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L’Europe appartient au second monde, c’est entre autres ce que nous enseigne l’affaire DSK-FMI.
Ce qui n’appartient pas au premier monde, ne compte pas. Tout ce qui n’appartient pas au premier monde se nomme le second monde. Le second monde doit être considéré comme un terrain de pâture pour ceux qui possèdent une place dans le premier monde. Les occupants du premier monde sont changeants. Actuellement, il s’agit exclusivement des Etats-Unis, de la Chine et d’un troisième comparse particulier. Les Etats-Unis sont accaparés par l’ethnie juive. Il est à noter que l’ethnie juive apparaît à la fois dans le premier et dans le second monde. L’ethnie juive semble en apparence appartenir aux deux mondes. L’affaire DSK-FMI démontre que la bataille n’implique plus l’Europe. La vraie guerre se passe entre les puissances étasunienne et chinoise. L’affaire DSK-FMI est un épisode de cette guerre qui se livre au sein du premier monde, l’un des deux antagonistes cherchant à pousser l’autre dans le second monde, dans le néant. L’enjeu de l’affaire DSK-FMI est la monnaie internationale, le remplacement ou le maintient du dollar comme monnaie d’échange internationale. Le maintient du dollar comme monnaie internationale est la condition de la perpétuation de l’appartenance des Etats-Unis au premier monde. Il est à noter encore que l’ethnie juive occupe une position particulière dans cette guerre, et qu’elle collabore avec les deux antagonistes qui luttent à mort, comme si au fond, son propre jeu était de n’appartenir à aucun clan, mais de représenter à soi seule un clan, un monde, qu’au fond on peut ajouter au premier et au second monde. L’ethnie juive semble agir systématiquement en collaborant avec tous les antagonistes dominateurs, de façon à être quelle que soit l’issue de la guerre, portée par le vainqueur. On trouve même un juif oeuvrant à la fois pour la Palestine, pour la pérennisation de l’installation des juifs en Palestine, et pour les russes, Israël Shamir. Il est relayé en France par la bande des agents d’influence Dieudonné-Skandrani-Poumier, (voir le site internet http://plumenclume.net ). Il est à relever qu’en France, l’intégralité des organisations de défense des Palestiniens, sont dans les mains de juifs crypto sionistes, très probablement dépendant de la police politique israélienne – CAPJO, AFPS, Indigènes de la République … Il semble que toute réelle opposition, toute réelle indépendance, toute liberté réelle de penser au sein de l’ethnie juive, soit structurellement impossible. Les forces en présence sont donc les Etats-Unis, l’ethnie juive et la Chine. On peut déjà prévoir l’aboutissement de ce combat. Le fait que les Etats-Unis délocalisent en Chine leurs centres de recherches dans tous les domaines, dont ceux stratégiques (informatique, électronique, armements, nucléaire), et acceptent les conditions chinoises de transfert des technologies les plus en pointes, quasiment maintenant sans restriction, démontre que les Etats-Unis sont sur la pente d’un déclin irréversible. L’abandon total de l’avance technologique par les Etats-Unis à la Chine, cette avance étant la condition moderne de la suprématie, signe que la réalité de l’économie étasunienne est catastrophique, et donc que sa puissance est un leurre, que les dirigeants étasuniens ne peuvent faire autrement que de céder ce qui constitue le plus précieux de leurs forces, cela dans l’espoir illusoire de gagner du temps, et que dans la réalité les Etats-Unis se sont subordonnés à la Chine. Quant à l’Europe, elle est pour la Chine une proie qu’elle ménage quant à la révélation de son anéantissement et de son absorption par la puissance chinoise. Tout ce à quoi s’accroche la classe « dirigeante » européenne (politique et économique), c’est de sauvegarder l’illusion d’être toujours des chefs, tout en étant devenus des loufiats. La vie politique authentique en Europe, et en France, l’activité politique authentique, vraiment indépendante, sont devenues très étranges, car le dissident, le rebelle, doit faire face à un pouvoir qui n’en n’est pas un en réalité, à un fantôme du pouvoir, à une police politique qui n’est plus que l’ombre de la vraie puissance. En France, le dissident affronte des ombres, mais des ombres néfastes, toxiques, morbides. Plus sérieusement, l’illusion qui semble être entretenue par les deux occupants majeurs du premier monde, les Etats-Unis et la Chine, et par leur comparse ethnique, est qu’on assisterait à une sorte de nouveau Yalta, à un nouveau partage du monde, pour une cogérance multipolaire de la planète, qui dépasserait même les seuls Etats-Unis et Chine. Cela pourrait à la limite se concevoir si nous n’étions pas dans une phase de l’histoire de la planète où toutes les ressources vitales sont sur leur fin définitive (eau, nourriture, énergie, ressources biologiques, minerais, espaces vitaux). Les conditions climatiques dont la dégradation s’accentue de plus en plus rapidement chaque année, comme l’épuisement et la destruction des terres arables, des forêts, l’empoisonnement généralisé des eaux et de l’air, font qu’il ne peut y avoir de partage entre dominants, quant de plus, celui qui est en train de s’installer au sommet de la pyramide, la Chine, est à lui seul une planète, l’Empire du milieu, avec son immense superficie, et son milliard et demi d’individus. La Chine n’a pas besoin des autres continents, elle se suffit à elle-même. La lutte entre dominants du premier monde est pour la première fois dans l’histoire de l’humanité une lutte à mort qui ne connaîtra pas d’armistice, et d’après guerre. Le but de cette lutte ne peut avoir comme aboutissement que la disparition définitive des perdants, car seule cette disparition totale, offrira un sursis à l’unique vainqueur, sursis ne l’éloignant que temporairement de sa propre disparition. Il est d’usage de tenter de prévoir les péripéties concrètes d’un avenir qu’on pense certain. Dans ce cas c’est totalement impossible. Cette tache est aussi compliquée que de prévoir le cheminement de chacune des pierres d’un immeuble en cours d’effondrement. Pour comprendre le type du lien existant entre puissances du premier monde, il faut lire les écrits portant sur la maffia sicilienne, et sa coupole, particulièrement depuis la montée des corléonnais. La maffia de Naples est aussi un bon exemple à étudier (le Système). Plus globalement, le cours de l’histoire humaine actuel, ressemble à la situation d’un personnage engagé sur la pente d’un toboggan, qui prend de plus en plus de vitesse, et qui n’a d’autre choix que de se maintenir sans en être éjecté, sachant que plus il se maintient, plus sa vitesse augmente, plus il lui est difficile de se maintenir, et plus sa chute est inéluctable et sera violente, mortelle. Nous avons dépassé le point de non-retour, quoi qu’on fasse. Il est à noter qu’en Chine, le budget de la police politique chargée de réprimer la population, soit d’assurer la « sécurité intérieure », est égal au budget des forces armées, que la Russie est tenue intégralement par la police politique, dont Poutine n’est qu’un pur produit, que dans le camp occidental, la police politique est devenue l’acteur social unique, comme en France. En Chine, toute opposition de la population à la caste du pouvoir est impossible, de même qu’en Russie. Dans le camp occidental, cette opposition est maintenue à un état factice, et ceux qui ne respectent pas le simulacre qu’on leur offre, cet ersatz de vie politique, sont harcelés jusqu’à ce qu’ils abandonnent toute activité politique sur le terrain, devenant confinés sur l’internet. S’ils persistent à exister hors du « virtuel », ils sont livrés aux loups de la police politique par les organisations de défense des droits de l’homme, et par celles de l’extrême gauche révolutionnaire et anarchiste, qui ne sont plus que des annexes de la police politique. Aux Etats-Unis, le FBI a en 2010 investi en force les locaux des associations de défense des droits civils (sous le prétexte de lutte contre le terrorisme), sans que les organisations internationales occidentales de défense des droits (HRW, Amnesty et la FIDH) ne s’émeuvent, ce qui révèle de même leur appartenance à la police politique. Quant à l’opposition interne réelle au sein de l’ethnie juive, elle est par définition impossible. Il n’existe pas un seul cas de juif ayant dénoncé l’essence du judaïsme (le cas d’Israël Shahak est irrecevable, car dénonçant le judaïsme tout en ne reniant pas son appartenance à la communauté juive ni son allégeance à l’Etat israélien), alors que toutes les autres religions possèdent leurs opposants acharnés à détruire la religion (christianisme, islam, hindouisme …), les derniers radicaux en date étant les enfants victimes, devenus adultes, qui poursuivent le Pape en justice pour complicité active dans leur viol par des prêtres catholiques. Pour mémoire, on peut citer la phrase de E. V. Ramaswami Naicker, surnommé Periyar, qui combattit l’indouisme et toute la civilisation brahmane : « Dieu n’existe pas. Celui qui a inventé Dieu est un fou. Celui qui propage Dieu est une crapule. Celui qui croit en Dieu est un barbare. » Il est à noter que la désignation de terroriste est utilisée par tous les pouvoirs (israélien, étatsuniens, russe, chinois) pour désigner leurs opposants. Dans cette époque de fin de l’espèce, la police politique est devenue mondialement l’organe unique et universel de gestion de l’ensemble de la population humaine. Il serait souhaitable de relier par delà les frontières tous les dissidents entre eux, et d’apprendre à tenir à l’écart des milieux dissidents, les envoyés des pouvoirs de toutes les sortes, y compris et particulièrement ceux à appartenance ethnique.
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