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Texte fondamental :
Dominer par la paralysie, une exploration de l’univers shoah. 1 - Introduction. Ce texte est un médicament. Il a été écrit pour soigner. Lire ce texte est absorber un remède. Ce remède a été élaboré pour que l’esprit se libère du système shoah. Le système shoah est un procédé psychique dont le but est d’inhiber la réaction naturelle à l’agression. L’effet du système shoah est de provoquer la paralysie de la proie face au prédateur. L’agressé qui subit le système shoah doit rester passif, inerte, devant son agresseur. Le système shoah est censé interdire à l’agressé de se défendre. Ce texte est certes long, mais il est conseillé de faire l’effort de le lire jusqu’au bout. Il n’y a pas de libération facile, ou dans ce cas de traitement à ingérer sous forme de pilules préfabriquées, sans un travail personnel à faire sur soi même. De plus, le système shoah n’est qu’en apparence très compliqué, alors qu’il est d’une enfantine simplicité.
L’homme est un animal. Il appartient à l’ordre naturel. Son comportement relève de l’éthologie. L’éthologie est la science du comportement des animaux. L’éthologie est comme toute science fondée sur l’observation et l’expérimentation. La psychologie humaine n’est au fond qu’un chapitre de l’éthologie.
Il est là indispensable d’abandonner l’idée d’agressivité telle que la propagande dominante l’a répandue dans la population, qui assimile l’agressivité à la violence, à ce qui est le mal. Il est clair que le but du pouvoir qui commande à cette propagande est de provoquer dans la masse une répulsion vis-à-vis de l’agressivité, de façon à conserver son emprise sur la masse. Agresser provient du latin aggredi, qui se décompose en ad – gradi, dont la signification est « marcher vers », « s’avancer », « aller de l’avant ». L’idée portée par agresser est celle de vie. La vie est activité, une activité dirigée vers l’avant, au-delà de la limite de l’être. Cette activité s’étend à la fois dans les trois dimensions de l’espace, et dans le temps, du présent vers l’avenir. Il n’y a là ni bien ni mal, la vie, ou l’agressivité, sont au-delà de toute morale. L’agressivité est ce qu’on nomme instinct chez l’animal. L’agressivité, ou l’instinct fondamental de tout ce qui existe, se manifeste par l’activité. On observe l’activité aussi bien dans le règne animal, végétal, mais aussi minéral (la croissance des cristaux en est un exemple évident), ou encore cosmique, comme dans la formation des étoiles, des galaxies, les mouvements des planètes, des soleils et autres. Tout est mouvement, activité, agressivité. En physique, le terme pour agressivité est énergie. Tout est énergie et rayonnement, le rayonnement étant la première manifestation de l’énergie. Pour certains, le nom de l’énergie est dieu. L’esprit, la pensée n’est que la manifestation dernière de l’énergie, dans la chronologie de l’univers que nous connaissons.
1 – 3. A l’opposée de la vie. L’opposée de la vie, ou de l’activité est la passivité. Passif provient du latin « pati », qui signifie « souffrir », ce qui souffre, ce qui subit l’action. Actif provient du latin « agere »,
qui signifie agir. Inhiber provient du latin « inhibere », composé de « in » (dans) et de « habere » (avoir), composition évoquant l’idée de « d’avoir dans », « de tenir dans », c'est-à-dire d’interdire. Inhiber quelqu’un est le tenir sous son emprise, l’avoir sous sa domination, lui interdire d’être actif, c'est-à-dire d’être agressif, c'est-à-dire d’exister. L’inhibition provoque la paralysie. Paralyser provient du grec para (à côté, hors la norme), et lysis (délier, dissoudre). Paralyser est abolir la sensibilité et le mouvement.
La vie est une rencontre constante d’agressivités. On observe plusieurs types de comportements possibles de l’animal, confronté à l’agressivité d’un autre animal. Le premier est l’agressivité. L’animal réagit à l’agressivité d’un autre animal par l’agressivité, ce qui entraîne un combat, une lutte. Le second est la fuite, l’animal comprenant son infériorité face à l’autre animal, prend la fuite. Le troisième, qui apparaît chez les animaux supérieurs, est la soumission, l’animal dont la force est inférieure fait acte de soumission, ce qui n’inclut d’ailleurs aucune conséquence d’exploitation, comme chez l’être humain, simplement l’animal soumit intègre une certaine place dans la hiérarchie sociale. Un quatrième comportement apparaît, c’est la paralysie, quand aucuns comportements vitaux tels ceux précédemment décrits ne sont possibles. C’est uniquement le cas lorsque que la situation comporte une contradiction irréductible, pour l’animal, qu’il ne peut parvenir à résoudre.
3 - Explication du système paralysant l’agressivité, la shoah. 3 - 1. Le premier terme de la contradiction du système shoah.
On observe en éthologie, que la paralysie d’un animal apparaît lorsqu’il est soumis à une contradiction irréductible, qu’il n’a pas la capacité de dépasser. Cette contradiction provoque un blocage de ses réactions. Ce blocage provient de son inaptitude à exercer sa faculté de choisir une attitude (combat, fuite), ou encore de créer une nouvelle attitude. Ses capacités physiques ou intellectuelles ne sont pas suffisantes pour résoudre cette contradiction. On obtient la paralysie d’un individu ou de populations, en créant artificiellement un univers de contradictions irréductibles, où on leur impose d’exister. C’est un effet purement mécanique. Nous sommes dans un contexte de principes mécaniques très simples, basiques à l’organisation de la vie. Toutefois, il faut avoir les moyens matériels pour créer un univers social. Cela signifie que cela n’est possible que si on domine réellement une société, et cela absolument. Le fait de créer un univers social implique que celui qui le fait est le dominateur absolu d’une société. C’est le premier terme de la contradiction de l’univers shoah.
3 - 2. Le second terme de la contradiction du système shoah.
Le premier impliquant que le créateur d’un univers renfermant une contradiction irréductible doit être omnipotent, le maître absolu de la société, soit à l’inverse total de l’état de victime, le seul second terme qui convient est d’identifier ce créateur, maître absolu de la société, comme une victime, et au-delà, comme l’archétype de la victime, la victime absolue.
3 – 3. Mise en vis-à-vis des deux termes de la contradiction.
4 – Contre stratégies possibles au sein de l’univers shoah.
Il y a la plus ancienne, et la plus primitive, celle des révisionnistes, qui consiste à remettre en question le premier terme de la contradiction, soit à évaluer par la raison, la logique, l’analyse, la recherche, la réalité de la shoah. Face à cette stratégie, les maîtres de l’univers shoah ont mis en place un appareil de répression physique (police, tribunaux, violence physique officieuse, élimination pécuniaire, diffamation publique), dont l’objet est d’interdire matériellement la propagation du révisionnisme au sein des masses de l’univers shoah. Les maîtres absolus de l’univers shoah contrôlant l’intégralité des voies de communications utilisées par les masses, le révisionnisme est pour le moment cantonné dans les secteurs marginaux et ultra minoritaires occupés par les libres penseurs irréductibles, sinon par l’assassinat. Il y a bien sûr, beaucoup d’autres stratégies possibles, et qui sont actuellement mises en œuvre. En fait, il y en a une infinité. Ce texte n’est que l’une d’entre elles. A chacun d’imaginer la sienne. Mettre à bas le mur de l’univers shoah est l’œuvre de tous. C’est devenu l’objectif principal et prioritaire pour la libération de l’Homme. C’est une œuvre à la fois individuelle et commune, commune dans le sens de l’ancienne polis grecque, définit comme une communauté d’individus et non une collectivité, où le premier soucis est l’être humain. De plus, il faut avoir à la conscience qu’aucun mur ne peut contenir la vie, et donc que la force de vie est de notre côté, que la vie est notre alliée. L’univers shoah est par sa nature même condamné à disparaître, car il est à l’opposé total de la vie. L’univers shoah cherche à inhiber
la vie, à paralyser l’univers, à arrêter la
danse des galaxies, à stopper le parcours de la lumière.
Michel DAKAR, Paris, le 19 avril 2010
Illustration : Figurine féminine, art cycladique ancien (environ - 3000/4000 avant J.C.), marbre blanc, 25 cm
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