Rubrique du site aredam.net " Comprendre notre monde ". Aujourd'hui : Les sans-domiciles fixe (SDF), et l'organisation " Droit au logement ", de Jean-Baptiste EYRAUD. La séparation de l'espace entre zones exclusivement pour dominants et zones pour dominés, et la gestion sociale de cette division.
(site internet : http://www.aredam.net) (fichier : http://www.aredam.net/droit-au-logement-jean-baptiste-eyraud.html)
Quel est le véritable enjeu en ce qui concerne les sans-domiciles fixe, et l'activité de l'organisation dite " Droit au logement " ?
Il s'agit là du problème de l'accaparement de l'espace vital, par les forts, les puissants, les riches, qui chassent les faibles, les pauvres, les sans influence, jusqu'à les priver d'un espace privé, le logement, et les contraindre à vivre dans les espaces publics, qui sont les espaces de circulations, soit la rue, le trottoir, le métro, et les lieux sordides d'hébergement temporaires, tels les foyers, qui recueillent pour une nuit ou pour des périodes plus importantes, soit en dortoirs de plusieurs dizaines de lits, soit en chambres au minimum de deux (il n'y a quasiment jamais de chambres individuelles).
Les centres de grandes villes des pays du nord, dominant le reste de la planète, sont dédiés à la population aisée. Les capitales des pays dominants sont dédiées à la fraction dominante des pays dominants. Les pauvres sont destinés à en être exclus. Ces zones centrales seront à terme même interdites aux non-dominants, comme cela commence à se manifester à Londres, avec la création d'un péage urbain, sous le prétexte de limiter l'encombrement par les voitures, du centre ville.
Mais à terme, les quartiers des dominants vont devenir interdits d'accès aux non-résidents, comme cela commence à se pratiquer aux USA et même en France, avec l'apparition de grilles et de vigiles, qui gardent ces lieux.
On s'achemine vers la division des villes, et au-delà, des espaces vitaux (campagnes, lieux de villégiature, centre de loisirs, et autres ...), en espaces pour riches, dominants, interdits physiquement aux dominés, aux faibles, et en zones dédiées aux pauvres, les banlieues, et autres zones désagréables.
C'est une évolution normale, logique, et inévitable, dans une société fondée sur la hiérarchie, le droit du plus fort, le droit d'exploiter, le droit de s'approprier, soit le droit absolu et sans limite de propriété, tel qu'il est défini dans tous les codes civils du monde.
Nous sommes arrivés à l'étape intermédiaire entre l'ancienne époque où les "classes" étaient encore plus ou moins mélangées, et l'époque dans laquelle nous commençons seulement à pénétrer, qui est l'époque de séparation physique absolue entre classes dominante et dominée.
Pour gérer cette transition, sans heurts, sans explosions, en obtenant l'acceptation de la population majoritaire qui est dominée, soit qui est condamnée à être déplacée vers les lieux de vie désagréables, il a fallut mettre en place une organisation en charge de ce déplacement de population de masse, déplacement qui se veut pacifique.
Le "Droit au logement" (DAL) fait partie de cette organisation, en France, en charge de gérer de façon non-violente, la déportation de la population dominée, des centres ville, vers ailleurs.
Le DAL a été créé dans ce but, par une assemblée réunissant quasiment tous les représentants de la classe politique de gauche et d'extrême gauche (mouvement catholique inclu), vers 1990.
Il faut là préciser ce qu'on nomme dans ce texte la "classe politique", qui est constituée du personnel en charge d'encadrer la population dominée pour le compte de la fraction dirigeante de la classe dominante. La classe politique en France comprend tous les partis politiques, depuis ceux d'extrême gauche jusqu'à ceux d'extrême droite, les écologistes inclus, les syndicats, certaines associations, et les anarchistes officiels, tels ceux de la Fédération Anarchiste et ceux de la CNT (Confédération nationale du travail).
Le DAL est inclu dans l'action trotskiste, le trotskisme étant une sorte de mouvement religieux sectariste à caractère politique, spécialisé dans la manipulation et la coercition des parties les plus défavorisées de la population, donc à hauts risques de révolte (immigrés, femmes, sdf, arabo-musulmans pro-palestiniens, précaires et chômeurs etc ...). La mouvance trotskiste en France (LCR-LO-PT) constitue une véritable police politique travaillant pour le ministère de l'intérieur. Le rôle de la mouvance trotskiste en France est absolument crucial pour le maintien de l'ordre du régime.
Dans le cas de l'opération de déportation en douceur de la population dominée au-dehors de lieux réservés aux dominants, le rôle des trotskistes est d'empêcher toute organisation politique indépendante du régime, soit de réelle opposition à ce régime, d'organiser en mouvement politique les victimes de cette déportation, victimes qui sont de plus très visibles et très facile à contacter et à rassembler, puisque vivant dans la rue, et qu'on nomme les "sans-domicile fixe".
Le DAL, lui, est chargé, d'encadrer ces populations en voie de déportation, en les accompagnant en douceur vers les banlieues et autres lieux de rélégation qui leurs sont destinés.
La création par la loi, en 1991, du "Droit au logement", faite par les socialistes, loi dite Besson, est une farce qui sert à maquiller cette opération, comme le sont les slogans du DAL, tel celui sur la réquisition des locaux vacants, et l'obligation de relogement en cas d'expulsion.
L'opération qui a lieu actuellement à base de distribution de tentes aux sdf, entre autres par l'organisation "humanitaire" "Médecins du monde", le DAL, l'équipe des "Don Quichottes", les inévitables flics trotskistes assurant le bon déroulement de l'opération et correspondant avec la Préfecture de police, et les élus Verts, à Paris, est une sinistre plaisanterie faite sur le dos de misérables obligés de vivre dans la rue, et que de plus, on utilise pour camoufler la déportation de masse qui est en train de s'organiser.
Il est à noter que "Médecins du monde" a pris des positions sionistes, comme les Verts de Paris sont ouvertement engagés pour Israël, que la milice trotskiste qui fournit les vigiles à l'opération "Don Quichottes" est d'obédience sioniste, et que l'actuel ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, un sioniste militant, a confié au franco-israéliens, Arno Klarsfelf, qui a fait son service militaire dans les garde-frontières israéliens, soudards renommés pour leur sévices envers la population civile en Palestine, une mission pour résoudre le problème des sdf. La bouffonnerie se boursoufle. Il est à noter pour finir, qu'Arno Klarsfeld s'est vu confier de même, une mission envers les sans-papier, sans-papier qui ont donc été pris en sandwitch entre les sionistes dits "de droite", dont fait partie Klarsfelf, et ceux dits "de gauche", du Réseau Education Sans Frontière (RESF), dont le trotskiste Richard MOYON est l'un des plus connus directeurs (voir aussi sur le site aredam.net, le récit de son agression envers Dieudonné, qui marche sur les plate-bandes trotskistes).
Il est intéressant de noter que l'idéologie sioniste est une légitimation de la force, allant jusqu'à la sacralisation de l'acte d'expulser par la violence un individu de son lieu d'existence, soit de l'expulser de la vie (il faut bien un endroit pour pouvoir vivre).
Le sionisme est donc la sacralisation de l'assassinat, la sacralisation de l'assassin, et donc, logiquement, inversement, la criminalisation de la victime. Le sionisme est une méthode "morale", d'inversion des rôles de criminels et de victimes, de légitimation donc, de l'oppression, de l'exploitation, de la domination. C'est une doctrine qui se prête très bien au maintien de l'ordre mondial.
Il faut savoir que plusieurs antisionistes authentiques ont été expulsés par la menace, des lieux d'opérations "Don Quichottes", à Paris, à la fois par des élus Verts, et par les vigiles trotskistes. L'un des expulsés avait eu le malheur en assemblée de qualifier de "crime contre l'humanité", le fait de forcer des humains à vivre à la rue. Il est évident que pour ces sionistes qui maintenant chapautent toutes les opérations de ce genre, de maintien de l'ordre, tant en ce qui concerne les sdf, que les sans-papier, et autres au sein de la partie la plus défavorisée de la population, donc la plus "révoltable" de la population, il n'existe qu'un seul crime contre l'humanité, c'est celui qui porte atteinte aux sionistes et au sionisme, sionisme qui possède, en quelque sorte, l'exclusivité du label "crime contre l'humanité" (ce sont les seuls humains !). Les Palestiniens rejoignent là de façon visible tous les exclus de la terre, et les sionistes apparaissent là, pour ce qu'ils sont en réalité, soit des bourreaux, bourreaux non seulement des Palestiniens, mais de tous les humains dominés, et des bourreaux au service universel de tous les dominateurs du monde.
Jean-Baptiste EYRAUD, est quant à lui un simple pantin, un homme de paille dont on tient les ficelles, selon un policier.
Michel DAKAR, le 8 janvier 2007.
Prochain sujet : Le mouvement des précaires et des chômeurs, comment ça marche ?
Voir aussi le fichier sur les sans-papier : 7 janvier 2007, Rubrique du site aredam.net "Comprendre notre
monde".
14 septembre 2006, Lire les réactions de Nadia
et de Marc Robert, relatives au texte paru sur "aredam.net",
texte relatant l'agression organisée par les trotskistes et Richard
MOYON contre Dieudonné, lors de la manifestation de soutien au
expulsés de Cachan, qui a eu lieu à Paris, le 9 septembre
2006
12 septembre 2006, Le magicien Dieudonné dévoile
les faux amis du peuple.
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