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Lettre ouverte d'interrogation publique, adressée au Préfet de police de Paris, au sujet des actions non conventionnelles policières politiques, s'apparentant à la torture et aux mauvais traitements, en usage dans la répression de la liberté d’expression de la dissidence antisioniste authentique en France.
Michel DAKAR
Paris, le 12 novembre 2007
LRAR n° 1A 004 288 1621 4
A : M. le Préfet de police de Paris,
Objet : Lettre ouverte d'interrogation publique au sujet des actions non conventionnelles policières politiques, s'apparentant à la torture et aux mauvais traitements, en usage dans la répression de la liberté d’expression de la dissidence antisioniste authentique en France.
Monsieur le Préfet,
Je suis engagé politiquement dans ce qui est devenu le point focal de toute activité politique en France, c'est-à-dire le Proche-Orient, et particulièrement l’affaire palestinienne.
L’affaire palestinienne peut être résumée comme étant la dernière aventure coloniale de peuplement existant encore au monde. Cette colonisation de peuplement est mise en œuvre par l’Occident. Elle passe par la destruction intégrale de la population indigène de cette région, et son remplacement par des éléments exogènes.
Voici l'exposé des méthodes non conventionnelles que moi-même et d'autres subissons, dont je porte l'information au public, et au sujet desquelles je vous demande de me répondre quant à l'éventuelle participation à ces actions, des services de police qui sont sous votre responsabilité.
Exposé des méthodes policières illégales et non conventionnelles, de répression de la dissidence politique antisioniste authentique : [Selon moi, ces méthodes sont employées par une ou des organisations, inconnue/es, agissant en rapport ou en complicité évidents avec les services officiels de sûreté politique (principalement Renseignements généraux de la Préfecture de police de Paris - RGPP, DST, Service dit de "Protection de la personne" de la rue du Château des Rentiers à Paris 13ème, dépendant de la Préfecture de police de Paris, et de la 4ème section du Parquet de Paris, section dite de la Presse et des "Libertés publiques")]
Constat préliminaire : De nombreux militants appartenant à la mouvance antisioniste non contrôlée par les instances étatiques pro-sionistes, dont moi-même, constatons que nous sommes l’objet de procédés illégaux et non conventionnels, qualifiables de manœuvres de déstabilisation, d’intimidation, de menaces, de harcèlement, pouvant être assimilés à des mauvais traitements et des tortures psychologiques.
Ces manœuvres de déstabilisation s’appliquent principalement dans cinq domaines :
1 - Les communications (téléphoniques, par l’Internet, par voie postale).
2 - Le domicile.
3 - La voie publique.
4 - la manipulation provenant de certains services de police spécialisés.
5 - Les provocateurs (et autres infiltrés et envoyés).
1 – Les communications.
a) Téléphoniques : Certains militants de la mouvance sus définie, constatent que leurs communications téléphoniques sont ouvertement suivies par des inconnus. Cela se manifeste par exemple, par le fait qu’après avoir appelé sans succès un numéro de téléphone, en retour, le propre poste (fixe ou mobile) de l’appelant fait l’objet d’un appel d’un inconnu, lui intimant l’ordre de ne plus se connecter au numéro précédemment appelé.
[ Il ne sera pas fait état ici des multiples formes conventionnelles subies de harcèlement téléphonique, telles menaces anonymes, insultes, sonneries répétées et autres.]
b) Par l’Internet par e-mail : Les boîtes e-mail de certains militants ou de certaines personnes proches de la mouvance sus définie, sont ouvertement sabotées. Cela se manifeste par exemple par le changement répété des mots de passe, ou par l’inscription de messages insultants dans leur boîte e-mail, ou bien, par l’envoi par leur propre boîte e-mail, de messages par des inconnus.
[Il ne sera pas fait état dans ce paragraphe, des attaques classiques par virus et chevaux de Troie, des sabotages du matériel informatique, sans doute opérés clandestinement au domicile même des militants, en leur absence, et de la non-réception d'e-mail envoyés à une adresse - Nota : Pour toute communication importante, il ne faut pas se fier aux e-mails par Internet, mais adresser un courrier postal, ou mieux encore, avoir une discussion directe par téléphone, le plus sûr étant encore de se rencontrer physiquement. Il est en effet très probable que certains e-mails sont délibéremment détruits. De même qu'il est très probable que les messageries téléphoniques des opérateurs (Free, France-Télécom et autres), ou bien les répondeurs-enregistreurs personnels des domiciles, sont l'objet de toutes les manipulations (effacements de messages non-lus, consultations des messages personnels par autrui etc ...)]
c) Par voie postale : Force est de reconnaître, vu son caractère répétitif, et touchant différents individus, que vis-à-vis des personnes appartenant à la mouvance sus définie, le vol de colis ou de courrier est de même une des méthodes de déstabilisation employée usuellement par le ou les organisations pro-sionistes.
2 - Le domicile.
Le domicile des militants antisionistes authentiques, fait l’objet d’une attention croissante de la part des services spécialisés sionistes, qui agissent d’évidence, en concertation avec les services de police officiels. On ne peut que s'étonner de l'activité intense déployée par certaines équipes, durant les mois de septembre et d'octobre 2007, activité couvrant une aire incluant Paris, et s'étendant de La Baule au Vexin, et de l'Orne à la Seine-Maritime.
a) L’intrusion sans effraction lors de son absence de son domicile : Il est constaté par de très nombreux militants, que de multiples intrusions dans leurs domiciles sont opérées, sans que les serrures soient en apparence forcées. Les militants constatent que des objets sont déplacés, ou mieux, que des signes du passage sont volontairement laissés, afin que le militant sache bien que son domicile a été visité. Il est même arrivé qu'une propriété secondaire, soit visitée alors que leurs propriétaires étaient présents dans leur jardin (deux évènements ont eu lieu entre le 20 septembre 2007 et le 8 octobre 2007, à Caudebec-en-Caux, en Seine Maritime). Ces intrusions ont pour but de perquisitionner, hors contexte légal, et d'influencer et de nuire comme menace, intimidation et harcèlement. Elles ont pour objectif premier de signifier au militant qu'il est dépossédé de son intimité, de son droit à la vie privée, de ce qui fait l'essence de son statut de personne, d'être humain. Il s'agit d'un procédé de déshumanisation, qui s'apparente à la torture et aux mauvais traitements.
Ces intrusions au domicile, sont accompagnées de plusieurs sortes de nuisances :
a) Vols : Des vols (clés de voiture, clés d'habitation, argent, chaussures, un livre), volontairement visibles, ont été constatés (un procès verbal de la gendarmerie de Magny-en-Vexin (Val d'Oise), a été dressé le 27 septembre 2007, à l'occasion d'une série de vols de ce type).
b) Dégradations : Des biens appartenant à des militants, ont été dégradés, de façon visible afin que le militant sache bien qu'il est l'objet de harcèlement.
c) Sabotages : Des sabotages des installations électriques et d'alimentation en gaz, ont été constatés. Plusieurs débuts d'incendies électriques ont eu lieu chez certains militants, ainsi qu'une fuite de gaz.
d) Saccage grave d'une résidence secondaire : Une résidence secondaire d'une personne liée indirectement à la mouvance antisioniste authentique, a été gravement saccagée. On peut analyser ce saccage comme étant un acte de menace indirecte dirigé à l'encontre des militants antisionistes. Un procès verbal de la gendarmerie de Mortagne-au-Perche (Orne) a été dressé à cette occasion, le 8 septembre 2007, et est joint en annexe. Les saccageurs sont revenus sur les lieux au début du mois d'octobre 2007. Voir le procès verbal de gendarmerie : http://www.aredam.net/proces-verbal-mortagne-au-perche-saccage.html.
e) Harcèlement violent au domicile : Une militante a été pendant un temps harcelée au sein même de son immeuble, plusieurs nuits, par des coups violents portés à sa porte, et cela même alors qu'elle était censée bénéficier d'une protection policière ordonnée par un juge d'instruction. Ce harcèlement se conjuguait avec des filatures ostensibles et un harcèlement téléphonique de chaque instant).
f) Harcèlement par envoi postal : Un objet a été envoyé anonymement par colis postal, à une militante, pour l'inquiéter. Il a été posté de La Baule (Loire Atlantique), le 18 septembre 2007.
g) Nota : Il est à craindre que des objets "compromettants" (textes racistes, ou appel à la violence, ou armes, ou drogues, voire du matériel pédophile) soient volontairement laissés dans les domiciles des militants antisionistes, comme cela s'est pratiqué lors de l'affaire dite des "Irlandais de Vincennes".
3 - La voie publique.
a) Actes d'intimidation communs. Les actes d'intimidation communs sur la voie publique, que supportent les militants antisionistes, peuvent être des filatures ostensibles, des interpellations d'inconnus, tenant des propos révélant qu'ils connaissent parfaitement le militant visé, interpellations qui peuvent avoir lieu à n'importe quel endroit et à n'importe quel moment dans la ville.
b) Actions concertées de déstabilisation : "mises en scènes". Ce genre d'action a lieu lors de manifestations organisées par les militants antisionistes authentiques. Elles mettent en oeuvre de nombreux comparses, qui semblent agir indépendamment les uns des autres. Elles peuvent même faire coopérer ces comparses et les forces officielles de l'ordre, par exemple en mettant en scène un début d'agression, et l'intervention de force de police venant opportunément protéger les militants antisionistes. Il est à noter que ces comparses se recrutent parmi toutes les tranches d'âge, les deux sexes (nous avons aussi remarqué l'intervention d'un soi disant homosexuel), sont souvent arabes, et sont parfois déguisés en militants politiques dont ils arborent les signes distinctifs d'une organisation (par exemple le cas d'un membre d'une organisation sioniste du type Bétar, revêtu d'un tee shirt de la JCR - Jeunesse communiste révolutionnaire).
4 - La manipulation provenant de certains services de police spécialisés.
Certains services de police politique parisiens sont intervenus afin de faire prendre des décisions préjudiciables à des militants antisionistes, qu'ils ont tenté d'influencer dans ce sens, dans le but de faciliter la répression légale à leur encontre.
Certains services de police politique parisiens sont intervenus au sein de la mouvance antisioniste parisienne, dans le but de diviser cette mouvance en diffamant certains militants, que cette police politique a tenté de faire passer aux yeux d'autres militants, par exemple pour des islamistes, voire des terroristes.
Certains services de police politique parisiens, entretiennent des relations quasi familières, avec certains militants antisionistes au caractère conciliant, ce qui leur offre un canal pour leurs manoeuvres de provocation et de division.
5 - Les provocateurs et autre infiltrés et envoyés.
La liste est longue de ces infiltrés, qui sont presque toujours aussi des provocateurs, que nous avons vu passer, et que nous continuons à voir passer. Un certains nombre d'entre eux tentent de nous entraîner dans leur opérations "clandestines". D'autres ne sont visiblement là que pour rapporter. Parmi les "envoyés", il faut relever le cas des nombreux photographes, qui s'attachent à chaque manifestation à tirer le portrait de tous les participants.
Remarque : Selon mon analyse, cette organisation occulte hors la loi et policière, de la répression de ceux qui n'agissent que dans le cadre de la liberté d'expression, est le signe éclatant que nous sommes entrés en période de régime totalitaire, régime qui ne conserve plus qu'une très mince façade démocratique. Cette organisation policière occulte hors la loi est le pendant du réseau de prisons secrètes où sont pratiqués la torture et l'assassinat, prisons dites de la CIA, auxquelles l'Europe sioniste collabore.
Dans l'attente de votre réponse à ma question concernant la collaboration de certains de vos services à ce qui s'apparente au mieux à une entreprise de persécution, au pire, à la mise en oeuvre de sévices qu'on se doit de dénoncer au Comité européen pour la prévention de la torture et des mauvais traitements du Conseil de l'Europe de Strasbourg, je vous prie de recevoir, Monsieur le Préfet, l'expression de mes salutations respectueuses.
M. DAKAR
Annexe :
Photocopie recto verso du procès verbal dressé par la gendarmerie de Mortagne-au-Perche, le 8 septembre 2007, du saccage de la résidence secondaire de M. Bernard Monnier.
Texte rendu public sur le site Internet : http://www.aredam.net, à la page: http://www.aredam.net/etat-policier-totalitaire-sioniste-france.html. incluant le scan du procès verbal de la gendarmerie de Mortagne-au-Perche, consultable à l'adresse Internet suivante http://www.aredam.net/proces-verbal-mortagne-au-perche-saccage.html.
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