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http://www.aredam.net/cnil-lettre-1-septembre-2009-alex-turk.html

 

Lettre à la CNIL, au sujet de la constitution d'un dossier prouvant l'illégalité et le non respect des droits fondamentaux humains, de la part des organes policiers français, spécialisés dans la répression de la liberté d'opinion et d'expression, organes engagés dans la dissimulation du génocide sioniste en cours d'exécution, du peuple de Palestine. Cette lettre est une introduction à la plainte qui sera déposée devant le Comité des droits de l'homme de l'ONU à Genève.

 

 

De : Michel DAKAR

Paris, le 1er septembre 2009


LRAR n° 1A 033 279 2664 0


A : CNIL
M. Le Président, Alex TÜRK
8, rue Vivienne
CS 30223
75083 PARIS Cedex 02

Vos références : Saisine n° 08014890,
et voir les références figurant sur la copie de votre courrier
daté du 10 août 2009, jointe à cette lettre.

Monsieur le Président,


Par votre courrier daté du 10 août 2009, signé par vous-même, vous m’informez en substance que vous traitez consciencieusement ma demande, concernant l’ensemble des documents qui me sont relatifs, détenus par les organes policiers de répression politique français (ex-DCRG, ex-DST, RGPP, DCRI, DRM et autres).


Vous m’écrivez que rien ne figure à mon sujet dans les fichiers que vos services ont déjà pu consulter (hormis un document datant de 1997 et une notice du type état civil datée de 2005, les deux étant issus de la Préfecture de police de Paris).

Il vous manque d’évidence l’accès à tous les documents relatifs à ma période d’activité sur le Proche-Orient et la base militaro-coloniale occidentalo-sioniste religieuse intégriste dite « Etat d’Israël », activité allant de la fin de l’année 2001 à maintenant.

Cette activité a provoqué de la part des organes policiers de répression politique, deux convocations, sans résultats, au bureau de police spécialisé dans la répression de la liberté d’expression et d’opinion de la rue du Château des Rentiers à Paris 13ème (commandante Arbaud-Boggio, lieutenant Chacun), a motivé une entreprise persistante de la part de services policiers non déterminés, allant du milieu de l’année 2006 à la fin de l’année 2008, consistant en intrusions clandestines répétées et volontairement évidentes, dans mes domiciles de Paris et de Normandie, accompagnées d’un vol d’une correspondance privée familiale de Suisse comprenant des photographies de ma famille en Russie, une tentative avortée de perquisition officielle à mon domicile de Paris (par une équipe constituée d’une dizaine de personnes, appartenant au Bureau de la rue du Château des Rentiers, au Commissariat central du 18ème arrondissement de Paris, et à la PJ de Versailles, et d’autres non identifiées), une tentative avortée d’enlèvement en vue d’une détention sous couvert de psychiatrie (orchestrée par le Bureau des actions de santé mentale de l’Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de police de Paris (Mme Catherine BOSSARD, chef du Bureau des actions de santé mentale), mis en œuvre par le Commissariat central du 18ème arrondissement de Paris (Brigadier Combadière), et le Centre médico psychologique l’Intermède de la rue de la Chapelle du 19ème arrondissement (M. Yves PIGNIER, médecin psychiatre à l’Intermède), dépendant de l’Hôpital Maison Blanche de Paris. Cette activité a entraîné parallèlement une procédure civile, en ma faveur (1ère chambre du TGI de Paris et 1ère chambre de la Cour d’appel de Paris, et trois procédures pénales, en ma défaveur (17ème chambre du TGI de Paris et 11ème de la Cour d’appel de Paris, 6ème chambre du TGI de Versailles et 8ème de la Cour d’appel de Versailles).

Il est à relever que le Préfet de police de Paris, bloque illégalement, malgré le décision du le 1ère chambre civile de la Cour d’appel de Paris, considérée dans le monde judiciaire comme la plus prestigieuse de l’appareil judiciaire français (président M. GRELLIER), la parution au Journal Officiel de la déclaration de l’association CODEIG, que je préside, consacrée à la lutte contre le crime de génocide, dont celui du peuple de Palestine par les juifs sionistes. L’association CODEIG possède de par ses statuts, le pouvoir de se porter partie civile à l’issue de cinq ans, contre les auteurs du crime de génocide, soit la capacité à mettre en mouvement la justice dans ce domaine.

Je vous informe à nouveau que l’ensemble de ces éléments font actuellement l’objet d’une plainte adressée au procureur de la République à Paris, plainte déposée par mon avocat maître Jean-Louis CHALANSET, plainte enregistrée sous le numéro P – 0910400010.


Je vous informe de même que mon avocat est chargé dès que cette plainte sera parvenue à son aboutissement, de saisir de cette affaire le Comité des droits de l’homme de l’ONU à Genève, afin qu’elle soit portée à la connaissance de l’opinion publique internationale, qui sera ainsi informée de l’état réel de la démocratie en Europe occidentale.

Je vous demande de ne plus subir passivement l’obstruction organisée par les organes de répression politique policiers français, vis-à-vis de ma constitution d’un dossier prouvant l’activité non seulement illégale mais surtout contraire au respect de la dignité humaine, que développent ces organes, et dont l’objectif est de dissimuler la perpétuation d’un génocide en cours d’accomplissement.


Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de recevoir, Monsieur le Président, l’expression de mes respectueuses salutations.

M. DAKAR

P.J. : 3

- Votre courrier daté du 10 août 2009, 1 feuillet :
http://www.aredam.net/lettre-cnil-alex-turk.html

- Arrêt du 21 novembre 2006, de la 1ère chambre civile de la Cour d’appel de Paris (RG n° 05/19027), 3 feuillets :
http://www.aredam.net/arret-cour-appel-codeig.html

- Copie du « signalement » du Bureau des actions de santé mentale », de la Préfecture de police de Paris, daté de février 2007, 1 feuillet : http://www.aredam.net/ippp-1.html


Nota :

Courrier publié sur le site aredam.net, à la page :
http://www.aredam.net/cnil-lettre-1-septembre-2009-alex-turk.html,
la reproduction de la lettre de la CNIL datée du 10 août 2009 figurant sur cette page.


Adresse Internet de l’arrêt du 21 novembre 2006, de la 1ère chambre civile de la Cour d’appel de Paris (RG n° 05/19027) :
http://www.aredam.net/arret-cour-appel-codeig.html