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Evolution des libertés et des droits en régime otano-sioniste en France en 2012

 

Evolution de la nature du régime otano-sioniste en France, à travers les cas de répressions policières politiques originales et récentes de Kémi Séba et Mohamed Achamlane.


Pourquoi en France personne ne parle parmi les dissidents du régime otano-sioniste, de ces cas d’innovations récentes en matière de répression policière politique, alors que ne seront jamais évoqué ces cas par les organisations de défense des droits de l’homme, telles la Ligue des droits de l’homme ou Amnesty France, qui ne sont en réalité que des organes para-policiers spéciaux de l’OTAN, et que ces cas sont révélateurs du régime réel où nous sommes entrés depuis peu de temps, et renseignent sur la vrai nature de notre régime ?


Exposé des cas de Kémi Séba et de Mohamed Achamlane.


Kémi Séba était un militant de la cause noire et africaine, de l’espèce des tribuns et des meneurs d’hommes nés, capable de tenir un auditoire en haleine, de rassembler des foules, de former un noyau de fidèles autour de lui, et d’élaborer une doctrine, de la structurer et de la propager sous forme de livres ou de slogans simples.

Pour son malheur, il était aussi intègre, et rétif à se plier à l’ordre idéologique du contexte français, soit au sionisme, auquel il s’est immédiatement opposé frontalement. De plus, tares supplémentaires, il était doué d’un sens personnel de l’humour, de courage physique et d’une bonne solidité mentale.

Toutes ces qualités en ont fait une cible prioritaire pour la police politique du régime.

La meute des publicistes stipendiés et asservis au sionisme l’a massacré à longueur de reportages comme nazi, raciste, antisémite, fasciste et autres.

Les procédures auxquelles il a eu droit ont été multiples et incessantes.

Ses organisations ont été maintes fois dissoutes à peine formées.

Il fit de la prison.

Le régime finit par charger un juge d’instruction de le placer sous une forme de tutelle originale et encore jamais instaurée en France.

Il lui était interdit de pénétrer à Paris, de s’exprimer publiquement, de publier des écrits.

Son domicile auquel il était tenu de stationner était encerclé jour et nuit par la police politique, il était espionné 24 heures sur 24, et cela ouvertement, on lui faisait savoir que son appartement était truffé de micros et on lui rapportait goguenard ses propos intimes venant d’être tenus avec ses plus proches, il était aussitôt suivi dès qu’il sortait de chez lui, ostensiblement, pas à pas où qu’il aille.

Mais le régime n’avait surtout pas l’envie de lui faire un procès public. On ne sait ce qu’on lui proposa, et ce dont on le menaça, mais on le retrouva au Sénégal où il est sans doute encore (tout cela se passa il y a environ trois années).

En fait, on l’exila.

Kémi Séba est le premier exilé politique de notre régime otano-sioniste, régime qui s’inspire sans doute de la pratique des tsars de l’ancien empire russe, qui déportait en Sibérie les intellectuels dérangeants.

Il est à noter que son avocate était Coutant-Peyre, et qu’elle ne fit pas preuve d’une grande efficacité pour dénoncer le caractère extraordinaire de ce qui se passait, et qu’il était pourtant de l’intérêt général et de celui particulier des forces encore vives et libres françaises de connaître, au point qu’on peut subodorer, comme pour le cas d’Achamlane, et d’autres, qu’on a en réalité à faire, en ce qui concerne Coutant-Peyre, à cette catégorie spéciale d’avocats qu’on peut qualifier d’«avocats spéciaux des services» (ASS), à laquelle appartiennent selon l’auteur de ce texte, Chalanset, l’avocat du tueur mitterrandien Rouillan d’Action directe, et celui des parents des victimes des récents assassinats de Toulouse attribués fallacieusement à Merah, Collard. Il est à noter que Coutant-Peyre est l’avocate de l’ex-activiste révolutionnaire Carlos (lequel est aussi son mari).

L’avocat d’Achamlane est Missamou, ex-défenseur d’un libraire parisien qui a édité « Le Vrai visage d’Israël » de l’agent juif crypto-sioniste des services secrets russes Shamir. Missamou a été aussi l’avocat de l’agent multicartes transfrontières Girosseka, et est très probablement aussi un ASS.

Il est à noter que dans toutes les affaires judiciaires qui intéressent les pratiques policières politiques du régime, on retrouve un ASS.

Le cas de Mohamed Achamlane est similaire à celui de Kémi Séba, à la différence que le contexte pour Achamlane est celui de la communauté arabo-musulmane.

Ce contexte est plus dangereux pour les idéalistes doués de capacités d’activistes politiques, car le régime doit se fabriquer des personnages de terroristes de chair et de sang, pour pouvoir au moins alimenter iconographiquement ses productions de propagande.

C’est ce qui s’est passé avec Achamlane, dont le look caricatural de musulman fondamentaliste semble sorti tout droit d’un studio d’Hollywood. Il est actuellement en prison pour ses discours par vidéo diffusés par le Net, et ses manifestations de rue réunissant péniblement une poignée de militants.

L’innovation policière politique dans le cas d’Achamlane, outre le fait de voir son association dissoute pour terrorisme et ses proches et lui-même emprisonnés, alors qu’il ne s’agit, comme dans le cas de Séba, que de contrer la propagande du régime et de rendre conscient, pour Séba, les noirs et africains, et pour Achamlane, les arabo-musulmans, consiste en les mesures administratives prises, en-dehors de toute voie judiciaire et de toute garantie de droit.

Par simple décret, et sous prétexte de terrorisme, les comptes bancaires d’Achamlane et de ses proches, et au-delà, de toute personne qui même pour une cause anodine ont eu à faire avec lui, sont gelés.

Achamlane et ses proches sont donc privés d’argent, et réduit à la misère, sur décision d’Etat.

L’un des décrets du ministère des finances est même paru au JO un 14 juillet (2012).

Un médecin qui avait été pressenti par Achamlane pour lui louer un pavillon, ayant certes commis le crime d’être musulman, fait même l’objet d’un décret. Ce médecin, qui n’a aucune activité militante, est anesthésiste en hôpital. Il ne fait l’objet d’aucunes poursuites pénales, et il n’est même pas prévu de l’entendre comme témoin par un juge. On lui concède juste des bons pour qu’il puisse au moins régler ses dépenses courantes. Il va se passer des mois (ou des années) avant que la justice ne statue sur l’affaire et le libère financièrement, son recours auprès du tribunal administratif ayant été rejeté dans l’attente d’une décision pénale sur le fond.

Toutes ces affaires devraient susciter la création d’une association de défense des droits de l’homme indépendante des services spéciaux de notre régime otano-sioniste, comme ne le sont surtout pas la Ligue des droits de l’homme et Amnesty qui ne sont plus que des organes para-militaires de l’OTAN, et cela n’intéresse personne.

De même, l’auteur de ce texte est toujours l’objet de « visites domiciliaires » en son absence et sans effraction (la dernière date d’environ deux semaines et s’est soldée par la disparition de deux CD de programmes informatiques dits « pilotes » d’une imprimante et d’un scanner, et la dégradation d’un câble de branchement dit USB d’un disque dur externe). Ces pratiques durent depuis environ 6 années, et ne suscitent pas d’interrogations de la part de la mouvance d’opposition à l’otano-sionisme.

Que faire ?

Existe-t-il une réelle opposition au régime en France et si oui, quelle est sa valeur ?

Exclusion de toute expression publique, exil, emprisonnement sans cause réelle, privation abusive de tous ses biens, privation de l’intimité, il n’y a aucune raison pour que cela s’arrête, et personne ne réagit.


Michel Dakar, Villequier, le 7 août 2012