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Voir le blog consacré à ce sujet (Reflexes, le CICP et la CNT) :

http://reflexesverite.blogspot.com

 

 

Comprendre la CNT et Reflexes, et la mouvance libertaire.

 

La CNT de la rue des Vignoles, ainsi que Reflexes du CICP rue Voltaire, sont réputés faire partie de la nébuleuse anarchiste, ou libertaire.

Or, ces deux organisations sont de simples organes de guerre sionistes, la CNT exerçant la terreur sur le terrain, par la violence physique, Reflexes, par la propagande par l’Internet, usant de la diffamation, de l’injure et du mensonge, toujours anonymement.

Qu’est-ce que la nébuleuse anarchiste, ou libertaire ?

A l’origine, les libertaires ou anarchistes étaient ceux qui inquiétaient le plus l’ordre bourgeois issu de la révolution de 1789, puisqu’ils préconisaient l’égalité réelle, en biens, et non en droit ou devant la loi (ou le fantome du droit et de la liberté), et l’égalité des statuts, soit ni commandants, ni commandés (ce qui est le sens réel de an-archie : pas de commandement). Le courant révolutionnaire originaire, qui a induit l’anarchisme, était représenté par Gracchus Babeuf, qui fut guillotiné. Ce courant, authentiquement révolutionnaire, a été entièrement éradiqué pendant la Révolution même.

Ce courant est réapparu au cours de la seconde partie du 19ème siècle, favorisé par le progrès culturel de la classe ouvrière, dû à la fois à l’industrialisation, qui a provoquée la création de cette classe, et à la nécessité pour l’organisation industrielle, d’avoir à son service des ouvriers éduqués (on les trouvait plus particulièrement dans la presse, les typographes).

Cette nébuleuse a été - et est toujours - le milieu le plus quadrillé par la police politique, et cela dès l’émergence de la mouvance anarchiste au 19ème siècle.

Ainsi, le premier journal anarchiste paraissant en France, « La Révolution sociale », fut créé par le préfet de police de Paris, Andrieux, sous Gambetta. Il vécu un an, du 12 septembre 1880 au 18 septembre 1881, et fit paraître 81 numéros (source : La Police de l’ombre – Indicateurs et provocateurs dans la France contemporaine, Editions du Seuil, 1990, de Jean-Paul Brunet). Le préfet fit lui-même financer le journal, en fournissant son dépôt de garantie (3000 francs), ainsi qu’une aide mensuelle. Le préfet écrivait lui-même des articles incendiaires à son propre égard. Louise Michel était l’un des collaborateurs réguliers de ce journal.

La Fédération anarchiste, qui est la première organisation anarchiste en France, auparavant les anarchistes répugnant à se structurer en une organisation, au grand dam de la police, qui préfère de loin avoir à faire à une organisation dont elle peut prendre les commandes, fut fondée encore une fois par la police politique, sous la houlette du militant Marceau Rimbaut, qui n’était en fait qu’un agent de la police politique, en 1908. Marceau Rimbaut fut le premier secrétaire de la première organisation anarchiste française, qui fut donc dirigée dès sa naissance, par un agent de la police politique (même source qu’au-dessus).

Radio libertaire (89,4mgh), la radio de la Fédération Anarchiste, qui émet sur toute l’Île de France (11 millions d’habitants), et qui est maintenant relayée par l’Internet en numérique sur toute la France et dans le monde, ne subsiste que par le financement de l’Etat, et émet grâce à l’émetteur officiel de Télédiffusion de France des Lilas.

Le Monde libertaire, qui est l’organe écrit de propagande de la Fédération anarchiste, ne peut exister que grâce aussi aux subventions de l’Etat (TVA sur le papier et coût des envois postaux des abonnements réduits, et distribution par le réseau des NMPP officielles).

Il suffit d’écouter Radio Libertaire, pour comprendre ce que le régime veut occulter.

A Radio Libertaire, le mot « sionisme » n’existe tout simplement pas.

On n’y parle pas non plus des « faux » attentats du 11 septembre 2001, ni du révisionnisme, ni encore moins d'une certaine "prégnance" sioniste aux échelons supérieurs sociaux, allant jusqu'au monopole dans les médias (qualification hypocrite pour "appareil de propagande") par exemple.

On ne parle pas à Radio Libertaire de ce qui est central et essentiel dans le monde réel actuel. C'est un mode de manipulation, de propagande, par l'occultation.

Par contre, on peut parfois y surprendre des échos appuyés des opérations de propagande en cours du régime, par exemple comme à cette émission consacré aux luttes de libération des femmes ("Femmes libres" le mercredi soir, d'un vieille pie nasillarde, bornée et indéracinable nommée Nelly - au moins 30 ans de micro, mieux que Poivre d'Arvor), qui donne la parole aux femmes iraniennes et afghanes (le régime se moque en réalité du sort femmes iraniennes et afghanes, mais les juge utilisables pour déconsidérer le régime iranien qui ose défier l’Occident et Israël. De plus, l'Afghanistan est devenu un pays entièrement radioactif en raison de l'emploi effréné de l'uranium appauvri par la "Coalition" siono-occidentale, venu "libérer" les femmes afghanes, on y trouve de plus en plus de foetus monstrueux).

Pour résumer, il n’y a pas en France de mouvance plus quadrillée par la police politique, soit par l’appareil de coercition sioniste, que la mouvance libertaire, au point qu’on peut soutenir que cette mouvance n’est qu’un relais de cette police politique, mouvance qui en réalité fait maintenant partie du service policier politique du sionisme et d’Israël.

Et le pire des dévoiements de l’anarchisme, est sans doute ce que représentent Reflexes et la CNT, soit ce qui est exactement à l’opposé de l’anarchisme, le sionisme, qui est le vol, l'accaparement, la spoliation, l’oppression, l'écrasement d'autrui, la hiérarchie, l’exploitation, le mépris de l’homme, portés à leurs plus lointaines extrêmités.

Il n’y avait pas de meilleur masque, pour le sionisme, que l’anarchisme.

 

Michel DAKAR, le 11 mars 2010