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Le mouvement altermondialiste français financé à l’origine par les services spéciaux algériens ?

Texte exposant :

- La complicité des dirigeants altermondialistes historiques, Gustave Massiah et Bernard Ravenel (ex-dirigeant de l’AFPS – Association France Palestine Solidarité), dans l’anéantissement de l’opposition aux généraux algériens putchistes de 1992, et dans le million de victimes civiles (tués, blessés et proches) de la décennie 1990-2000 de la guerre des généraux contre l’ensemble de la population algérienne.

- La complicité des dirigeants altermondialistes dans le relais en France de la propagande des généraux algériens, lesquels ont créé de toute pièce les GIA (Groupes Armés Islamiques), pour commettre leurs crimes, tout en criminalisant le FIS (Front Islamique du Salut) vainqueur des élections de 1990 et de 1992, en faisant endosser au FIS la responsabilité de leurs crimes.

- La complicité des dirigeants altermondialistes dans l’anéantissement de la classe intellectuelle algérienne, à travers leur création du CISIA (Comité International de Soutien aux Intellectuels Algériens) patronné par Pierre Bourdieu, à l’EHESS (l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales).

Suivis de quelques écrits d’époque d’un témoin gênant de ces affaires, et résolument insoumise, Ginette Hess Skandrani, avec d’autres, qui est depuis stigmatisée et persécutée par l’extrême gauche française.

Texte pour réviser l’histoire afin de libérer le présent et ouvrir vers avenir, de Michel DAKAR, Paris, le 8 avril 2010.

Ce texte est dédié à Gustave Massiah, mon ex futur directeur de mémoire de fin d'étude, à l'école d'architecture de Paris la Villette.

Illustrations de Ginette Hess Skandrani (voir chapitre 5)

 

1 - Rappel :

L’implantation originelle du fameux mouvement altermondialiste français, qui est le centre réel du mouvement altermondialiste mondial, est à Paris, exactement au 14 de la rue de Nanteuil, dans le 15ème arrondissement. L’achat d’un immeuble permettant de regrouper les organisations qui allaient former l’altermondialisme, eut lieu en 1976.

L’altermondialisme n’est en réalité qu’un euphémisme pour désigner la mondialisation, terme hypocrite qui dissimule l’hégémonie occidentale sur l’ensemble de la planète, soit la conquête de la planète, l’asservissement de ses populations et l’accaparement de ses ressources.

L’altermondialisme prétendait moraliser, justifier la mondialisation, soit rendre légitime une conquête et la servitude et l’exploitation des peuples, par le subterfuge de la « taxe Tobin », consistant à créer un fond pour le développement des pays dominés par l’Occident, pays dénommés pudiquement « tiers-monde » ou « pays en voie de développement », par un impôt prélevé sur les mouvements financiers internationaux.

Ce mouvement altermondialiste est actuellement mené par ceux qu’on peut définir comme étant des « sionistes pro palestiniens », qui s’érigent en protecteur des Palestiniens, et qui monopolisent, dirigent et canalisent en France la lutte pour la survie des Palestiniens. Il est à noter que l’idée même du sionisme impose l’élimination des Palestiniens, que le sionisme n’existe que par l’anéantissement des Palestiniens.

De même que l’altermondialisme, le sionisme pro palestinien est une façon de rendre acceptable l’inacceptable. Il s’agit d’opérer une véritable révolution morale, de provoquer au niveau mondial un renversement complet des valeurs fondamentales de l’humanité, le mal devenant le bien.

Le 14 de la rue de Nanteuil s’est déplacé rue Voltaire dans le 11ème arrondissement de Paris et passage Dubail dans le 10ème, respectivement au CICP – Centre International de Culture Populaire et au CRID – Centre de Recherche International pour le Développement. On y trouve entre autres l’IPAM – Initiative Pour un Autre Monde, Greenpeace dont parmi les fondateurs figurent des membres de la CIA, la Ligue des Droits de l’Homme, qui est une émanation de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme, un des relais des services spéciaux français, Emmaüs ...

Les figures de proues de ce mouvement ont été Bernard Ravenel, communiste, et Gustave Massiah, proche des communistes. Ils sont les figures types des « sionistes pro palestiniens ».

Ce mouvement, ces lieux et ces organisations n’existent que grâce au financement du régime occidental.

Remarque importante :

Le CICP abrite une sorte de service action-repression de ce mouvement, l’organisation Reflexes. Reflexes publie anonymement des textes provoquant à la haine vis-à-vis de ceux qui dérangent l’ordre mondialiste en France. Cette organisation est visiblement documentée par des services policiers. Elle travaille en étroite collaboration avec la CNT, qui est un service d’agression physique agissant sous couvert de syndicalisme anarchiste, et qui est lié aux organisations juives terroristes, la LDJ – Ligue de Défense Juive, et le Bétar. Des militants de ces organisations ont été vus avec ceux de la CNT et de Reflexes, lors d’une opération concertée d’agression physique qui s’est déroulée pendant les dernières élections européennes, visant la liste antisioniste.

Les relais grand public du CICP sont le réseau des sites Internet Indymedia, et les sites tels http://bellaciao.org ou http://mai68.org.

Conclusion de ce rappel :

Nous sommes face à un filet dont la fonction est de contenir ceux qui pourraient remettre en question l’ordre mondialiste.

A partir des sites Internet du CICP (http://cicp21ter.org ) et du CRID (http://crid.asso.fr), de ramifications en ramifications, on peut constater l’existence de plusieurs centaines d’organisations oeuvrant dans tous les domaines tiers-mondistes, dont la FPH – Fondation Charles Mayer pour le Progrès de l’Homme, la Fondation pour les Générations Futures, le Ritimo – Réseau d’information et de documentation pour le développement durable et la solidarité internationale, le CELSIG – Centre européen sur les services d’intérêt général, l’IRG – Institut de recherche et débat sur la gouvernance ...

A chacun d’en dresser une liste complète (ne pas omettre la CIMADE protestante, le « Secours islamique », le « Secours populaire » communiste, le Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement, «Artisans du Monde », « Oxfam » …

Nous avons là, quasiment l’ensemble de la façade « Potemkine » altruiste, sainte, immaculée, de l’Empire mondial d’Occident, façade de propagande dont le budget global doit avoisiner la centaine de millions d’euros. Une façade d’intégrité pour masquer un immense charnier.

Dommage que ce mirage laisse sourdre les odeurs des charognes et suinter leurs jus. Pour visiter le 21ter rue Voltaire, il faut un masque à gaz mental.

Le sommet de cette construction hallucinatoire est atteint avec l’ « AIRCRIGE », l’Association internationale de recherche sur les crimes contre l’humanité et les génocides (http://aircrigeweb.free.fr/index.html), où l’on retrouve Gustave Massiah.

2 – L’Achat du 14 de la rue de Nanteuil à Paris 15ème, en 1976.

L’historique officiel de l’altermondialisme commence en 1967 avec la création du CEDETIM – Centre socialiste de documentation et d’études sur les problèmes du tiers monde, devenant Centre d’études anti-impérialistes en 1969, dont Gustave Massiah est l’un des dirigeants.

En 1976, l’achat de l’immeuble du 14 de la rue de Nanteuil à Paris 15ème (SCI Le Maronnier) est réalisé grâce - selon la version que diffuse ce milieu - à une souscription auprès des militants. L’association CICP (Centre International de Culture Populaire) est créée en 1976 pour gérer ce centre.

La réalité est autre, car le financement - de source sûre - pourrait provenir pour sa plus grande part du gouvernement algérien. Bernard Dréano, actuellement l’un des dirigeants du CEDETIM, de l’Assemblée Européenne des Citoyens, et du Réseau Helsinky Citizen’s Assembly International, est intervenu, parmi d’autres, dans ce financement.

Il faut là relever la crédulité caractéristique du milieu militant, milieu formé par des individus par nature croyants, donc ayant abdiqué leur esprit critique et toute pensée personnelle, idéalistes, autrement dit irréalistes, volontairement inconscients que tout est déterminé en premier par le rapport économique. C’est ce qui a permis à cette version qui tient du conte pour enfants, de perdurer dans ce milieu jusqu’à maintenant.

Ainsi, une souscription réalisée auprès de militants, qui sont par nature désargentés, a permis l’acquisition de la totalité d’un immeuble parisien, de plus situé dans le 15ème arrondissement, l’un des arrondissements résidentiels de la classe supérieure. La revente de cet immeuble (9 millions de francs en 1994) a fourni les fonds pour acquérir l’actuel immeuble du CICP rue Voltaire à Paris 11ème.

Dans le même registre, nul au sein du milieu militant ne se questionne au sujet de la jouissance par la CNT des bâtiments du 33 rue des Vignoles à Paris 20ème, ni de la possession de l’ensemble immobilier par la CAPJO – Coordination des appels pour une paix juste au Proche-Orient, impasse Compoint à Paris 17ème (Librairie Résistance, et salle de conférence) la CAPJO étant l’une des organisations essentielles parmi les organisations du courant sioniste pro palestinien, et sur l’origine des fonds qui ont permis l’acquisition du 40 rue de Malte à Paris 11ème.

Il faudra bien un jour faire l'histoire du financement du PSU.

La finance, qui pourtant détermine tout dans notre monde actuel, n’existe pas pour le militant tiers-mondiste.

3 – La fausse décolonisation algérienne de 1962.

La réalité de la guerre d’indépendance algérienne reste encore à écrire.

On peut simplement constater que suite à l’indépendance de l’Algérie en 1962, la France y a conservé ses exploitations pétrolières jusqu’en 1971, son centre d’essais pour les armes chimiques jusqu’en 1978, et son centre d’essais des armes nucléaires jusqu’en 1966. On peut aussi constater que les actuels généraux qui dominent l’Algérie, étaient pour la plupart officiers au sein de l’armée française avant l’indépendance. On sait que des luttes très dures ont eu lieu au sein du mouvement de résistance algérien, et que la résistance à l’intérieure des frontières algériennes a été quasi totalement exterminée par l’armée française et la DST de Roger Wybot, un véritable génie du mal et de la manipulation, qui a le premier créé de faux maquis d’insurgés et de faux chefs résistants, les vrais étant désignés par les français comme des traîtres. Les généraux putchistes de 1992 avaient été à l’une des meilleures écoles mondiales de lutte anti subversive. Ils n’ont fait que reproduire dès 1992 la méthode Wybot en créant les faux terroristes islamistes, les GIA, Groupe islamistes armés, que la population dont la mémoire n’était pas éteinte, ni l’humour, avait baptisé Groupe islamistes de l’armée.

L’idée d’Al Qaida pourrait venir de la même source d’inspiration.

De même, l’histoire du financement de la résistance algérienne, par la communauté algérienne en France, est aussi à réviser. Que la simple collecte de fonds auprès des ouvriers algériens en France ait suffi à entretenir des bases militaires tient d’évidence de la légende. Par contre que des puissances étatiques, telles l’URSS soient intervenues dans ce financement, est une évidence.

On peut considérer que l’indépendance algérienne en 1962 a été le commencement d’une nouvelle forme d’occupation de l’Algérie, occupation impliquant les deux blocs dominants la planète à l’époque, le bloc de l’Ouest capitaliste, et le bloc de l’Est, socialiste.

L’un comme l’autre de ces blocs n’avaient aucun intérêt à une réelle indépendance des anciennes colonies, et que surtout, le monde musulman édifie un troisième bloc capable de rivaliser avec les deux premiers, bloc musulman pouvant réunir plus d’un milliard d’individus, solidarisés par une identité commune fondée sur une religion ayant la particularité d’intégrer étroitement tous les domaines de la vie humaine, tant sociale, politique, culturelle, affective, économique et autres.

On peut déjà dire que le tiers-mondisme occidental, qui est le fait de la gauche, particulièrement de la gauche communiste, avait comme détermination première réelle, d’entraver l’unification en un seul bloc du monde musulman, unification qui aurait permis l’émancipation des musulmans de toute tutelle et exploitation par les blocs capitaliste et communiste.

On peut dire qu’après l’indépendance de 1962, le gâteau de l’Algérie a été scindé entre deux convives, les français et leurs alliés américains et israéliens, et les russes et leurs satellites. Les israéliens étaient vitalement menacés par le risque d’émancipation des musulmans, puisque Israël occupe une terre musulmane. Cela explique pourquoi on retrouve tant de juifs au sein du mouvement tiers-mondiste en France, et particulièrement dans le domaine palestinien.

Pour le cas de l’Algérie, les résistants algériens anticolonialistes qui étaient authentiquement nationalistes, et qui auraient œuvré pour une unité musulmane après l’indépendance, ont été éliminés pendant la guerre d’indépendance, à la fois par les services spéciaux français et israéliens, et par leurs propres coreligionnaires et concurrents algériens, ceux qui étaient prêts à collaborer avec l’Occident et les russes, car ne visant que leur propre accession au pouvoir.

C’est entre cette clique de généraux qui s’était emparée de tous les pouvoirs et qui contrôlait toute l’économie de l’Algérie, et l’Occident, que les richesses de l’Algérie ont été partagées dès l’indépendance, en n’en laissant que des miettes dérisoires à la population algérienne.

Pour le peuple algérien, la coupe a été pleine à la fin des années 80, et des mouvements de masse d’ampleur nationale, ont contraint la clique de généraux prévaricateurs à accorder des élections ouvertes à des forces politiques d’opposition, abandonnant le principe du parti unique.

En 1990 et 1992, ces élections sincères, que tous les observateurs reconnaissent comme non truquées, ont été remportées par le FIS, Front islamique du salut, dont le programme était fondé sur la fin des prévarications et la restitution des richesses de l'Algérie aux algériens.

Cet état de fait était inacceptable, à la fois pour les profiteurs algériens, et pour les affairistes occidentaux, tant par ceux qui tiennent l’économie, que par ceux qui tiennent la politique - tous les partis français étant partiellement financés par les détournements de fonds opérés au sein des anciennes colonies maghrébines (Maroc, Tunisie, Algérie) - et bien sûr, inacceptable par les israéliens et leurs relais sionistes français. Ces derniers peuvent être dénommés les « sionistes pro palestiniens ». Ils sont présents au CICP, au CRID et autres CEDETIM et Centre anti impérialiste. Les têtes de file étaient Gustave Massiah et Bernard Ravenel. Leurs successeurs sont Olivier Blamangin de la CGT et président du CICP, Jean-Claude Lefort, du Parti Communiste, président de l’AFPS.

4 – La seconde guerre d’indépendance algérienne et son échec, 1990 à 2000.


On peut voir les élections remportées par le FIS en 1990 et 1992, comme le début de la seconde lutte pour l’indépendance de l’Algérie.

Cette lutte du peuple algérien a été menée contre l’ensemble des puissances occidentales, tous les services spéciaux du bloc occidental se coalisant pour vaincre les forces de la résistance algérienne.


4 – 1 La guerre en Algérie même.

En Algérie, la stratégie des généraux fut de contraindre par des exactions répétées l’opposition à passer à la clandestinité, tout en organisant un faux mouvement clandestin, les GIA, Groupes armés islamistes, usant du terrorisme contre la population, GIA que les généraux commandaient.

L’armée organisa une campagne continue (elle dure encore maintenant) de terreur contre la population par l’intermédiaire de ses GIA, allant jusqu’à ordonner de massacrer ses propres troupes, celles qui étaient légalistes, et d’assassiner ses propres officiers, ceux qui étaient intègres.

On peut parler d’un crime de masse, et de crimes de guerre en série, dont est responsable le clan des généraux.

Le clan des généraux utilisa les GIA pour exterminer la classe intellectuelle algérienne, laquelle présentait un risque majeur pour lui, car capable d’analyser, de comprendre, d’écrire, et de publier, donc de dévoiler au monde leurs manipulations.

4 – 2 Les manifestations de cette guerre en France.

En France, la propagande des généraux algériens fut relayée par le milieu sioniste de droite, mais surtout efficacement par le milieu tiers-mondiste de gauche, dont Massiah et Ravenel, à travers le CISIA, Comité international de soutien aux intellectuels algériens. Ce CISIA fut créé sous l’autorité morale de Pierre Bourdieu, le sociologue phare de la gauche progressiste, et domicilié à la Maison des sciences de l’homme, autrement dénommée EHESS, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, boulevard Raspail à Paris 7ème, le haut lieu de la recherche humaniste et intellectuelle français en sociologie.

Ainsi, les intellectuels français étaient au plus haut niveau complices de l’entreprise d’éradication des intellectuels algériens. Ils ont permis au régime des généraux de mener à bien cette entreprise, en en masquant la réalité aux yeux de l’opinion mondiale. Ils ont désigné le FIS comme auteur des atrocités en place des généraux. Ce faisant, ils ont participé activement à l’élimination de la classe intellectuelle algérienne. Ils ont apporté ainsi une aide tactique inestimable au maintien du régime algérien. Ils ont provoqué pour finir, la régression intellectuelle de l’ensemble de la population algérienne qui a été privée de son élite.

Les Bourdieu, Massiah, Ravenel, sont comparables aux propagandistes légitimant les massacres de masse des populations, qui sont apparus aux plus sombres heures de l’histoire.

Il est vrai que pour détruire des intellectuels, les meilleures troupes ne peuvent qu’être composées d’intellectuels.

Au fond, le Centre International de Culture Populaire est une sorte d’immense placard rempli de cadavres, qui ne demandent qu’à s’échapper, et ses créateurs sont des sortes d’employés de morgue chargés de les conserver au frais, afin que leur odeur ne dérange pas le voisinage.

 

5 – Un témoin dérangeant, car résolument intègre et intrinsèquement incontrôlable, Ginette Hess Skandrani.

C’est à partir de cette période que Ginette Hess Skandrani, une militante fondatrice des Verts, proche du milieu tiers-mondiste, est devenue indésirable dans le paysage politique parisien, et qu’elle a été peu à peu stigmatisée comme antisémite, révisionniste, voire néo nazie, par les aboyeurs de ce milieu.

Ginette Skandrani s’est en effet immédiatement opposée à la création du CISIA, pour lequel on l’avait sollicitée, sous les motifs du respect du choix de la population algérienne, et de la non différentiation entre les victimes intellectuelles des massacres, et les gens du peuple.

De même, ses dénonciations des évènements de propagande organisés par la droite, comme ce meeting qui eut lieu à la Mutualité, réunissant Bernard Henry Lévy et Robert Badinter, parmi d’autres vedettes de la politique, pour soutenir la civilisation en Algérie menacée par le FIS barbare, de même que ses écrits dénonçant une interview réalisée par André Glucksmann sur France-Culture d’une propagandiste algérienne des généraux, laquelle va jusqu’à qualifier les islamistes des pires antisémites qui soient, ce qui deviendra une constante dans les milieux tant de droite que de gauche, provoquèrent la rupture définitive de tous ses liens au milieu tiers-mondiste.

Ginette Hess Skandrani est l’œil de la conscience qui connaît et révèle la réalité de ce milieu, cet œil insupportable que ce milieu rêve de crever.

Voici joints à ce texte, les scans de 5 documents élaborés dans les années 1990 par Ginette Skandrani, relatifs à ces évènements :

Tract : le meeting de soutien aux généraux à la Mutualité (« Algérie : Le silence tue … et le mensonge enterre »).
http://www.aredam.net/meeting-mutualite-soutien-generaux-algeriens.html

Extrait d’un brochure : « Algérie, quel dialogue ? L’appel du CISIA ».
http://www.aredam.net/appel-cisia.html

Communiqué au parti Les Verts, au sujet de l’assassinat de Mohamed Boudiaf
http://www.aredam.net/communique-verts-boudiaf.html

Tract : « Il y a du sang dans le gaz »
http://www.tract-sang-dans-le-gaz.html

Texte : « La Pravda des salons ». Transcription d’une interview réalisée par André Glucksmann de Khalida Messaoudi, propagandiste des généraux, sur France-Culture.
http://www.aredam.net/interview-glucksmann-messaoudi-pravda-des-salons.html

 

 

6 – Conclusion


Ce texte a été rédigé afin de permettre à chacun de comprendre une partie des manipulations dont il est la victime, manipulations qui le maintiennent enfermé dans le mensonge, mensonge qui le condamne à l’impuissance, lui présentant le loup sous la forme de l’agneau, le pervers sous la forme du chevalier blanc, les Massiah et autres sous l’apparence de vieux sages bienveillants, les Reflexes comme des chasseurs de nazis, alors que ce ne sont eux-mêmes que des monstres morbides, mus par l’appétit de pouvoir, construits sur le mensonge, hantés par la haine et le goût du sang.

J’ose dire que les musulmans sont un atout pour notre libération à tous, ce qui me coûte à moi qui suis athée.

Je reconnais une forme d’humanité très solide, qui existe dans la communauté musulmane, forme d’humanité qui est en train de disparaître au sein de la société occidentale.

Que cette forme d’humanité survive et se développe au sein d’une communauté profondément religieuse ne peut au fond me contrarier, car avant tout il s’agit de préserver ce qui est notre vraie richesse, notre humanité, qui est pour le moment encore défendue par les musulmans.

Les barbares sont ceux qui stigmatisent les musulmans. Nous sommes encore dans la classique inversion des rôles, le criminel devenant la victime, la victime le criminel, et dans l’actuelle falsification générale du réel, dans le monde entièrement mensonger, illusoire et factice, qu’est devenu la société occidentale.

Nous devons, tous ceux qui échappent encore à l’emprise des organisations de propagande occidentale, nous soutenir, que nous soyons comme moi du point de vue religieux athée, du point de vue politique, libertaire, égalitariste, anti hiérarchique, et pour d’autres, la plupart, croyants, élitistes sous toutes ses formes, tenants d’un monde hiérarchisé, ou règne l’inégalité.

Michel DAKAR


Texte paru le 9 avril 2010 à l’adresse Internet suivante :

http://www.aredam.net/financement-altermondialisme-generaux-algeriens.html