Les engagés en politique de terrain sur le domaine du Proche-Orient et de la Palestine en particulier, se sont très étonnés de se voir peu à peu exclus des organisations d’extrême gauche, mouvance anarchiste comprise, dès lors qu’ils adoptaient le point de vue de l’insoumission à l’idéologie sioniste, c'est-à-dire qu’ils ne reconnaissaient pas la légitimité de l’existence de l’Etat d’Israël.

Ainsi, le militant C., a été chassé dans le début des années 1990, d’une radio alternative parisienne, et cela du fait de la CNT, puis a été chassé d’un parti politique progressiste, du fait de ses positions publiques vis-à-vis d’Israël et des Palestiniens.

Une amie juive de C. l’avait prévenu que ses prises de position publiques au sein de ce parti progressiste allait très rapidement provoquer l’infiltration en masse de militants dans ce parti, tous sionistes, et qu’ils allaient prendre le pouvoir dans ce parti, le "dévorer de l’intérieur" selon son expression, et que C. allait en subir les conséquences, par la suite.

C’est ce qui arriva, C. fut chassé de ce parti.

Le cas le plus flagrant est celui de la CNT (un syndicat anarchiste), lié à la Fédération Anarchiste.

La CNT est d’évidence totalement entre les mains des juifs sionistes, sans aucun doute envoyés à l’origine par le Mossad en masse, pour noyauter et chasser tous les éléments réellement anarchistes de ce syndicat, en conserver l’apparence anarchiste, et s’en servir comme organe de guerre contre les antisionistes, et tous ceux qui desservent l’Etat d’Israël.

Il en est de même de tous les partis trotskistes, de la Fédération Anarchiste, et de toutes ces organisations pro palestiniennes domiciliées au CICP, dont l’AFPS (Association France Palestine Solidarité), l’UJFP (Union des juifs Français pour la paix), et les Indigènes de la République, toutes liées au parti communiste, ainsi que le MRAP. Lutte ouvrière, quant à elle, a créé dans le domaine palestinien, la CAPJO-Europalestine, tenue par une juive franco-israélienne, qui possède plusieurs biens immobiliers en Israël, donc directement volés aux palestiniens.

Il faut prendre conscience que l’expression « dévorer de l’intérieur » décrit bien le procédé utilisé par le Mossad dans le domaine de la vie associative française, des organisations citoyennes, et des partis français.

"Dévorer de l’intérieur", sans doute les organisations de défense des droits l’ont-elles été depuis longtemps déjà, comme la Ligue des droits de l’Homme et Amnesty international.

On constate avec un léger retard, la même "dévoration de l’intérieur", dans le camp de la droite.

Note importante :

Il est évident que ces invasions de l'intérieur de ces organisations politiques de la société civile occidentale par les sionistes ne sont possibles que parce que ces organisations sont peu à peu abandonnées par la population qui se rend compte qu'elles ne sont que des leurres, des vitrines factices d'une véritable vie politique qui n'est plus qu'un simulacre entretenu par le régime, lequel est en réalité une dictature basée sur l'économie. Cela transparaît de même par le taux d'abstention aux élections qui dépasse en réalité les 50%, et le taux de syndicalisation qui est inférieur en réalité à 5%.

Les sionistes ne tirent leur pouvoir que parce que les structures de vie sociale et politique de la population occidentale sont en voie de destruction.

Le pouvoir des sionistes en Occident est le signe de l'anéantissement de la population par l'économie, et ce pouvoir des sionistes ne fait qu'accélérer cet anéantissement, mais n'en n'est pas la cause.

Cela fait penser aux maladies dites "opportunistes" qui tuent les malades du Sida, le virus du Sida étant l'origine réelle de la mort du malade car ayant pour effet l'anéantissement des défenses immunitaires du malade, les maladies opportunistes ne se développant que parce que les défenses immunitaires du malade du Sida deviennent inexistantes.

Michel Dakar, le 1er février 2011.