Site internet http://www.aredam.net

 

Voir les nouveautés sur le site : http://www.aredam.net/divers.html

 

Titre de cette page :
http://www.aredam.net/fascination-politique-pour-les-brutes-empathie-solipcisme-pouvoir-schyzophrenie.html

 

Pouvoir et schizophrénie.


1 - Recherche des causes du marasme humain. Empathie et solipsisme. Individualité et intellect. La vision tronquée, sélective, discriminatoire, la schizophrénique, révélatrice d’un état de morbidité mentale général, la norme humaine. L’origine religieuse de la schizophrénie.

2 - Illustration : Brutes et ex-brutes en politique, ou, de la fascination pour la violence, c'est-à-dire de la toute puissance, dans certains milieux politiques. Haines de l’individualité, de l’intellect et de l’empathie, ou de la destruction des fonctions supérieures de l’Homme pour régresser vers l’animalité.

2 - 1 - 1 Exposé préliminaire.

2 - 1 - 2 Les cas de Illich Vladimir Sanchez, dit Carlos, dit « camarade Browning GP » (Grande Puissance), chef terroriste, du témoignage de Hans Joachim Klein ex soldat de Carlos revenu du terrorisme, du témoignage d’un ex soldat anonyme de la maffia, et du témoignage de Pierre-Dominique Giacomini, ex tueur de l’OAS.

2 - 1 - 3 Le cas du couple divin d’extrême gauche, ersatz de « Bonnie and Clyde » Audry Maupin et Florence Rey, de 1994.

2 - 1 - 4 Un héros d’extrême droite, dindon d’une farce extravagante montée par un conglomérat de différents services spéciaux français et peut-être étrangers, Michel Lajoye, ou, si je n’ai pas atomisé 9 arabes, ce n’est vraiment pas de mon fait : « Condamné à la prison à vie », Editions Dualpha, 2002, post-facé par Carlos, préfacé par Christian Bouchet.

2 - 1 - 5 Action Directe, l’andouillette utile des services spéciaux, Rouillan.

2 - 1 - 6 Les cas Pierre Goldman et Cesare Battisti.

2 - 1 - 7 Le cas atypique d’Unabomber.

2 - 1 - 8 Deux petits soldats rencontrés dans l’extrême gauche parisienne des années 90,

2 - 1 - 8/1 Brâhim Râjjor

2 - 1 - 8/2 Rodolpho Téléscopique.

2 - 1 - 9 Quelques cas de Maîtres, et le devenir de leur progéniture (ou, c’est aux fruits qu’on reconnaît l’arbre) :

2 - 1 - 9/1 Canigula ou le maître de l’anarchie,

2 - 1 - 9/2 Grossetêt ou le maître de la liberté de penser,

2 - 1 - 9/3 Anton Goulagovitch Stalinbergouf ou l’empereur du communisme.

3 - Le problème de la vision sélective, tronquée, schizophrène, discriminante, et réflexion générale sur les principaux outils de propagande du régime totalitaire capitalo-sioniste occidental : le prix Nobel de la paix, la Cour Pénale Internationale, les ONG telles Amnesty International (UK), Human Rights Watch (USA) et la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (France), illustrés par deux éléments :
:
3 - 1 le cas type de l’idiot utile, Liu Xiaobo, dissident chinois, condamné en 2009 à 11 ans de prisons, prix Nobel de la paix 2010,

3 - 2 et l’extrait du livre de Serge Faubert portant sur la scientologie, « Une secte au cœur de la République », extrait portant sur une comparaison entre la Scientologie et le judaïsme.

3 - 3 Le cas du dalaï lama, escroc religieux international indépassable, porte-parole du peuple tibétain que sa caste a réduit durant des siècles à l’ignorance et maintenu dans le plus total obscurantisme, pour en tirer profit, qui soit disant lutte contre le génocide de son peuple, et qui reconnaît la légitimité d’Israël, soit la légitimité du génocide des palestiniens. Son soutien par une organisation occidentale de guerre par la propagande au sommet de la perversité, la « Commission internationale des juristes », le résultat étant la sacralisation du droit de génocide.

1 - Recherche des causes du marasme humain. Empathie et solipsisme. Individualité et intellect. La vision tronquée, la schizophrénique, révélatrice d’un état de morbidité mentale général, la norme humaine. L’origine religieuse de la schizophrénie.

L’empathie est la faculté à s’excentrer de soi. C’est la faculté qui permet de connaître le réel.

Le solipsisme est à l’opposée de l’empathie, une pathologie de l’esprit qui limite l’individu à lui seul et lui fait considérer l’univers comme une partie de lui-même. Le solipsiste est seul, l’empathiste est uni à l’univers.

Le solipsisme apparaît lorsque le sens de l’empathie s’amenuise.

Ces deux facultés sont le propre de l’espèce humaine, quoique présentes à différents degrés chez toutes les autres espèces.

Seule une société humaine qui se fonde sur une éducation de ses jeunes ayant pour base l’éveil du sens de l’empathie est viable, car l’extraordinaire développement des capacités techniques de l’homme ne peut être que destructeur pour sa propre espèce, s’il n’est pas contrebalancé par une capacité à se fondre avec l’univers, à se distancer de soi, à s’excentrer.

Le solipsisme est un comportement qui naît lorsque la puissance d’un individu, d’une espèce ou d’un groupe leur apparaît sans limite, telle que le contrôle de ce qui les environne leur semble si total que le sentiment que l’univers n’est qu’une partie d’eux-mêmes devient logique. C’est une maladie de la puissance et de l’atrophie du sens de l’empathie.

Le solipsisme est le cancer de l’esprit qui se développe lorsque le sens de l’empathie disparaît.

Une société humaine où le solipsisme devient prédominant, comme l’Humanité actuelle, est condamnée à disparaître.

La schizophrénie en dernier ressort, n’est pas une maladie mentale, mais l’état général de l’être humain après plusieurs milliers d’années de rupture avec la vie, rupture due au développement de la capacité de pouvoir, de l’espèce humaine. La capacité de pouvoir de l’être humain, l’amenant à tout dominer et à tout manger, exploiter, n’a pu se développer qu’à l’abris d’une distance entre l’humain et le monde, car comment tuer, manger, abuser, exploiter, asservir, dominer, commander, à ce qui est identique à vous-même et ressentir la détresse, la souffrance, le malheur qu’on provoque, sans être empêcher de détruire la vie, ce que permet la capacité de pouvoir.

Le développement de la capacité à tuer, à dominer, à pouvoir, est concomitante avec l’atrophie des sens supérieurs propres à l’animal humain, soit les sens de l’empathie, de l’individualité, et de l’intellect.

Ce que les psychiatres nomment malades mentaux, schizophrènes, ne sont que des cas de cet état général normal, mais au comportement inadéquat, déplacé, dans la société. Plus encore, ce qui dérange vraiment chez les schizophrènes, est que leur état porte à la lumière ce qu’est l’état général, le « malade » schizophrène n’étant même qu’un type bénin de la maladie général, normale, le type le plus grave se trouvant chez les psychiatres eux-mêmes, et tous les gens de pouvoir, ayant une fonction, une stature sociale élevée.

Le pouvoir est inhérent à la schizophrénie.

L’étymologie de schizophrénie est schizein, du grec « fendre », et esprit. L’esprit est scindé, la sensibilité, les affects, les émotions étant coupés de la partie pensante.

Un schizophrène, dans l’absolu, ne peut ressentir aucune émotion, n’a aucune affectivité, aucune sensibilité.

Il pourrait tuer, torturer, anéantir l’univers en entier sans être entravé dans cet acte par un ressenti, la conscience du lien qui l’unit intimement à ce qu’il va détruire, la conscience que chaque parcelle de vie qu’il détruit est aussi la sienne, et qu’en détruisant, il se détruit lui, qu’en faisant souffrir il souffre.

Le schizophrène est le type même de l’homme de pouvoir, de l’élite, du possédant, du politicien, du chef de guerre, du chef.

La schizophrénie est une maladie acquise, créée lors de l’évolution de l’espèce humaine, afin que l’être humain puisse continuer à se nourrir tout en ayant la capacité de conscience lui permettant de ressentir le mal qu’il fait à chaque fois qu’il tue pour manger.

La schizophrénie est devenue l’état normal de l’humanité, et cet maladie est peu à peu parvenue à un paroxysme qui rend l’humanité capable d’exister dans un enfer et qui transforme la planète en enfer rapidement non viable, même pour elle-même.

La schizophrénie qui était au départ une simple adaptation, une correction devant un surcroît de conscience et d’intellect rendant la chasse et même la destruction de plantes difficiles à supporter, est devenue la cause qui fera que l’actuelle civilisation « évoluée » humaine disparaîtra à coup sûr au cours de ce présent siècle.

Le processus d’adaptation a trop bien réussi, l’humain est devenu capable de détruire la totalité de toutes les vies, et si les moyens technologiques le lui permettaient, sur tout l’univers, sans la moindre gêne.

L’édiction de la schizophrénie comme état normal, soit l’édiction de la maladie mentale comme norme sociale, a eu lieu dès le passage de l’organisation sociale humaine en cité, par la création de la religion, de la divinité, la divinité étant la représentation d’un état de rupture d’avec le réel, de distance mise entre le monde et l’être, le schizophrène étant dans un état au-delà de la nature, il se vit dans le surnaturel, dieu étant cet être coupé de la nature, le monde divin, le sacré étant hors le monde, un hors le monde, un sacré qui n’est que l’état d’un être qui s’est imposé une rupture intérieure de ses sens perceptif, de sa sensibilité, de son sens de l’empathie, de son individualité, de son intellect.

La schizophrénie est une castration mentale volontaire, castration qui seule permet l’exercice du pouvoir.

L’humain actuel est un animal castré, en rupture avec la vie, l’univers, du fait de son auto castration de ses sens supérieurs. Le résultat en est la destruction de son propre environnement, qui est en train d’entraîner sa propre destruction.

La capacité à agir et à transformer l’environnement de l’humain ne pouvait s’exercer qu’en développant ses sens supérieurs, ceux de l’empathie, de l’intellect et son sens de l’individualité, qui seuls permettent à la puissance, au pouvoir, d’être créateur, bénéfique, et non destructeur.

Peut-être est-ce dû au fait que le développement du cerveau est apparu chez une espèce dérivant d’un prédateur, comme le sont les singes, qui a fait que la solution choisie ait été la castration des sens supérieurs, et non leur éveil, leur épanouissement.

Peut-être que chez les espèces non prédatrices, comme chez les ruminants, la voie choisie sera celle non pas de la castration des sens supérieurs, mais leur épanouissement.

En effet, ces êtres n’ont guère besoin de rompre avec la vie pour s’en nourrir, car ils ne la détruisent pas en s’en repaissant, au contraire même, ils la nourrissent tout en s’en nourrissant.


Pour clore ce chapitre sur la schizophrénie, et la religion, il est obligatoire d’évoquer le bouddhisme, qui est sans conteste la pire des religions, la forme la plus élaborée de schizophrénie, dont l’illustration est le dalaï lama.

Le bouddhisme prêche l’abandon de toutes les motivations, les motivations étant à juste titre des impulsions qui forcent à l’action, ces impulsions rendant l’être humain totalement esclave, comme un robot que dirige une programmation.

La libération des impulsions rend l’être humain libre, éveillé.

La doctrine bouddhiste a juste omis la plus importante des motivations, qui guide la partie la plus élevée du corps social, le pouvoir.

Le bouddhisme prêchait en réalité l’abandon des motivations pour la masse, la réduisant à se départir de ses motivations propres, pour en fait accepter les motivations qu’on lui impose de l’extérieur, soit les ordres, tout en préservant la motivation essentielle de la caste au pouvoir.

Le bouddhisme est sans doute la forme la plus élaborée, la plus intelligente, de conditionnement au respect de l’ordre social fondé sur la hiérarchie.

L’actuel dalaï lama en est l’illustration éloquente. Chassé du Tibet par les chinois, il se veut le héraut de son peuple, mais au fond, la situation ne le dérange absolument pas, puisque de toute façon il continue à régner sans avoir besoin d’une assise territoriale, son pouvoir « spirituel » s’étant même étendu depuis le drame du Tibet, sur la planète entière.

De fait il interdit toute organisation d’une résistance armée des tibétains, ce qui arrange les chinois, et aussi les occidentaux qui commercent avec la Chine, tout en maintenant pour son propre compte les tibétains sous son emprise, y ajoutant même des nouvelles recrues occidentales, converties au bouddhisme grâce à lui.

Plus ça va& mal pour les tibétains, plus sa va bien pour « sa sainteté », cela transparaît de façon impossible à masquer sur toute les photographies où il apparaît. Le dalaï lama « pète » la forme depuis que la disparition définitive du Tibet en tant que nation est en voie d’achèvement.

Le dalaï lama a obtenue le prix Nobel (du nom de l’industriel des explosifs militaires), en 1989, pour sa gestion non violente de la résistance tibétaine.

Le bouddhisme apparaît là comme une application indépassable de la torsion mentale dite schizophrénie, car se voir détruit tout en en jouissant n’a jusqu’alors pas été atteint par aucune des autres grandes religions, tels le judaïsme, le christianisme, l’islam, l’hindouisme.


2 - Illustration : Brutes et ex-brutes en politique, ou, de la fascination pour la violence, c'est-à-dire de la toute puissance, dans certains milieux politiques. Haines de l’individualité, de l’intellect et de l’empathie, ou de la destruction des fonctions supérieures de l’Homme pour régresser vers l’animalité.


2 - 1 - 1 Exposé préliminaire.

Une partie de la classe des politiciens extrémistes est fascinée par la brutalité, la force, la violence, et lui voue un véritable culte, il s’agit là d’une religion non encore identifiée, la religion de la violence.

Grâce aux adeptes qui sont sus-dessus nommés, on peut retrouver là, les restes archéologiques mais toujours vivants de l’ancien culte du dieu de la guerre, le culte du guerrier, le guerrier étant le personnage social qui a pris le pouvoir devant les prêtres au cours de la dernière partie préhistorique de l’aventure humaine, le guerrier finissant par cumuler à la fois la fonction de guerrier et de prêtre. Puis les guerriers ont été supplantés par les marchands, ce qui est l’époque moderne, époque qui touche à sa fin, pour devenir post-moderne, qui est un retour à l’époque des guerriers dominants, guerriers qui se manifestent par l’émergence de la prise du pouvoir dans tous les blocs antagonistes mondiaux des chefs des polices secrètes, qui déjà dans ceux de Russie et de Chine, cumulent cette fois les statuts de guerriers et de marchands.

En fait, à travers ce phénomène, on peut constater que l’humanité n’évolue plus mais régresse, tourne en rond, répète, n’innove plus socialement, soit n’évolue plus. Force est de conclure puisqu’une espèce qui n’évolue pas est appelée à disparaître, que notre espèce est condamnée.

Plus précisément, on assiste peu à peu à la création sociale d’un type de dominateur nouveau, mais qui n’est en fait qu’un hybride de toutes les formes anciennes de dominateurs, un dominateur regroupant dans sa même personne les caractères du guerrier, du marchand et du prêtre, car il est clair que les milieux d’élites des polices secrètes mondiales prennent peu à peu un caractère sacré, transcendant, au-dessus des humains communs, que ceux-ci appartiennent à la masse, ou bien qu’ils soient eux-mêmes des dominateurs économiques.

Il s’agit là du début de la naissance d’un personnage monstrueux à la fois prêtres représentant le monde divin, c'est-à-dire de cette élite qui statutairement domine, possède, jouit de l’existence d’autrui, élite qui agit sur la masse en lui inculquant sa place de cheptel possédé par les prêtres et destiné à être dévorés par eux, à la fois marchand, personnage dont l’acte qui le fonde est l’échange inégal et la dépossession, le rapport du marchand avec le monde et ce qui est autre que lui-même ayant pour finalité la disparition de l’autre dans sa propre personne, cela sans limite, jusqu’à la disparition du monde entier en lui-même, et du guerrier, dont l’essence est le refus, le rejet de toute prise en compte de l’existence d’autrui, de ce qui n’est pas lui, et dont la finalité et le mode de rapport au monde et à autrui est la destruction de tout ce qui n’est pas lui-même.

Ces trois types de monstres se complètent en une totalité parfaite unissant, fondant en un seul, tous les modes de prédation.

La présente étude sur ces énergumènes porte sur l’Europe et particulièrement sur le contexte français, qui est celui que l’auteur de ce texte connaît relativement bien, quoiqu’ayant toujours été excentrique des milieux directement informés.

Les adeptes de ce culte appartiennent autant à l’extrême gauche qu’à l’extrême droite.

Le culte de la force est typique de la mentalité des régimes dits autoritaires, tels le fascisme, le communisme, le capitalisme, lequel est un régime totalitaire dissimulé, et des régimes totalitaires non universels tels le judéo-sionisme et le brahmanisme, qui sont entièrement fondés sur la discrimination sociale par les castes, depuis les pures jusqu’au impures, qui rassemblent les moins qu’humains, inférieurs même aux animaux.

Ce qui fonde la religion de la violence est d’évidence, comme pour toutes les religions, la recherche du pouvoir sur autrui, mais dans le cas du culte de la force, il faut y inclure une recherche de régression au stade animal, un rejet du développement des capacités cérébrales évoluées, soit de l’intellect, et du sens de l’empathie, ce sens fondamental qui caractérise les espèces supérieures, tel l’Homme, sens qui permet de ressentir ce que ressent autrui, de se mettre à sa place, de se distancer de soi, d’adopter un autre point de vue, sens qui interdit dans son complet épanouissement le recours à la contrainte, à la force dans les rapports, et encore plus, de tuer.

Dans une société humaine libre de progresser, soit libérée des prêtres, marchands et guerriers, le sens de l’empathie serait développé par l’éducation, éveillé dès la naissance chez les nouveaux nés. C’est ce sens qui permet de rendre viable une espèce possédant des capacités mentales sans limite comme celle humaine. Ces capacités ne sont bénéfiques que si le sens de l’empathie devient le plus important de tous les sens de l’Homme, que si la civilisation humaine devient fondée sur ce sens, que si l’empathie devient la colonne vertébrale de l’Humanité. (Sur le sens de l’empathie, on peut lire le livre de l’auteur de science fiction Philip K. Dick, Blade Runner, 1968 - titre anglais : « Do androids dream of electric sheep ? Plus largement on peut lire l’ensemble de l’œuvre de Dick).

Les extrêmes politiques véhiculent la régression vers la religion de la violence, la violence incluant structurellement la haine de l’individu, la répression de l’individualité, et la recherche de la dissolution de l’individualité dans le groupe, dans la masse, car l’émergence de l’individualité est concomitante avec le progrès de l’intellect, des fonctions cérébrales supérieures du néo-cortex, et du développement de l’empathie.

La haine de l’individualité, nommée « individualisme », de l’intelligence, et de l’empathie, nommée « sensiblerie », est commune à tous les régimes autoritaires (fascisme, communisme, capitalisme, judéo-sionisme, brahmanisme et autres).

Les partis extrémistes se disent révolutionnaires, de droite, soit réactionnaires conservateurs, de gauche, soit progressistes. On peut dire qu’en régime capitaliste sous masque démocrate, la fonction essentielle des pôles politiciens extrémistes est de favoriser la régression sociale vers l’animalité, de maintenir la masse dans la religion de la violence, état qui lui interdit d’éveiller son intellect, son individualisme, son sens de l’empathie, soit de se libérer.

Ce qui suit est une énumération analytique des différents cas de brutes ou d’ex-brutes qui ont servi de modèle aux sectateurs des partis extrémistes français, partis en charge implicite de freiner l’évolution sociale vers un éveil général de l’individualité, de l’empathie et de l’intelligence, et de maintenir la masse dans un état d’animalité, la maintenant dans la grégarité et dans la docilité, adaptée à son statut de cheptel, de bétail, car sous couvert de révolution « nationale » ou « sociale », ces partis « révolutionnaires » sont les meilleurs fourriers non seulement du conservatisme, mais de la régression.

2 - 1 - 2 Les cas de Illich Vladimir Sanchez, dit Carlos, dit « camarade Browning GP » (Grande Puissance), du témoignage de l’ex soldat de Carlos revenu du terrorisme Hans Joachim Klein, du témoignage d’un ex soldat anonyme de la maffia, du témoignage de Pierre-Dominique Giacomini, ex tueur de l’OAS.

Un film a été récemment réalisé sur Carlos, et qui ne lui plaît vraiment pas, car il y est décrit pour ce qu’il est, soit une brute, un « macho couillu », ce qui est tout ce qui le caractérise. Il n’y a rien d’autre à évoquer dans le cas de Carlos, que cette propension à la violence gratuite, propension qui est enrobée par une détermination politique. Carlos illustre parfaitement l’atrophie totale du sens de l’empathie, et l’hypertrophie du solipsisme. Carlos est un pur jouisseur de l’usage de la force. Carlos est l’archétype de l’attraction animale pour la brutalité. Il a servi de chef de bande terroriste pour des Etats, qui l’on utilisé, puis délaissé lorsque les rapports de forces entre eux l’ont rendu inutile et pour finir encombrant. Carlos n’est en réalité qu’une marionnette des services secrets. Il a été victime d’un revirement des alliances. Il s’était réfugié au Soudan, pourchassé par la police française pour l’assassinat délibéré sans raison de deux policiers français dépourvus d’armes. La France s’était alliée au régime soudanais jusqu’alors ennemi, pour contrer la menace du conglomérat américano-britano-israéliennes contre sa domination en Afrique, ce même conglomérat menaçant le régime soudanais par l’insurrection fomentée au Darfour. Dans le cadre de la coopération franco-soudanaise, Carlos a été livré à la France par la police soudanaise.

Il existe sur ce site http://aredam.net une partie consacrée aux écrits de Carlos. On peut y constater que Carlos croit à l’existence du réseau islamiste Al Qaida, croit que les attentats du 11 septembre 2001 sont le fait de ce réseau.

Hans-Joachim Klein était l’un des soldats sous les ordres de Carlos. Il a écrit un livre rare « La mort mercenaire. Témoignage d’un ancien terroriste ouest-allemand », Seuil 1980.

Hans-Joachim Klein appartient à une catégorie d’individus courageux qui ont osé se détacher du milieu totalitaire auquel ils appartenaient, s’en distancer, le critiquer, l’analyser, qui ont osé se remettre en cause, questionner leur passé, et qui se sont réappropriés leur individualité. Ce type d’individu, doit être aidé car il est l’objet d’une haine exacerbée de la part des adeptes des causes qu’ils ont servi et de ceux qui sont toujours fondus dans leur ancien milieu. Sa typologie caractérielle est diamétralement opposée à celle de Carlos, Klein possède un sens de l’empathie très développé et le solipsisme chez lui a probablement entièrement disparu.

A cette catégorie unique appartient de même un anonyme, ex-soldat de la mafia sicilienne, dont le récit a été recueilli par l’écrivain Paul Lefevre (« Un homme d’honneur. Révélations d’un soldat de la mafia. Jean-Claude Lattès. 1990), et un ex-tueur de l’OAS Pierre-Dominique Giacomini, aussi auteur d’un livre : « J’ai tué pour rien », Fayard 1974.

Les livres de Klein, de l’anonyme de la maffia et de Giacomini sont à lire à tout prix.

Ces trois personnes représentent ce qui est le meilleur dans l’humain, car ils illustrent ce qui est le plus dur à faire pour un humain, s’extraire du groupe, c’est-à-dire commencer à exister en tant qu’individu, soit dit plus brièvement, commencer à réellement exister. C’est pourquoi par exemple, Klein est l’objet de la haine de l’extrême gauche, et qu’il a été menacé à la fois par l’extrême gauche et par les services de polices.

Ces trois individus démontrent qu’en réalité, la seule lutte qui existe a lieu entre deux camps, celui des grégaires (qu’ils soient dominants, riches), et celui des individus. Les individus sont haïs par tous les camps, car ils éveillent dans l’âme atrophiée des grégaires le goût de la liberté, ils réveillent l’envie d’être, cette envie qui est réprimée dans les camps des grégaires, et que chaque grégaire refoule.

Il est intéressant de constater que les personnages de Carlos et de Rouillan, comme celui de Lajoye, servent aux camps grégaires auxquels chacun appartient de point de ralliement, de drapeau. Ils deviennent de références pour leurs camps respectifs, et des images sacrées, des icônes. Cela illustre bien que nous nous trouvons dans contexte religieux, qui est inhérent au grégarisme, toute religion étant ennemie mortelle de l’individu, de l’intellect, et de l’empathie, la destruction de ces trois valeurs étant le pilier de ce qui fonde la religion.

La raison de la sacralisation de ces trois énergumènes est que leur personnage symbolise la brutalité, la force, la violence, qui doivent prédominer est étouffer les valeurs réellement humaines que l’humanité devrait développer en priorité, soit l’intellect, l’individualité et l’empathie. Ainsi, il est dangereux d’oser critiquer ces énergumènes, qui ne sont guère plus que des tueurs motivés par la jouissance de détruire, de dominer, motivation dissimulée derrière une idéologie justificatrice telle la révolution pour Carlos et Rouillan, et pour Lajoye le nationalisme (Ndlr : Lajoye n’est qu’un tueur par intention, mais ce n’est pas faute de ne pas avoir voulu le faire qu’il n’a pas réussi à déchiqueter par une bombe, une dizaine d’ouvriers arabes).

Il est aussi intéressant de relever que les trois énergumènes n’ont été que les pantins des services secrets, et qu’ils n’ont eu aucunes initiatives personnelles, qu’ils n’ont pas été un seul instant maître de leur destinée, ni eu l’idée de faire un choix personnel, à l’opposée d’individus comme Klein, l’Anonyme et Giacomini. Ces énergumènes ont été aussi libres que des marionnettes, ce qui est le type de liberté, d’existence qui est prônée par le grégarisme.


2 - 1 - 3 Le cas du couple divin d’extrême gauche, ersatz de « Bonnie and Clyde » Audry Maupin et Florence Rey, de 1994.

Qui se souvient qu’en 1994 une couple de très jeunes adultes issus de bonnes familles, vivant plus ou moins en squat à Montreuil, appartenant à la mouvance libertaire parisienne, a pris d’assaut la fourrière de Pantin pour s’emparer des armes de service des policiers y demeurant, puis a pris en otage un chauffeur de taxi et son véhicule, ce rodéo atypique finissant par une fusillade où Maupin trouva la mort ainsi que le chauffeur de taxi, qui laissa sa femme seule avec ses enfants, et deux policiers. On pu voir fleurir dans le métro parisien des graffitis à la gloire de ces deux héros. La Ligue des droits de l’Homme parisienne pris en charge la défense de la rescapée, fille de médecin, Florence Rey. Sa photo de petite mignonne que les flics avaient tabassé fit la une de quelques quotidiens. Charles Pasqua, alors ministre de l’intérieur qualifia de nihiliste les deux massacreurs. Ni dans les soutiens de gauche à la rescapée qui laissa plusieurs familles au destin brisé et de nombreux enfants orphelins, ni chez le ministre, n’apparu la conscience que ces deux énergumènes n’étaient que le produit d’une idéologie très profonde, qui constitue le socle de toutes les idéologies dominantes, idéologie qui n’est que le culte de la force brute, celle des anciens dieux de la guerre, ce culte apparaissant dans la préhistoire par ces statues de guerriers, ce qu’on nomma le culte du guerrier, le personnage social du guerrier devenant même avant les premières édifications des villes et des états, le personnage central des sociétés humaines, avant le prêtre, ce dernier n’étant qu’un servant du guerrier roi, pour aboutir lors des formations de cités, à l’époque historique, au personnage du roi-prêtre, du guerrier divinisé, comme on le perçoit dans les récits mésopotamiens (l’épopée de Gilgamesh).

Ce couple à la fois dérisoire et ignoble, créateur du malheur d’autrui, malheur dont d’ailleurs ni l’extrême gauche, ni la gauche installée, ni la droite par le ministre d’évidence ne se soucia, et c’est ce qui choque dans cette affaire, n’est que le reliquat « bobo » des anciens guerriers, avide de dominer, de jouir par la violence, sans limites, sur autrui, jusqu’à donner la mort. Ils illustrent parfaitement l’atrophie totale du sens de l’empathie, comme de celui de l’individualité et de l’intellect. Ils révèlent aussi ce qui existe derrière la façade lisse de la Ligue des droits de l’Homme, organisation peuplée de bons petits bourgeois légalistes, qui au fond ne se rêvent qu’en dieu Thor le marteau à la main. Quant à Pasqua, ce qu’il exprime par sa qualification de nihiliste, c’est son déni du réel, de ce qui surgit de l’ombre par ce couple « divin » Rey-Maupin. Ce qui écoeure dans cette affaire, c’est que la classe politicienne de gauche et d’extrême gauche en était implicitement arrivée à plaindre la pauvre survivante Florence Rey. C’est sur qu’au regard de la déesse antique de la force, la vie d’un chauffeur de taxi métisse, celles de deux fonctionnaires de base de la préfecture de police de Paris, les destins de leurs épouses et le devenir de leurs enfants, sont négligeables, ou plutôt, que ces êtres ne sont que des victimes sacrifiées aux entités divines, comme lors des anciens cultes qui donnaient lieu à des sacrifices humains.


2 - 1 - 4 Un héros d’extrême droite, dindon d’une farce extravagante montée par un conglomérat de différents services spéciaux français et peut-être étrangers, Michel Lajoye, ou, si je n’ai pas atomisé 9 arabes, ce n’est vraiment pas de mon fait : « Condamné à la prison à vie », Editions Dualpha, 2002, post-facé par Carlos, préfacé par Christian Bouchet.

Le jeune extrémiste de droite, Michel Lajoye devenu apprenti artificier a été l’objet d’une sorte de manipulation conjointe de la part de certains services spéciaux français et peut-être étrangers (US, israéliens). Il raconte dans le livre rare qu’il a écrit, qu’au cours de certaines réunions, il était l’unique participant n’appartenant pas à un service (à l’époque il en était inconscient). On lui fit porter une bombe dissimulée dans un paquet, dans un bar d’arabes en banlieue rouennaise. Dans la pièce se tenaient neuf personnes. La charge d’explosif était suffisante pour ne laisser pas le moindre survivant. Neuf personnes devaient être totalement déchiquetées lors de l’explosion. Michel Lajoye devenu spécialiste en explosif le savait. Une fois le paquet déposé, Michel Lajoye s’éloigna et attendit le bruit de l’explosion en sécurité, qui ne se produisit jamais. Il n’y eut pas d’explosion car le paquet ne contenait pas d’explosif, mais il fut traduit en justice et condamné à la prison à vie. Cet attentat ne fit aucune victime, aucun dégât matériel, ne donna lieu à aucun remboursement d’assurance, ni dédommagement.

Dans cette affaire, ce qui ressort, c’est que tous les services administratifs furent complices de cette machination. La justice en les personnes du procureur, qui fit carrière à la cour de cassation, les juges, qui ne purent ignorer les dessous de l’affaire, la police, les milieux de l’information, celui des associations de défense des droits, dont la Ligue des droits de l’homme, le MRAP, et la LICRA, organe officieux des services sionistes en France.

Cette machination particulière s’inscrivait au sein d’un programme plus vaste, visant à donner le sentiment que les juifs en France étaient menacés par l’extrême droite, une extrême droite capable d’opérer des attentats faisant comme pour Lajoye, jusqu’à 9 victimes. A la même époque, des attentats furent organisés contre des foyers Sonacotra dans le sud de la France. Il y eut aussi l’affaire du cimetière juif de Carpentras, où des tombes furent violées par des éléments d’extrême droite manipulés par les services de la police politique.

Dans l’affaire Lajoye, il faut aussi noter que cet attentat bidon s’est déroulé dans un foyer de travailleur maghrébin contrôlé par la police politique marocaine.

En dernier ressort, ce programme de machination apparaît alors que la cote de sympathie d’Israël commence à totalement s’effondrer dans l’opinion publique. Ce programme vise à présenter les juifs comme des victimes et Israël comme le refuge légitime de victimes menacées par une extrême droite démente capable du pire.

On peut affirmer, même sans les preuves qui d’ailleurs sont impossibles à produire, que dans ce programme, étaient concernés les services spéciaux français, militaires et civils, et les services israéliens.

Ce programme est une copie alambiquée et dans un contexte différent, des campagnes d’attentats organisées par le Mossad israélien à diverses époques, visant les communautés juives en Afrique du nord et au Moyen Orient, afin de les pousser à se rapprocher d’Israël. Comme dans le jeu de billard, ce sont des coups à rebond. Par l’atteinte à la communauté arabe, via des coups portés par une extrême droite manipulées, au sein de laquelle d’ailleurs il est certains que quelques-uns des dirigeants étaient complices de ce programme, c’est la communauté juive française qui était visée par la manipulation.

Il en faut pas omettre de citer l’avocat Eric Delcroix, qui défendit Lajoye, avocat des révisionnistes (ceux qui revendiquent la liberté pour la recherche scientifique en histoire relative à la période de la seconde guerre mondiale, particulièrement au nazisme, à ses camps de concentration, aux chambres à gaz, et aux 6 millions de juifs qui y sont, selon la version officielle, dont l’écart est sanctionné par la loi, décédés), et Christian Bouchet, qui apparaît avec Carlos, dans le livre de Lajoye.

Lajoye, comme Carlos, sont les types mêmes des idiots utiles, des dindons de la farce, les andouilles dont les services font leurs choux gras.

Lajoye a été remis en liberté anticipée, après un premier refus de la Licra qui rreprésente le clan sioniste, qui était le plus concerné par la mise à l’écart de Lajoye, contre le silence.


2 - 1 - 5 Action Directe, l’andouillette utile des services Rouillan.

Rouillan est une sorte d’icône de l’extrême gauche et des droidlommistes parisiens, sortes de révoltés assurés tout risques et en charentaise.

Le cas d’Action Directe est déjà très documenté dont sur ce site.

Rouillan ne parlera pas. D’une part parce qu’il aurait à dire qu’il n’a été derrière sa grande cause de la révolution, qu’un vulgaire tueur à gage de Mitterrand, employé lui et sa bande pour régler des comptes sordides et obscurs liés aux engagements français avec l’Iran du temps du Shah et concernant le nucléaire, d’autre part parce qu’il sait qu’on ne se contentera pas de le renvoyer en prison, comme cela s’est passé à sa première libération, en raison d’une déclaration publique qui a inquiété car provocatrice, selon laquelle il ne regrettait rien de ses actions (une série d’assassinats). Cette déclaration prouvait qu’il avait l’intention de s’épancher en public. Il fut immédiatement stoppé par une année supplémentaire de prison, comme pour Lajoye, quant à lui, qui ne menaça même pas de parler.

Autant Lajoye a exposé par un livre et dans le menu son aventure, autant Rouillan semble s’enfoncer dans l’irréalité et le déni de son piètre statut de mercenaire criminel des services spéciaux mitterrandiens.

La carrière de Rouillan pris fin avec l’échec aux élections des socialistes et la prise en main du gouvernement par la droite, qui n’avait pas les mêmes raisons de s’encombrer d’une telle bande d’olibrius.

Après quelques années de planque dans un gîte confortable à proximité du camp de Cercottes, la base d’entraînement du service action de la DGSE, ayant même été visité par les gendarmes locaux sans être inquiété, la droite attendit un laps de temps « diplomatique » de quelques mois, pour « découvrir » la planque d’Action Directe et pour les expédier en prison.

Rouillan est actuellement sorti de prison, et encadré par le NPA, Nouveau Parti Anticapitaliste, qui est l’ancienne LCR Ligue Communiste Révolutionnaire camouflée.

A travers le cas de l’idiot utile criminel Rouillan, on peut voir la chaîne de complicité dans l’étouffement d’une organisation criminelle d’Etat, qui lie à la fois la police, la justice, les organisations d’extrême gauche et les associations de défense des droits de l’homme, ainsi que les milieux de l’information.

Rouillan semble faire l’objet d’une sorte de culte de la part des milieux d’extrême gauche, sans doute le culte de l’andouille.


2 - 1 - 6 Les cas Pierre Goldman et Cesare Battisti.

Qui se souvient encore de Pierre Goldman, une espèce de pseudo révolté en réalité en recherche de gloriole, devenu la coqueluche de la gauche et de l’extrême gauche, après qu’il eut assassiné une couple de pharmaciens parisiens lors d’un hold-up misérable mais sanglant.

Goldman comme Battisti, qui exerça lui sa violence en Italie, ne méritent pas qu’on s’étale plus sur leur itinéraire.

Ce qui les rend intéressant est que dans les deux cas, ils écrivirent.

Goldman pour dénier sa réalité, celle de son personnage fallacieux et l’assassinat de deux personnes, Battisti, lui, jugé coupable de quatre assassinats, écrivant des romans policiers, genre créatif qui dénie la réalité de ce qu’est le milieu policier, genre qui s’inscrit dans celui plus vaste de la mythification de l’appareil policier, mythe dont l’appareil de propagande assomme la population au quotidien par les innombrables séries policières, les films policiers, qui véhiculent une idéologie machiste de la force, sans même évoquer l’immense fossé entre ce que présentent ces créations de la réalité de l’appareil policier, et la réalité de cet appareil.

Goldman et Battisti sont tous deux des dénis.

Tous deux derrière une apparence d’emprunt, celle de révolté généreux agissant pour la libération sociale, ne recherchaient que leur propre promotion dans l’échelle sociale.

Ils sont devenus comme pour Rouillan, des icônes sacrées, des statuts de saints pour l’extrême gauche française, ce qui expose la caractère religieux de cette mouvance, c'est-à-dire ses détermination à tuer l’individualité, l’intellect et l’empathie, à maintenir la hiérarchie comme principe social fondamental, l’inégalité, et l’existence d’une masse serve abusé par une élite, élite que cette extrême gauche rêve de devenir.


2 - 1 - 7 Le cas atypique d’Unabomber.

Unabomber était un américain révolté contre la société moderne et la collaboration des scientifiques à l’acquisition de la puissance par les technologies.

Unabomber a agit entièrement seul, hors tout milieu, ce qui en fait un cas exceptionnel.

Il envoyait à des scientifiques des paquets piégés renfermant une bombe artisanale, fabriquée entièrement par lui-même de façon originale, puisqu’il façonnait même ses vis.

La police ne pu le capturer que parce que son propre frère le dénonça, ayant reconnu sa manière de raisonner et de formuler ses pensées dans l’un de ses messages publiés par un grand journal.

Unabomber était un individu unique. Il laissa une sorte de testament spirituel contre la société technologique, son Manifeste. Il écrivait dans ses carnets intimes en un code qu’il avait inventé. Il fallu l’intervention des meilleurs experts du chiffrage pour le briser.

Unabomber s’était réfugié seul dans une zone naturelle sauvage et survivait de petits boulots dans le bourg voisin.

Sa cabane fut entièrement soulevée et emmené par le FBI à la fois pour être auscultée, et comme pièces rare permettant à la police de comprendre ce qu’était cet individu unique, et au-delà, pour les normalisateurs que sont les policiers, les éradicateur de l’individualité, de comprendre ce qu’est l’individualité.

Unabomber était à l’opposé des adorateurs de la force comme Rouillan, Carlos, Lajoye, le couple Rey-Maupin.

Ses bombes n’étaient pas conçues pour tuer mais pour impressionner, pour contraindre les médias à publier ses écrits, ce qui réussi, même si sur la fin, il avait tellement atteint une perfection dans sa technique, que ses engins, bien que ne renfermant que quelques grammes d’explosifs, furent très dangereux.

Unabomber illustre ce qu’un homme seul, et doué, dont la conscience politico-sociale est éveillée, et décidé, est en mesure de réaliser.

A lui seul, il inquiéta durant plusieurs décennies l’un des états parmi les plus puissants du monde.

Il fut l’un des précurseurs de la prise de conscience de l’impasse existentielle dans laquelle nous nous trouvons actuellement.


2 - 1 - 8 Exemples de matière cervicale grise (néocortex), à laquelle le muscle s’est substitué, tirés de mon vécu personnel militant. Deux petits soldats rencontrés dans l’extrême gauche parisienne des années 90, Brâhim Râjjor et Rodolpho Téléscopique.


2 - 1 – 8/1 Brâhim Rajjor

Brâhim Rajjor est un fou violent. Les groupes d’extrême gauche adorent se servir des fous violents, qui sont souvent des malades mentaux dont les freins à l’agression ont cédé, qui sont possédés d’un désir de domination masqué derrière l’idéologie progressiste propre à la gauche, qui n’est guère plus qu’un paravent à ce désir de domination. Le fou violent d’extrême gauche illustre en un strict raccourci ce qu’est la gauche et l’extrême gauche.

Brâhim Râjjor fréquentait les groupuscules révolutionnaires parisiens, et on aurait pu croire, tant il était provocateur, qu’il travaillait pour M, le Préfet, ce qui n’était certainement pas le cas, car encore mieux, sans même pointer à la grande maison, il leur rendait les meilleurs des services. Il cassait la gueule aux militants les plus intelligents, faisait se taire ceux qui osaient émettre une pensée créatrice, imposait le silence à lui seul à des groupes entiers, interdisant tout débat. C’était l’incarnation du fascisme et du communisme en une même personne. Il était choyé et protégé par les cheffaillons de ce milieu qui n’avait officiellement pas de chef. C’était un nervi officieux des hiérarques implicites de cette mouvance. Dans n’importe quel milieu équilibré, Brâhim Râjjor aurait été expulsé manu militari et à perpétuité, dans ces milieux « libertaires » et « progressistes », dont dans ce micro-corspuscule nommé THKCPXQT, dont le slogan était « Vilains riches et pauvres pauvres », tenu en laisse par le non-chef, non-gourou, l’égalitariste, le führer communo-libertaire Gross Fred-Reich (dont le groupe attendait l’arrivée dans le silence et la contrition, aucune discussion ne pouvant commencer sans sa présence, mais il était interdit de dire et de penser que c’était le chef, et qu’il pouvait y avoir un chef dans ce groupe dit anarchiste), il était toujours bienvenu. Il en avait particulièrement après les femmes, car de plus il devait traîner un tout petit problème sexuel et devait être un cas particulièrement bétonné précontraint d’homosexuel autophobe, allergique à sa propre quêquette. Son origine maghrébine, culturellement traditionnellement machiste, et son cul autophobique pris entre deux chaises, son petit trou immaculé et guère autre dérangé que par d’éventuelles hémorroïdes, dangereusement suspendu dans le vide, au-dessus d’un piton rocheux environné de brumes, c'est-à-dire entre deux cultures, la maghrébine et la française, qu’il n’avait visiblement ni pour l’une ni pour l’autre pas du tout assimilées, ni encore moins dépassées, en faisait un être accueillant pour toutes les invasions idéologiques, donnant généreusement l’hospitalité à toutes les manipulations. C’était un élément de choix pour la micro nomenklatura parisienne communiste libertaire.


2 - 1 - 8/2 Le cas de Rodolpho Téléscopique est plus simple, comme son nom l’indique. Dans les manifs où il apparaissait, sorte de chien guide d’aveugles, les aveugles étant les militants, sauf que les chiens d’aveugles qu’on rencontre dans le métro par exemple, sont doux avec leur maître et n’ont pas un matraque télescopique en acier qui dépasse de la poche portefeuille de son pantalon, ce matériel étant de plus interdit dans certaine police européenne car pouvant provoquer des blessures graves, ce qui n’était pas le cas dans la très en avance sur l’ordre policier mondial CNT, Confédération Nationale du Travail, pseudo syndicat pseudo anarchiste parisien, sis au 33 rue des Vignoles dans le 20ème, Rodolpho Télescopique émargeant à cette officine que tous les gens informés tiennent ni plus ni moins pour une succursale de la Préfecture, d’ailleurs aucun agent n’ayant jamais saisi Rodolpho pour port d’arme prohibé, laquelle était tout de même bien en évidence, au sus et au vu de tous.

Rodolpho un jour dérapa, c'est-à-dire il passa de la fonction casseur de gueule à celle d’inquisiteur public, et cela le perdit. Il proféra à une malheureuse vieille parente d’un terroriste emprisonné qu’elle était une ennemie du peuple. C’est sans doute ce qui courrait comme appréciation dans le milieu des cheffaillons que Rodolpho fréquentait.

Cela ne fut pas pardonné par une faction du milieu « libertaire » tout aussi faisandée parisienne, laquelle avait du pouvoir. La CNT dû s’en débarrasser en le recyclant dans une autre succursale de Msieur L’Préfet, comme simple colleur d’affiches, peut-être toujours la bitte, ou plutôt la matraque télescopique dans la poche arrière, au MIB, Mouvement pour l’intégration et les banlieues, « Mouvement » qui, quand on en a approché une seule fois les chefs, laisse le sentiment d’avoir été mêlé à une bande de barbouzes crasseuses, louches à souhait et à fuir résolument.


2 - 1 - 9 Quelques cas de Maîtres, et le devenir de leur progéniture (ou, c’est aux fruits qu’on reconnaît l’arbre) : Canigula ou le maître de l’anarchie, Grossetêt ou le maître de la liberté de penser, Anton Goulagovitch Stalinbergouf ou l’empereur du communisme.

Pour clore cette partie vécue consacrée à des personnages réels, voici l’exposé bref du devenir des enfants de trois pères engagés en politique et militant pour de nobles causes, causes qui sont devenues l’étais principal de leur vie.

2 - 1 - 9/1 Canigula, est anarchiste de père en fils, c'est-à-dire que son propre père était anarchiste, et apparaissait dans le dictionnaire de l’anarchie, le Maitron. Canigula est pour un monde sans hiérarchie, c'est-à-dire sans dieu ni maître selon l’expression des anarchistes. Il émet la bonne nouvelle, son évangile, tous les dimanche matin, sur la radio libertaire qui diffuse sur toute la région parisienne (11 millions d’habitants), depuis des temps immémoriaux, son émission s’intitule ni maître ni dieu à part moi. Il diffuse de même tous les lundi, depuis des temps immémoriaux, une série sur la Commune de Paris, en boucle, le temps étant devenu circulaire pour lui, un présent éternellement recommencé, l’anarchie étant l’alpha et l’oméga, le début et la fin des temps. Son fils après avoir terminé des études de droit, a tenté sans succès deux fois le concours d’entrée des commissaires de police, en désespoir de cause, il est juge au tribunal administratif (que signifie « tel père tel fils » dans ce cas ? Que cache cette apparence anarchiste ?).

2 - 1 - 9/2 Grossetêt ou le maître de la liberté de penser. Grossetêt a opté pour la liberté de penser, soit l’article 11 d’une des déclaration d’intention du régime occidental, qui sont destinées à décorer les murs, comme la feuille de salade végétarienne l’assiette de steak frittes. Il a fait carrière comme immaculé de la liberté de penser et a même dû s’exiler, cela en régime des libertés de « farçade » français. C’est dire qu’il a été loin. Son créneau il est vrai était celui de la dénonciation des fameux bourreaux innommables, assoiffés de pouvoir et déguisés en agneau du sacrifice, victimes des méchants humains, ces êtres inférieurs. Des agneaux les poches pleines et la panse gonflée non pas de bonne herbe tendre, mais du sang et de la graisse de ces méchants humains inférieurs aux animaux. Affronter de face cette coterie mondiale était périlleux, mais Grossetêt était tellement habité, comme ceux qu’il dénonçait de ce besoin de paraître au-dessus des autres, de déambuler dans les cimes, là où on surplombe le troupeau, où on ne voit que les sommets des crânes, que seul ce sujet de dénonciation, ces gens qui constituent à eux seuls l’interdit de penser, seul ce sujet était à la mesure de son ambition. La liberté de penser, et la dénonciation des ignobles qui incarnent l’interdit de penser, voilà un plan de carrière vers le haut, tout tracé. Il suffit ensuite d’appliquer et de bosser, et Grossetêt est un bosseur, qui aurait pu décrocher la médaille du travail sous Stakanov. Grossetêt est parvenu à collationner dans toutes les langues tout ce qui concerne les ignobles, en long en large et en travers, et particulièrement leur procédé récent dans l’histoire de métamorphose de loup avide et jamais repu, en agneau immaculé et sacrifié par ces méchants humains. Un procédé, il est vrai, tellement mal ficelé, qu’inévitablement dès qu’apparaît un humain moyennement intelligent et rigoureux dans une génération, apparaît de même un motivé pour dénoncer la supercherie, si bien que les ignobles sont condamnés à éternellement couper toutes les têtes pensantes, comme à chaque printemps un jardinier doit tailler ses haies, couper son herbes, si il ne veut pas que son jardin deviennent très très vite impénétrable.

Il faut reconnaître que Grossetêt a rendu un fier service à ces méchants humains inférieurs aux animaux, comme les considèrent les ignobles. Mais qu’elle est la véritable motivation de Grossetêt.

On peut la découvrir grâce à son fils, en négatif.

Grossetêt est devenue un sommité mondiale, par ce qui est une véritable encyclopédie multilingue du mensonge et de la tyrannie des ignobles. Les concurrents des ignobles évidemment s’en sont servi, ces concurrents n’étant guère mieux que les ignobles, aussi ennemis de la liberté de penser que les ignobles, et en dernier ressort, tout à fait prêt à s’allier aux ignobles si le vent change, et que leurs intérêts coïncide avec ceux des ignobles.

Grossetêt rencontra des chefs d’Etats, parmi d’autres VIP. Son nom fut connu, mondialement.

Son fils, lui, s’échine à ne rien réussir, même à exister dans le néant, et exister dans le néant est bien une gageure infiniment plus extraordinaire que le défit que son père à lancé aux maître de l’humanité, et de l’univers, que sont les ignobles. De la présence du fils émane un bonheur, celui de non-être, sans qu’il fasse le moindre effort pour que ce sentiment apparaisse à son contact. C’est une sorte de super bouddha, un bouddha qui serait même indifférent à sa sainteté, au-delà de la reconnaissance de son aboutissement, de sa perfection, au-delà même de sa propre conscience de sa réalité de bouddha.

Le fils a tellement bien réussi dans le non-désir, dans la non-action, qu’il est toujours hébergé par son père. Ce dernier envisageait un moment sérieusement de l’expulser du logement qu’il lui prête, soit d’en faire un SDF, ce qui aurait été la consécration de la carrière d’arpenteur du néant de son fils, carrière infiniment plus rare et couronnée de succès que celle de vainqueur des cimes de son père.


2 - 1 - 9/3 Anton Goulagovitch Stalinbergouf ou l’empereur du communisme.

Goulagovitch est communiste, et adorateur de sa figure centrale, celui qu’on surnommait le hachoir, qui transformait les peuples en chair à saucisse, le « petit père des peules », une sorte de criminel en série, non pas en série d’individus, mais en série de nations. Une sorte de mégalomane de l’assassinat, un cas unique dans l’histoire humaine.

Goulagovitch croit en la manière forte, et possède surtout un don très développé pour la cécité. Il ne voit que ce que son désir lui permet de voir, le communisme devenant dépouillé de tout ce qui l’entache, c'est-à-dire que ce qui en reste peut tenir amplement sur l’une des anciennes planches des images d’Epinal.

Ce qui est étrange, c’est que de Goulagovitch émane une gentillesse indéniable. On ne l’imagine pas dans la peau d’un bourreau, personnage qui est pourtant son idéal, puisqu’ilo adore le « petit père hachoir des peuples ».

Qui se cache derrière la gentillesse personnifiée par Goulagovitch ?

Son fils nous fourni un début de réponse.

Le fils de Goulagovitch lui est un extrémiste de droite violent, irascible, misogyne. Sa violence l’a conduit en prison et devant les juges. Le fils réussi même à agresser ses avocats. De plus, il réussi très bien une carrière de raté, ce qui fait qu’il est accroché comme un boulet à la situation sociale de son père, dont il soutire sa subsistance.

Ainsi, chaque instant, perçant les nimbes d’un avenir radieux que le père vit au présent dans une sorte de rêve narcotique, le communisme se révélant un tout aussi bon opium que la religion, son fils ramène de force Goulagovith à la réalité.

3 - Le problème de la vision sélective, tronquée, schizophrène, discriminante, et réflexion générale sur les principaux outils de propagande du régime totalitaire capitalo-sioniste occidental : le prix Nobel de la paix, la Cour Pénale Internationale, les ONG telles Amnesty International (UK), Human Rights Watch (USA) et la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (France), illustrés par deux éléments :

3 - 1 Le dissident chinois Liu Xiaobo .

Le Dalaï Lama a été décoré du prix Nobel de la Paix en 1989, le dissident chinois Liu Xiaobo en 2009.

Le prix Nobel de la Paix (du nom d’un fabriquant d’explosif militaire et civil, et qui fit sa fortune sur des montagnes d’humains déchiquetés), comme la Cour Pénale Internationale, qui poursuit les auteurs de crimes de guerre et contre l’humanité, ne sont que deux des organes de guerre de l’Otan, comme les ONG internationales des droits de l’homme, telles Amnesty, Human Rights Watch et la Fédération Internationale des Droits de l’Homme.

Un livre de Xiaobo a été publié en France en 2011, « La philosophie du cochon », qui évoque l’idéologie actuelle chinoise entièrement tournée vers l’intérêt (égoïste).

Xiaobo est sans le savoir, et sans le vouloir, l’un des meilleurs propagandistes de l’OTAN. Son livre expose l’intégralité de l’idéologie occidentale des droits de l’homme et de la démocratie, qui ne sont, ce que tout esprit éveillé en Occident, que la justification du régime totalitaire capitaliste, un capitalisme spécifiquement occidental puisque noyauté par une secte, la secte sioniste, le régime totalitaire occidental pouvant être résumé comme étant le capitalo-sionisme. De plus, Xiaobo se réfère à une ONG telle que « Reporters sans frontières », qui n’est qu’une création des services spéciaux en charge de la guerre par la propagande du régime.

Xiaobo a été condamné à une dizaine d’années de prison en 2009, il avait déjà purgé trois années de prison auparavant.

C’est réellement un personnage pitoyable, car victime courageuse de la répression d’un régime totalitairement ignoble, il sert la propagande d’un autre régime totalitairement ignoble, qui ne lui est que concurrent dans leur course commune à l’hégémonie mondiale, et la la supplantation du régime adverse.

De plus, Xiaobo dessert son propre peuple, car si le régime occidental parvenait à renverser le régime chinois, il ne fait aucun doute que la situation matérielle générale de la population chinoise s’aggraverait dans des proportions gigantesques.

La Chine est la cible principale du régime occidental capitalo-sioniste et de son bras armé l’OTAN, ce qui est visible à travers les deux prix Nobel.

Le cas Xiaobo, outre son indécrottable niaiserie, attire l’attention sur le cas de tous les individus qui s’opposent localement à un régime totalitaire, car à peu près tous finissent par devenir la proie d’un régime totalitaire adverse, qui se sert d’eux comme faire valoir.

C’est le cas des dissidents russes, dont d’Anna Politovskaya, assassinée – parmi une foule d’autres, par le régime russe.

La tragédie de ces dissidents est d’être devenu des armes entre les mains d’un régime tout aussi ignoble que le régime qui les persécute, et qui se sert d’eux pour renforcer sa propre répression sur sa propre population, en faisant croire à cette population qu’il défend le droit des gens, ce qui trouble la perception de la population sur sa propre situation, l’empêche de réaliser à quel point elle est elle-même dépourvu de tout droit, et facilite ainsi son privation de tout droit, et la répression de ceux qui sont malgré tout lucides.

Tout dissident qui combattant un totalitarisme est récupéré par un autre totalitarisme qui le soutien, devient un instrument de répression de l’humanité en général.


3 - 2 Extrait du livre « Une secte au cœur de la République », de Serge Faubert, livre portant sur la scientologie, et l’extrait sur une comparaison avec le judaïsme.

A travers cet extrait, qui résume en peu de mot l’essentiel de la réalité de la secte scientologique, et qui en fait la comparaison avec le judaïsme, apparaît un autre cas de vision tronquée.

« Comparaison fallacieuse (entre le judaïsme et la Scientologie). A la différence de la scientologie, le Consistoire de France n’exhorte pas ses membres à s’emparer des postes clés de la société pour la conquérir. Il ne se livre à aucune activité d’espionnage, il ne fiche personne. »

Cet extrait définit de façon radicale ce qu’est la Scientologie, soit une organisation dédiée à la prise du pouvoir dans la société. Ce type d’organisation peut être définit comme « Organisation de lutte pour le pouvoir ».

Le judaïsme est lui-même entièrement définit par la lutte pour le pouvoir, la définition même de la population juive, comme étant le peuple élu, les nombreux passages de la Torah ou de l’Ancien testament (le Deutéronome spécialement), qu’il est fastidieux de toujours en encore nommer, le prouve sans conteste.

On peut dire que l’organisation juive a été la première apparue dans l’histoire humaine de la catégorie des organisations de lutte pour le pouvoir.

Il n’existe aucun risque en écrivant cela d’être poursuivi pour antisémitisme, en justice par le procureur ou l’une des organisations juives spécialisées pour imposer le silence sur cette réalité (telle la LICRA ou SOS Racisme), car cela exposerait au risque d’une simple lecture de la Bible, et de ses très nombreux et très explicites extraits traitant de l’essence des juifs comme les obligeants à prendre le pouvoir sur toute l’humanité, comme devant asservir tous les autres peuples.

Certains ont travaillé sur le Talmud, qui lui est moins répandu, et dont de nombreux passages sont tout aussi explicites, mais infiniment plus triviaux que ceux de la Bible.

La Scientologie est une simple copie fantasque du système idéologique juif, et de la manière d’opérer de ses organisations spécialisées dans la persécution de ses détracteurs, ou de ceux qui simplement veulent faire un travail scientifique d’élucidation sociologique de ce système humain parmi les autres.

Le cas de persécution le plus intense a lieu envers les historiens qui s’intéressent de trop près à l’histoire officielle de la seconde guerre mondiale, du nazisme, et des camps de concentration avec leurs chambres à gaz, car cette histoire officielle sert de justification à l’éradication, autrement nommée génocide, de la population indigène de Palestine, pour son remplacement par des juifs.

Il est à constater que la Cour Pénale Internationale ne poursuit pas les dirigeants juifs comme auteur de génocide, et que le jury du Nobel ne décerne pas son prix aux dirigeants palestiniens authentiquement résistants au génocide de leur peuple (comme ceux du Hamas), mais que bien au contraire, des dirigeants sionistes (Peres et Rabin) auteur du crime de génocide, ainsi qu’au dirigeant palestinien Arafat qui a vendu son peuple, se sont vus eux décernés ce prix (conjointement en 1994).

On peut voir là de plus le procédé préféré des pro sionistes, soit de mettre sur le même plan criminel et victime, ce qui apparaît par le prix Nobel collectif décerné au fantoche palestinien Arafat, et aux chefs sionistes Peres et Rabin.

Amnesty International s’est fait une spécialité de placer sur le même plan les sionistes et les palestiniens. De même, ce procédé apparaît dans tous les textes où il on emploie le terme « conflit », pour qualifier l’agression des suifs sur la Palestine, et l’inexorable disparition de la population palestinienne de son sol.

En réalité, et cela devient de plus en plus clair en ce qui concerne le prix Nobel, tous les prix sont maintenant devenus des armes de guerre contre les concurrents au régime totalitaire mondial américano-sioniste, de même que la CPI n’exerce ses poursuites qu’à l’encontre des adversaires de ce régime. La CPI, comme l’ex Tribunal de Nuremberg, ne sont que des jurys de criminels, et le Nobel qu’un prix décerné par des criminels.


3 - 3 Le cas du dalaï lama, escroc religieux international indépassable, porte-parole du peuple tibétain que sa caste a réduit durant des siècles à l’ignorance et maintenu dans le plus total obscurantisme, pour en tirer profit, qui soit disant lutte contre le génocide de son peuple, et qui reconnaît la légitimité d’Israël, soit la légitimité du génocide des palestiniens. Son soutien par une organisation occidentale de guerre par la propagande au sommet de la perversité, la « Commission internationale des juristes », le résultat étant la sacralisation du droit de génocide.


Il faut immédiatement le dire, le dalaï lama est sans doute l’une des ordures indépassables de cette espèce, de tous les temps et de toutes les régions.

La religion tibétaine est une sorte de bouddhisme particulièrement aliénant pour la population qui y est soumise, laquelle est dans un état de crédulité équivalent à celui de la population européenne dans le moyen-âge. Les dalaï lama se « réincarnent » dès qu’ils meurent, dans le corps d’un nouveau né, qui est activement recherché et dès que trouvé, porté sur le trône et éduqué pour devenir à sa majorité le successeur du décédé. La population tibétaine a gobé durant des siècles ces âneries et semble continuer à les gober.

Le problème qui se pose immédiatement face à l’invasion du Tibet par la Chine et face à la destruction totale de la culture tibétaine par les chinois, est il faut oser le dire, c’est celui de savoir si au fond, la destruction d’un processus d’aliénation tel celui de la religion tibétaine, le lamaïsme, n’est pas un élément bénéfique pour l’ensemble de l’espèce humaine, tant qu’on pourrait en remercier les dirigeants chinois. De plus, cette escroquerie mentale déborde largement la seule population tibétaine, se répandant au sein des populations « évoluées » occidentales, comme une épidémie.

Quant au chef suprême de cette escroquerie qui ferait paraître sympathique celle de l’Eglise de Scientologie, il cumule en lui-même d’autres nuisibilités.

On peut le réduire à l’identité d’un simple pion de la CIA, organisation avec laquelle il collabore depuis des dizaines d’années, mais plus sordide encore, au vu de la situation du peuple tibétain, c’est un grand ami des sionistes. Il a effectué une visite en Israël, associant les juifs aux tibétains par la shoah. Il se fait ainsi le propagandiste de ce qui sert de légitimité extra légale au vol de la Palestine, la shoah, l’holocauste.

Tout aussi grave, il place lui aussi sur le même plan les palestiniens et les juifs, ce qui apparaît sans équivoque dans ses déclarations publiques aux questions sur son choix personnel vis-à-vis des juifs et des palestiniens, éludant comme un jésuite aguerri la question en déclarant qu’il ne faut pas faire entrer la religion dans ce contexte car il faut garder son esprit rationnel ce qui ne peut être le cas si on adopte un point de vue religieux. En dépit de son bon départ, rare de la part d’un pur religieux, il se garde bien de continuer en considérant le point de vue du droit international, et d’un cas évident de spoliation et de génocide programmé et poursuivi. Il poursuit en déclarant que la violence doit être écartée par les tous les antagonistes, alors que la violence est le fondement du sionisme, que le sionisme n’existe pas sans la violence, qu’Israël est un incarnation de la violence, et continue de n’exister que par la violence, la violence physique classique, et celle mentale par le mensonge, la désinformation, la falsification, la corruption, la compromission, le chantage et autres procédés de basse police employés de façon systématique, à un niveau et à une cadence sans doute jamais atteints dans toute l’histoire humaine.

L’escroc dénommé « dalaï lama 14 », entérine un génocide, celui d’une population autre que celle du Tibet, le génocide des palestiniens, tout en luttant - du moins en apparence - contre un génocide, celui de la population tibétaine. Pour lui, d’évidence, pour ce grand sage au dessus du commun humain, il y a donc des mauvais génocides, et des bons. Le lamaïsme légitime, sacralise, sanctifie donc le droit de génocide.

Ce n’est au fond pas une surprise, car toutes les religions ont affirmé que certaines guerres et certains massacres étaient justes, et que la Bible chrétienne (la partie dénommée « Ancien testament »), dans ces premiers livres, qui constituent le corpus des textes sacrés juifs de la Torah, pose le génocide des populations non-juives comme un acte légitime et même comme un devoir, une obligation exigée par dieu (voir le fameux Deutéronome, le 5ème livre, qu’on ne relit jamais assez, et qu’il serait passionnant de lire devant un tribunal, national ou international, comme monument de conditionnement psychique à l’exclusion, au racisme, à la haine et à la violence à exercer sans limite, sans complexe, sur autrui qui n’appartient pas à sa propre tribu, soit un monument de conditionnement de déshumanisation).

Dalaï lama 14 est soutenu dans cette opération de déshumanisation sélective par une organisation internationale dénommée « Commission internationale des juristes », qui qualifie en droit le sort des tibétains à un génocide, qui affirme en droit l’illégitimité de la possession par la Chine du Tibet, la Chine considérant officiellement que le Tibet a toujours été une province chinoise.

Cette « Commission internationale des juristes » est d’évidence une organisation sioniste, qui pratique le double langage, la double vision, le deux poids deux mesures, car toutes les conclusions tirées par cette commission au sujet du Tibet s’appliquent parfaitement à la Palestine, ce que les honorables membres de cette commission se gardent bien de faire.

Ainsi, aux organes de guerre par la propagande précité (prix Nobel, Cour pénale internationale, Amnesty International et autres organisations occidentales humanitaires et droidlomistes), s’ajoute celle particulièrement perverse de la « Commission internationale des juristes ».

Pour finir, il est clair que dalaï lama 14 ne cherche absolument pas à défendre la population tibétaine. Son pouvoir depuis l’invasion chinois s’est extra territorialisé et s’exerce de façon immatérielle sur l’ensemble des populations humaines. Ce pouvoir, cette aura provient justement du sort fait à la population du Tibet.

On peut dire sans exagérer que plus ça va mal pour les tibétains, plus ça va bien pour « sa sainteté », car plus son stock de sympathie augmente, en raison de l’attitude affectée qu’il a eu l’intelligence d’adopter.

En effet, face à l’avancée sans répit de l’occupation chinoise de plus en plus totale de la terre du Tibet, et à la disparition de plus en plus parfaite de toute trace de l’ancienne culture et du passé du Tibet, continuer à prôner la non-violence, la soumission aux envahisseurs chinois, et même le respect envers eux, et encore au-delà les comprendre et les aimer, Ah ! quel homme saint. Vieux salaud vicieux va !

Michel Dakar, Paris, le 4 juillet 2011.