Explication des
échecs des sociétés de progrès anarchiste et marxiste, la
notion de classe économique complétée par celle de classe
socio-psychologique rendue évidente par la psyops mondiale Covid
2020.
Communiqué
de Michel Dakar, le 25 septembre 2020
Développement du lien
:
http://aredam.net/explication-des-echecs-des-societes-de-progres-anarchiste-et-marxiste-la-notion-
de-classe-economique-completee-par-celle-de-classe-socio-psyhologique-rendue-
evidente-par-la-psyops-mondiale-covid-2020.html
|
Sommaire
:
1
– La psyops Covid 2020 est une chance pour l’espèce
humaine.
2
- En ce qui concerne la psyops Covid 2020 en tant que
telle.
Illustration :
a)
Dessin
:
http://aredam.net/pyramides-classes-et-categories-socio-psychologiques.pdf
b) Type de comportements devant se généraliser au
cas où la société humaine ne sortirait pas de l’ornière
inégalitaire :
https://www.bestgore.com/burn-victim/cjng-sicario-burn-face-rival-mock-nickname-ghost-rider-mexico/
Documentation :
Israël
Shahak « Histoire juive – Religion juive Le poids de trois
millénaires », 1994 http://aredam.net/SHAHrelig.pdf
Lien :
https://www.socioforum.su/
1
– La psyops Covid 2020 est une chance pour l’espèce
humaine.
L’opération
psychologique (psypos) planétaire dite Covid 2020 est une chance
pour l’espèce humaine car elle révèle la maladie cachée
jusqu’alors de cette espèce, la maladie de l’inégalité.
Cette maladie apparaît enfin au grand jour, par les masques et
autres éléments aberrants produits par la psyops Covid
2020.
La mise au jour de la maladie de l’inégalité
rend possible l’analyse et la compréhension de cette maladie,
et donc permet de préparer son traitement.
Il faut
quand même se poser la question, jamais posée d’ailleurs du
pourquoi des échecs des tentatives d’instaurer une humanité
heureuse, c’est à dire une société sans classes et sans
État, égalitaire, anarchiste et marxiste.
Il faut
rappeler les principes de ce type de société qui sont simples à
mettre en œuvre et bien connus, une société structurée sur la
communauté de base d’une cinquantaine d’individus (au-delà
on ne peut établir des rapports personnels avec tous les membres
de sa propre communauté), régie par un conseil communautaire
constitué de la totalité de ses membres, une représentation
choisie par consensus et non au vote majoritaire, révocable à
tout moment et dont les mandats sont impératifs c’est à dire
que le représentant n’a pour seule latitude que l’exécution
du mandat pour lequel il est désigné, une totale égalité de
droit, de jouissance et de bien, la seule propriété personnelle
étant les biens de sa vie quotidienne (habitat et créations
individuelles), l’appareil de production étant régi par des
associations coopératives soumises au même principe que les
communautés de base, la communalisation de toutes les richesses
naturelles ou élaborées, ces communautés de base étant
formées en ensembles comprenant plusieurs communautés, puis en
ensembles d’ensembles, et ainsi de suite jusqu’à englober
toute la société, et une communication politique non pas
verticale mais horizontale. Une éducation fondée sur la
conscience, le réalisme, l’initiative personnelle, la
responsabilisation, l’autonomisation, l’épanouissement de sa
personnalité, l’originalité, l’unicité, la communication
des idées et des informations, l’a-dogmatisme, l’innovation
et la recherche, et le respect des autres etc … Soit tout
l’inverse de ce qu’on connaît. Dans ce type de société,
toute l’énergie est disponible pour la création, la recherche
de la connaissance et celle du bonheur, soit encore tout
l’inverse de ce qu’on connaît. Autant bien préciser qu’une
société humaine fondée sur ces principes connaîtrait une
explosion positive extraordinaire dans tous les domaines. On ne
peut en notre état actuel imaginer ce que donnerait une telle
société. Notre époque serait regardée comme un temps
sinistre, absurde et abject.
La souffrance déniée
engendrée siècles après siècles, millénaires après
millénaires par la société inégalitaire apparaît maintenant
grâce à l’opération ultime de réduction en esclavage
parfait de l’ensemble de la société humaine dite Covid 2020.
Le schéma économico-politique de la société
inégalitaire, qui est commun aux anarchistes et aux marxistes
(reproduit en
http://aredam.net/pyramides-classes-et-categories-socio-psychologiques.pdf
), doit être complété par le schéma socio-psychologique de ce
même type de société si on veut comprendre pourquoi les
tentatives d’instauration d’un ordre du bonheur ont
échoué.
Pour synthétiser, l’inégalité aboutit à
la désindividualisation, autant ceux qu’on trouve au sommet de
la pyramide sociale, que ceux qu’on trouve à sa base, et que
ceux qui forment l’intermédiaire, ont en commun d’être
privés d’individualité. Les seuls qui aient préservé leur
individualité sont à l’état de trace, non-quantifiable, et à
ce titre ne sont même pas à considérer en tant que classe ou
catégorie. On ne fait pas une catégorie de ce qui ne peut par
nature appartenir à une catégorie, ou bien dont chaque élément
constitue une catégorie à soi tout seul (on notera que sur le
schéma des pyramides ils forment la catégorie C par pure
facilité de représentation).
Dans le système
inégalitaire, au fond, les seuls qui possèdent une existence
sont ces exceptions, les autres n’étant que des rouages d’une
machine, qui se transforment de façon visible maintenant, en
machine, dont les nouvelles appellations sont androïdes, drones,
intelligence artificielle et autres. Les masques ne sont que
l’expression de la désindividualisation et de la
transformation en robot des humains. Le lien avec la vidéo de
carbonisation d’un visage du site Bestgore.com est aussi une
illustration de ce type de déterminisme :
https://www.bestgore.com/burn-victim/cjng-sicario-burn-face-rival-mock-nickname-ghost-rider-mexico/
.
Les anarchistes et marxistes du 19ème siècle
(après il faut oser le dire, ils ont disparu), n’ont pas tenu
compte de la pyramide socio-psychologique. S’ils avaient pu le
faire, ils se seraient rendu compte qu’il existait en réalité
les êtres et les pseudo-êtres, et que tout le problème pour
les êtres était d’ouvrir la voie pour que l’ensemble humain
s’engage concrètement dans la voie de l’existence. Les
anarchistes et les marxistes n’ont pas pu ou osé voir qu’ils
avaient affaire à un système mécanique et non-biologique, au
sein duquel ils n’étaient que des poussières.
2
- En ce qui concerne la psyops Covid 2020 en tant que
telle.
L’idée
de la psyops Covid 2020 a dû commencer à germer après la chute
de l’URSS en 1990, et prendre forme et s’épanouir avec les
faux attentats du 11 septembre 2001.
La psyops Covid
2020 était au départ conçue pour réussir dans un univers sans
concurrents, et cette condition était indispensable pour qu’elle
réussisse. La totalité de la planète étant sous la
coupe
occidentale (c’est à dire judéo-wasp), l’imposture aurait
été parfaite.
Les résurgences russe et chinoise
ont mis un terme à cet objectif qui a été restreint en une
mise au pas radicale de la population du bloc judéo-wasp
occidentale.
Un autre événement imprévu est venu
contrecarrer cette opération, et encore en modifier le
déroulement, c’est la partition des USA, et par contrecoup de
la zone entière judéo-wasp c’est à dire de tout l’Occident,
en deux factions mortellement ennemies, qui sont imagées par les
personnages d’Obama et de Trump, ou État profond n°1 et État
profond n°2.
Autant dire que la perspective que la
psyops Covid 2020 parvienne à terme est quasi nulle.
En
ce qui concerne l’hypothèse du fondement culturel de cette
psyops, on peut être tenté de faire le lien avec le sadisme, la
haine et la propension à l’enfermement qui sont exposés dans
le livre d’Israël
Shahak « Histoire juive – Religion juive Le poids de trois
millénaires », 1994 http://aredam.net/SHAHrelig.pdf
,
cette haine, ce sadisme et cette propension à l’enfermement
qu’on reconnaît dans la psyops apparaissant au sein de
l’univers clos totalitaire des ghettos juifs décrits par
Shahak (Shahak était un juif humaniste ayant dépassé son
propre conditionnement culturel). La haine intra-communautaire
décrite par Shahak envers le juif récalcitrant étant reportée
sur l’ensemble de la population occidentale à mater de façon
définitive.
Il est probable que le programme psyops
Covid 2020 a été maintenu par inertie et par l’effet de la
conjugaison et la composition d’intérêts divers entrant en
synergie, tels chute continue et inexorable des profits annuels
de l’industrie pharmaceutique, perspective de la dédolarisation
mondiale entraînant la chute de l’hégémonie planétaire
judéo-wasp, montées en puissance de la Chine, de la Russie et
de l’Iran, nécessité due à l’écart des richesses devenant
infini et donc impossible à masquer pour la classe dominante
judéo-wasp de briser une fois pour toute sa propre population,
partition utopique de toute la planète en deux blocs
parfaitement et irrémédiablement étanches Occident et
anti-occident, et
autres motifs plus secondaires encore plus vulgaires et
triviaux.
Il existe aussi de façon certaine une
composante juive particulière vis-à-vis de la psyops Covid
2020, qui a trait à l’enfermement spécifique de cette
population, tant en Israël que dans les autres pays, visant à
résoudre un malaise qui lui est aussi spécifique, comme une
échappatoire par le haut.
Tout est mystérieux dans
cette psyops, et ceux qui se pensent comme en étant les
manipulateurs, sont sans doute les plus inconscients et les plus
manipulés.
Au fond, l’actuelle psyops Covid 2020
est passée du statut d’opération longuement planifiée
mûrement pensée à
celui d’expédient bâclé et mal ficelé élaboré dans
l’urgence et la précipitation.
|