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Les dévoilements périodiques mondiaux de la réalité.

Les conférences de Durban, ou, "le roi est nu".

Préparons dès maintenant la mise à nu du roi, pour 2009.

 


La première conférence de Durban s'était tenue à Durban en Afrique du Sud, en 2001.

Elle était organisée par les Nations Unies.

Cette conférence avait réuni l'ensemble des nations et les principales organisations non gouvernementales.

Cette conférence avait donné lieu à la condamnation d'Israël comme état d'apartheid, et du sionisme comme une forme du racisme.

Ces conclusions avait provoqué les départs des représentants des gouvernements visiblement pro sionistes : USA, France et Angleterre, ainsi que des ONG visiblement tenues par les sionistes : Fédération internationales des droits de l'homme (FIDH, siège à Paris, dont la LDH - Ligue des droits de l'homme est le membre français), Amnesty International (siège à Londres, constituée à l'origine conjointement par des membres puissants du lobby sioniste aux USA - New York Times par exemple, et des communistes sionistes anglais), et Human Rights Watch (siège Washington, recrutant d'anciens diplomates étatsuniens, c'est à dire des employés de la CIA).

A l'occasion de cette première conférence de Durban, le voile d'hypocrisie était donc pour une fois mondialement tombé. Cela avait révélé la réalité de l'idéologie de l'Occident et de ses "saintes" organisations des droits de l'homme. Le régime occidental était apparu pour ce qu'il est, soit raciste et colonialiste. Son idéologie était apparue pour ce qu'elle est, soit raciste et impérialiste. La réalité du régime politique occidental était apparue comme un état de violence pure, abrité derrière la minceur d'une affiche du droit.

La conférence de Durban de 2001 avait aussi révélé qui était le véritable "patron" en Occident, "le capo de tous les capos", comme on dit dans la mafia.

Ce "capo di tuti capi", jusqu'alors demeuré dans l'ombre, était pour la première fois mondialement dévoilé, mis à nu, exposé à la lumière du jour, dénoncé comme le chef du gang qui raquette, terrorise, asservi la planète.

L'identité du "capo di tuti capi" avait été démontrée au public par la fuite précipitée de ses représentants, telle une bande d'escrocs jugeant vain de continuer à tenter de berner leurs victimes.

La conférence de Durban 2 qui devrait se tenir en 2009, sans doute encore à Durban, ne pourra avoir comme objectif réaliste, que la continuation du dévoilement de la réalité.

Cet objectif qui peut apparaître comme modeste, est pourtant immense dans un régime mondial fondé sur le mensonge, le terrorisme et la haine, sans limites.

Cet objectif fait si peur aux "patrons", qu'ils s'emploient déjà à interdire la tenue de la seconde conférence de Durban.

Le dévoilement principal de cette seconde conférence de Durban devrait être celui de la non existence de l'ONU.

En effet, la Charte de l'ONU, soit sa Constitution, qui a été votée en 1945, a pour pilier central le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes.

Or, en 1947, soit deux années après, sous la contrainte des sionistes, l'ONU votait une résolution détruisant de fait sa Charte, et donc l'ONU.

Depuis 1947 et cette résolution, l'ONU n'existe en réalité plus.

Il s'agit de la résolution créant Israël.

Cette résolution offrait aux sionistes une partie de la Palestine.

Cette résolution déniait ouvertement la réalité de l'existence de la Charte de l'ONU, et donc l'existence même de l'ONU, puisque cette résolution ne tenait pas compte de son principe fondamental, essentiel, principe qui fonde le droit international, et au-delà, le droit en soi, à la fois les droits nationaux et le droit des individus, soit le droit pour tout peuple de disposer de lui-même, soit le droit pour tout un chacun de disposer de soi-même, ce qui est le principe essentiel du droit en tant que tel (ne pas être esclave, l'esclave étant défini non comme un être humain détenteur de droits, mais comme un objet, une chose, sans droit).

La population de Palestine n'avait pas été consultée lors du vote de cette résolution, et de plus, elle y était, dans son immense majorité, opposée.

Ainsi, depuis le 29 novembre 1947, et le vote de la résolution 181, l'ONU n'existe plus, il n'y a plus qu'une fiction d'ONU, le droit n'existe plus, il n'y a plus qu'une fiction de droit, sur toute la planète terre.

L'ONU était fondée sur le droit, et le but de l'ONU était d'instaurer au niveau mondial l'état de droit, soit l'état de non esclavagisme, l'état ou chacun possède une existence juridique.

Ce but a été abandonné le 29 novembre 1947 avec la création de l'Etat d'Israël.

Depuis cette date, le monde ne peut que connaître la violence pure, la guerre, l'esclavagisme.

C'est cette réalité de non existence de l'ONU, et d'état mondial d'esclavagisme, qu'il faut dénoncer grâce à la seconde conférence de Durban, qui devrait avoir lieu en 2009, si les "patrons" ne réussissent par à l'interdire.

Pour légitimer cet état d'esclavagisme, de non droit, les sionistes et leurs valets occidentaux invoquent un état de droit supérieur à l'état de droit du réel, un au-delà, dont est issu un droit divin.

Ce droit divin supérieur annule le droit humain. Ce serait une entité dite "Yahwé", de l'au-delà, qui aurait créé le droit des juifs à disposer d'autrui, soit dans le cas de la Palestine, le droit de disposer des habitants de Palestine.

Le droit "Yahwé" par extension annule tous les droits humains, soit le droit.

En réalité, le droit "Yahwé" est vulgairement appelé non-droit, arbitraire, crime.

Le droit "Yahwé" est trivialement celui de s'autoriser l'exercice sur autrui de toutes les sortes d'abus, de crimes, de cruautés, sans les limites de la morale, de la conscience, de la reconnaissance de l'existence d'autrui.

Le droit "Yahwé" est le droit d'être inhumain envers tous les humains à part soi même et ses associés.

Pour parvenir à faire accepter aux humains l'idée d'être privés de tout droit, de devenir des esclaves, un culte a été établi, par le biais de l'ONU, culte qui s'impose une journée par an, à tous les humains.

Il s'agit de cette journée mondiale, chaque mois de février, que tous les humains de la planète doivent consacrer à la mémoire de la "Shoah", qui est le terme juif pour désigner le génocide des juifs par les nazis.
C'est aussi cela qu'il faudrait s'employer à dévoiler à l'occasion de cette seconde conférence de Durban.


Michel DAKAR, Paris, le 3 février 2008.