont explosé en Iraq, en Afghanistan et en Yougoslavie.
La radioactivité nucléaire ne se nettoie pas, ça
reste là pendant 4.5 milliards d’années. Le processus
devient de plus en plus toxique au fur et à mesure que le temps
avance.
Cessons de tomber pour les faux débats. Il y a des choses extrêmement
importantes à régler si on veut vraiment avoir un “futur”…
Et dire que pas un mot ne transpire dans les médias à ce
sujet.
Sommes-nous tous complètement lavés du cerveau et totalement
conditionnés à ne plus réagir devant des catastrophes
sans nom ? À dissocier tout événement majeur des
émotions qu’elles devraient susciter ? N’est-il pas
temps d’emprisonner les responsables aux plus hauts échelons,
les vrais terroristes, au sein du gouvernement, ceux qui les supportent
financièrement et les corporations qui tirent du profit de la destruction
de la vie sur Terre ?
Soyons les héros de notre monde et de notre époque, ou soyons
condamnés à vivre les conséquences de ce qui se passe
réellement sur cette planète, et la réalité
est veille de cogner à la porte de nos chères petites illusions,
nos comfortables vies organisées.
Nous sommes en panne de valeurs humaines orientées dans le sens
de la vie. On souffre d`indifférence et de mollesse d`esprit. Pourtant,
ça nous concerne tous. Les poussières radioactives sont
transportées par les vents à travers le monde. Quelques
semaines seulement après le début de la guerre d`aggression
et d`occupation illégale de l`Iraq, les détecteurs en Angleterre
enregistraient déjà des hausses significatives de radioactivité
dans l`air, en provenance du Moyen-Orient… Pensez-y.
Il n’y a aucune justification qui peut expliquer le biocide commis
sur la planète Terre avec des armes de destruction massive comme
l’uranium appauvri, aucune justification pour rendre acceptable
quelque guerre que ce soit.
Ça suffit.
Article 9
Site Internet : armees.com
Les armes à l’uranium appauvri
publié le vendredi 2 avril 2004
Par LEUREN MORET
L’usage des armes à l’uranium appauvri par les Etats-Unis,
annihilera doucement toutes les espèces sur terre y compris l’espèce
humaine, et pourtant ce pays continue à le faire en pleine connaissance
de leur potentiel destructeur.
Depuis 1991, les Etats-Unis ont mené quatre guerres utilisant des
armes à l’uranium appauvri, (...) (Note : l’OTAN affirme
: « L’uranium appauvri n’est pas illégal. C’est
une arme de guerre légale. Fin de l’histoire. Nous l’avons
utilisée, c’est légal ». De fait, il n’existe
à l’heure actuelle aucune convention internationale interdisant
de manière expresse l’usage d’uranium appauvri, ni
même aucun consensus en ce sens, comme le montre aisément
la pratique des Etats.). L’usage continu de ces armes radioactives,
qui ont déjà contaminé de vastes régions avec
un faible niveau de radiation et qui contamineront d’autres parties
du monde, est vraiment une affaire mondiale et un sujet international.
L’intention plus profonde en est révélée en
comparant les régions maintenant contaminées à l’uranium
appauvri ¬ de l’Egypte, du Moyen Orient, d’Asie Centrale
et de la moitié nord est de l’Inde ¬ avec les impératifs
géostratégiques US décrits dans le livre de Zbigniew
Brzezinski en 1997 « Le Grand Echiquier ».
Région du Sud* :« *Cette vaste région secouée
de haines versatiles et entourée de puissants voisins en compétition
peut probablement être un champ de bataille majeur, autant pour
des guerres entre états-nations que plus probablement, pour la
prolongation de la violence ethnique et religieuse. Que l’Inde se
restreigne ou qu’elle saisisse l’opportunité d’imposer
sa volonté au Pakistan affectera grandement les possibilités
régionales de conflits probables. Les tensions internes entre la
Turquie et l’Iran vont probablement non seulement s’aggraver
mais réduire considérablement le rôle stabilisateur
que ces états sont capables de jouer dans cette région volcanique.
De tels développements rendront plus difficile l’intégration
de la nouvelle Asie Centrale dans la communauté internationale
affectant négativement dans le même temps la sécurité
sous domination US du Golfe Persique. Dans tous les cas, les US et la
communauté internationale peuvent peut-être se retrouver
là face à un challenge qui minimisera la récente
crise de l’Ancienne Yougoslavie. » Brzezinski.
Le fait est que les US et leurs partenaires militaires ont mis en place
quatre guerres nucléaires utilisant de sales bombes et de sales
armes dans les pays qu’ils ont besoin de contrôler. Sous forme
d’aérosols l’uranium appauvri contaminera en permanence
de vastes régions et détruira doucement le futur génétique
des populations vivant dans ces régions où se trouvent des
ressources que les US doivent contrôler pour établir et maintenir
leur primauté.
Décrit comme le Cheval de Troie de la guerre nucléaire,
l’uranium appauvri est l’arme qui continue à détruire.
La demie-vie de l’uranium-238 est de 4.5 milliards d’années,
l’age de la Terre. Et, comme l’uranium-238 dégénère
en sous-produits radioactifs, en quatre étapes avant de se transformer
en graphite, il continue d’émettre plus de radiations à
chaque étape. Il n’y a pas moyen de l’arrêter,
et il n’y a pas moyen de le nettoyer. *Il s’accorde avec la
propre définition du Gouvernement US des Armes de Destruction Massive.
Après la formation de microscopiques et nanoscopiques particules
insolubles d’oxyde d’uranium sur le champ de bataille, celles-ci
restent suspendues dans l’air et voyagent autour de la Terre comme
composantes radioactives de la poussière cosmique, contaminant
l’environnement, tuant sans discrimination, mutilant et causant
des maladies à tout ce qui vit là où la pluie, la
neige et l’humidité les prélèvent de l’atmosphère.
La contamination radioactive mondiale issue des essais atmosphériques
équivalait à 40.000 bombes d’Hiroshima, et elle continue
à contaminer l’atmosphère et la basse altitude aujourd’hui.
La quantité de pollution de basse-radioactivité à
l’uranium appauvri depuis 1991 est de nombreuses fois supérieure
(déposée à l’intérieur du corps) aux
retombées émises lors des tests atmosphériques.
Un rapport indépendant établi en 2003 par le Comité
Européen sur le Risque des Radiations (ECRR) pour le Parlement
Européen, déclare sur la base d’études de Tchernobyl
que le risque lié à la basse-radioactivité est de
100 à 1.000 fois supérieur aux estimations du Comité
International pour la Protection contre les Radiations basées sur
des études erronées conduites par les US. Se référant
aux effets extrêmement meurtriers des radiations sur les systèmes
biologiques, Dr Rosalie Bertell, l’une des 46 experts internationaux
en radiations du rapport de l’ECRR, le décrit ainsi :
« Le concept d’annihilation de l’espèce signifie
une fin relativement prompte et délibérément induite
de l’histoire, de la culture, de la science, de la reproduction
biologique et de la mémoire. C’est l’ultime rejet humain
du cadeau de la vie, un acte qui nécessite un nouveau mot pour
le décrire : omnicide. »
________________________________________
Le « Manhattan Project 1943 » modèle pour l’uranium
appauvri
Dans une note déclassée au Général Leslie
R. Groves, datée du 30 Octobre 1943, trois des plus importants
physiciens du Projet Manhattan, Dr James B. Conant, A.H .Compton et H.C.
Urey, firent leurs recommandations, en tant que membres du Sous-Comité
de l’Exécutif S-1, sur l’ « Usage de Matériaux
Radioactifs comme Arme Militaire. » :
« Utilisé comme gaz de guerre, le matériau serait
pulvérisé en particules de taille microscopique pour former
de la poussière et de la fumée et mis à feu au sol
par des lance-projectiles, des véhicules de terrain, ou des bombes
aériennes. Sous cette forme, il serait inhalé par le personnel.
La quantité nécessaire pour causer la mort de la personne
qui inhale le matériau est extrêmement petite... Il n’y
a pas de méthodes de traitement connues à de telles blessures...
cela traversera un filtre de masque à gaz standard en quantités
assez grandes pour être extrêmement dommageables. »
Comme Contaminant de Terrain :
« Pour être utilisé de cette manière, le matériau
radioactif devrait être répandu sur le sol soit par voie
aérienne ou à partir du sol, si en territoire contrôlé
par l’ennemi. Afin d’interdire le terrain à l’un
ou l’autre côté, excepté aux dépends
d’exposer du personnel aux radiations malfaisantes...Des endroits
ainsi contaminés par le matériau radioactif seraient dangereux
jusqu’à ce que la lente décomposition naturelle du
matériau s’effectue...pour le terrain courant il n’y
a pas de méthodes de décontamination connues. Le développement
de vêtements de protection efficaces pour le personnel ne semble
pas possible. ...Des réservoirs ou des puits seraient contaminés
ou la nourriture empoisonnée avec un effet similaire à celui
résultant de l’inhalation de la poussière ou de la
fumée. »
Exposition interne :
« ...Les particules inférieures à 1 micron se déposeraient
plus probablement dans les alvéoles où soit elles resteraient
indéfiniment, soit elles seraient absorbées par le système
lymphatique ou le sang...pourraient pénétrer le système
gastro-intestinal à partir de l’eau polluée, ou de
la nourriture, ou de l’air. ...pourraient être prélevées
des poumons ou du système G-I par le sang et ainsi, distribuées
à travers le corps. »
Les deux produits de fission et le déchet uranium appauvri issus
du Projet Bombe Atomique devaient être utilisés dans le cadre
de ce plan. La nature pyrophorique de l’uranium appauvri, qui le
fait commencer à brûler à la très basse température
de la friction dans le canon de l’arme, en fit dès lors et
jusqu’à maintenant une arme à gaz radioactif idéale.
Il était aussi plus disponible parce que la quantité d’uranium
appauvri produite était beaucoup plus grande que la quantité
de produits de fission produite en 1943.
La Grande-Bretagne pensait à l’utilisation de gaz empoisonné
sur l’Irak bien avant 1991 :
« Je suis fortement favorable à l’utilisation de gaz
empoisonné contre les tribus non-civilisées. L’effet
moral devrait être bon...et il répandrait une vive terreur...
» (Winston Churchill commentant l’usage de gaz empoisonné
contre les Irakiens après la Première Guerre Mondiale).
SYSTEMES D’ARMES GUIDEES
Les armes à l’uranium appauvri ont été fournies
en premier par les US à Israël pour un usage sous supervision
US dans la guerre du Sinaï contre les Arabes en 1973. A partir de
là les US ont testé, manufacturé et vendu des systèmes
d’armes à uranium appauvri à 29 pays. Un tabou international
empêcha leur utilisation jusqu’en 1991, quand les US brisèrent
le tabou et les utilisèrent pour la première fois sur les
champs de bataille d’Irak et du Koweït.
Les militaires US admettent utiliser des projectiles à uranium
appauvri dans des tanks et des avions, mais la présence d’ogives
dans des missiles et des bombes est classifiée ou désignée
comme un « dense » ou « mystérieux métal
». Dai Williams, un chercheur de la Conférence Mondiale sur
les Armes à l’Uranium Appauvri de 2003 a rapporté
l’existence de 11 brevets pour systèmes d’armes guidées
utilisant le terme « uranium appauvri » ou « métal
dense », dont la densité ne peut-être que celles de
l’uranium appauvri ou du tungstène pour s’adapter aux
dimensions de l’ogive.
Des bombardements intensifs, des bombardements sélectifs, et l’usage
fréquent de missiles et de balles à l’uranium appauvri
sur les habitations de régions densément peuplées
ont eu lieu en Irak, en Yougoslavie et en Afghanistan. La découverte
en 1999 que des cratères de bombes en Yougoslavie étaient
radioactifs, et qu’un missile non-explosé contenait une ogive
d’uranium appauvri, implique que la quantité totale d’uranium
appauvri utilisé depuis 1991 a été grandement sous-estimée.
Ce qui est encore plus inquiétant, est que 100% de l’uranium
appauvri des bombes et missiles est vaporisé dès l’impact
et immédiatement libéré dans l’atmosphère.
Cette quantité peut aller jusqu’à 1,5 tonnes pour
les grosses bombes. Pour les balles et les obus, la quantité vaporisée
est de 40-70%, laissant des morceaux et des obus non-explosés dans
l’environnement, qui seront de nouvelles sources de poussière
radioactive et de contamination des eaux souterraines par le métal
dissout de l’uranium appauvri, longtemps après la fin des
batailles, comme rapporté par le Programme de l’ONU pour
l’Environnement sur la Yougoslavie dans un rapport de 2003.
Considérant que les US ont admis avoir utilisé 34 tonnes
d’uranium appauvri sous forme de balles et d’obus en Yougoslavie,
et le fait que 35.000 missions de bombardements de l’OTAN y ont
eu lieu en 1999, la quantité potentielle d’uranium contaminant
la Yougoslavie et sa dérive transfrontalière dans les pays
environnants est colossale.
A cause de maladies mystérieuses et de naissances défectueuses
après la guerre rapportées parmi des Vétérans
du Golfe ainsi que des civils dans le sud de l’Irak, et de maladies
relatives aux radiations chez des Casques Bleus de l’ONU servant
en Yougoslavie, des inquiétudes grandissantes au sujet des effets
des radiations et des dommages causés à l’environnement
ont soulevé l’outrage international quant à l’utilisation
d’armes radioactives par les US après 1991. A la réunion
2003 des membres du Traité de Non-prolifération Nucléaire
discutant le désir US de maintenir leur stock d’armes nucléaires,
le Major Tadatoshi AKIBA d’Hiroshima a déclaré :
« Il incombe au reste du monde...de se lever maintenant et de dire
à tous nos chefs militaires que nous refusons d’être
menacés ou protégés par des armes nucléaires.
Nous refusons de vivre dans un monde de peur continuellement recyclée
et de haine. »
________________________________________
ILLEGALES DEVANT LE DROIT INTERNATIONAL
Quatre raisons pour lesquelles l’utilisation des armes à
uranium appauvri viole la Convention de l’ONU des Droits Humains
:
TEST DE LEGALITE DES ARMES DEVANT LE DROIT INTERNATIONAL
TEST DE TEMPORALITE Les armes ne doivent pas continuer à agir une
fois la bataille terminée.
TEST ENVIRONNEMENTAL ¬ Les armes ne doivent pas être indûment
malfaisantes pour l’environnement.
TEST TERRITORIAL Les armes ne doivent pas agir hors du champ de bataille.
TEST D’HUMANITE¬ Les armes ne doivent pas tuer ou blesser inhumainement.
L’avocate et humanitaire de International Human Rights, Karen Parker,
a déterminé que l’armement à uranium appauvri
échoue aux quatre tests des armes légales devant le droit
international, et qu’il est aussi illégal sous la définition
d’une arme « poison ». (Note : Il n’y a aucun
traité spécifique interdisant l’usage de projectiles
à uranium appauvri. Des inquiétudes et un débat scientifique
se développent actuellement au sujet des conséquences de
l’utilisation de tels projectiles et il est possible que, dans le
futur, il y ait, dans les cercles juridiques internationaux, un consensus
estimant que l’utilisation de tels projectiles est contraire aux
principes généraux du droit applicables à l’utilisation
des armes dans les conflits armés. Aucun consensus de ce genre
n’existe à présent). Grâce aux efforts continus
de Karen Parker, une sous-commission de la Commission des Droits Humains
de l’ONU a déterminé en 1996 que *l’uranium
appauvri est une arme de destruction massive *qui ne devrait pas être
utilisée :**
RESOLUTION 1996/ 16 SUR L’ARRET DE L’UTILISATION DE L’URANIUM
APPAUVRI ¬ UA
L’utilisation militaire de l’UA viole la législation
internationale humanitaire actuelle, incluant le principe qu’il
n’y a pas de droit illimité au choix des moyens et méthodes
de guerre (Art. 22 Convention VI de La Haye (HCIV) ; Art. 35 du Protocole
Additionnel de Genève (GP1) ; l’interdiction de causer d’inutiles
souffrances et des blessures superflues (Art. 23 §le HCIV ; Art.
35 §2 GP1), la guerre aveugle (Art. 51 §4c et 5b GP1) aussi
bien que l’utilisation de poison ou d’armes empoisonnées.
Le déploiement et l’utilisation de l’UA violent les
principes de protection des droits internationaux humains et environnementaux.
Ils contredisent le droit à la vie établi par la résolution
1996/16 du sous-comité à l’ONU des Droits Humains.
QUATRE GUERRES NUCLEAIRES
Bien que restreinte aux champs de bataille d’Irak et du Koweït,
la Guerre du Golfe de 1991 a été l’une des plus toxiques
et dévastatrices pour l’environnement de l’histoire
du monde. Incendies de puits de pétrole, bombardement de pétroliers
et de puits qui répandirent des millions de litres de pétrole
dans le Golfe d’Arabie et le désert, et la dévastation
des réservoirs et des équipements lourds ont détruit
l’écosystème du désert. Les effets à
long terme et de grande envergure, et la dispersion d’au moins 340
tonnes d’armes à uranium appauvri, ont eu un effet environnemental
mondial. De la fumée des feux de pétrole a été
trouvée plus tard sous forme de dépôts en Amérique
du Sud, dans l’Himalaya et à Hawaï. Les grands vents
de sable annuels qui partent d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient,
et d’Asie Centrale répandront rapidement la contamination
radioactive autour du monde, et le fil des saisons sur les vieilles munitions
à uranium appauvri des champs de bataille et autres régions
produira de nouvelles sources de contamination radioactive dans les années
futures. Sous le vent de la dévastation radioactive de l’Irak,
Israël souffre aussi une grande augmentation de cancers du sein,
de leucémies et de diabète infantile.
LE RAYONNEMENT NE RESPECTE AUCUNE FRONTIERE, AUCUNE CLASSE SOCIO-ECONOMIQUE,
AUCUNE RELIGION.
.../...Près de 700.000 vétérans de la Guerre du Golfe
rentrèrent aux US d’une guerre qui ne dura que quelques semaines.
Aujourd’hui plus de 240.000 d’entre eux sont en incapacité
médicale permanente, et plus de 11.000 sont morts. Une étude
du Gouvernement US sur les bébés nés après
la guerre de 251 vétérans, rapporte que 67% des bébés
présentent de graves maladies ou de graves anomalies congénitales.
Ils sont nés sans yeux, sans oreilles, avaient des organes manquants,
les doigts palmés, des disfonctionnements de la thyroïde et
autres. L’uranium appauvri contenu dans le sperme des soldats a
contaminé leurs femmes. De sévères anomalies congénitales
ont été rapportées chez des bébés nés
de civils contaminés en Irak, Yougoslavie, et Afghanistan et l’incidence
et la gravité des anomalies s’accroissent avec le temps.
Les femmes de Yougoslavie, d’Afghanistan et d’Irak ont maintenant
peur d’avoir des bébés, et quand elles accouchent,
au lieu de demander si c’est une fille ou un garçon, elles
demandent « est-ce qu’il est normal ? »
.../...
Dr Keith Baverstock, un conseiller expert en rayonnement qui était
en charge à l’OMS, participa à un rapport ( http://www.mindfully.org/Nucs/DU-Radiological-Toxicity-WHO5nov01.htm
) en novembre 2001, avertissant que les effets à long terme de
l’uranium appauvri mettraient en danger les populations civiles
d’Iraq, et que la sécheresse du climat augmenterait l’exposition
aux minuscules particules environnantes qui seraient inhalées pendant
des années à venir. L’OMS lui refusa la permission
de publier son étude, cédant à la pression de l’Agence
Internationale à l’Energie Atomique. Dr Baverstock livra
le rapport compromettant aux médias ( http://www.mindfully.org/Nucs/2004/DU-WHO-Suppressed22feb04.htm/
) en février 2004. Pekka Haavisto, président de l’Unité
d’Evaluation des Conflits d’après-guerre du Programme
pour l’Environnement de l’ONU à Genève, partage
l’anxiété de Baverstock à propos de l’uranium
appauvri, mais ses experts n’ont pas été autorisés
à se rendre en Irak pour évaluer la pollution.
« PEUR DE L’URANIUM APPAUVRI. » - clamée par
G.W.Bush sur le site officiel de la Maison Blanche :
« Pendant la guerre du Golfe, les forces de la coalition ont utilisé
des munitions perforantes faites en uranium appauvri, lequel est idéal
dans ce cas pour sa grande densité. Ces dernières années,
le régime Irakien a commis de substantiels efforts pour promouvoir
la fausse plainte que les tirs à uranium appauvri des forces de
la coalition ont causé des cancers et des anomalies congénitales
en Irak. L’Irak a distribué d’horribles photos d’enfants
avec des malformations de naissance et les a reliés à l’uranium
appauvri. La campagne a deux ateliers de propagande majeurs. »
« Uranium est un nom qui a d’effrayantes associations dans
l’esprit de la moyenne des gens, ce qui fait le mensonge relativement
facile à vendre ; et l’Iraq pourrait tirer avantage d’un
réseau international établi d’activistes anti-nucléaires
qui ont déjà lancé leur propre campagne contre l’uranium
appauvri. »
« Mais des scientifiques qui travaillent pour l’Organisation
Mondiale pour la Santé, le Programme Environnemental de l’ONU,
et l’Union Européenne n’ont trouvé aucun effet
sur la santé lié à l’exposition à l’uranium
appauvri. »
La guerre US en Afghanistan montra clairement que ce n’était
pas une guerre DANS le tiers-monde, mais une guerre CONTRE le tiers-monde.
En Afghanistan où 800 à 1.000 tonnes d’uranium appauvri
ont été estimées avoir été utilisées
en 2001, même les Afghans sans instruction comprennent l’impact
que ces armes ont eu sur leurs enfants et sur les futures générations.
« Après que les Américains aient détruit notre
village et tué beaucoup d’entre nous, nous avons aussi perdu
nos maisons et n’avons rien à manger. Cependant nous aurions
enduré ces misères et les aurions même acceptées,
si les Américains ne nous avaient pas tous condamnés à
mort. Quand j’ai vu mon petit-fils déformé, j’ai
réalisé que mes espoirs pour le futur avaient disparu pour
de bon, différemment du désespoir du barbarisme Russe, même
si à cette époque j’ai perdu mon fils aîné
Shafiqullah. Cette fois, cependant, je sais que nous faisons partie du
génocide invisible que les US nous ont apporté, une mort
silencieuse de laquelle je sais que nous ne nous évaderons pas.
»
(Jooma Khan de la province de Lagham, mars 2003)
En 1990, l’Autorité à l’Energie Atomique du
Royaume Uni (UKAEA) écrivit un rapport avertissant de la catastrophe
potentielle pour la santé et l’environnement de l’utilisation
des armes à uranium appauvri. Les effets sur la santé étaient
connus depuis longtemps. Le rapport envoyé au Gouvernement du Royaume
Uni avertissait « dans leur estimation, si 50 tonnes de poussière
résiduelle d’UA restent « dans la région »
il pourrait y avoir un demi million de cancers en plus à la fin
du siècle [2000]. » Les estimations d’armes à
uranium appauvri utilisées en 1991, vont maintenant de 325 tonnes
admises par le Pentagone, à 900 tonnes selon d’autres corps
scientifiques. Cela porterait l’estimation du nombre de cancers
à 9.000.000, selon la quantité utilisée pendant la
guerre du Golfe de 1991. Dans la guerre du Golfe de 2003, des estimations
de 2.200 tonnes ont été données ¬ causant à
peu près 22.000.000 de nouveaux cas de cancer. Dans son ensemble,
le nombre total de patients atteints de cancer estimé en utilisant
les données de l’UKAEA serait de 25.250.000. En juillet 1998,
la CIA estimait la population de l’Iraq aux environs de 24.683.313.
Ironiquement, la résolution 661 de l’ONU appelant à
des sanctions contre l’Irak, a été signée le
jour anniversaire d’Hiroshima, le 6 août 1990.
LES PARALLELES
« La guerre ne peut réellement causer aucun boum économique,
au moins pas directement, puisque une augmentation de richesse ne peut
jamais résulter d’une destruction de biens. »
Ludwig von Mises
Les parallèles entre l’Iraq, la Yougoslavie et l’Afghanistan
sont étonnamment similaires. Les armes utilisées, les traités
injustes offerts par les US, et le bombardement et la destruction de l’environnement
et de toutes les infrastructures. Dans chaque ville d’Irak et de
Yougoslavie, la télévision et des stations de radios ont
été bombardées.
Les centres d’éducation étaient visés, et les
magasins où était vendu le matériel éducatif
étaient détruits presque le même jour. Pendant la
durée des sanctions de l’ONU, l’Iraq n’avait
même pas droit à des stylos pour les écoliers. Des
antiquités culturelles et des trésors historiques ont été
visés et détruits dans les trois pays, un genre de nettoyage
culturel et historique, un traumatisme psychologique national collectif.
La contamination radioactive permanente et la dévastation environnementale
de ces trois pays est sans précédent, s’ensuivant
une énorme augmentation de cancers et de malformations congénitales
suite aux attaques. Celles-ci s’amplifieront au cours du temps d’effets
inconnus dus à l’exposition chronique, à l’augmentation
du niveau interne de rayonnement de la poussière d’UA et
des effets génétiques permanents transmis aux générations
futures. En clair, il s’agit d’un plan de génocide
depuis le début.
Qu’est-il arrivé aux Droits Humains, aux Droits de l’Enfant,
à la société civile et à communauté
humaine ?
C’est aux citoyens du monde d’arrêter les guerres à
l’uranium appauvri, et les futures guerres nucléaires, responsables
de dévastations irréversibles. Il ne reste que quelques
générations épargnées avant l’effondrement
de notre environnement, et après il sera trop tard. Nous ne pouvons
pas être en meilleure santé que ne l’est notre environnement
¬ nous respirons le même air, buvons la même eau, mangeons
la nourriture du même sol.
« Notre patrimoine génétique collectif, évoluant
depuis des millions d’années, a été sérieusement
endommagé ces cinquante dernières années. Le temps
restant pour renverser cette culture de « moutons de Panurge »
nous est compté. Dans le futur, que direz-vous à vos petits-enfants
de ce que vous avez fait du meilleur de votre vie pour contrer ce processus
de mort ? » (Rosalie Bertell, 1982)
________________________________________
LES RAISONS PROFONDES : G*O*D* [Gold, Oil, Drugs] [ Or, Pétrole,
Drogues]
« Nous devons devenir les propriétaires, ou à tout
prix les contrôleurs à la source, d’au moins une proportion
du pétrole dont nous avons besoin. »
(Commission Britannique Royale, s’accordant à la politique
de Winston Churchill envers l’Irak 1913 ).
« Il est clair que notre nation soit dépendante d’une
grande quantité de pétrole étranger. De plus en plus
de nos importations proviennent d’outre-mer. »
(US Président G.W. Bush, Beaverton, Oregon, 25 septembre 2000).
« S’ils branchent les radars nous allons faire exploser leurs
maudits SAMs (missiles à décollage vertical). Ils savent
que nous possédons leur pays. Nous possédons leur espace
aérien... Nous dictons leur manière de vivre et de parler.
Et c’est ce qu’il y a de grand dans l’Amérique
d’aujourd’hui. C’est une bonne chose, spécialement
quand il y a beaucoup de pétrole là-bas dont on a besoin.
»
(US General William Looney en 1999, se référant à
l’Irak).
Par LEUREN MORET
Article 10
Site Internet : toutsaufsarkozy.com
Michel Gourmel
Les sorciers de l’apocalypse:
Gaza, le massacre ne s’est pas fait tout seul !
Certains scientifiques, avec la connivence des médias, l’aide
et l’argent de l’armée, ainsi que la complicité
des puissants préparent en permanence les massacres auxquels nous
assistons ensuite … impuissants … !
Le rôle de la presse sur l'armement et sur
la guerre peut-être, en fonction des besoins :
* le plus souvent de censurer ce qui se passe,
2 exemples :
a- Sous le mauvais prétexte qu’Israël
a interdit la zone aux journalistes, « circulez y a rien à
voir ». beaucoup de journalistes qui dans ce cas sont bien obéissant
et n’y voient pas de quoi fouetter un chat, alors que dans d’autres
circonstances ils s’indignent à longueur de colonnes.
b- Maintenir les gens dans l’ignorance des
nano-technologies utilisées pour la guerre
* soit obnubiler, scotcher les lecteurs sur un
détail sans importance : les bombes au phosphore blanc,
* soit utiliser un mensonge associé à
une semi-vérité pour faire croire à une chose alors
que c’en est une toute autre qu’il faudrait connaître
pour pouvoir comprendre : les bombes à uranium appauvri (encore
que souvent la censure reigne sur ce sujet).
* Ils sont prêts à recommencer :
les US.A. ont envoyé à Israël ces derniers jours, un
chargement d'armes d'une ampleur exceptionnelle.
* On objectera que peu de témoignages des grands médias
dominants vont dans le sens de ce qui est écrit ici. Il ne faut
pas oublier que si Israël a interdit Gaza aux journalistes, ce n'est
pas un hasard, mais bien parce qu'ils avaient l'intention de commettre
des crimes atroces. Ne pas en parler, c'est donc se soumettre aux criminels
et s'en faire les complices, comme les grands médias.
--------------------------------------------------------------------------------
1) Maintenir les gens dans l’ignorance des nanotechnologies utilisées
pour la guerre
(info de Miss Moon)
1-A) Grâce à la collaboration de
chercheurs américains, français, grenoblois, toulousains,
Israël emploie les dernières percées des nanotechnologies
(…)
- vidéosurveillance "intelligente"
de la Bande de Gaza : caméras couplées à la biométrie
pour la reconnaissance faciale, fournies par la société
américaine Visionics ;
- drones : avions sans pilote utilisés
depuis longtemps par Israël pour la surveillance ; depuis mars 2006,
EADS et l'IAI (Israeli Aircraft Industries) coopèrent
pour la production de drones, dans le cadre de l'opération "Système
intérimaire de drones mâles" (SDIM)2 ;
- "frelon bionique" : minuscule robot
capable de pister, détecter et tuer une cible dans des zones difficiles
d'accès, grâce à ses composants nanotechnologiques
– développé depuis 2006 ;
- nano-armes et poussières de surveillance
(…)
1-B) Les 19 et 20 janvier 2009, la Chambre de
Commerce France-Israël Toulouse Midi-Pyrénées a organisé
un séminaire à Toulouse avec le techno-gratin local. Intitulé
"NBI to life" ("Nano-Bio-Info-technologies à la
vie"), "ce séminaire avait pour objet de renforcer les
relations académiques, industrielles et économiques"
entre la région Midi-Pyrénées et Israël. Étaient
notamment invités les représentants des labos toulousains,
du Pôle de compétitivité Cancer Bio Santé (le
cancer, c'est excellent pour la compétitivité), dont bien
sûr Alain Costes, VRP local des nanos, et, côté israélien,
des dirigeants et chercheurs du Technion – l'Israel Institute of
Technology – et des représentants de l'Israel National Nanotechnology
Initiative.
Bref, une rencontre internationale parmi les dizaines
organisées par le techno-gratin chaque année pour l'édification
du nanomonde.
http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=188
--------------------------------------------------------------------------------
2) Obnubiler, scotcher les lecteurs sur un détail sans importance
: les bombes au phosphore blanc, Autrefois on parlait des bombes au phosphore.
Pour désorienter le lecteur on parle de bombes au phosphore blanc.
Quand il est solide, le phosphore existe dans
3 états possibles dits amphotères : Le phosphore blanc,
le phosphore rouge ou le phosphore noir (peu connu).
Ses propriétés sont un peu différentes
suivant la couleur, il est toujours très inflammable, un peu plus
(blanc) ou un peu moins (rouge) suivant les objectifs à atteindre,
les dégâts que l'on veut provoquer : incendie, brûlure,
asphyxie, rideau de fumée, etc.. Que les bombes utilisées
soient au phosphore blanc ou rouge, c’est un problème de
militaires, l'essentiel est ailleurs :
Le protocole III de la Convention sur certaines
armes classiques (CCWC), signée le 10 octobre 1980 à Genève
et est entrée en vigueur le 2 décembre 1983, interdit les
armes incendiaires contre des civils, et même contre des bases militaires
situées « à l’intérieur d’une concentration
de civils ».
Responsables de l'ONU, d'organisations de défense
des droits de l'homme et Amnesty International ont déclaré
que le tir, par l'armée israélienne dans son offensive majeure
contre le Hamas dans la Bande de Gaza, des obus de phosphore blanc dans
des secteurs à forte densité de population constituait un
crime de guerre.
Israël n'a pas reconnu publiquement avoir
utilisé ces armes.
(Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/international/proche_moyenorient/20090121.FAP9852/ouverture_dune_enquete_israelienne_sur_lutilisation_de_.html)
Et maintenant Israël cherche à noyer
le poisson : Ouverture d'une enquête israélienne sur l'utilisation
de phosphore blanc dans l'opération "Plomb durci" à
Gaza ! ! ! Il serait étonnant qu’ils trouvent quelque chose
après avoir interdit l’accès à tous. Les militaires
israéliens sont des spécialistes mondiaux du mensonge !
* Sur les bombes au phosphore lancées contre
Gaza
http://metalogie.blog.lemonde.fr/2009/01/09/sur-les-bombes-au-phosphore-lancees-contre-gaza/
(N.B. : ne pas confondre le phosphore avec les
phosphates ou ses autres dérivés).
--------------------------------------------------------------------------------
3) soit utiliser un mensonge associé à une semi-vérité
pour faire croire à une chose alors que c’en est une toute
autre qu’il faudrait connaître pour pouvoir comprendre : les
bombes à uranium appauvri.
Quand on parle de bombes à uranium appauvri,
la réponse fuse, "bah puisque c'est appauvri, c'est pas bien
méchant". Et le tour est joué ! ! ! Il n'en est rien
:
3-A) Pourquoi une bombe à uranium appauvri
?
l'Uranium est un métal de densité
d=19,05, beaucoup plus lourd que le plomb d=11,34 ou le mercure d=13,5
! ! !
De plus, l'uranium est pyrophorique et il est
donc employé comme arme antichar, car ayant un fort pouvoir pénétrant
et incendiaire. À très haute vitesse, il perfore aisément
même les blindages ou une construction en s'enflammant lors de l'impact,
provoquant un incendie qui fait exploser le véhicule visé
ou l'édifice semant la mort et la dévastation. Un gros nuage
d'oxyde d'uranium se dégage et est entraîné par le
vent.
L'uranium se compose essentiellement d'Uranium
235 (0,7 %) et d'uranium 238 (99,3 %) ; on appelle çà 2
isotopes.
Ce qui est recherché dans l'industrie nucléaire,
c'est le 235 car il est fissible, c'est à dire que le noyau peut
se fendre et exploser facilement mais pas tout seul ce qui permet de le
maîtriser.
Comme l'uranium 235 est très faible pourcentage
dans la nature, il faut des quantités de centrifugeuses (penser
à l'Iran) pour essayer de concentrer la teneur en uranium 235 et
éliminer le maximum d'uranium 238.
L'uranium appauvri, le vrai, c'est donc de l'uranium
238, pratiquement pur à 100 %, un sous-produit de l'enrichissement
de l'uranium.
Contrairement à une idée reçue,
l'uranium surtout le 238, est très peu radio-actif, beaucoup moins
que la plupart des corps.
Donc si on utilise de l'uranium appauvri vrai,
du 238, on a des dégâts chimiques énormes, mais pas
de dégâts radio-actifs ou nucléaires.
3-B) Le problème, c'est que depuis la 1ère
guerre du golfe, on sait que c'est tout autre chose :
* des soldats y compris des U.S.A. et de leurs
alliés, sont morts "parce qu'ils étaient chétifs
et de mauvaise constitution ou par un des syndromes mystérieux
de la guerre du Golfe" !
* des femmes surtout irakiennes mais parfois aussi
militaires ou épouses de militaires ont été enceinte
de monstres (beaucoup n'ont pu naître, d'autres sont nés...)!
Source ; Le devoir de mémoire :
http://74.125.77.132/search?q=cache:qGCiqZgTnC4J:notrememoire.blogspot.com/2006/08/propos-de-la-premire-guerre-du-golfe.html+guerre+Golfe+monstres&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr&lr=lang_fr
En fait, on trouve dans les os de soldats alliés
ou des populations locales bombardées, d'autres éléments
chimiques présents à l'état de traces tel que le
plutonium et le césium 137 qui sont extraordinairement plus radioactifs
et toxiques que le simple uranium.
C'est la signature, non pas de l'uranium 238,
mais de produits issus de centrales nucléaires. Le césium
137 est un des nombreux produits de la fission (de la cassure) d'un noyau
de plutonium ou d'uranium dans une centrale nucléaire.
Cette signature est confirmée par la présence
de radio-activité anormalement élevée.
Pour complément d'information, taper sur
votre moteur de recherche "syndrome de la guerre du Golfe".
3- C) Conclusion du chapitre : les bombes à
uranium appauvri ne sont pas faites avec ... de l'uranium appauvri ...
! ! !
Mais avec des déchets de centrales nucléaires
jetées dans l'environnement dans les pires conditions ...
L'utilisation de ces armes contamine irrémédiablement
l'environnement ce sont en réalité les déchets de
centrales nucléaires qui sont lancés sur l'ennemi et, à
Gaza, sur la population.
Ces déchets ont bien sûr volé
sur les cultures vivrières d’Israël qui nous les envoie
dans nos assiettes.
Ainsi, des munitions à base d'"uranium
appauvri" (obus de 20 à 30 mm des avions ou hélicoptères
chasseurs de chars) ont été utilisées lors des guerres
du Golfe (guerre du Koweït et guerre en Irak), du Kosovo et donc
aussi contre Gaza.
Source : http://acdn.france.free.fr/spip/article.php3?id_article=468<=fr
§ Remarque : Même le nom de l’opération
israélienne « plomb durci » a été maquillé
en France, et pour une bonne raison !
En effet, des gens qui parlent hébreux
disent que le nom de l’opération en Israël est «
plomb jeté ».
En anglais le nom est : « Operation Cast
Lead » que l’on pourrait traduire par opération «
plomb jeté » également, alors que si le nom était
« plomb durci », la traduction serait plutôt «
operation hardened lead ».
Lorsque l’on sait ce qui s’est passé
avec les bombes dites mensongèrement « à uranium appauvri
», on comprend beaucoup mieux de quoi il s’agit dans l’opération
« plomb jeté » : Lancer des objets extrêmement
lourds, des déchets de centrales nucléaires … sur
Gaza.
--------------------------------------------------------------------------------
§ Conclusion générale : Ils sont prêts à
recommencer : les US.A. ont envoyé à Israël ces derniers
jours, un chargement d'armes d'une ampleur exceptionnelle
http://www.alterinfo.net/Envoi-d-armes-des-Etats-Unis-d-une-ampleur-exceptionnelle-en-Israel-Les-Etats-Unis-et-Israel-projettent-ils-d-etendre-la_a28450.html
Article 11
Site Internet : lepost.fr
EMPOISONNEMENT MASSIF DES PALESTINIENS A L'URANIUM APPAUVRI
Par ThurizaZ
le 03/01/2009
Les bombes à l'Uranium Appauvri pleuvent sur Gaza grâce aux
GBU 39 fournies par les USA ... avec à terme des résultats
catastrophiques tels ceux ci-dessous:
Massacre des Palestiniens de Gaza et empoisonnement des survivants à
l'Uranium Appauvri. La presse israélienne s'est réjouie
des exploits technologiques de son armée de l'air qui utilise des
Smart Bombs GBU 39 à l'Uranium Appauvri pour bombarder leurs cibles
dans la Bande de Gaza, un territoire de 360Km2 d'une densité de
population de 3823h au Km2.
Ces GBU 39, dites Smart Bombs( Bombes Intelligentes)
sont de petites bombes, bon marché, développées par
l'industrie militaire américaine pour frapper des cibles enterrées
du type bunkers. Le congrés américain a donné son
accord en Septembre pour une première fourniture de 1000 de ces
bombes à l'armée israélienne, et la première
livraison a eu lieu début Décembre. Ces GBU 39 ont été
utilisées samedi contre des cibles souterraines et dimanche pour
détruire des tunnels sur la frontière égyptienne.
Ces GBU 39 sont réputées être trés précises,
pèsent 113 Kg, avec une charge explosive de 22,7Kg et ont les mêmes
capacités de pénétration que les bombes de 900 Kg.
Leur petite taille, permet d'augmenter le nombre de bombes transportées
par les avions de combat F15 ou F16 et par conséquent le nombre
de cibles visées ce qui explique la violence des attaques de samedi
principalement sur la ville de Gaza surpeuplée. Le dard de ces
bombes est à l'Uranium Appauvri, UA 238, multipliant sa force de
pénétration, elles peuvent être utilisées par
mauvais temps et ont une portée de 110Km.
l'UA est un redoutable poison chimique et radiologique
qui brûle aisément à l’impact et se réduit
à 90% en particules radioactives extrêmement petites (particules
nanométriques de quelques milliardièmes de mètre)
qui échappent à tout type de masque à gaz. Ces combustions
répétées d’uranium voyagent avec les mouvements
d'air contaminant l’atmosphère et pénétrant
dans les organismes via la respiration. Donc presque tout l’uranium
dont se servent les aviateurs se retrouve en quasi totalité sous
forme « de gaz métallique radioactif invisible dans la biosphère
» que les populations respirent.
Ce n’est pas difficile d’imaginer
les conséquences catastrophiques que de tels bombardements avec
des bombes GBU 39 à l’UA auront sur la population de Gaza
: cancers, malformations congénitales, maladies du système
immunitaire... et ce d'autant plus que la population souffre de malnutrition
chronique et de manque de soins à cause du blocus israélien.
Les conséquences de l'utilisation de bombes à l'UA en Afghanistan
et en Irak sont trés bien documentées, notamment par des
photos insoutenables de nouveaux nés malformés. En larguant
des bombes GBU 39 à l'UA sur des zones densément peuplées
de Gaza, Israël procède à un «nettoyage ethnique»
lent de la population palestinienne qui sera automatiquement contaminée,
et à une destruction de l'environnement. Le gouvernement sioniste
de Tel Aviv n’a pas de chambres à gaz, pas de gaz Zyklon,
il a des Bombes «Intelligentes» pour exterminer le peuple
palestinien, un véritable crime contre l'humanité. Les armements
à l'UA sont illégaux voir explication en pièce jointe.
Par ThurizaZ
Article 12
Gaza: le génocide à l’Uranium
Appauvri a commencé avec les bombes "GBU-39" fournies
par les États-Unis
par ACDN
Mondialisation.ca, Le 7 janvier 2009
Parallèlement à l’offensive terrestre à Gaza,
le génocide à l’Uranium Appauvri a commencé
avec les bombes "GBU-39" fournies par les Etats-Unis
L’armée israélienne (Tsahal)
a lancé hier soir son offensive terrestre contre Gaza - contre
le Hamas et son "jihad", selon le gouvernement israélien.
La presse, les médias internationaux se focalisent sur l’événement,
qui suscite l’indignation ou l’inquiétude de l’opinion
mondiale. Celles-ci seront encore plus grandes lorsque se révélera
le drame qui a commencé le 27 décembre dernier avec les
premiers bombardements israéliens sur Gaza et qui se poursuit de
façon invisible, avec l’emploi par l’aviation israélienne
de bombes "GBU-39" - une "arme intelligente" issue
du "génie militaire" américain, mais aussi une
arme génocidaire.
Les caractéristiques de l’engin
Contrairement à une bombe "gravitationnelle"
qui tombe par son propre poids, ce qui exige une estimation précise
de l’altitude, la distance et la position de l’avion par rapport
à la cible, la "bombe intelligente GBU-39" est un missile
autopropulsé capable d’atteindre par ses propres moyens et
avec une incroyable précision une cible située jusqu’à
60 miles nautiques (110 km) en avant et 40 miles (75 km) à droite
ou à gauche de l’avion au moment du largage. Apte à
voler par tous les temps, le missile peut même décrire un
cercle et frapper une cible fixe située derrière l’avion.
Il est guidé vers sa cible par un système embarqué
de positionnement par GPS et de calcul de trajectoire. Ce système
est préprogrammé mais peut être reprogrammé
à tout moment et à distance, à partir des installations
au sol.
Répondant à un appel d’offres
lancé deux ans plus tôt, la firme Boeing a été
retenue en août 2003, après une sévère compétition
avec Rayteon, pour développer cette "bombe de faible diamètre"
(SDB-Small Diameter Bomb).
La SDB-1 ou GBU-39 a reçu sa certification
en septembre 2005, sa production en série a débuté
en avril 2006, et les premiers exemplaires ont été livrés
à l’US Air Force début septembre 2006, en avance sur
le calendrier et à un coût moins élevé que
prévu (avec un amortissement des recherches sur une commande finale
espérée de 24 000 unités). A cette occasion, le Maj.
Gen. Jeffrey Riemer, responsable de la coordination du programme entre
les différents laboratoires et fournisseurs civils et militaires,
déclarait :
"Nous sommes enthousiasmés (excited) par le déploiement
de cette arme, la SDB-1, qui vient s’ajouter aux diverses options
léthales du F-15E (Strike Eagle) dans la guerre contre le terrorisme."
D’après lui, sa marge d’erreur à l’arrivée
ne dépassait pas 1,20 m.
La SDB-1 ou GBU-39/B est un tube long de 1,80
m environ et de 19 cm de diamètre. Une fois lancé, il déploie
des ailerons arrière et latéraux qui stabilisent sa trajectoire.
Il pèse 130 kg, dont 93 kg pour la tête explosive.
Le F-15E peut en emporter 4 sous son fuselage,
avec un attelage BRU-61 d’un poids total en charge de 664 kg, au
lieu d’un seul missile ordinairement beaucoup plus lourd. Le lancement
de chaque missile est pneumatique et non par mise à feu d’une
cartouche explosive, ce qui supprime l’entretien courant, facilite
la manutention, et accélère le rechargement de l’avion
au retour d’une mission. Celui-ci peut donc effectuer des frappes
multiples et des rotations accélérées.
La précision, la fiabilité et la
charge explosive limitée de la GBU-39, donc aussi sa moindre "léthalité"
(ou capacité meurtrière), réduisent fortement les
risques de "dommages collatéraux". Ce qui permet des
emplois interdits jusque-là : contre des combattants ennemis situés
à proximité immédiate de "troupes amies"...
ou au milieu d’une population civile amie, neutre ou ennemie, que
l’on est censé épargner d’après les "lois
de la guerre" et le droit international. L’idéal, en
somme, pour la guerre "anti-guérilla" ou "anti-terroriste"...
Dès le 5 octobre 2006, un mois après
leur livraison aux Etats-Unis, deux avions F-15E "Strike Eagles"
appartenant à la 494e Escadrille de Combat déployée
en Asie du Sud-Est, en utilisaient des exemplaires pour la première
fois contre des cibles réelles, en soutien aux troupes terrestres
agissant en Irak.
Le général North célébrait
l’événement dans les termes suivants :
"Grâce à sa taille réduite, nos avions peuvent
en emporter sur le champ de bataille un nombre accru, apportant ainsi
aux combattants au sol davantage de possibilités de défendre
leurs positions, en détruisant avec précision des cibles
qui pourraient menacer les vies de soldats américains, de la coalition
ou irakiens."
"La SDB est exceptionnellement qualifiée
pour des cibles urbaines exigeant une grande précision et des dommages
collatéraux réduits, et pour des missions de soutien aérien
rapproché auxquelles nos équipages se trouvent confrontés
dans le cadre des opérations "Iraqi Freedom" et "Enduring
Freedom". Nous sommes maintenant en mesure d’intervenir en
des endroits où les dommages collatéraux pourraient être
un souci."
La SDB-1 présente une autre caractéristique
que la fiche technique de Boeing et la presse israélienne se gardent
de préciser. En effet, sur les 93 kg attribués par Boeing
à la tête (warhead), 23 sont dus à l’explosif
proprement dit, de haute performance. Le reste, soit une cinquantaine
de kilos, n’est autre que de l’Uranium Appauvri.
Celui-ci présente un avantage supplémentaire
: sa haute capacité de pénétration. Il permet à
la GBU-39 de percer au moins 90 cm de béton armé (ou plusieurs
mètres de terre) avant d’exploser.
Une version capable de frapper des cibles mobiles (SDB2) a été
commandée à Boeing, associé cette fois à Lockheed.
Il était prévu que son développement en cours aboutisse
fin 2009. Certaines de ses caractéristiques annoncées correspondent
à celles données par le Jerusalem Post du 28 décembre
2008. Cependant, rien n’autorise à penser que l’armée
de l’air israélienne dispose déjà de tels engins
- à moins que l’offensive contre Gaza ne leur serve de banc
d’essai.
Outre son prix "réduit" (de l’ordre
de 100 000 dollars pièce - tout est relatif...), l’ensemble
de ses caractéristiques faisaient de la GBU-39, version SDB1, l’arme
idéale pour l’offensive israélienne contre Gaza. Sa
précision permettait d’atteindre des cibles fixes prédéfinies,
tout en réduisant les "dommages collatéraux" dans
la population civile (de surcroît avertie par tracts ou par téléphone
mobile d’évacuer au plus vite les cibles, c’est-à-dire
les maisons ou les sites liés au Hamas, à la fabrication,
au stockage ou au lancement de roquettes Qassam contre le sud d’Israël).
Ce qui limite aussi les risques, politique et diplomatique, d’être
accusé de perpétrer des massacres et des crimes de guerre.
Par ailleurs, la capacité de pénétration
de la GBU-39 permettait de détruire aussi bien les sites enterrés
de lancement de roquettes que les 40 boyaux souterrains sous la frontière
entre l’Egypte et Gaza, qui rendent poreux le blocus israélien
et qui ont été frappés dès le premier jour
de l’offensive aérienne.
En septembre 2008, le Congrès américain
a autorisé la vente de 1000 exemplaires à Israël, qui
lui ont été livrés dans les premiers jours de décembre.
La trève de 6 mois acceptée par le Hamas en juin expirait
le 19 décembre. Le 27 décembre, l’offensive israélienne
commençait.
Le problème, c’est que la GBU-39,
si elle limite les risques de crimes de guerre, entraîne avec certitude
le crime contre l’humanité.
Le génocide de Gaza a commencé
Gaza est une étroite bande de terre hébergeant
sur 360 Km2 près d’un million et demi d’habitants,
avec une densité de 3823 habitants au Km2.
Le dard des bombes GBU-39 est à l’Uranium
Appauvri, disions-nous. Mais appauvri en U235 et enrichi en U238, dont
la demi-vie radioactive est de 4,5 milliards d’années.
L’UA est un redoutable poison chimique et
radiologique qui brûle aisément à l’impact et
se transforme en particules radioactives extrêmement petites (particules
nanométriques de l’ordre du millionième de millimètre)
qui échappent à toute barrière et tout type de masque
à gaz. Les produits de ces combustions répétées
d’uranium voyagent avec les mouvements d’air, contaminent
l’atmosphère et pénètrent dans les organismes
via la respiration, l’ingestion ou les moindres blessures. Ainsi,
la majeure partie de l’uranium se retrouve sous forme d’oxyde
d’uranium radioactif invisible dans l’atmosphère que
les populations respirent, tandis qu’une autre partie contamine
les sols, les sous-sols et les nappes phréatiques.
Les conséquences de l’utilisation
de bombes à l’UA en Afghanistan et en Irak sont parfaitement
connues, démontrées et dénoncées par de nombreux
scientifiques - sinon tous, excepté ceux dont le salaire émarge
aux budgets des armées américaine, française, israélienne...
et autres. Elles ont été rendues dramatiquement visibles
par les photos insoutenables de nouveaux nés malformés.
On imagine sans peine les conséquences
catastrophiques que de tels bombardements auront sur la population de
Gaza : cancers, malformations congénitales, maladies du système
immunitaire... et ce d’autant plus qu’elle souffre de malnutrition
chronique et de manque de soins, en raison notamment du blocus israélien.
Lorsqu’il a décidé de larguer
des bombes GBU-39 à l’UA sur des zones densément peuplées
de Gaza, le gouvernement israélien ne pouvait pas ne pas en connaître
les effets.
(...)
Un véritable crime contre l’humanité
s’exécute donc sous nos yeux.
S’agissant de l’Irak, ACDN écrivait
au président de la République française, le 6 avril
2003 :
"La France doit user de tous les moyens dont
elle dispose pour faire cesser le CRIME CONTRE L’HUMANITE qui se
déroule sous nos yeux : l’utilisation de munitions à
"Uranium Appauvri" par les troupes de la coalition anglo-australo-américaine,
utilisation avérée au moins à Bassora et hautement
probable sur d’autres champs de bataille irakiens. Les divers composants
de l’uranium appauvri ont déjà provoqué depuis
la (première) "guerre du Golfe" une catastrophe humanitaire
systématiquement sous-estimée ou niée par les dirigeants
des puissances concernées (France comprise, puisque les militaires
français victimes du "syndrome du Golfe" se voient dénier
tout droit, de même d’ailleurs que les victimes des essais
nucléaires français). Les milliards de particules radioactives
ainsi émises vont transformer l’Irak en une terre inhabitable
pour l’éternité, et retomber sur tout l’hémisphère
Nord où elles accroîtront, avec la radioactivité ambiante,
les "statistiques" anonymes des cancers. A quoi sert-il de lancer
une "campagne nationale contre le cancer" si l’on n’intervient
pas à temps pour prévenir l’expansion de l’une
de ses principales causes ?"
Cette fois, il s’agit de Gaza, de la Palestine
et d’Israël.
Cette fois, le président de la République ne s’appelle
plus Jacques Chirac, mais Nicolas Sarkozy, et il sera dans la région
dès demain pour tenter d’y ramener le calme, à défaut
d’une paix véritable.
Cette fois encore, nous lui disons :
"La France doit faire cesser ce crime contre l’humanité."
Mais pour se faire entendre, elle devra s’engager
elle-même à ne plus produire, vendre, transférer ni
utiliser dans sa propre armée aucune arme à l’Uranium
Appauvri. Au lieu de voter, comme elle l’a fait dernièrement
en la seule compagnie des Etats-Unis et d’Israël, contre toute
résolution de l’ONU cherchant à établir une
commission d’enquête sur les effets de l’UA, la France
doit enfin travailler à l’interdiction universelle des armes
à l’Uranium Appauvri.
(...)
Action des Citoyens pour le Désarmement
Nucléaire (ACDN), le 4 janvier 2009.
Signer la pétition pour l’abandon
et l’interdiction universelle des armes à UA.
|